Uape

The speaker discusses various topics, including their responsibilities, the increase in capacity at a particular location, the need to push for further capacity increase, the closure and reopening of classes, transportation issues, and the decision-making process regarding capacity. They express frustration at the lack of bus availability and the resistance they face from the director regarding increasing capacity. However, they remain hopeful that the situation will improve and express their desire to stop the need for transportation altogether. J'ai tout. Pourquoi tu fais des conneries ? Je les jette après. J'ai tout à faire. Sinon je ne m'en sors pas. Il y a pas mal de gamins aussi ici. Il y a une deuxième petite fille identique au Chouchi. Identique ? Identique mais un peu plus petite. On a la caméra en bien marquée. La bonne nouvelle, c'est qu'ils vont augmenter un petit peu la capacité. C'est à 36 ans qu'ils vont augmenter la capacité. Au Chouchi ? Oui. Ils vont augmenter un tout petit peu la capacité de notre gamin. Je pousse derrière. Vous poussez pour augmenter ? Oui. On n'agit pas pour augmenter de 12. Pourquoi 12-20 ? Je ne comprends pas. Elle ne voulait pas. C'était la maltraitance. On n'a pas trouvé que c'était une bonne idée. C'est la directrice du prêt-de-colère. Non, c'est la directrice du sorbonneau. Et là, par contre, il y a... Je ne sais pas si c'est Nuri mais là, il y a une liste d'attente. Là, tu es tombé dans la liste d'attente où il y a un besoin. Un besoin. Et donc là, dans le sourcing, on a fait les tests et tout, elle va à 930 puces en bas. Ça devrait descendre à chose. Actuellement, je sens qu'il y a des ensembles de Shoshi, des 3-4 qui montent à midi, qui redescendent. Et c'est une jolie retour. Oui, oui. Je vais pouvoir activer mon kamaté aussi, parce qu'il est 30 m. Mais il y a toujours ça. C'est une idée, mais il y a encore. Donc là, il y a 9 classes qui vont rouvrir en bas. Et il y a toute une classe qui va fermer en bas. Donc il y a une classe 1-2-T qui va fermer en bas et qui va rouvrir ici. Ça veut dire que ça devrait éviter toujours ce déplacement. Moi, j'espère vraiment que le déplacement serait arrêté. C'est mon but. Ce qui devrait passer, c'est mes élèves. Et je suis touchée de planter, juste pour vous dire qu'on a la piscine. Donc, ils viennent le matin là. C'est 1 km, ils redescendent. Alors, moi, je ne suis pas au sport, mais à un moment donné, la journée, il pleut. 1 km, ils redescendent. Une demi-heure après, ils remontent à la piscine. Ils redescendent à midi. Ils remontent. Ils redescendent à midi. Ils remontent à la piscine. Et tout ça, il y a des bus. Alors, à un moment donné, elle a mis les bus. Mais nous, les enseignants, on fait quand même plein en disant qu'il y a certains jours, que c'est trop beau, que c'est bien. Mais non, que c'est bleu, leurs capes jaunes. Et puis, il n'y a plus rien qu'on pouvait plus. Il y a la piscine, il est bleu. Mais maintenant, tu me dis, il n'y a pas toujours de bus. Maintenant, c'est vraiment mis en place, cette histoire de navettes. Non, non, ils font comme ils veulent. C'est leur bus. C'est leur qui décide. C'est à leur niveau de transport, mais il n'y a plus de bus. Il y en a moins un. Et depuis qu'il a cassé, ils étaient plus sûrs de pouvoir avoir des navettes en bas. Donc, normalement, c'est un très, très long bus. Donc, ils ont une salle de rythmique qu'ils peuvent utiliser. Alors, on a des positions aussi pour courir un peu dans cette zone-là. Et puis, on fait plein le tour. Et puis, en tenue, il y a... Je ne sais pas comment, les copains. C'est le pseudo-service, parce qu'ils ont... Je ne sais pas, c'est vraiment... Bon, ils font ici à la cuisine, je crois. Oui, mais je crois qu'ils font beaucoup. Et du coup, ils sont obligés de... Je crois qu'il y a des gamins qui attendent le deuxième service. C'est petit. C'est devenu petit, en fait. C'est petit. Mais, au fond, il y a une espèce de fatalisme par rapport à la... au cerf-volant versus les locaux communaux. Si on veut l'autre, qu'on a vu maintenant. Ça veut dire que c'est... Bon, il y a un souci d'érectrice. On sache, ça, ça reste... Je t'enverrai tout le texte, si tu veux. C'est juste pour vous dire qu'il y a un souci d'érectrice. Ça reste... Je t'enverrai tout le texte, si tu veux. C'est juste pour que je puisse faire mon rapport. Donc, ça ne bouge pas d'ici. Et puis, ça ne va pas plus loin. Mais, au fond, tu voudrais augmenter la capacité, aujourd'hui. C'est une décision communale ou bien c'est une décision... purement à Géma ? Alors, la décision, elle est purement à Géma. Oui. Et puis, la décision, d'abord, l'initiatrice, c'est purement la direction du cerf-volant. D'accord, oui. La Géma... Qui doit répondre. Voilà, qui répond. Ça revient par le biais sur vous. Pas sur nous. Ça revient directement... La Géma répond à la direction du cerf-volant. Et puis, elle ouvre. La direction du cerf-volant ne pose pas la question si elle veut ouvrir ou pas. C'est nous qu'on lui dit on veut que tu ouvres parce qu'on estime que les locaux en bas sont suffisamment grands parce qu'on t'a mis à disposition. On a fait les travaux courts. On a fait toutes les lois. Il y a le volume, c'est bon. Il y a le volume. Il manquait une chiotte. On a fini la chiotte annuelle pour dire qu'il y a 4 chiottes parce que c'était normé. Oui. Et on a dit maintenant, tu nous rouvres encore quelques places. Voilà. Et puis elle dit, elle, c'est de rire. Non, il n'y a pas de besoin. On s'est dit, il n'y a pas de besoin. Ah. Donc, il y avait 24 chattes ouvertes en bas. Je lui ai dit, on fait les travaux. T'en ouvres 24 de plus. Elle dit, il n'y a pas de besoin. D'accord. Avec elle, tu... Elle te dit, tu ne remettras pas ça. Elle va. Ne bouge pas. Oui. Que tu saches.