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Hassan II

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Hassan II, the King of modernism and realism, led reforms to modernize Morocco and promote democracy. He introduced a constitution that favored a multiparty system and increased the parliament's role in government. Hassan II also advocated for peace and acted as a mediator in the Israeli-Palestinian conflict. Despite criticism, he was revered by the Moroccan people and considered one of their greatest monarchs. He passed away in 1999, leaving behind a united and structured Morocco. Assane II, le roi du modernisme et du réalisme. Un balado conçu et enregistré par Saad et Salman Bouchara pour le concours Lance ton balado. Le 9 juillet 1929 proteste le roi français au Maroc dans un lieu inconnu pour l'instant, le cri d'un nouveau né retentit dans la pièce. C'est la naissance du prince héritier El Hassan Ben Mohamed Alawi. Le prince Moulay Hassan reçoit au palais royal de Fès les premiers enseignements de la science coranique. Après des études universitaires à Rabat et à Bordeaux, le roi obtient en 1951 le diplôme d'études supérieures en droit public. Il entretient des bonnes relations avec son père et participe même à des événements politiques, ce qui l'aide à se préparer pour son règne. 3 mars 1961, à la mort de Mohamed V, Moulay Hassan est proclamé roi du Maroc sous le nom de Hassan II. Dès le commencement de son règne, Hassan II mène des réformes pour moderniser le pays, comme avec l'introduction d'une constitution favorisant un pays nécipartisan. Il régnera pour presque 4 décennies et restera un roi très populaire au Maroc et dans le monde entier. Durant son règne, ce Sa Majesté Hassan II défendait plusieurs idées. Une des plus connues est la modernisation et la démocratisation. Il fixe cet objectif comme une priorité capitale. Il commence alors à proposer des réformes comme l'introduction d'une constitution favorisant un pays multiparti. Vers la fin de son règne, ces réformes deviennent de plus en plus fortes avec la nomination d'un premier ministre qui était un opposant du monarque ou encore la plus grande campagne de privatisation des entreprises au Maroc. Ainsi commence une nouvelle ère économique pour le Maroc. Ecoutez ce qu'il a à dire sur ce sujet. A voter pour un référendum en faveur ou contre une nouvelle constitution, une constitution que vous avez voulue plus démocratique. Majesté, l'un des points importants de cette constitution est la responsabilité du gouvernement devant le parlement. C'est donc une ère nouvelle qui commence pour le Maroc. Sa responsabilité est plus le parlement que le gouvernement. Car terminée dans une situation qui est égale à la mienne, c'est-à-dire que j'investis du gouvernement, lui aussi l'investit, donc il y a une promotion dans le projet du parlement mais cette promotion comme toute responsabilité entraîne, doit entraîner forcément une maturité, une réflexion plus approfondie avant de sanctionner le gouvernement qu'il avait. C'est donc une participation plus importante du parlement, vous souhaitez dire. Participation dès le départ. Dès le départ. Parce qu'il est égal à la vôtre alors. En définitive, il ne faut pas oublier une chose, c'est que, comme je l'expliquais il y a quelques temps, notre monarchie n'est pas de droits divins comme on veut que les Français nous comprennent. Elle est de droits religieux et populaires. L'abbé A, qui est la légende, n'est pas sur un pied d'égalité les deux contractants, à savoir le peuple et le roi. Bien au contraire, c'est l'émir d'Espagne qui lui, est assujetti à son peuple. La constitution qu'il propose révolutionne le système politique marocain. Mais Hassan II ne s'arrête pas là. Une autre idée qu'il défendait était la paix. Un des conflits les plus importants et sanglants à l'époque était la guerre entre Palestine et Israël. Le monarque s'est alors proposé comme un médiateur dans ce conflit. Il était impartial et défendait l'existence d'Israël et de la Palestine. Il revenait à une cohabitation stable et pacifique. Écoutons plusieurs opinions différentes sur le roi Hassan II. Voici un extrait du livre « Les funérailles de Hassan II, que Dieu le glorifie » par Maurice Druyon, mis en ligne sur internet par site du Figaro le 26 juillet 1999. Il fut au cours de son long règne l'objet de toutes les critiques, de toutes les réticences, de toutes les perfidies. Non pas de la part d'une très vaste majorité de son peuple qui se reconnaissait en lui, mais de tous ceux qui, hors du Maroc et dans une certaine presse, française en particulier, haïssent la grandeur. À présent, je ne serais pas surpris que ses adversaires eux-mêmes s'accordent à lui décerner des louanges sur le ton « il faut être juste et reconnaître ». Il est bien temps. La vérité est que, pour les Marocains, que le deuil écrase, Hassan II restera comme l'un de leurs plus grands monarques. Dans la suite de Moulaï Idriss Ier, le fondateur, et à l'égal de Moulaï Ismail, de Moulaï Hassan Ier, son aïeul, et de son père Mohamed V. Pour le monde, il apparaîtra comme l'un des plus remarquables chefs d'état du siècle. Il avait le courage, il avait la lucidité, il avait la prévision et une manière de génie dans l'imagination diplomatique. On dit que le roi dit souvent « je veux ». Aujourd'hui, vous me diriez « je veux quoi » pour le Maroc ? Qui ne dit pas « je veux » ? Vous pouvez le dire avec plus d'autorité que nous. Je veux pour le Maroc des dirigeants intelligents, une jeunesse intelligente, apte à saisir les occasions, à comprendre le siècle où elle vit, à ne pas vivre à l'ombre du polyguisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout par la réalisation et le réalisateur. 23 juillet 1999, Hassan II meurt d'une attaque cardiaque. Sept jours après, le prince héritier Mohamed Benel Hassan Alaoui est intronisé comme le nouveau roi du Maroc. Il laissera derrière lui un Maroc structuré et uni. Les funérailles de Hassan II à Rabat le 25 juillet 1999 furent l'occasion de grandes manifestations de ferveur populaire et de soutien à la monarchie. Lors de la procession funèbre, le cortège est enveloppé par une masse de deux et demi et trois millions de personnes venus rendre un dernier hommage à le roi. Le prince héritier Mohamed Benel Hassan Alaoui est décédé le 25 juillet 1999. Le prince héritier Mohamed Benel Hassan Alaoui est décédé le 25 juillet 1999. Le prince héritier Mohamed Benel Hassan Alaoui est décédé le 25 juillet 1999. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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