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Te triomphe final de l'amour de Dieu

Te triomphe final de l'amour de Dieu

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la revolte de lucifer et chute de nos premier parents

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¡Ay! ¡Yo quiero, yo quiero vivir! Et maintenant, chers amis, chers auditeurs, nous allons continuer avec notre série d'études sur la parole de Dieu. Et la semaine dernière, nous avons pu voir le triomphe, dans le livre, le triomphe final de l'amour de Dieu. Et maintenant, notez, lire ensemble les chapitres 1 et 2. Et maintenant, aujourd'hui, nous allons voir les conséquences de la rébellion. Chapitre 3. Conséquences de la rébellion. Au milieu du jardin, à proximité de l'arbre de vie, il y avait l'arbre de la connaissance du bien et du mal, qui devait servir à éprouver l'obéissance, la foi et l'amour de nos premiers parents. Le Seigneur leur ordonna de ne pas en manger ni de le toucher, sinon ils mourraient. Il leur dit qu'ils pourraient manger libre du fruit de l'arbre, de tous les arbres, mais qu'ils ne pouvaient sous peine de mort goûter du fruit de cet arbre-là. Lorsqu'Adam et Ève furent placés dans le paradis terrestre, ils avaient tout ce qu'ils désiraient pour être heureux. Mais selon ces desseins pleins de sagesse, le Très-Rend voulut mettre leur fidélité à l'épreuve, avant qu'ils puissent être considérés comme définitivement hors de danger. Ils pouvaient jouir de sa faveur, ils s'entretenaient avec lui et lui avec eux. Cependant, le Seigneur ne mit pas le mal hors de leur portée. S'ils passaient cette épreuve avec succès, ils bénéficeraient en permanence de la faveur de Dieu et des anges du ciel. Satan fut subris de la nouvelle condition dans laquelle il se trouvait. Son bonheur avait disparu. Il considéra les anges qui, jusque-là, avaient été heureux comme lui, mais qui avaient été chassés du ciel à sa suite. Avant leur chute, aucune ombre de mécontentement ne venait assombrir leur parfait bonheur. Maintenant, tout semblait avoir changé. Les visages qui réflétaient auparavant l'image de leur Créateur étaient aujourd'hui manqués par la tristesse et le désespoir. L'esprit des discordes et des contestations régnait parmi eux. Avant leur révolte, il n'y avait rien de tout cela dans le ciel. Désormais, Satan pouvait constater les terribles résultats de sa rébellion. Il frémit à la pensée du devoir affronter l'avenir et la fin de ces choses. Il avait connu le temps où de joyeux chants de l'ourage étaient adressés à Dieu et à son Fils bien-aimé. Lucifer donc donnait le temps que tous les habitants du ciel s'unissaient à lui. Alors, le ciel tout entier retentissait de glorieux accords en l'honneur de Dieu et de son Fils. Mais maintenant, au lieu de ces doux accords, les paroles de couleur et des disputes parvenirent aux oreilles du grand chef rebelle. Que lui était-il arrivé ? N'est-ce qu'un horrible cauchemar ? Avait-il été réellement excursé du ciel ? Ses portes ne s'ouvriraient-elles jamais plus devant lui ? L'heure du culte d'adoration s'approche et les saints anges, resplendissants de lumière, se posternent devant le Père. Mais jamais plus Satan ne pourra unir sa voix au cœur céleste. Jamais plus il ne pourra s'incliner avec règle et respect en présence du Dieu éternel. S'il pouvait être à nouveau pur, fidèle et loyal, il renoncerait volontiers à ses prétentions au pouvoir. Mais il était perdu, désespérément perdu, à cause de son orgueilleuse rébellion. Bien plus, il avait incité d'autres anges à se révolter et les avait entraînés avec lui dans sa chute, eux qui n'avaient jamais mis en doute la volonté du ciel, ni refusé d'obéir à la loi des dieux jusqu'à ce qu'il les y ait poussés, en leur promettant qu'ils obtiendraient ainsi un plus grand nombre davantage, une liberté plus grande et plus glorieuse. C'est en recourant à de tels sophismes qu'il les avait trompés. Il portait désormais une responsabilité à laquelle il aurait bien voulu échapper. Voyant leur espoir anéanti, ces êtres célestes furent bouleversés. En effet, au lieu d'obtenir de plus grands bienfaits, ils souffraient des tristes conséquences de leur désobéissance et du mépris de la loi. Jamais plus les pauvres êtres ne seraient sous la bienveillance ou l'aide de Jésus-Christ. Jamais plus ils ne pourraient être touchés par l'amour profond et fervent, par la paix et la joie que la présence du Seigneur leur procurerait, et ils ne pourraient plus lui obéir de bon cœur et avec respect. Satan tremblait. En considérant son œuvre seule, il méditait sur le passé, sur le présent, et il réfléchissait au plan qu'il envisageait pour l'avenir. Si solide fut-il, son être tout entier était ébranlé comme par une tempête. Un ange du ciel passa devant lui. Satan l'appela et le supplia d'obtenir en sa faveur une entrevue avec Jésus. Celle-ci lui fut accordée. Il dit alors au Fils de Dieu qu'il se répantait de sa révolte et souhaitait obtenir de nouveau la faveur divine. Il voulait reprendre la place que le trérot lui avait assignée auparavant et se soumettre à son autorité en pointe de sagesse. Voyant le désespoir de Satan, Jésus pleura. Cependant, il lui fit part de la volonté du Père, à savoir qu'il ne serait jamais plus admis au ciel, car sa présence serait un danger pour ses habitants. Si on lui permettait d'y entrer à nouveau, l'atmosphère du ciel tout entier serait troublée, car c'était lui qui était à l'origine du péché et de la rébellion, et il portait encore en lui les gènes de la révolte. Il n'avait eu aucun motif valable d'agir comme il l'avait fait, et il avait entraîné dans une ruine définitive non seulement lui-même, mais une multitude d'anges qui auraient continué à jouir du bonheur céleste s'ils étaient restés fidèles. La loi de Dieu pouvait condamner, mais elle ne pouvait pas pardonner. S'il était répenti de sa rébellion, ce n'était pas parce qu'il avait compris la bonté des dieux dont il avait abusé. Il était inconcevable que son amour pour Dieu ait grandi au point que, depuis sa chute, il était prêt à se soumettre volontiers et avec joie à la loi qu'il avait foulée aux pieds. Sa tristesse provenait du fait qu'il se voyait privé de la douce lumière du ciel, qu'il se sentait accablé par un sentiment de culpabilité, et qu'il était déçu de voir que ses espérances ne s'étaient pas réalisées. Se trouver dans la position de chef des exclus du ciel était toute autre chose que d'être honoré du ciel. La perte de tous les privilèges célestes lui paraissait trop lourde à supporter. C'est pour cela qu'il désirait que ses privilèges lui soient rendus. En réalité, ce renversement complet de situation n'avait pas renforcé son amour pour le Très-Haut, ni pour sa loi sage et juste. Quand Satan fut pleinement convaincu qu'il lui était possible de rentrer à nouveau dans la faveur de Dieu, il fit preuve d'une méchanceté et d'une haine plus farouches que jamais. Le Seigneur savait qu'une telle rébellion ne se restera pas sans lendemain. Il savait que l'adversaire trouverait le moyen de nuire aux habitants du ciel et de montrer son mépris envers l'autorité divine. Puisqu'il lui était interdit de franchir les portes du ciel, il se tiendrait sur le seuil même pour provoquer les anges et leur chercher querelles tandis qu'ils entraient et sortaient. De plus, il s'efforcerait de tuer le bonheur d'Adam et d'Ève. Il ferait tout pour les pousser à se révolter, sachant que cela causerait beaucoup de tristesse parmi les êtres célestes. Conspiration contre la famille, contre la famille humaine Les acolytes de Satan cherchaient leur chef, celui-ci sur énerve de défi. Leur révélat son plan. Arraché à Dieu, le noble Adam et Ève s'accompagnaient. S'ils pouvaient les inciter d'une manière ou d'une autre à désobéir, Dieu prendrait des mesures pour leur pardonner. Et, par conséquent, lui-même et tous les anges déchus seraient en droit de bénéficier, comme eux, de la miséricorde divine. Mais si son plan échouait, Satan et ses suppôts s'uniraient à Adam et Ève car, ayant transgressé la loi des dieux, ceux-ci seraient, comme eux, l'objet de sa coulère. Leur transgression les placerait ainsi en état de révolte, et les anges déchus pourraient, avec Adam et Ève, prendre possession du jardin d'Éden et y élire domicile. Si nos premiers parents pouvaient avoir de nouveaux accès à l'arbre de vie, leur force deviendrait égale à celle de ces anges, pensaient-ils, et le Seigneur lui-même ne pourrait plus les enchasser. Satan confiera avec ses anges, mais tous ne furent pas immédiatement d'accord pour mettre en exécution ce plan hasardeux et terrible. Il leur dit qu'il ne confierait à aucun d'entre eux le soin d'assurer sa réalisation, parce qu'ils se croyaient être les seuls à posséder la sagesse nécessaire pour mener à bien pareilles entreprises. Les chefs rebelles voulaient qu'ils réfléchissent à la question, tandis que, de son côté, ils se retiraient pour mettre au point son plan. Ils essayaient de les persuader qu'il n'y avait pas d'autre issue. S'ils s'échouaient, tout espoir de réintégrer le ciel et tout autre partie de la création de Dieu serait définitivement perdu. Satan resta seul pour élaborer les plans qui devaient provoquer la chute d'Adam et d'Ève. Ils craignaient que ces décès ne puissent se réaliser, même s'ils arrivaient à pousser Adam et Ève à désobéir au commandement de Dieu et à devenir ainsi des transgresseurs de sa loi. Mais, qu'en retour, s'ils n'en obtiennent aucun avantage, sa condition ne serait nullement améliorée, et sa culpabilité serait accrue. Ils frémit en pensant qu'ils plongeraient le sein et eux recoupent dans la tristesse et le remords dont ils souffraient lui-même maintenant. Satan tarissait et déçit, tantôt déterminé, tantôt hésitant. Quant à ses anges, ils le cherchaient, lui, leur chef, car ils voulaient lui faire part de leur décision. Ils étaient prêts à faire cause commune avec lui pour exécuter son plan, dont il assumerait les conséquences et la responsabilité. Satan réagit contre eux, ses sentiments de désespoir et de faiblesse. Et en tant que chef, il s'arma de courage afin d'affronter la situation et de faire tout ce qui était en son pouvoir pour défier l'autorité des dieux et de son fils. Il mit ses anges au courant de son plan. S'il s'approchait ouvertement d'Adam et d'Ève et formulait des griefs contre le Fils de Dieu, ils ne l'écouteraient pas et seraient prêts à refuter ses accusations. S'il essayait de leur en épouser par son pouvoir, lui, un ange occupant de fraîches dates, un poste d'autorité, il ne réussirait pas davantage. Aussi jugea-t-il que la ruse et la super chérie accompliraient ce que ni la force ni la puissance ne pourraient obtenir. Adam et Ève sont avertis. Dieu convoqua les habitants du ciel. Pour prendre des mesures afin de conjurer le mal qui y menaçait, il fut décidé que les anges se rendraient dans le jardin des bêtes et mettraient Adam en garde contre l'ennemi. Deux anges furent donc dépêchés auprès de nos premiers parents. Le Saint-Couple les reçut avec une joie candide, exprimant sa reconnaissance envers le Créateur qui lui avait si généreusement produit sa beauté. L'homme et sa femme pouvaient jouir de tout ce qui était beau et agréable, et toutes les choses semblables parfaitement adaptées à leurs besoins. Ils appréciaient par-dessus tout la compagnie du Fils de Dieu et de ses anges, car ils avaient tant à leur dire sur l'esplendeur de la nature qu'ils découvraient mieux chaque jour dans leurs merveilleuses demeures et dénigres. Tant de questions à leur poser concernant certains points qu'ils ne pouvaient pas comprendre flênement. Avec bonté et amour, les anges leur dispensaient les enseignements dont ils avaient besoin. Ils leur firent également le triste récit de la révolte de Lucifer dans le ciel et de sa chute. Ils leur indiquaient clairement que l'arbre de la connaissance du bien et du mal qui était au milieu du jardin devait servir de preuve de leur obéissance et de leur amour envers Dieu. Les six anges pouvaient conserver leurs privilèges et leur bonheur à condition qu'ils obéissent et il en était de même pour eux. Adam et Ève pouvaient soit obéir à la loi de Dieu et jouir d'un bonheur ineffable, soit désobéir et en conséquence perdre leurs privilèges et être plongés dans le désespoir. Les infidèles dirent à Adam et Ève que Dieu ne les forcerait pas à obéir, qu'il leur laisserait la possibilité d'agir contre sa volonté, qu'ils étaient des êtres dotés d'une nature morale, donc libres d'obéir ou de désobéir. Présentement, le Seigneur avait estimé de voir leur imposer une seule interdiction. S'ils désobéissaient à cet arbre, ils mourraient certainement. Les êtres célestes dirent aussi à nos premiers parents que le chef des anges, celui qui venait immédiatement après Jésus, avait refusé d'obéir à la loi destinée à gouverner les habitants du ciel. Cette révolte avait fait éclater une guerre dans le ciel et les rebelles en avaient été expulsés. Tout ange qui s'était rallié à Satan, en doutant de l'autorité du Très-Haut, avait été chassé du ciel, et l'adversaire déçu était désormais opposé à tout ce qui intéressait la cause de Dieu et celle de son Fils bien-aimé. Ils dirent à Adam et Ève que Satan avait l'intention de leur faire du mal, et qu'ils devaient être sur leurs gardes car ils risquaient de rencontrer le grand adversaire. Tant qu'ils obéiraient aux ordres divines, l'ennemi ne pourrait pas leur nuire et, s'il le fallait, tous les anges du ciel viendraient à leur secours pour les préserver du danger. Mais ils désobéissaient aux ordres du Créateur. Satan aurait le pouvoir de les tourmenter, de les troubler et de les confondre. S'ils demeuraient fermes devant l'insinuation du diable, ils étaient en sécurité comme les anges du ciel. Mais s'ils cédaient aux tentateurs, Dieu, qui n'avait pas épanoui les anges malgré leur position élevée, ne les épanouirait pas non plus. Ils devraient subir la peine de leur faute, car la loi divine est aussi sacrée que Dieu lui-même. Et il exige de tous les habitants du ciel et de la terre une obéissance sérieuse. Les anges avertirent à Eve du danger auquel elle s'exposait si, tandis qu'elle vainquait à ses occupations. Elle se séparait de son mari et rencontrait l'adversaire. Séparés l'un de l'autre, l'homme et sa femme couraient plus le danger que s'ils restaient ensemble. Les anges leur recommandaient de suivre fidèlement les instructions divines concernant l'arbre de la connaissance, car leur sécurité résidait dans une obéissance parfaite et l'ennemi ne pourrait alors nullement les tromper. Dieu ne permettrait pas que Satan assaille constamment le saint couple de ses tentations. Ce n'est qu'auprès de l'arbre de la connaissance du bien et du mal que le grand adversaire pouvait s'approcher d'eux. Adam et Eve assuraient les anges qu'ils ne désobéiraient jamais à l'ordre explicite de Dieu, car ils éprouvaient le plus grand plaisir à faire sa volonté. Les anges se joignirent à eux pour faire entendre les scènes harmonies d'une musique mélodieuse, et tandis que la Zune s'élevait au-dessus du paradis des dieux, Satan entendait ses accents de joyeuse adoration destinée au père et à son fils. A l'ouïe de ses chants, sa jalousie, sa haine et sa méchanceté furent plus vives que jamais, et il suggéra à ses suppôts de citer Adam et Eve à désobéir, afin que la colère de Dieu atteigne ceux-ci, et que leur Zune de l'ourage se change en paroles de révolte et de malédiction envers le Créateur. Et si, chers auditeurs, chers amis, cet ennemi farouche va provoquer nos premiers parents à se révolter. Et maintenant, pour la suite, à la prochaine. C'était là notre série d'émissions « Que le Seigneur vous bénisse ». Méditez pendant que vous entendez cet audio « Que le Seigneur vous bénisse ». Merci.

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