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INSUBMERSIBLE 5 - It's enough if it's the best you can do

INSUBMERSIBLE 5 - It's enough if it's the best you can do

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This is the 5th episode of the podcast "Insubmersible" where the host shares the reality of entrepreneurship and provides keys to success. The host emphasizes the importance of giving your best each day and not making excuses. He discusses the philosophy of success and the need for the right mindset, attitude, and actions. He encourages listeners to learn from successful people and to evaluate their daily efforts towards their goals. The host also shares personal stories and updates on his own entrepreneurial journey. Les amis, c'est l'heure de l'épisode 5 de votre dose d'insubmersibilité. Bienvenue dans Insubmersible, le podcast où je vous partage la réalité de l'entrepreneuriat, celle qui est loin du TikTok millionnaire de l'argent facile. On est là ensemble encore pour le temps nécessaire pour prendre notre dose d'insubmersibilité, de partager la dure réalité de l'entrepreneuriat et évidemment, vous donner des clés pour réussir, continuer dans vos projets, accomplir vos rêves et bien sûr, surmonter toutes les difficultés, tous les obstacles que vous pouvez rencontrer tout au long de votre parcours que vous soyez entrepreneur ou que vous souhaitiez accomplir des grandes choses dans vos projets personnels comme professionnels. Je m'appelle Thomas Moufflard, je suis le fondateur de l'agence Lely de Studio, agence spécialisée dans la génération de prospects sur le web et on se retrouve ensemble pour ce cinquième épisode d'Insubmersible. J'ai beaucoup de choses à vous partager dans cet épisode. Les amis, du coup, je me suis carrément mis des notes un petit peu plus que d'habitude pour être sûr de ne rien oublier. Si j'oublie des choses, ce n'est pas grave, je vous les partagerai à l'épisode 6, 7 et plus, mais j'espère être assez exhaustif. Comme toujours, on va attaquer ce podcast en reprenant un petit peu les derniers concepts que vous avez vu ensemble, notamment les phrases du jour que je vous ai partagé dans les précédents épisodes. On a vu ensemble que ce qui compte avant tout, ce n'est pas la destination, c'est le voyage, dans nos voyages entrepreneuriaux, tous les projets qu'on souhaite monter. Ne jugez jamais le caractère d'une personne à la manière dont il célèbre la victoire, mais à ce qu'il fait lorsqu'il est de haut au mur, toujours s'inspirer des bonnes personnes très importants. A l'épisode 3, je vais vous expliquer que la douleur est temporaire, qu'il ne faut jamais abandonner les amis, abandonner n'est pas une option, c'est un terme que l'on a banni, qu'on a décidé de bannir ensemble à l'écoute de ce podcast, et lors de l'épisode précédent, ignore the naysayers, je vais vous encourager à vraiment vous détacher du regard des autres, sur toutes les personnes qui vont dénigrer ce que vous faites et vous donner des arguments qui ne sont absolument pas rationnels pour vous donner envie d'arrêter, vous vous décourager, vous rabaisser, on s'en fiche de ces personnes, sont contre vous même, on est là pour réussir, et évidemment, il y a des personnes qui seront là pour nous rabaisser, il y en aura un paquet. Cette semaine, je vais vous partager une phrase qui, je pense, est une clé de réussite personnelle à tous les étages, donc j'ai hâte de vous en parler. Comme d'hab, je vous partagerai un petit peu toute ma pensée autour de cette phrase, parsommer d'exemples de ma vie personnelle, professionnelle, et évidemment de personnes qui m'inspirent, ou d'histoires que j'aimerais vous partager, et évidemment, on repassera sur ma vie d'entrepreneur, de CIO à la tête de l'Estudio, avec les actus du moment, mes questions, mes craintes, et ce que je suis en train de construire actuellement, pour vous partager aussi ce qui se passe de mon côté. Allez, c'est parti pour l'épisode 5, et aujourd'hui, j'ai envie de vous donner une phrase que j'apprécie particulièrement, comme toujours, qui nous vient de Jim Rohn, en tout cas, à ce que je sache, qui, dans sa philosophie de la réussite, nous enseigne 5 clés pour être successful, et notamment sur la partie activité, ce que l'on fait au quotidien. La question est, en fait, à quel moment je peux être satisfait de ce que je fais au quotidien ? Eh bien, lui, nous répond, « It's enough if it's the best you can do ». On sait que c'est suffisant si on a donné le meilleur de nous-mêmes dans l'exécution de cette tâche. Et ça, j'adore cette phrase, puisque finalement, ça remet l'église au centre du village, puisque, en fait, chacun est limité par ce qu'il peut faire au maximum au quotidien. Et j'adore cette phrase, parce que souvent, on va se dire, non, mais je ne peux pas faire ça, ou je regarde cette personne-là, lui, il est né au bon endroit, il a eu la bonne éducation, il a eu cette chance, ok, ouais, c'est fin, mais toi, au quotidien, est-ce que tu, au-delà de ça, est-ce que, ce n'est pas des fausses excuses tout ça, est-ce que, dans l'ambition que tu peux avoir au quotidien pour atteindre tes objectifs, est-ce que tu donnes vraiment le maximum que tu peux chaque jour ? Je reprends une des phrases que j'avais entendue récemment dans un podcast, il me semble que c'était Oussama Ammar qui se faisait interviewer, un personnage sulfureux, mais que j'apprécie beaucoup, et il disait, ouais, tout le monde est obsédé par faire des choses incroyables dans sa vie, mais personne n'est obsédé à faire des choses incroyables dans sa journée. Les amis, c'est la clé, chaque jour, il faut que vous donniez le meilleur de vous-même et c'est ce que nous enseigne notre cher Jim Rohn, c'est qu'on ne peut être satisfait de soi et on peut être, entre guillemets, on peut se coucher avec satisfaction que si on sait que, dans la journée, on a fait le meilleur, on a donné le meilleur de ce qu'on était capable de faire, et ça, je pense que c'est une bonne philosophie. Au lieu de se chercher des fausses excuses, j'ai pas accès à ça, etc., c'est d'évaluer chaque journée et de se dire, ok, est-ce que je suis fier de moi, est-ce que j'ai vraiment le sentiment qu'aujourd'hui, ok, j'ai pas atteint mes objectifs, je suis encore loin de mon but, j'ai eu des échecs, j'ai fait des erreurs, mais au fond, au fond de vous, ego mis à part, est-ce que vous avez le sentiment d'avoir donné tout ce que vous pouviez dans la journée pour atteindre vos objectifs ? Et ça, c'est évidemment un travail qui est hyper intéressant déjà parce que ça vous force à ne pas vous mentir à vous-même, d'être franc avec vous-même, personne ne sera là pour regarder si vous faites bien le travail, parce que de toute façon, c'est un débat entre vous et vous-même uniquement. Je peux vous garantir que quand vous vous regardez à la troisième personne le soir et que vous dites, ok, aujourd'hui, j'ai fait ça, Thomas, il a fait ça, Thomas, il a fait ça, et en fait, tiens, à ce moment-là, en vrai, j'ai fait le lâche, tiens, je suis pas allé à ce meeting parce que je me suis trouvé une fausse excuse, parce que je me suis dit que j'avais pas le temps, mais en fait, je sais que j'avais le temps, tiens, j'ai pas pris le temps de lire cet article que je m'étais mis en tout doux obligatoire aujourd'hui, je me suis menti à moi-même, comme quoi j'avais pas le temps, j'étais fatigué, je l'aurais bâclé, j'aurais pas bien lu, etc., etc., tout ça, on sait que c'est des pièges que notre cerveau nous tend, perpétuellement, et avoir la maturité d'esprit et aussi le courage de se dire que, ok, sur cette journée particulière, j'ai pas donné le max de ce que je pouvais faire et comment je peux faire pour que demain, soit le cas, c'est comme ça que, globalement, on va devenir insubmersible des amis puisque finalement, quand on donne le meilleur de nous-mêmes tous les jours, il n'y a pas de raison que l'on n'attienne pas, dans un temps raisonnable, nos objectifs et nos rêves. Alors, pour revenir sur le contexte un peu de cette phrase, c'est Gene Rohn, qui est un entrepreneur américain, un peu gourou, j'ai envie de vous dire, des gourous de notre époque, notamment Anthony Robbins, qui nous partage sa philosophie du succès. Il explique qu'il y a cinq piliers à cette philosophie du succès. Déjà, premier pilier, tout simplement, la philosophie. Quelle mentalité on va adopter au quotidien pour réussir ? Il fait la différence entre la philosophie des pauvres, entre guillemets, et des riches. Je ne saurais aussi bien résumer ce qu'il explique, donc je vous encourage à regarder sa vidéo que je mettrai d'ailleurs, je pense, dans la description de ce podcast. Donc, adoptez la bonne philosophie déjà pour réussir. Adoptez une philosophie de la réussite. Tout ce que j'essaie de partager dans ce podcast, inspirez-vous des bonnes personnes. C'est quoi la philosophie des personnes que vous admirez ? Et copiez-les, c'est super important. Une fois que vous avez la bonne philosophie, il faut que vous ayez la bonne attitude, les mecs. C'est bien de se dire « Ok, j'ai envie de réussir, je m'inspire de x, y, personne, mais bon, après, il faut y aller. Il faut avoir la bonne attitude. » C'est notamment déjà la bonne attitude à propos du passé. Une des choses qui peut nous freiner au quotidien, c'est de subir notre passé. On a tous eu des difficultés dans la vie. Je pense que plus on avance dans la vie, plus c'est évident que la probabilité qu'on soit pris des claques est élevée, et il ne faut pas que ça nous freine. Et c'est ce qu'explique d'ailleurs ce bon vieux J-Morgan, c'est qu'il nous dit « Ok, tu as eu des difficultés dans ta vie, peut-être plus que la moyenne, toi qui m'écoutes. Mais en vrai, c'est à toi de décider ce que tu fais avec ça. Soit tu te plains sur ton sort, tu n'arrives pas à passer au-delà de ces difficultés, et tant pis pour toi. Soit tu essaies de trouver le positif à ces difficultés, ce que j'expliquais avec la logique de pain is temporary, et tu essaies d'aller au-delà de ça. Et tu vas vers cette mentalité, cette philosophie de winner, malgré toutes les difficultés qui t'arrivent. Et ça, c'est vraiment la bonne attitude. C'est une philosophie assez stoïcienne de te dire que tu n'as pas en contrôle, entre guillemets, ce qui t'arrive, c'est indépendant souvent de ta personne. Par contre, toi, tu as le contrôle sur comment tu interprètes les événements qui t'arrivent, et c'est à toi d'en faire quelque chose, et évidemment, de positif. Donc ça, c'est la philosophie, et ensuite, avoir la bonne attitude. Ensuite, évidemment, une fois que tu as la bonne philosophie et la bonne attitude, il faut que tu aies les bonnes actions. C'est le pilier activity de Jim Rohn. C'est, globalement, une fois que tu sais où est-ce que tu vas et comment tu vas interpréter les choses qui t'arrivent, c'est qu'est-ce que tu fais au quotidien pour obtenir ce que tu veux, quoi. C'est là où il nous sort cette fameuse phrase qui est, OK, en vrai, it's enough if it's the best you can do. Et il agrémente, d'ailleurs, cette philosophie avec une autre phrase que j'apprécie beaucoup, qui est, pour la partie activité, c'est comment tu vas mesurer tes résultats et être sûr que tu progresses, que tu avances, et que tu n'es pas non plus dans un marathon infini où tu n'attendras jamais tes goals, ce qui est, évidemment, lié à la notion de temps. Et une bonne phrase pour savoir si on est quand même sur la bonne pente et la bonne direction. Je vous le dis en anglais encore une fois. The challenge of time is to do measurable results in reasonable time. Donc, en gros, il faut qu'on soit capable de mesurer notre avancée, nos succès ou, en tout cas, nos progressions dans des délais de temps raisonnables. Et c'est pareil, c'est là, c'est ne pas se mentir à soi-même. Je ne sais pas, imaginons que vous avez un objectif cette année de perte de poids, d'accomplissements, de certaines choses. On peut prendre la perte de poids, c'est bien. Globalement, si vous dites, OK, sur trois mois, là, il faut que je perde, je ne sais pas, 5 kilos. OK, c'est mesurable, c'est achievable dans un temps raisonnable. Mais, en vrai, est-ce que c'est le max que vous pouvez faire, les mecs ? Est-ce que c'est le max que vous pouvez faire ? Vous voulez perdre 5 kilos, là. Évidemment, vous voulez rester à moins 5 kilos. Mais est-ce qu'en trois mois, soyez honnête avec vous ? Est-ce que vous ne pouvez pas être plus rapide ? Évidemment, vous pouvez être plus rapide. Vous pouvez faire un jeûne, une petite bouffée. Pendant 10 jours, vous allez perdre 5 kilos. Après, la question est, est-ce que sur trois mois, je ne vais pas les reprendre directement, parce que vous aurez tellement sevré votre corps pendant 10 jours, que finalement, est-ce que vous allez atteindre les résultats sur le long terme ? Donc, c'est tout un arbitrage entre, finalement, est-ce que vous faites le maximum au quotidien pour atteindre vos résultats ? Et évidemment, de manière intelligente et raisonnable, c'est important, raisonnable, dans le temps. Alors, raisonnable, c'est important parce qu'aller trop vite aussi, c'est le meilleur moyen d'exploser. N'oublions pas que, typiquement, l'entreprenariat, c'est un marathon, ce n'est pas un sprint. C'est un jeu infini. Donc, se tramer comme un idiot à faire un jeûne de 10 jours de suite pour perdre 5 kilos, c'est le meilleur moyen d'y reprendre les 10 jours après en se gavant de Big Mac et de Nutella. Tout ça pour vous dire, bref, soyez, en tout cas, vos actions doivent refléter vers où vous souhaitez aller et ne vous mentez pas à vous-même. Soyez raisonnable, soyez objectif avec vous-même pour atteindre vos objectifs et surtout, surtout, surtout, mesurez-les dans un délai de temps raisonnable. Enfin, c'est le cinquième pilier que Jim Rohn nous donne, le lifestyle, how we choose to live. Jim Rohn nous incite à vraiment vivre de manière unique et encore une autre phrase que j'aime beaucoup de sa philosophie, c'est be happy with what you have while you pursue what you want. C'est aussi cette partie lifestyle, certes c'est dur, mais il faut aussi apprécier encore une fois où on est, être grateful pour tout ce qu'on a au quotidien, ça fait partie de ce que je vous partageais à l'épisode 1, ce qui compte ce n'est pas forcément la destination, c'est aussi le voyage, d'apprécier le moment présent, les difficultés comme les réussites de la vie, mais ne jamais perdre de vue son objectif et évidemment y aller d'une manière unique, la manière qui nous correspond, on s'en fiche de la pensée mainstream, on s'en fiche de ce que pensent les autres, il faut qu'on trouve notre manière de vie unique à nous-mêmes et encore une fois ça fait écho à ce que je vous partageais à l'épisode 4 Ignorance don't make sense. Bref, une super vidéo avec comme point d'oeuvre encore une fois c'est est-ce qu'au quotidien on donne le meilleur de nous-mêmes et ça c'est vraiment une philosophie que je vous encourage à appliquer au quotidien pour tout un tas de choses et encore une fois j'ai beaucoup d'exemples à vous citer là-dessus pour vous donner envie d'appliquer cette philosophie au quotidien. Le premier exemple que j'aurais à vous partager qui est encore relié au sport et notamment à la musculation, vous allez me dire que je tourne en rond dans mes exemples mais je pense que c'est quand même une très bonne philosophie de vie le sport et la partie fitness, en tout cas je vous encourage à tester au moins un jour dans votre vie, enfin un jour, une année dans votre vie à vraiment vous y mettre à fond. Donc je reviens à mon exemple, je vais prendre l'exemple de Ronnie Coleman, je vous avais donné l'exemple de Tom Platz qui était un bodybuilder des années 80, là on va avancer un peu dans le temps, c'est le plus grand bodybuilder je pense de l'histoire, surtout dans les années 2000 puisque c'est là où il a fait globalement tous ses succès, ce bon vieux Ronnie Coleman, alors si vous tapez Ronnie Coleman sur Google que vous ne connaissez pas, ce mec, c'est Sangoku Super Saiyan Kaf, on va passer sur son physique, il y en a qui vont avoir le hall-cœur en le voyant. Bon, il faut se dire que ce mec, au-delà du fait que c'est un génie bodybuilding, il avait cette mentalité de se dire ok, est-ce qu'au quotidien je donne le meilleur de moi-même pour atteindre l'objectif ? Et il y a une célèbre interview de lui, couplée à une performance assez incroyable où ce cher Ronnie Coleman nous fait des squats de 800 lbs, donc ça doit faire 350 kg en squat, il y a une vidéo de lui sur Youtube qui tourne, et il fait deux répétitions à globalement 800 lbs. Force de la nature, exceptionnel, achievement de malade d'arriver à faire ça, 350 kg sur vos épaules, bon courage les gars avant d'atteindre ce niveau-là. Et quelques années après, il a interviewé, je ne sais plus qui l'interview, et on lui reparle de cet exploit, et ce que j'adore, c'est que Ronnie répond par je déteste qu'on me parle de cet exemple, ça m'énerve, parce que bordel de merde, qu'est-ce que j'ai fait le lâche ce jour-là, qu'est-ce que j'ai fait le lâche ce jour-là. Alors évidemment la personne qui l'interview est un peu déprotensée, elle se dit mais qu'est-ce que tu racontes, je suis en train de te féliciter du truc et toi tu me dis que t'as fait le lâche, alors que t'as fait un truc que probablement aucune personne ne serait capable de répéter, en tout cas aucune personne dans le monde du bodybuilding. Et Ronnie Coleman répond, oui, j'ai fait le lâche ce jour-là, ce que mon cerveau, mon cerveau savait qu'il avait 4 répétitions, et j'ai fait le lâche parce que j'en ai fait que 2, et je me suis fait avoir par mon cerveau, alors que je sais au fond de moi sans me mentir que j'en avais 4, j'avais la force pour en faire 4. Et ce que ça veut dire c'est que tu vois tout de suite quand t'entends ça, que le mec il a cette mentalité de winner entre guillemets, et qu'il est toujours dans cette optique de se dire ok, est-ce qu'aujourd'hui j'ai fait le max de ce que j'aurais pu faire ? Dans d'autres circonstances, il aurait pu faire que ces 2 répétitions, parce qu'il avait la gastro, parce que je sais pas, il avait moins d'entraînement, et il t'aurait dit à ce podcast, ouais, franchement, ces 2 répétitions, j'en suis fier parce que Dieu sait que j'en ai chier pour les faire. Là, il est toujours à 2 répétitions, mais il savait qu'il avait la force d'en faire 4, et il n'était pas satisfait de lui-même. Mais ça les mecs, c'est la clé du succès, et c'est la clé de l'insubmersibilité sur le long terme. C'est évidemment, peu importe où vous en êtes, en vrai on s'en fout de se comparer à x ou y personne, c'est vous-même, avec vous-même, c'est un match entre vous et vous-même, est-ce qu'au quotidien vous donnez le meilleur de vous-même, peu importe ce que vous accomplissez. Et c'est là où c'est top, c'est-à-dire que souvent on peut se dire ok, mon rêve c'est de monter une équipe de 10 personnes, mon rêve c'est de faire une boîte à x milliers, millions d'euros, mon rêve c'est de faire 7 accomplissements sportifs, mon rêve c'est d'offrir telle ou telle chose à mes parents, à mes enfants, à ma femme, à mon mari. Bref, ok, certes, mais finalement, une fois que vous avez atteint ces 3 objectifs, est-ce que c'était vraiment le max que vous pouviez faire ? Ou est-ce que vous faites le lâche, vous n'êtes pas fixé les bons objectifs encore une fois, vous le pourriez faire beaucoup plus. Et ça, encore une fois, je vous encourage à adopter cette philosophie, à ne jamais faire le lâche. Et c'est ce qui va vous différencier de la masse, en tout cas sur le long terme, vous allez avoir un tel avantage, vous allez tellement creuser l'écart avec les autres, en ayant cette philosophie-ci, que ça va vous emmener sur Mars, comme c'est le cas pour notre cher Elon, un jour, en tout cas ce sera le cas, c'est évident, pour faire le lien avec les précédents épisodes. Un autre exemple que j'adore citer et qui me rappelle à quel point cette phrase vaut de l'or, c'est, encore une fois, j'en ai déjà parlé, notre cher David Goggins, toujours le même, le plus taré des tarés, il a fait une récente interview chez Andrew Huberman, qui a un podcast sur Youtube d'une qualité exceptionnelle, je vous encourage à la suite de l'écoute de ce podcast à consommer sans modération, sans modération. Et notre cher David Goggins, clairement partage sa vision de la vie au quotidien, puisqu'il faut comprendre que cette personne-là, quand vous regardez son lifestyle, c'est quelqu'un qui est multimillionnaire, il a accompli tout ce qui était possible d'accomplir, c'est un modèle de ténacité, de willpower, d'abdégation, de tout ce que vous voulez, et on peut se dire, ok, mais en fait, pourquoi tu continues ? Pourquoi tu continues ? Au démarrage du podcast, il explique qu'en ce moment, il est en train d'essayer d'apprendre, en train de passer des certifications pour devenir médecin, etc. Alors que le gars n'a aucun background médicalement parlant, c'est un Navy Seals à la base, enfin bref, rien à voir. Du coup, Andrew Uberman lui dit, mais en fait, pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu fais ça ? David lui répond, écoute, je sais que je peux le faire, je dois le faire, en fait je n'ai pas le choix, je veux donner le meilleur de moi-même au quotidien. Aujourd'hui, j'ai envie d'apporter ma patte au monde médical, et donc je dois le faire, je dois le faire. Oui, je dois lire ces bouquins, j'ai des problèmes de l'attention, je suis quelqu'un, lui-même se dit profondément débile, parce qu'il a été diagnostiqué avec des problèmes d'attention, etc. Et il te dit, mais ce n'est pas une excuse, parce que même si je suis débile, eh bien tous les matins, tous les matins, je relis la même page de ce bouquin de médecine jusqu'à ce que je l'ai appris que mon cerveau l'est retenu, et je vais montrer que même en étant débile, je vais pouvoir être, en gros, atteindre telle ou telle certification et apporter ma patte à tel ou tel domaine médical. Alors que le gars, il n'a pas à faire ça, effectivement, il est multimillionnaire, il n'a pas à faire ça. En même temps, c'est ça, cette winner mentality, c'est de se dire, je ne suis jamais confortable dans ce que je suis, je dois toujours continuer à progresser, et au quotidien, je dois donner le meilleur de moi-même. Et il explique aussi, et c'est quelque chose qui m'a beaucoup parlé, en tout cas qui m'a beaucoup inspiré quand je l'ai entendu, il nous dit, vous savez, j'ai la chance d'avoir réussi et de pouvoir côtoyer des personnes qui ont également admirablement réussi, qui sont très riches, qui ont monté des boîtes de malades, etc. Et les trois quarts, les trois quarts, ils vont toujours avoir ce sentiment quand je discute avec eux de manière franche, objective, ils vont quand même toujours me dire, ouais, mais il me manque un truc, il me manque un truc, je ne me sens pas pleinement accompli. Et le lien qu'il fait avec ça, c'est que c'est simplement que les gars, ils sont devenus confortables, en fait. Ok, ils ont fait, ils ont vendu leurs boîtes, ils ont fait trois, quatre exits, je ne sais pas, patati, patata. Mais finalement, au quotidien, ils ne donnent plus le max qu'ils pouvaient donner à l'époque où ils étaient à fond. Ça, ça finit toujours par nous rattraper, ça finit toujours par nous rattraper. Et ce que nous dit la chère David Loggin, c'est que, en fait, pour être pleinement accompli au quotidien et justement faire des choses fantastiques dans sa journée, il faut donner au quotidien le max de ce qu'on est capable de faire. Et ça, ça implique beaucoup de douleurs, beaucoup de douleurs au quotidien. Pour prendre l'exemple encore une fois de David, ben ouais, c'est se lever tôt à 5 heures du mat, aller faire son, je ne sais pas combien, je crois qu'il court 16 kilomètres tous les matins. Et il le dit dans le papier, il dit mais je déteste faire ça. C'est la pire chose. Les gens, ils pensent que j'adore courir, etc. Mais en fait, il n'y a pas un truc que je déteste plus au monde qu'aller courir. Mais je sais que je peux le faire. J'ai beau avoir les genoux pétés, j'ai eu plein de surgerie, etc. Tant que le matin, je me lève et je sais que je peux courir. Malgré la douleur, j'y vais. Alors, c'est une winner mentalité portée à l'extrême, mais c'est tellement inspirant et c'est tellement vrai que je ne peux que vous encourager à en tout cas prendre ce qu'il y a à prendre de ce cher David Goggins et vous inspirer de ça et vous dire ok, est-ce que je donne le meilleur de moi-même au quotidien ? C'est quoi les moments dans ma journée où j'ai fait le lâche, je suis allé sur Instagram, j'ai mangé ce croissant, cette sucrerie, etc. Ok, et essayez toujours de vous dire je peux faire mieux, je peux faire mieux, je peux faire mieux, je peux faire mieux. Ça, je peux vous dire, ça va vous rendre insubmersibles les mecs, ça va vous rendre tellement insubmersibles. En tout cas, David, merci pour ton wisdom là-dessus. C'est clairement des valeurs qui sont extrêmement respectables. Et pour continuer sur ce podcast, Uberman lui apporte aussi le wisdom qui est neuroscience puisqu'il est professeur de neurobiologie à Stanford. Il lui explique que d'un point de vue neuroscience, en fait, ta capacité à développer ce que les anglo-saxons appellent la willpower, la volonté en français, c'est ta résistance à la vie de manière générale, il faut que tu confrontes constamment ton cerveau à des choses que tu n'as pas envie de faire et qui sont difficiles. Et d'un point de vue neuroscience, neurobiologie, il explique que cette willpower, en fait, elle est ultra flexible et malléable, mais dans les deux sens. C'est-à-dire que plus tu confrontes au quotidien ta vie à des moments difficiles, des choses que tu n'as pas envie de faire, plus ta willpower augmente et la zone du cerveau qui est capable de driver cette willpower augmente. Mais au contraire, plus tu rentres dans des routines où globalement tu ne te fais plus mal, plus elle diminue et plus tu deviens un paillasson. Et ça, en vrai, on peut se le dire, c'est chiant. C'est chiant parce que ça ne veut pas dire que si tu t'es donné des mâles pendant 6 mois, Aditya Mehtarnan, tu vas avoir une willpower qui reste. Non, il faut l'entretenir au quotidien. Et si tu veux justement faire des choses exceptionnelles dans ta journée et atteindre ce objectif, tu es toujours obligé, constamment obligé de te bouger les fesses et de faire des choses que tu n'as pas envie de faire. Et ça, je pense que c'est malheureusement, heureusement, la dure réalité de notre condition humaine qui est qu'en vrai, si on veut réussir et on veut rester dans ce chemin du succès, il faut toujours se faire mal et que dès que tu arrêtes, tu vas avoir quand même au fond ce sentiment de vide ou qu'il te manque quelque chose. Et à la fois c'est bien parce que ça veut dire que même si jusqu'à présent tu ne t'es jamais bougé ou tu as trop tendance à faire le lâche, c'est up to you, ça ne dépend que de toi pour corriger le tir. Mais en même temps, ce n'est pas parce que tu as corrigé le tir pendant 6 mois, que tu as fait tous les efforts du monde, que le 7ème mois c'est ok, même si tu ne fais rien, tu peux rester dans cette mentalité là. Et ça, c'est bien parce qu'il n'y a pas plus d'objectif en fait. Le corps humain est bien fait. Donc, encore une fois, les amis, il faut se donner les chances de réussir, les moyens de réussir et ça, ça passe par savoir si on ne se ment pas à soi-même et si au quotidien on fait le max que l'on est capable de faire. Et pour vous donner des anecdotes un petit peu plus personnelles, au moment du Covid, j'étais allé, j'ai eu la chance d'avoir un frère qui est à Dubaï, donc c'était un peu le place to be au moment du Covid, j'ai pu passer 3 mois là-bas dans la 2ème partie du confinement sur 2021. Avant mon exode à mimisant que je vous racontais dans l'épisode précédent ou les épisodes passés. Et malgré le Covid, je me souviens, bon Dubaï c'est quand même plutôt cool, j'allais au sport tous les matins, les salles de sport étaient ouvertes, je connaissais ma passion pour le sport. Et je me souviens m'être dit que, en gros, j'étais assez 60 jours à Dubaï et j'ai fait du sport pendant 60 jours tous les jours. Et du coup, mon frère me voyait vivre au quotidien, vers la fin du voyage, du séjour entre guillemets, il s'est mis devant et il m'a dit, mais Thomas, il se passe quoi si tu ne vas pas ? Sincèrement, il se passe quoi ? Tu vas te buter à la salle de sport tous les matins, tu vas faire 1h, 1h30, parfois 2h. Mais en vrai, qu'est-ce qui se passe si demain tu te dis, ok fine, je n'y vais pas ? Je me souviens que je n'avais pas été trop capable de lui répondre, j'avais cette intention en moi que, en gros, si je n'y allais pas, j'étais déçu de moi-même. Ce n'était pas une question de j'y vais pour juste me muscler ou être en bonne santé, non, c'était beaucoup plus profond que ça. Mais en gros, est-ce que je fais l'âge ? En soi, je suis en bonne santé, je peux y aller. Ok, je suis fatigué, j'ai des ampoules aux mains, j'ai mal partout, j'ai des crampes et tout, mais en vrai, comme David, je peux y aller, je ne me suis pas cassé la main, à aucun moment je ne peux ne pas aller faire, enfin, je ne suis pas dans la condition physique fatale qui fait que je ne peux pas y aller, donc j'y vais. Et je n'avais pas été trop capable de lui répondre, même si j'avais ce gut feeling que c'était ce que je devais faire. Et encore une fois, en gagnant un peu en maturité, cette question de, il se passe quoi si je n'y vais pas, c'est juste que, en fait, si je n'y vais pas, je ne vais pas donner le meilleur de moi-même. Ok, ça ne va rien m'apporter, c'est sûr, d'un point de vue physique, bio, ça n'a rien changé. Mais par contre, d'un point de vue mentalité et ce que j'ai donné le meilleur de moi-même au quotidien, ça change tout, ça change absolument tout. Et c'est ce que je vous disais en introduction, c'est en gros, est-ce que le soir, tu rentres chez toi, tu fais le bidon de ta journée, est-ce que tu as cette objectivité de te dire, est-ce que j'ai fait le lâche aujourd'hui ou quand est-ce que j'ai fait le lâche ? Et du coup, pour te répondre mon cher Benjamin, mon frère adoré que j'aime, si je n'y allais pas, je te le réponds deux ans après, le soir, je me serais retrouvé à me dire, tu as fait le lâche aujourd'hui, tu aurais pu y aller. Et je n'aurais pas été satisfait et j'aurais eu ce manque de, encore une fois, de me dire, ok, je n'ai pas donné le meilleur de moi-même aujourd'hui, et patati patata, et j'aurais été déçu de moi. Peut-être que vous m'écoutez, vous me dites, complètement taré, stomache, complètement barge, mais sincèrement, je peux vous dire que c'est quelque chose qui me drive et ça vous rend beaucoup plus résilient au quotidien, de faire des choses comme ça, qui sont dures, fondamentalement dures, mais qui vous apportent beaucoup plus. J'en parlais aussi avec un de mes potes il y a quelque temps, et je lui disais, tu sais, te buter aussi au sport, c'est tellement dur, ça demande tellement de discipline, de willpower, qu'après tout semble facile. Les merdes du business, les merdes familiales, les merdes pro, perso, amoureuse, patati patata, en vrai, c'est tellement du bullshit. Vas-y, viens, lève-toi à 5h du mat' et va faire 12h de sport, essaie de buter, etc. Tous les jours, tous les jours, tous les jours, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il fasse froid, etc. Vas-y, fais-le, et tu vas avoir l'impact après sur le reste de ta journée de ce genre de choses. Tout paraît simple, quoi. Donc, personnellement, j'ai adopté cette philosophie, et j'ai quand même le sentiment que ça vous rend tellement plus fort au quotidien, et ça vous donne tellement de force pour avancer que je me devais de vous partager ce quotidien. Du coup, ce qui nous amène à comment vous pouvez appliquer ça, vous, de votre côté, si vous sentez que parfois vous faites le lâche, essayez de faire une liste des choses que vous détestez faire, que vous savez que vous devez le faire, mais que vous détestez le faire. J'ai fait, du coup, un peu l'exercice, avant de préparer ce podcast, 2-3 petites choses que je déteste faire, de mon côté. La douche froide, gelée le matin. Oh, qu'est-ce qu'elle fait chier, celle-là, sincèrement. Pour parler crûment, elle est dure, elle est dure. Mais justement, c'est ce qu'on veut. On veut travailler cette willpower. Tous les matins, je prends une douche glacée. Alors, ça fait un peu mindset, TikTok millionnaire, bullshit, patati patata, certes. Et pour le coup, ça marche, parce que commencer la journée par un truc que vous détestez faire, ça vous met quand même en condition pour avancer la journée derrière. Toujours au sport, pareil, après la séance, quand je fais du renforcement musculaire, du résistance training, etc., je termine toujours par 15 minutes de HIIT. Donc, c'est 15 minutes un peu en mode WOD, workout, crossfit, où je vais faire tout un enchaînement, tout un circuit de traction, dips, abdos, qui me fait monter dans les tours au niveau cardio. C'est le plus dur, sincèrement. Et je termine par ça. Et à chaque fin de séance, mon cerveau me fait toutes les excuses possibles, du type, « Non, mais t'as pas envie, t'as assez travaillé, t'es fatigué, vas-y, t'as pas le temps, en vrai, t'as ce meeting qui arrive, etc. » Ça, ça me fait trop rire, et donc du coup, j'essaie de combattre mon cerveau et je dis, « De toute façon, t'as pas le choix, gros, t'as pas le choix. T'as pas le choix, tu vas faire ces 15 minutes dures, là, à la fin, t'as plus envie, t'es fatigué, mais tu vas quand même le faire. » Ça, c'est des choses que je fais tous les jours, globalement, et que j'aime pas faire. Et après, j'ai plus des choses où j'essaie de casser mon rythme, globalement, au cours de la semaine. Chaque semaine, j'essaie de me lever au moins une fois par semaine, à 5 heures du mat, par principe. Peu importe l'heure à laquelle je me suis couché avant, et d'autant plus si je me suis couché tard, juste pour, encore une fois, mettre mon corps dans une situation où, en vrai, t'as juste envie de dormir. Vas-y, te laisse par là. Vas-y, tu te lèves, comme ça. Ce jour-là, tu t'es levé à 5 heures, tu te lèves. Et ça vous met dans des choses que vous avez vraiment pas envie de faire. Pareil, c'est de faire un jeûne de 24 heures, au moins une fois par semaine. Ça, c'est dur. Ça, c'est dur, parce que, du coup, toute la journée, surtout si vous avez fait du sport la veille ou que vous avez des journées qui sont longues, c'est ouf de voir à quel point ton cerveau, il va essayer de te trouver des excuses pour aller bouffer un truc ou te dire que t'as pas besoin de fatiguer ta récupération, ton truc, ton bidule. Ça, c'est, encore une fois, c'est très bon exercice pour faire des choses que vous avez pas envie de faire, mais qui renforce votre fameuse willpower. Des choses que je faisais avant, mais que là, pour le coup, je fais plus, pour justement des objectifs que je vous disais, en passant les 120 kg, garder un poids stable, j'allais faire du sport agent. Ça, c'est dur, faire du sport agent, surtout si vous faites de la muscu ou du resistance training, vous avez besoin d'avoir quand même de l'explosivité dans vos mouvements. Agent, vous avez juste zéro force, vous avez pas de sucre, votre corps, c'est pas, entre guillemets, une Rolls Royce, mais il faut y aller, et ça, carrément, ça travaille votre willpower. Et de temps en temps, je fais des keto-diets, donc je mange pas du tout de sucre, aucun sucre rapide, aucun sucre lent pendant 7 jours. Là, pareil, vous avez juste des piques, des fringales tout le temps, parce que votre corps, sans sucre, c'est dur, c'est très très dur, surtout si vous faites du sport à côté. Mais bon, tout ça encore, ce sont des petits hacks que je m'impose pour rester dans la zone et donner le meilleur de moi-même, pour rester insubmersible, renforcer ma willpower et ma résilience au quotidien, surtout quand on a des merdes à affronter. Alors ça, c'est des exemples de mon côté, qui sont très liés au sport, encore une fois, à la partie nutrition. A vous de trouver des choses qui vont vous apporter, qui vont vous permettre de renforcer votre willpower, que vous détestez faire, mais essayez d'en incorporer le plus régulièrement possible dans votre quotidien. Vous allez voir la différence. Et vous allez apprendre à vous observer à la troisième personne, à voir tout le moment où vous avez envie de faire le lâche. Et ce qui est intéressant, c'est de voir votre progression, pour le coup. Et là, dans ce que disait Jim Rohn, dans votre manière de valider vos résultats, dans des intervalles de temps rapides, vous allez le voir assez vite. Et vous allez aussi voir au début à quel point vous faites le lâche. Donc bref, ce sont des exercices d'introspection qui sont hyper intéressants et que je vous encourage à appliquer. Voilà les amis. Donc je vous redonne la phrase du jour. It's enough if it's the best you can do. Soyez les meilleurs, donnez le meilleur de vous-même au quotidien. Et je peux vous garantir que ça va vous permettre d'être des pas de beau insubmersibles et ne pas faire comme notre cher Titanic et ne pas sombrer. C'est l'heure des actus, après toutes ces choses que je vous ai partagées d'un point de vue phrase. Alors, la semaine dernière, je vous donnais un peu les objectifs de 2024. J'en ai déjà pré-atteint un, c'est cool. Je vais passer cette semaine les 120 kg dès le découché. Donc maintenant, il va falloir garder ce score et le conserver jusqu'à la semaine de l'éco-trail, puisque je disais que mon objectif de fou, c'était à la fois de maintenir une bonne condition musculaire pour garder cette force et d'aller faire mon 80 km avec mes deux frères, qu'on arrive tous les trois à la tour Eiffel, et tout ceci dans la même semaine. Donc là, il faut que je garde les 120 kg jusqu'à mi-mars, que je ne perde pas de poids, que je garde mon circuit training et qu'en même temps, je serai capable de boucler les 80 km. Clairement, ce sont des choses qui sont dures, qui me mettent à l'épreuve et qui me permettent d'être plus insubmersibles. Je me questionnais aussi sur quels étaient les gros objectifs de Lead Studio. Mes réflexions sont portées sur la création de contenu, sur évidemment aller trouver un nouvel associé qui sera le highlight de 2024. J'ai commencé à tourner les premiers épisodes de podcast sur la chaîne YouTube. J'ai rencontré des personnes qui sont formidables et qui travaillent dans notre secteur, dans la génération de prospects, mais qui sont des entrepreneurs à succès, des partenaires à succès. Donc je vous encourage à aller regarder la chaîne YouTube de Lead Studio si jamais vous exercez sur le marché du marketing digital, de la génération de prospects, etc. En tout cas, je commence mon aventure à aller rencontrer plus de personnes, à prendre le temps de parler du projet de Lead Studio. Donc c'est dans les rails. J'ai aussi la volonté aujourd'hui, dans les choses que je déteste faire et qu'il faut que je fasse, et qu'il faut que je continue à processiser ma boîte, notamment sur la partie sales et closing, et en tout cas, ce qui me concerne, sur la partie CRM et data cybersécurité. Donc là, j'ai quand même pour objectif, en 2024, de construire un vrai CRM pour Lead Studio sur tout le traitement de nos prospects, etc. Processiser toute la partie sales, closing. Chose que je déteste faire. Pourquoi ? Parce qu'en fait, ça ne rapporte absolument aucun résultat dans l'immédiat. J'adore aller monter des projets. Et en fait, c'est vrai que j'ai quand même beaucoup ce profil, si vous voulez, aventurier, aller toujours chercher des nouvelles idées, les implémenter, etc. Et plus prendre du recul, processiser, digérer les informations. Et typiquement, construire le paquebot, c'est des choses qui fondamentalement me font chier. Mais dans cette optique de, est-ce que je donne le meilleur de moi-même ? Je sais où je veux aller, je sais où je veux amener Lead Studio, etc. Il faut le faire. Il faut le faire. Donc là, dans les prochaines semaines, c'est de libérer globalement 30% de mon temps pour prendre du recul sur la structure de ma boîte, processer les choses, faire en sorte que mes équipes aient les outils pour réussir, qu'ils puissent démarcher les bons clients, les amener à convertir chez nous, leur donner les bons outils et surtout avoir la technologie pour croître, puisque ce qui nous a amenés ici ne nous amènera pas à l'étape suivante. Donc ça, ce sont globalement les projets du jour. Se remettre en question, se libérer du temps, se challenger, casser la routine, se mettre dans des positions difficiles, faire des choses que j'aime moins faire. Voilà, ça fait le lien, encore une fois, avec ce que je vous partageais sur la phrase du jour. Et j'espère y arriver en tout cas. Là, pour le coup, ne pas faire le lâche, ça va être un bon exercice pour moi au quotidien de me dire, OK, il faut que je prenne ces 30% de mon temps pour construire mes process. J'aurai toujours les bonnes excuses de, non, mais il y a le truc qui a pété, il faut que j'aille à ce rendez-vous-là, il faut que je lis cet article et tout. Non, il faut que je donne le meilleur de moi-même. Et donc, il faut que j'arrête de me trouver des excuses et que je prenne le temps de construire et de processiser mon entreprise. Voilà, les amis, pour les actus du jour. Sinon, vous pouvez retrouver toute la partie podcast, toute la partie contenu sur Lead Studio sur la chaîne YouTube. On a aussi pas mal avancé sur la partie Discord. L'idée, c'est de créer une vraie communauté autour de l'entrepreneuriat sur la partie, évidemment, génération de prospects, marketing digital. Si ce sont des sujets qui vous intéressent, je vous encourage vivement à rejoindre le Discord de Lead Studio. C'est gratuit. Je vais faire des events live sur le Discord pour répondre à vos questions, pour partager aussi des analyses de marché sur la génération de prospects, etc. Bref, être beaucoup plus au contact de vous qui m'écoutez. Donc, foncez, c'est gratuit et j'ai hâte de vous parler. De manière plus proche et de vous apporter le maximum par rapport à ma connaissance du marché et mon expérience. Voilà, les amis, pour cet épisode 5 du podcast insubmersible. J'espère que ça vous redonne encore une fois des clés de lecture pour progresser au quotidien, renforcer votre willpower et devenir de meilleures personnes. Encore une fois, on ne lâche rien. Le succès nous tend les bras. Soyons forts, soyons résilients. Abandonner n'est pas une option. On est tous ensemble dans ce bateau et continuons de travailler notre insubmersibilité. C'était Thomas pour Insubmersible et je vous dis à très vite pour l'épisode 6.

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