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Marsha P. Johnson was a drag queen and LGBTQ+ activist who had a significant impact on the lives of many people. She faced challenges growing up and experienced violence and discrimination for being different. Marsha was a prominent figure in the Stonewall riots, which marked a turning point in the fight for LGBTQ+ rights. She fought for the rights of black transgender individuals and worked to create safe spaces for the LGBTQ+ community. Marsha's death remains a mystery, with some believing she was murdered. Despite the challenges she faced, Marsha's efforts have helped millions of people and paved the way for acceptance and equality. Bonjour. Aujourd'hui, on va vous présenter une personnalité peu connue, mais elle a eu un énorme impact sur la vie de millions de personnes. Aujourd'hui, on va vous présenter Marsha P. Johnson, qui a été une drag queen très connue à New York et une activiste américaine pour les droits LGBTQ+. Aujourd'hui, je suis avec Adèle, Alexis et moi, Malia. Dans le thème d'aujourd'hui, on va parler de Marsha P. Johnson, qui est née le 24 août 1945 à Elizabeth, dans le New York DRG. Elle est née dans une famille afro-américaine. Elle est de sexe mâle, de naissance, mais se considère comme un défenseur opposé. Et avant, on définissait ces personnes en tant que drag queens, qui se déguisaient en mettant du maquillage très, très flashy. Elle a commencé dès un jeune âge à porter des vêtements considérés plus féminins, comme des jupes et des robes. Mais elle a été intimidée par les garçons du quartier parce qu'elle était différente. Dans une interview de 1992, Johnson a décrit avoir été victime d'un viol par un garçon de 13 ans. Et après cet événement, pour elle, l'idée d'être riguée, c'était que ce n'était pas une possibilité, c'était seulement un rêve. Sa mère ne lui soutenait pas. Elle lui a répété plusieurs fois que d'être homosexuel, c'est comme être pire qu'un chien. Après le lycée, elle est partie avec 15 $ en sac et des habits pour New York, la grande ville que tout le monde connaît aujourd'hui. Elle a commencé à s'habiller presque exclusivement avec des vêtements féminins et elle a adopté le nom complet de Marsha P. Johnson. Alors, le P de Marsha P. Johnson signifie « pay it no mind ». C'est qu'elle répond aux questions sur son genre et son identité, comment elle se définit et qui elle est à son avis et aux avis des autres. Alors, elle était vraiment pauvre. Elle avait plusieurs travaux. Elle a été servante pour un moment, puis à un point, elle a dû devenir prostituée. À New York, on appelait ça comme le « hustle » et c'était un travail très dangereux car elle était toute seule avec des inconnus et ils étaient parfois très violents envers elle. Une fois, elle a pris une balle à cause de ses violences et de son travail. Elle était très pauvre. Elle n'avait pas de logistapes. Elle était un peu comme nomade. Elle bougeait de maison en maison. Alors, dans les années 50 et 60, le terme de transgenre était peu connu et danser avec une personne du même sexe et de travertir était illégaux. Alors, dans le cas de Marsha P. Johnson, elle dit qu'elle s'est fait arrêter plusieurs fois à cause d'un étranger. Les droits des LGBTQ plus n'étaient peu connus. Elles n'existaient pas vraiment. Elles n'existaient pas du tout même. En 2018, nous, on ne savait même pas c'était quoi. Nos parents ne voulaient pas nous en parler. Ils ne voulaient pas nous mettre dedans. Il y a des personnes qui, peut-être, ils savent qu'ils ont des LGBTQ plus, mais ils n'existaient pas. Ils ne mettaient pas attention. Les gens qui ont été élevés différemment de nous trouvant ça un peu anormal qu'une personne se mette avec le même sexe que lui. Oui, que c'est la religion, la société, tout ça. En grandissant, nous, on a un truc à faire avec. On peut grandir. On peut venir. Ça ne va pas nous poser de problème parce que c'est sa vie qui n'est pas le maître de sa vie. Revenons à Marsha. En 1969, Marsha était dans la première ligne des émeutes de Stonewall. C'était une série de manifestations contre un bar que la police venait à chaque fois taper et arrêter les gens de là-bas contre la police à New York. Oui, c'était un bar gay. C'est considéré comme la première révolte de la communauté LGBTQ plus contre le système oppressant. Les policiers ont arrêté plusieurs personnes car ils ne respectaient pas les lois. Marsha a dénoncé les autorités et le système, bien sûr. Ça a vraiment changé beaucoup de vie pour les LGBTQ plus. Après ça, Marsha a participé dans les discours pour la liberté des gays. Oui, ça a bien aidé la vie des LGBTQ plus. La manière que ça a aidé, c'est que ça a aidé les gays et les lesbiennes blancs. Les noirs ne se faisaient pas vu. Même quand je parlais avec Rafa, comme les gays noirs en Afrique, ça existe, mais on ne dit pas ça. Ils ne sont pas connus. Non, ils ne sont pas connus, c'est juste que s'ils disent qu'il y a des graves conséquences, qu'ils peuvent se faire tuer. Il y a certains pays, c'est accepté comme dans mon pays, mais on va toujours te regarder d'un mauvais œil. Comme quand tu connais Malia en Afrique, la sorcellerie, ça existe. Ils ne sont pas vraiment représentés. Il n'y a même pas un sens de LGBTQ plus là-bas. Marsha, c'est vraiment la seule. Elle n'était pas en Afrique. C'est juste qu'on apprend ça. Oui, alors quand Marsha a su ça, son but, c'était vraiment de faire entendre la voix des transgenres noirs et des gays, lesbiennes et tout ça qui étaient noirs. Je veux mes droits gays maintenant. Je pense que c'est le moment pour les homosexuels d'obtenir leurs droits. Ils ont invité les femmes. Plusieurs personnes traversées qui étaient dans les rues, qui n'avaient pas de foyer ou qui n'avaient pas trouvé leur personnalité ou leur identité. C'est ça. Elles voulaient créer un espace où ces gens pouvaient être eux-mêmes en sécurité sans avoir besoin de craindre la police et pour pouvoir s'unir et se battre pour leurs droits. Elle a même été arrêtée par la police plus de 100 fois comme Gandhi, mais en plus, killée quoi en fait. Sa mort reste un mystère. Donc, son corps a été retrouvé dans le fleuve Huiton à l'âge de 47 ans. Alors, les autorités dans la police, ils croient que c'était un suicide et qu'elle s'est noyée. Mais la famille de Marsha, ses amis et d'autres personnes qui font partie du LGBTQ+, croient qu'elle s'est fait tuer. Alors, cet événement, ça a causé beaucoup de prothèses dans les rues. À ton avis, qu'est-ce qui s'est passé ? Moi, je crois qu'elle s'est fait tuer car il y a plusieurs de ses amis et aussi Sylvia, elle dit que dans aucune manière que Marsha pouvait se suicider. Elle dit, oui, peut-être que ces combats, c'était dur, mais... Elle tenait le bout. Ouais, comme je suis sûre que Marsha, c'est une personne qui ne se faisait pas embêter. C'est pas normal, même ses frères ont dit que c'était pas normal car le jour avant, elle était vraiment joyeuse. Elle a pris le train et tout ça. Le lendemain, elle est dans un fleuve. Personne n'y croit. On ne sait pas parce que quand elle était jeune, elle a été violée. Elle avait une vie très difficile. Elle a dû devenir prostituée. Elle a travaillé très fort pour ses droits. On ne sait pas ce qui s'est passé. Moi, je pense que je suis de l'avis de Maria. Elle se battait pour que les choses n'arrivent plus. Et aussi, quand on a trouvé son corps, il y avait un trou dans sa tête. D'habitude, la police essaie d'enfuir des affaires car elle était une protestante. Elle faisait beaucoup d'émeutes et ça dérange la police, comme on a vu il y a plusieurs années. On ne sait pas ce qui s'est passé. Moi, je crois qu'elle s'est fait tuer. Après tous ces efforts et ces défis, elle a pu soutenir et aider des millions de personnes dans le futur pour qu'ils ne soient pas mal traités par la société de la même façon qu'avant et qu'ils puissent montrer leur vraie identité. Oui, je crois. C'est un très beau film. Sous-titrage Société Radio-Canada