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Nuit de la lecture histoires effrayantes

Nuit de la lecture histoires effrayantes

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Histoires effrayantes

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Parents and students are sharing their scariest stories. One girl was bitten by a neighbor's dog and had to undergo multiple surgeries. Another woman's children were swept away by a strong current at the beach but were rescued. A student had a recurring dream about being followed by film characters. Lastly, a woman had a terrifying experience when her car tire blew out on a dark road, but two strangers helped her change it. Bonjour, aujourd'hui nous allons interroger des parents et des élèves qui vont nous raconter des histoires qui font peur. Et c'est maintenant Alissa qui va nous raconter la plus grande peur. En gros, moi j'étais chez ma grand-mère, parce que mes parents ils étaient partis en voyage, et je promenais le chien de ma grand-mère avec le chien de sa voisine, et au bout d'un moment ça a arrêté. Là le chien de, assez gros plutôt, de mon voisin d'en haut, il m'avait dit qu'il était très gentil, donc j'ai commencé à lui faire des caresses, et au bout d'un moment, il a fait le fou, il a commencé à mordre avec ses petites dents, et donc du coup après moi je me suis accrochée tout doucement, et donc du coup après il m'a mordu toute la lèvre, et donc du coup j'ai dû être opérée, j'ai eu quelques petites blessures, et du coup je n'ai pas pu aller à l'école pendant un mois et demi, deux mois, et j'ai dû retourner plusieurs fois à l'hôpital, ils m'ont refait plusieurs opérations, mes fils quand je suis rentrée chez moi ils se sont enlevés, donc du coup je continuais à saigner, donc du coup j'ai dû faire une opération anti-poison, et du coup après ils m'ont recousue, j'ai attendu un mois et demi, et donc du coup après je suis retournée à l'école. Eh bien merci pour ton témoignage. Bonjour, je vais vous raconter ma plus grande peur. Un jour je me suis réveillée et j'ai entendu du bruit, donc j'ai été boire, et j'ai trouvé une chauve-souris coincée dans ma fenêtre, donc j'ai crié après ça, et j'ai appelé ma maman, et elle m'a donné mon témoignage. Alors ma plus grande peur a eu lieu il y a à peu près 10 ans, nous étions en vacances à Cavalère, dans le sud-est, au bord de la mer, dans une petite ville familiale où tout le monde va à la plage tous les jours. Il y avait un peu de vent, le Mistral souffle beaucoup, et mes enfants qui adorent l'eau, donc j'ai Thomas et Lise, donc Thomas avait 10 ans et Lise devait avoir 4 ans. Ils se baignaient, moi j'étais tranquillement en train de bronzer sur ma serviette, avec toujours un regard sur mes enfants, et puis pas mal de vagues quand même, donc tous les enfants dans l'eau, et là je les vois sur le matelas gonflable partir au large, en sachant que Lise, 4 ans, ne s'est pas encore nagée, et Thomas, 10 ans, l'eau ne fait pas son fort. Et d'un seul coup, une énorme bourrasque, le matelas pneumatique s'envole au large, et là je vois que Thomas n'a pas pied, il essaie tant bien que mal de rattraper sa sœur, il dépatouille comme il peut, et là, d'un coup d'un seul, je me transforme en Pamela Anderson, comme alerte à Marie Bouchy, et je décide de courir le plus vite possible, seulement l'eau me ralentit énormément. Je hurle, voilà, heureusement au loin il y avait un monsieur qui a vu, donc le matelas s'envoler, essayer de rattraper mes enfants, et j'ai tellement paniqué, que quand ils ont réussi à revenir au bord, je les ai disputés comme jamais, une maman hystérique sur la plage, et j'étais tellement accoutumée en colère, j'ai été d'une méchanceté extrême, et je les ai renvoyés à l'appartement, je les ai punis, ils n'ont plus le droit de retourner à la plage. Pas toi ? Ah, alors ma fille me dit que non, toi t'es restée à la plage. Ah, alors j'ai juste discuté mon fils, mais j'ai eu peur, peur, peur, peur, peur, j'ai cru qu'ils allaient se noyer tous les deux, voilà, c'était ma plus grande peur de maman. Donc, bonjour, moi je suis la première femme, j'ai fait mes études, et on m'avait dit qu'on allait filmer au cinéma, c'était Miss Peléguine et les enfants en particulier, et moi au final j'étais grave peur, parce que c'était hyper grand et tout, et quand je dormais, je rêvais qu'ils étaient là, et encore des fois maintenant je crois, chez moi, comme quoi ils ne me débarquaient pas, du coup je me sers de mes meilleurs trucs, c'est vachement fou de le voir, mais du coup je rêvais je crois quand je dormais, c'est génial, voilà. Bonjour madame Jacquemin, vous êtes ici en présence avec nous, pour nous raconter une de vos anecdotes horrifiantes, c'est à vous. Bien, alors, je vais vous raconter ma plus grande peur, mais je ne suis pas convaincue qu'elle me semble si terrible que ça, alors déjà il faut s'imaginer qu'à l'époque j'ai 20 ans, donc je suis en piscine, c'est vraiment une peur de femme, alors je ne sais pas si vous allez la comprendre cette peur, j'ai 20 ans, je suis étudiante, mais je dis surveillante, pionne, comme vous dites plus facilement, dans un établissement du gauche, et je suis étudiante à Besançon, et samedi matin, j'y cours tout le samedi, donc je me rends le samedi matin très tôt à Besançon, j'ai à peu près deux bonnes heures de route, donc la veille, vendredi soir, j'ai un problème à la voiture, je crève un pneu, c'est pas trop grave, je fonce au garage, pour qu'il me laisse ma route secours, parce que le lendemain, il faut que je parte hyper tôt, donc il me monte ma route secours, et il prend mon pneu crevé, il me le répare, il me dit, si vous passez dans une heure, je vous remets le pneu, toute une histoire de pneu a changé, je repasse avant que le garage ferme, et voilà ma voiture avec mes quatre pneus, je peux partir le lendemain, et un pneu de rechange dans le coffre, impeccable, le lendemain matin, je me lève super tôt, il est 4h du matin, on est en hiver, ça doit être en janvier, et là je me prépare pour partir à Besançon, je prends la route à 5h du matin, il fait noir, il y a de la neige, et il fait très froid, je suis toute seule dans ma voiture, une vieille R1, je me souviens, rouge, donc je pars au volant de ma vieille voiture, et je suis sur la voie rapide, entre Jarménie et Remiraud, ça ne fait rien, mais c'est une voie rapide, et là je roule toute seule dans le voile, il est au bout de 5h, quelque chose comme ça, et je roule, et là, au bout de 30km, ça fait rire, la vieille est ronde, quand on est jeune, étudiant, et qu'on n'a pas trop d'argent, on a la première voiture qu'on peut s'offrir, bref, je roule, et au bout de 30km, je sens un truc, il y a quelque chose qui ne va pas, et là, je comprends exactement, que le même pneu qui avait été changé, venait à nouveau de crever, et là, je suis sur une voie rapide, il n'y a rien pour me garer, et puis d'ailleurs, j'ai trop peur pour me garer, et je me dis, je vais rouler jusqu'au premier garage, alors chose qu'il ne faut pas faire, on ne roule pas avec un pneu crevé, sinon on fiche en l'air la jante, ça ne fait rien, je suis prête à foutre en l'air la voiture, je m'en fiche, je suis toute seule dans le noir, je ne veux pas m'arrêter, j'ai trop peur, d'ailleurs il n'y a personne, je ne sais pas pourquoi j'ai peur, mais je ne veux pas m'arrêter, j'ai trop peur, donc je roule, je roule, mais je roule doucement, je ne veux pas rouler à plus de 30km avec un pneu crevé, et je roule en fait, je me dis, premier garage, il n'y a pas beaucoup de garages sur les voies rapides, et puis sur celle-là, il n'y en a pas, bon bref, je roule, je roule, doucement, et peut-être 10 minutes après, à peine, je vois des phares au loin, il faut s'imaginer que c'est une noire à nuit, je vois des phares au loin, derrière, dans mon rétro intérieur, qui arrivent là-bas derrière, qui arrivent, qui arrivent, et là je me dis, voilà une voiture, voilà une voiture, et en fait, la voiture, je vois les phares arriver de plus en plus près de moi, et je vois que c'est en fait une camionnette, et la camionnette commence à ralentir à ma hauteur, alors là, j'ai vraiment très, très peur, et là, la camionnette, qui se met devant moi, sur la bande d'arrêt d'urgence, et qui s'arrête, et je n'ai pas d'autre choix que de m'arrêter, parce qu'en plus, avec un pneu crevé, tu ne peux pas accélérer, tu ne peux pas vraiment doubler, donc là, je suis obligée de m'arrêter devant la camionnette, et donc, je me dis, qu'est-ce qui va se passer, et là, tout de suite, je claque, claque, j'appuie sur mes boutons pour fermer la voiture à clé, et je vois dans mes phares, et dans la nuit complète, je vois dans mes phares, deux gaillards qui descendent de la camionnette, on est en hiver, ils doivent faire moins d'un, qu'ils sont en départ d'heure, avec des gros zombies de cuisse, enfin, gros zombies, gros zombies, c'est des zombies de cuisse, c'est pas très tentatif, mais c'est vraiment des gros zombies, et donc, là, je suis, comment on dit, terrorisée, effrayée, horrifiée, et là, je dis, je passe en dessous du volant, je me dis, qu'est-ce qui va m'arriver, et deux gros gaillards qui arrivent, et là, il y en a un des deux qui vient à ma hauteur, il toque à la fenêtre, il regarde comme ça, il ne veut même pas regarder, alors il re-toque, et puis moi, j'ouvre un tout petit peu la fenêtre, non, c'est même pas ça, il me dit quelque chose, je ne comprends pas ce qu'il me dit, alors j'ouvre un tout petit peu, j'ai ouvert de 2 cm, même pas, il me dit, vous avez un problème, et moi, je crois bien que je creveille, alors il me fait, ah, bah oui, vous avez une roue de secours, je lui dis, oui, mais elle est où ? dans le coffre, sauf que dans le coffre, il faut que j'y aille, parce que tout est fermé, même le coffre est fermé, à l'époque, tout était fermé, bon, bah là, je me dis, je vais juste sortir de la voiture, pour aller ouvrir le coffre, mais là, je me dis, c'est la dernière fois qu'il respire, parce que là, à mon avis, il va me faire la peau, et bah attends, il sort de grand gaillard comme ça, et là, je sors de ma voiture, je vais jusqu'au coffre, il ne me touche toujours pas, je me dis, hop, j'ouvre le coffre, il prenne le pneu, je rentre à toute vitesse dans ma voiture, je me ferme tout à clé, pendant qu'ils sont en train de pérer sur ma voiture, en 5 minutes, ils vont changer mon pneu, je disparais, j'ai même pas envie de m'ouvrir, et, bon, bah, voilà, je reste dans ma voiture, complètement effrayée, et il se toque à la fenêtre, il me dit, c'est bon, c'est changé, je lui dis, ah bon ? et là, je me dis, peut-être que je leur donne quelque chose, parce que c'est sympa, ils m'ont changé mon pneu en 5 minutes, et là, je me dis, non, non, non, on ne va pas sortir ton porte-monnaie, ton portefeuille, c'est trop dangereux, ils vont te couper la gorge, pour te payer tout le prix, et après, je ne dis plus rien, je referme tout, merci ! Et là, je repars à toute vitesse, je crois que c'est la plus grosse peur de ma vie, parce que je me suis vue mourir, dans un talus, à droite, là, je me voyais bien dans le talus, dans l'herbe et dans la neige, voilà ! Voilà, c'était l'histoire de Mme Jacquemin, j'espère qu'elle vous a plu, euh, à tout de suite pour une prochaine histoire, merci ! Bonjour, je suis ici pour vous présenter une de mes plus grandes peurs, un jour, j'ai regardé un Disney, c'était, euh, un film rebelle, et, euh, ça m'a fait peur, sa mère, elle devenait un monstre dedans, ça fait vraiment peur, du coup, après, je ne voulais plus jamais regarder ce film, mais, vu que j'avais un frère pas très sympa, et bien, il me forçait à regarder, après, j'avais super peur, et j'ai même déjà rêvé que sa mère, elle venait, et elle avait mangé toute ma famille, et, euh, et c'est un de mes plus gros cauchemars, parce qu'elle avait mangé toute ma famille, tous mes amis, et j'étais la seule dans mon placard, et du coup, après, j'avais crié, et après, ma mère est venue me réveiller, et voilà ! Bonjour Gabrielle, quelle est ta plus grande peur ? Bon, bah, tout d'abord, bonjour, ma plus grande peur, c'est que, l'année dernière, je me suis percutée par une voiture, du coup, j'avais la clavicule cassée, et du coup, depuis ce jour, bah, j'ai vraiment peur de traverser la route, parce que, c'est pour une voiture, enfin, se percuter par une voiture, c'est pas tous les jours, c'est pas tous les jours, c'est pas tous les jours, c'est pas tous les jours, enfin, se percuter par une voiture, c'est pas tous les jours, c'est quand même assez rare, et du coup, je suis allée à l'hôpital, on m'a mis une bretelle, par chance, parce que j'aurais pu être opérée, mais du coup, c'était moins grave que prévu, alors du coup, on m'a mis des bretelles, et voilà ! Merci Gabrielle, pour ton témoignage, c'était dur, mais bien joué à toi ! Merci ! Au revoir ! Bonjour, une fois, j'étais au chalet, et ma mère, ma mère, ma mère, ma mère, ma mère, ma mère, ma mère, on était tous seuls, dans le chalet, et puis là, on commence à voir des gens qui viennent, c'est pas assez tranquille, ils viennent devant le chalet, et là, je sais pas trop ce qu'ils venaient faire, on les voit descendre, pour vous dire, nous, on était là, en train de jouer à Mario Kart, on entend Toké à la vis, qui est derrière nous, on voit des gens, et après, on est planqué derrière le canapé, les gens sont partis vers la terrasse, pour nous voir, comme s'il y avait un problème, ou ils venaient nous attaquer, je sais pas trop ce qu'il y avait, et puis après, ils ont commencé à repartir, et puis après, on a resté cachés, tant qu'ils étaient pas partis, on était toujours par terre, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis, et après, ils sont partis.

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