Details
Nothing to say, yet
Big christmas sale
Premium Access 35% OFF
Details
Nothing to say, yet
Comment
Nothing to say, yet
The speaker is happy to be recording again after getting a new puppy. She wants to discuss the importance of internal language and how women often disrespect themselves through negative self-talk. She believes that changing the way we speak to ourselves is the first step towards personal growth and creating positive change in our lives. She shares personal anecdotes and encourages listeners to stop categorizing themselves based on others' opinions. She emphasizes the need to celebrate small victories and be kinder to ourselves. The speaker believes that by changing our internal language, we can improve our relationships and create a happier and more fulfilling life. She concludes by inviting listeners to reflect on the person they want to be and to recognize their own qualities and strengths. Allô! J'espère que tu vas bien. Je suis vraiment contente de te retrouver, ça fait un petit peu que je n'avais pas enregistré. Là, je ne sais pas si... je pense que je ne parle pas fort. Mais c'est parce que si tu n'as pas suivi dans les dernières semaines, ben dans les derniers jours, parce que ça fait juste une semaine et demie, j'ai un nouveau petit chien. Puis là, il dort. Fait que j'en profite, parce que c'est l'enfer sinon. Fait que j'en profite pour enregistrer, ça ne va pas être un épisode super long, je crois. J'avais envie de te parler du langage interne, parce que je suis témoin beaucoup trop souvent de femmes qui se manquent de respect dans la manière dont elles se parlent. Ce n'est pas rare que j'entends des femmes s'insulter, se rabaisser, dire qu'elles sont « don't neither » ou « don't » je ne sais pas, « perdue » ou genre. Puis honnêtement, je suis là-dedans, comme on n'est pas parfait. Je pense qu'il y a toujours moyen de s'améliorer et ça ne sera jamais parfait. Mais je pense que c'est important de prendre conscience et que le premier pas vers un changement en fait dans ta vie, ça apporte de toi, ça apporte de la manière que tu te parles. Parce que comment tu veux créer un changement dans ta vie si tu te manques de respect, que tu ne te parles pas bien. Il n'y a absolument rien qui va changer, parce que tu ne sauras même pas ta valeur, tu ne sauras même pas savoir ce que tu mérites, ce que tu vaux. C'est vraiment comme le premier pas selon moi à changer et à prendre conscience. Je sais que ça remonte de loin ces affaires-là. J'ai l'impression que c'est un peu comme, on entend nos amis dire, nos amis quand on est plus jeune, quand je suis au comptoir, j'en ai des étudiantes qui viennent et qui parlent entre eux. Mes oreilles saignent, ils se parlent et ils sont comme, « Est-ce que t'es conne ? » Je me rappelle qu'on parlait tous d'eux-mêmes quand on était plus jeunes. C'est terrible, c'est terrible parler comme ça, non seulement à nos amis, mais à nous-mêmes. On est la seule personne avec qui on va habiter toute notre vie, qu'on va endurer toute notre vie. Ça serait le fun que ce voyage-là soit agréable en toi. De devenir beaucoup plus respectueuse envers la personne que tu es, parce que tu mérites du respect, tu mérites de te choisir, de te parler comme il faut, et d'arrêter d'endurer justement des gens qui ne te parlent pas bien. La majorité du temps, quand on ne se parle pas bien, ça fait en sorte que les gens ne nous parlent pas bien parce que nous, on ne s'accorde même pas de respect. Ça fait que les gens, ils voient ça. Ça fait qu'on attire des gens qui ne nous respectent pas. J'avais envie de juste te partager un petit peu des petites anecdotes que j'ai vécues, des trucs comme ça, puis des trucs sur comment « switch » ton langage interne justement. Si on se fait toujours dire qu'on est X, Y, Z dans notre vie, c'est comme si on va finir par le croire. On se l'est tellement faite répéter longtemps qu'on était gênée, qu'on n'était pas bonne en maths, qu'on était… nous, on n'est pas faite pour… C'est pour moi n'importe quoi. Il y a des gens qui se permettent de dire des affaires sur nous, qui pensent nous connaître. Je trouve ça terrible parce que ça nous met dans une « bolt ». Ça fait en sorte qu'on pense que c'est ça la vérité, alors que ce n'est pas du tout. Il faut arrêter de donner ce droit-là aux gens, de nous catégoriser dans quelque chose. Souvent, ça commence à l'adolescence ou l'enfance. Ça, c'est des choses qu'on ne peut pas contrôler et qui sont ancrées en nous maintenant. Malheureusement, il faut se défaire de ces croyances-là parce qu'on pense vraiment des fois qu'on n'est pas bonne ou qu'on n'est pas intelligente pour aller faire telle affaire ou qu'on est trop intense ou quoi que ce soit. Mais tu es toi et c'est ça ta force. Je veux qu'on commence à révéler la vraie personne qu'on est parce qu'on est toutes des femmes extraordinaires, uniques de notre façon. On n'a pas à se taire. On n'a pas à parler moins fort. On n'a pas à être moins intense. On n'a pas à être moins rêveuse. On a toute la capacité de créer la vie qu'on désire avoir, qu'on désire vivre. Je pense vraiment que ça commence avec notre langage interne parce que si nous-mêmes, on ne se parle pas bien, la vie autour, ça va juste réfléter de la manière qu'on se parle. C'est juste de mettre ses limites aussi par rapport aux gens et de nous-mêmes. Je pense que du moment que tu vas faire un changement dans ta vie à toi, l'extérieur va se réfléter. Si toi, tu ne te lères plus de te manquer de respire, que tu cesses de te parler avec violence parfois ou avec manque de compassion, on est tellement durs envers nous-mêmes et on se met tellement de pression. Juste hier, j'écrivais dans mon journal, j'ai un nouveau cahier de journaling pour Noël et ça faisait depuis 2017 que j'avais mon cahier de journaling. Ça faisait six ans que j'écrivais dedans. Puis là, j'ai comme clos mon journal. J'en avais demandé à nouveau un Noël avec mon amie, la même amie que j'avais acheté mon cahier en 2017. En tout cas, je trouvais ça super significatif. Je trouvais ça nice, bref. Puis, c'est comme ça. Dans mon cahier de journaling, j'ai commencé à écrire genre, aujourd'hui, je n'ai pas été super productive. Puis là, je me suis auto... Je me suis comme rendu compte de ce que j'étais en train d'écrire. J'étais comme, mais voyons donc. C'est pas vrai que je n'ai pas été productive. J'ai tout coché ma to-do list. On a tendance à toujours se rabaisser, à ne pas célébrer nos petites victoires, à jamais voir nos bons coups, nos bons côtés. C'est toujours facile de tourner plus vers le négatif et d'être dur envers nous-mêmes et mettre tellement de pression. Puis là, après ça, j'ai vraiment changé. Puis j'ai écrit, ben non, c'est pas vrai. Genre, je ne sais pas pourquoi je dis ça. Je suis vraiment dur envers moi-même. Tu sais, dans le fond, j'ai tout accompli. Ce que j'avais à faire dans ma journée, je suis vraiment fière de moi. Puis même si je n'avais pas tout accompli, ce que j'avais à faire, j'ai still fait des choses pour moi. Puis je suis fière d'avoir passé à travers cette journée-là. Des fois, être capable de voir ses victoires-là au quotidien. Puis c'est tellement dur. On dirait qu'on est tellement entouré de négativité, tu sais, de jugement autour de nous que ça devient comme naturel. C'est comme rendu seul à la réalité de tous. De ce moment-ci, de rester, d'être dur envers nous-mêmes, de faire de la pression. Mais on pourrait juste tous être des humains heureux et en paix avec nous-mêmes, qui s'aiment. Puis nos relations seraient tellement plus saines, tellement plus belles, tellement plus positives, tellement plus vraies. Puis beaucoup moins lourdes. Puis la relation avec les autres, mais aussi envers nous-mêmes. Bref, je pense que ça commence vraiment par là. Tu peux littéralement définir la personne que tu veux être. Ne laisse pas personne te faire croire que tu es ci ou ça. Comme je te disais au début, j'ai l'impression qu'on s'est tellement fait répéter souvent Quand je suis au secondaire, il y a un micro, je m'appelais Mahabou. À la base, c'est drôle. Mais je suis tellement, tellement gênée au secondaire que j'avais l'air bête. On pensait que je voulais arracher la tête à tout le monde, tellement que je ne m'étais jamais tournée dans ma face. Parce que j'avais tout le temps peur de révéler qui j'étais. J'avais toujours peur de dire quoi que ce soit ou qu'on me fasse juger ou qu'on me juge. Je le cachais bien quand même, mais je faisais ma piste. Je faisais comme s'il n'y avait rien qui m'atteignait. Aujourd'hui, je suis capable d'avoir pas de recul. Ça fait longtemps. Ça fait 6 ans. Ça fait quand même un petit bout que j'évolue là-dessus. Mais je le sais que j'étais tellement gênée. On m'a tellement répétée que j'avais l'air bête. Que je n'étais pas sociable. Que Marilou n'aime pas le monde. C'est drôle. On dirait que je te parle de ça. Ça me rend émotive. Mon Dieu, ce n'était pas prévu. Parce que je n'avais pas prévu de te parler de ça. C'est bizarre, ça m'est comme venu en tête. J'ai l'impression qu'on se fait tellement mettre dans des boîtes dans notre vie. Ça ne devrait pas. Je suis vraiment quelqu'un qui aime les gens, qui aime connecter. Je me suis fait à croire longtemps que ce n'était pas vrai. Je manquais tellement d'opportunités. J'ai tellement manqué d'amitié. J'ai manqué des opportunités. Je ne regrette rien. C'est mon cheminement. C'est correct. Mais c'est important de ne pas laisser autant de pouvoir aux gens. C'est fou comment ça a un impact sur les gens. C'est fou comment ça a un impact sur notre vie. J'ai cru longtemps que je n'étais pas une bonne personne, que je devais plus au risque. Mais je peux-tu être moi? C'est tout. C'est pareil pour toi. Je parle au moi, mais je m'adresse à toi. Le changement, tu peux le créer à partir de toi-même. J'ai envie de te faire un exercice. Juste de te poser la question. J'aimerais ça que tu te décrives. J'aimerais ça que tu décrives la personne que tu aimerais être. Tu vas peut-être voir que ce n'est pas la même personne. Peut-être que tu vas voir qu'il y a des ressemblances. Peut-être que tu vas voir qu'il y a des choses à travailler. Peut-être que celle que tu as décrit comme étant toi-même aujourd'hui, ce n'est pas une perception. En fait, c'est la perception des autres peut-être. J'aimerais ça que tu en fasses prendre conscience. Quand on me demande de me décrire, on a tout le temps de la misère à se lancer des fleurs, à se complimenter. On est toujours capable de voir plus nos défauts que nos qualités. C'est difficile. Je t'invite vraiment à te poser la question. C'est quoi mes qualités? Comment je suis dans la vie? Pas basé sur des commentaires que tu as eus. C'est correct d'avoir des... C'est trop actif de des gens. De demander des fois aussi. Demandez à des gens de confiance. Que vous aimez, que vous sachiez que ces gens-là ont des bonnes intentions, qu'ils sont bienveillants envers vous-même. Je pense que c'est facile de se laisser critiquer ou se faire mettre des idées dans la tête par des gens qui ne sont pas bienveillants. Il faut changer ça. Je ne veux pas que tu laisses personne te faire croire que tu es d'une certaine façon. Si toi, tu n'es pas d'accord, c'est correct. Ce n'est pas un fait ce que les gens te disent. À partir d'aujourd'hui, j'aimerais que tu apprennes à te connaître. Savoir comment tu es. D'essayer de casser cet effet-là de... « Oui, je suis comme ça, mais parce que tout le monde dit que je suis comme ça. » Mais non, ce n'est pas vrai. Tu peux définir c'est qui que tu es. Ça, ça part de notre langage interne. La manière que tu te parles, la manière que tu te traites. C'est vraiment de développer ta capacité à te reprendre quand il y a des choses comme ça qui arrivent. Si par rapport à une situation, tu as oublié quelque chose... Moi, je suis vraiment quelqu'un de distraite dans la vie. C'est correct. Pour de vrai, à un moment donné, j'en rie. J'arrête de me taper sur la tête pour ça. J'oublie plein d'affaires. Ça, c'est probablement parce que je suis très tête en l'air. J'ai beaucoup de projets. Je suis passionnée. On m'a déjà fait croire que c'était « bad » d'oublier tout. Je ne parle pas « oublier » ma mémoire. Je suis distraite. Je me trouve des trucs. Je suis plus organisée. Ce n'est pas vrai que c'est « bad ». Ce côté-là, je ne m'en fais plus avec ça. Ce n'est pas quelque chose que je me décris. Juste de remarquer. Je m'en arrête avec ça. Je ne sais pas pourquoi j'ai dévié de moi-même. Juste de développer ta capacité à te reprendre. Mettons que moi, je suis distraite. J'ai oublié de faire quelque chose pour mon job. J'ai oublié de pousser de quoi. J'ai oublié de crier à quelqu'un. Ça m'arrive des fois. Au lieu de me dire que c'était menaçant. « Tu as oublié encore. » « Ça t'arrive tout le temps. » D'être négatif. J'ai l'impression d'être à m'auto-insulter. On dirait que je suis malaisée de faire ça présentement. Je ne vais pas aller trop deep. J'ai déjà entendu des femmes qui s'étaient vraiment pire que ce que je disais. Juste d'entendre des mots de même, ça m'irrite. De développer ta capacité à te remarquer que tu parles de même. À être plus consciente. Moi, quand ça m'arrive, je me reprends. Je suis comme, « Hey, non. » Les filles, au chaque bord, quand ça m'arrive, je leur dis direct. Je suis comme, « Hey, ne parle pas comme ça. » Je pense qu'il faut développer ce réflexe-là. De se reprendre. « Hey, non. » Je ne veux pas me parler de même. Je ne m'irrite pas à ça. Tu le switches. Tu te parles avec plus de douceur et d'amour. Je voulais te parler. Je me sers des petites notes. Je vais te parler de l'affirmation positive. Je ne veux pas embarquer dans un débat de positivité toxique. Je ne te dis pas de tout le temps être positive. Je te dis juste d'être plus empathique. D'avoir plus de compassion, d'amour. Parce que c'est tellement facile de se manquer de respect. Je ne te dis pas que quand tout va mal, tu te dis que la vie est belle. C'est pas ça. Ça, c'est avec un autre sujet de podcast. Je vais te parler d'émotions. J'ai hâte de faire un épisode là-dessus. Je ne veux pas embarquer là-dedans. Je veux juste te parler d'affirmations. De switch tout le temps tes pensées. Avec des affirmations positives que toi-même t'as créées. Tu peux t'inspirer sur Pinterest ou des trucs comme ça pour les créer. Mais j'aimerais vraiment que tu fasses l'exercice de créer tes propres affirmations personnalisées. Parce que tu vas vraiment les filer beaucoup plus. Je ne sais pas comment l'expliquer. Ils vont vraiment plus résonner et vibrer fort en toi que si tu fais juste lire quelque chose pour lire quelque chose. Dans le fond, c'est que tu es tellement habitué de t'avoir fait dire que tu es d'une telle façon. Ou tu es tellement habitué de te répéter les mêmes affaires négatives. Que c'est rendu que ton cerveau te croit. Je te donne un exemple. Je travaille dans le domaine du BMI. J'aide les gens à se remettre en forme, à avoir des meilleurs habitudes de vie. Ça m'arrive régulièrement que les gens me disent que j'ai peur de lâcher. J'ai peur de ne pas continuer. Par manque de motivation. En fait, c'est un manque de discipline. Puis parce que ton cerveau est conditionné au fait que tu lâches tout le temps. Il ne te croit pas quand tu lui dis que tu vas te remettre en forme et que c'est la bonne. Il ne te croit même pas. Il va falloir que tu le reconditionnes. Que tu redéfinisses ce que tu veux vraiment. Que tu reformules ce que tu veux dans ton cerveau. Pour que ton cerveau te croit que tu veux te remettre en forme et que tu as fait plus que deux semaines. On est très dans ça présentement avec les résolutions au début d'année. Je ne sais pas quand est-ce que tu m'écoutes. Présentement, on est le 29 décembre. Quand tu vas écouter ça, on va être en début janvier. Je lance le podcast le 4 janvier. Je ne dis pas que tu vas l'écouter le 4 janvier. Bref. Peu importe quand dans l'année. On s'en fout. Peu importe quand est-ce. Il y a tout le temps des périodes. Début d'année. Début de l'été. C'est tout le temps des moments propices que les gens veulent se remettre en forme. Ils veulent des résultats quick. Ça fait que tu ne le fais pas pour les bonnes raisons. Puis tu lâches rapidement. Ton cerveau te croit. Il croit ce que tu fais. Comme si à chaque fois que tu quittes, tu te répètes ça. Je suis une failure. Je quitte après deux semaines tout le temps. Ça ne vaut même pas la peine parce que je sais que je vais quitter. J'entends que ça va demain des fois. Je ne regrette pas que tu te manques de respect et que tu n'es pas capable de tenir parole envers toi-même. Comment ça se fait qu'on est capable de tenir parole quand on doit quelque chose à quelqu'un, mais qu'envers nous-mêmes, on n'est même pas capable. C'est fou. Ça, ça n'a pas de bon sens. Il faut arrêter de faire ça. Souvent, c'est parce qu'on se met des objectifs qui ne sont pas alignés avec nous-mêmes. On ne se met même pas des objectifs qui sont probablement réalistes parce que souvent, on veut aller trop vite. On n'est pas patient. Mais l'important, c'est que tu le fasses pour toi. Puis que tu aimes le processus au complet. Pas que tu aies perdu 20 livres en deux semaines. Ça n'a pas d'allure. Mon point avec ça, c'est que tu dois reconditionner ton cerveau avec des nouvelles croyances, avec des nouvelles actions. Si de plus en plus tu le fais, de plus en plus toi, tu vas croire que tu es capable de le faire. Ça va faire en sorte que ton cerveau va se reconditionner tranquillement. Ça ne va pas deux jours. Il faut que tu sois patiente. Il faut que tu le fasses over and over. Les affirmations, je trouve que c'est une belle façon de le faire. C'est sûr qu'il y a des actions qui doivent se faire. Il n'y a pas des miracles qui vont arriver parce que tu vas lire des affirmations. Il faut que ce soit intentionnel. Mais je te donne un exemple. Si tu dis... Ok. Dans le fond, en gros, je vais commencer par le commençant. Des affirmations positives, à quoi ça sert? C'est vraiment à ça que tu reconditionnes ton cerveau à des choses que tu veux. Je t'invite à retrouver ta liste de la personne que tu veux être ou la faire. Comment elle est cette personne-là? Est-ce qu'elle est patiente? Est-ce qu'elle est heureuse? Est-ce qu'elle est belle? Est-ce qu'elle est respecteuse? Est-ce qu'elle s'aime? Plein de choses comme ça. Est-ce qu'elle est abondante? À partir de ça, au moment où tu sais qui tu veux être, comment tu veux agir, suite ça. Toutes tes croyances limitantes, toutes tes phrases un peu moins belles que tu te répètes dans ta tête, tes idées qui sont un peu négatives de toi. On a tout le temps ça, cette petite voix dans notre tête qui est un peu négative. C'est notre égo qui dit non, ma maman ne fait pas ça. Tu vas te planter. On aime un peu cette voix-là. Mais elle est là. On ne la contrôle pas tout le temps, mais il faut la laisser de côté. Souvent, juste d'écrire ce que tu te répètes dans ta tête. Écris-le juste une fois. On ne veut pas trop y penser. Mais d'écrire dans un cahier. Je veux me remettre en forme, je veux m'aimer, mais j'ai peur de lâcher après deux semaines. Je vais donner un exemple sur la remise en forme. Ça peut être sur n'importe quoi. J'ai peur de manquer d'argent, j'ai peur de me faire laisser, j'ai peur de ne pas réussir mon examen. Je ne m'aime pas, je ne me trouve pas belle. Toutes ces choses qui ne sont pas belles, switch-les. Crée-toi des affirmations en transformant complètement ce mot-là, cette phrase-là. Ici, je reprends ma première phrase. J'ai peur de lâcher, je veux me remettre en forme, mais j'ai tendance à lâcher après deux semaines. Tu te refais une phrase et tu te dis, je me respecte assez pour ne pas... Non, pas un négatif. Une fois qu'il n'y a pas de négation. Ok, on va recommencer. Tu pourrais formuler ça. Moi, la syntaxe, c'est terrible. Je fais de mon mieux. De toute façon, je me choisis, je me respecte assez pour continuer de prendre soin de moi. Apprécier mon processus, même si ça prend plus de temps que je veux. Ou genre, je m'aime. Tout simplement. Tu te trouves, tu ne t'aimes pas, je m'aime. Je m'accorde du temps parce que je me respecte. En tout cas, tu peux aller voir sur Pinterest. Je n'ai pas mes affirmations devant moi. Je pourrais t'en nommer une couple. Je l'ai vu sur mon site. Je m'en étais créé une couple. Ce n'est pas grand chose. Mais c'est vraiment quelque chose que j'aime faire. Ce n'est pas le genre de chose que tu fais une fois et c'est réglé. Il faut répéter pour que ton cerveau assimile ça. Il y a des affaires aussi. Tu peux aller voir Joe Dispenza sur Youtube. Il publie des trucs d'hypnose dans le sommeil. Ça raconte ça de ton cerveau. Tu peux aller voir des affirmations sur Youtube. Pendant la nuit, tu mets ça et ton cerveau les entend. En tout cas, je trouve ça malade ces affaires-là. Je ne suis pas une pro. Je ne te parle pas de ça. Tu pourrais t'informer là-dessus. Je sais que ça existe. Je m'étais fait une petite désaffirmation. Je m'ai fait confiance. Je crois en mes capacités. Je suis en train de grandir. Je suis belle. Je m'aime et je suis fière de moi. Je travaille sur mes objectifs pour être la femme épanouie que je mérite d'être. Me prioriser m'aide à prendre soin des gens qui m'entourent. C'est vraiment de reconditionner ton cerveau à ce que tu veux. Ce n'est pas vrai. C'est d'identifier tes croyances limitantes. Je ferais un podcast là-dessus. Si tu veux, tu pourrais me le dire. Si jamais tu veux que je fasse un podcast là-dessus sur les croyances limitantes et comment reconditionner ton cerveau à ça. Ça pourrait être bien. Je me choisis tous les jours. Si tu manques de temps et que tu n'as jamais le temps pour moi. Non, non, non. J'ai du temps pour moi. Je vais prendre le temps. Si j'ai des petites phrases que, tranquillement, pas vite, ton cerveau va faire ok. Tout ce que je crois, ce n'est pas la réalité. Je mérite de m'aimer. Je mérite de me donner du respect. Ça commence avec la manière que tu parles. Les affirmations, je trouve que c'est un bel outil. Je m'essaye de créer une liste dans mon cahier. Mon cahier est ouvert sur ma table de chevet tout le temps. Je les lis matin et soir. C'est sûr que des fois, je les manque. Je ne le fais pas tous les jours. Je ne suis pas parfaite. Mais je trouve que c'est vraiment important de le faire. Si tu as tendance à oublier, tu te mets des gosses, tu les mets dans ton tiroir, tu les retrouves un an plus tard. Ce n'est pas ça le but. Si tu veux créer des changements dans ta vie, fais les actions pour. Tu pourrais écrire ça dans un cahier et le mettre sur ta table de salon, ta table de cuisine, sur ton bureau. Tu pourrais mettre un timer pour le faire à chaque trou dans ton ordre de dîner. Tu as compris le principe. Je pense que tu le fais un peu quand tu veux. Mais de le faire en répétition, instantanément, ça nous met dans un bon mood. On se sent plus confiante pour de vrai. Moi, je vois vraiment une différence. Ça me fait vraiment du bien à chaque fois. C'est pas mal ça, je pense, que j'avais envie de te dire aujourd'hui. Tu es capable de tellement plus que ce que tu penses. C'est une phrase que j'aime répéter tout le temps. C'est vrai. Souvent, on se limite beaucoup. Je pense que notre langage, nos pensées peuvent vraiment créer notre réalité. Ça part avec nous-mêmes. Fais ce travail-là. Je te dis que tu vas voir une grosse différence dans ton quotidien. Si tu remarques que personne ne te respecte, que les gens disent des choses de toi. Mais toi, qu'est-ce que tu dis de toi-même? Il suffit de redéfinir qui tu es et qui tu veux être. De ne pas laisser les gens piler dessus. Moi, on m'a souvent répété. « T'es jeune, t'as rien à m'en prendre. » À quel point ce n'est pas vrai. C'est quelque chose que je m'étais mis en tête. À chaque fois que j'embarque sur un sujet, je suis comme « je vais faire un épisode là-dessus. » Je vais faire un épisode là-dessus, by the way. L'âge, ce n'est pas une limite. Je vais faire ça. Je m'adresse au Gen Z, mais pas juste au Gen Z. Je sais qu'il y a sûrement des gens qui ne sont pas Gen Z qui m'écoutent. Je veux qu'on brise cette barrière de l'âge. Je vais finir ça parce que je m'enligne sur des nouveaux sujets que je veux aborder plus en profondeur. Je ne vais pas les dire en surface, mais c'est ça. Je t'invite à faire ta liste d'affirmations. J'aimerais tellement que tu me l'envoies. Si tu veux la faire et me l'envoyer, je trouverais ça vraiment utile. Si tu as des questions ou que tu veux qu'on continue la conversation, ou qu'on aille en plus en profondeur, viens m'écrire sur Instagram. Ça va me faire plaisir. Reste là parce que si on est dans la première semaine du lancement, j'ai un concours vraiment insane que je fais pour ton support, pour te remercier, etc. Reste là parce que j'annonce ça à l'instant. Un gros merci de ton écoute, full love, et on se jase dans un prochain épisode. Bye bye.