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In the podcast "Réalité Amoureuse," Pati and Pitcha discuss relationship issues and share experiences to help listeners. They invite guests to share their experiences and encourage audience participation. In this episode, they discuss expectations and have two guests, Ezekiel and Juliane, who talk about their own journeys of self-discovery and finding their ambitions. They also discuss the difference between being ambitious and being a dreamer, and how social media can influence perceptions of success. Hello, bienvenue dans le podcast Réalité Amoureuse, moi c'est Pati et moi c'est Pitcha. Dans ce podcast, on va parler des différents problématiques qu'il peut y avoir dans un couple. Étant donné que c'est un sujet qui peut toucher tout le monde, on a trouvé intéressant de partager des expériences des uns et des autres afin de pouvoir aider les personnes qui nous écoutent. Dans ce podcast, nous allons également inviter différents profils qui partageront avec nous leurs expériences. On vous donne aussi la possibilité de participer, d'interagir avec nous par le biais de nos différents réseaux. Donc, n'hésitez pas à poser vos questions, à nous donner des suggestions, voire même à nous partager vos expériences. C'est parti pour un nouvel épisode. Aujourd'hui, on va faire un épisode sur les attentes. Et pour parler de ça, aujourd'hui, on aura deux invités, donc Ezekiel et Juliane. Bonjour. Bonjour. Alors, vous laissez vous présenter de manière très rapide. Ezekiel, salarié. Je fais de la danse derrière et c'est tout, franchement, rien de plus. T'as combien d'âge ? 28 ans. 28 ans, oui. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Gigi. J'ai 29 ans. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Juliane. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Gigi. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Juliane. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Juliane. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Juliane. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Juliane. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Juliane. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. Juliane. Et moi, c'est Juliane, a.k.a. 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Parce que j'ai capté ce qu'elle voulait dire quand elle a dit « on se rend pas à la tête » et tout. Non, moi, j'essaie de faire les choses. Et en vrai, c'est à 27 ans que j'ai pris conscience que je ne savais pas exactement ce que je voulais. Et là, je suis dessus. Je suis en plein dessus. Ça avance. D'ailleurs, dites-nous si vous pensez que c'est une génération plutôt ambitieuse ou une génération rêveuse. Pourquoi je dis rêveuse ? Parce qu'en gros, pour moi, quand on est ambitieux, on met des actions en place. On met les actions en place chaque jour pour pouvoir atteindre son objectif, son ambition. Mais rêveur, c'est « ah, j'aimerais bien faire ci, mais je ne suis pas prêt à payer le prix qu'il faut pour ça. » Et ça, pour moi, ça marche autant pour les projets, mais aussi pour le couple. Moi, je dirais 70-30. Dans le sens où 30% de personnes sont ambitieuses et 70% rêveurs. En vrai, on regarde les influenceurs, les danseurs, les chanteurs, tous les artistes qui révivent de leurs rêves. Comment on appelle ça ? Les entrepreneurs qui ont créé leurs entreprises jeunes. C'est des personnes ambitieuses. Il y en a de plus en plus. Et on le voit grâce au réseau et tout ça. Même grâce au réseau, les ambitieux révivent de leurs rêves. Et il y a les rêveurs qui voient les ambitieux et qui se disent « Ouais, moi aussi, je vais faire la même chose. » Parce que l'organisation, ce n'est pas forcément la même. Mais c'est après aussi. On ne voit pas dans les réseaux le processus. C'est-à-dire que c'est à nous de le créer. C'est à nous de le faire. Mais comme nous, on ne voit que le résultat final. On se dit « Ouais, moi aussi, je vais arriver. » Et du coup, on fonce sur le résultat final sans, comme tu as dit, créer le process, investir dans ce que je suis prêt à mettre, certains montants pour faire ça, etc. Je te pose la question parce que pour moi, tout ce que tu viens de répondre, c'est vrai. Mais autant, c'est valable pour tes ambitions et tes rêves, mais c'est aussi valable pour le couple, en fait. Je ne sais pas si réellement, il faut attendre d'être « prêt » pour que toi, tu te sois trouvée pour chercher l'autre personne. Je ne suis pas forcément prêt à 100 %. Il y a un pourcentage. Tu ne peux pas aller investir dans un couple alors que tu ne sais pas ce que tu veux, mais à 20 %. Un minimum, 50, 60. Et à tout moment, le restant, c'est ton compagne, ton partenaire qui va te le donner. Mais il faut un minimum. Il faut que le puzzle soit à moitié fait au moins. Sinon, ça ne va pas fonctionner. Elle va dire « C'est quoi ce fouillis ? » Elle ne va pas comprendre. Donc oui, je suis d'accord avec toi. Je suis d'accord avec toi. Il ne faut pas chercher trop longtemps. Il faut qu'au bout d'un moment, tu te connaisses un minimum, je pense. Et après, tu te dis « Je pense que je suis prêt ». Après, des fois, ça peut tomber sur toi. Oui, c'est vrai. L'amour, tu ne le cherches pas forcément. Et pas s'il arrive « Je suis là ». Moi, en général, je le cherche. Pour moi, je ne le cherche pas. Moi, je ne cherche pas. Oui, ça arrive. Ça arrive comme ça. Il y avait les mariages arrangés à l'ancienne. L'évolution des mariages arrangés, c'est les fêtes de rencontre, je pense. Mais pour moi, ça se fait naturellement. C'est pur, genre. Je trouve que ça enlève de sa pureté un petit peu ce côté organisationnel de « On va planifier ça. » « Tiens, elle, elle sera pour toi. » « Je la connais à peine. » C'est bizarre. Pour moi, ça crée une zone. Non, pas « Elle sera pour toi. » Mais dans le sens où réfléchir vraiment à « Est-ce que je me vois vraiment continuer de faire un long trajet avec cette personne-là ? » Une longue année. Et ça, je pense que c'est un travail qui doit se faire quand même un petit peu en avant. En fait, se préparer. C'est vrai que ça me tombe dessus comme ça quand j'hésite. Mais après, c'est comme ça aussi. On ne sait pas réellement ce qu'on veut. On vit le moment présent. Et après, on se retrouve 2-3 ans après à se dire « Finalement, cette personne-là, elle. » Oui, c'est vrai. Mais après, je trouve que quand même... Tout à l'heure, on a répondu qu'on n'avait pas réellement des attentes parce qu'on n'était pas focalisé sur ça. Mais on a quand même un peu des attentes. Par exemple, je ne peux pas me mettre avec un homme qui ne travaille pas, qui chôme. Moi, je travaille et il chôme. Si je mens, ce n'est pas possible. Et pourquoi ? Parce que dans mes valeurs, on doit être deux personnes à travailler, aller chercher son pain, avoir des objectifs. Un minimum. Moi, je ne suis pas la plus ambitieuse. Mais je pense que c'est bien d'avoir des objectifs dans sa vie. On a quand même un minimum d'attentes. Vis-à-vis d'une personne. Une personne qui chôme. Un chômeur. Un chômeur ambitieux et on le voit. Moi, je n'ai pas dit rêveur. Je dis ambitieux et on le voit. Tu peux ou pas ? Oui, mais... Ton chômage, c'est temporaire. Oui, c'est temporaire. Un chômeur ambitieux, je veux bien. Mais il va falloir qu'il se mette des deadlines. Je vais chômer combien de temps ? 6 mois. Si au bout de 6 mois, je n'ai pas fait 6 à 1, je vais trouver un autre... En fait, il faut qu'il soit débrouillard. Il ne peut pas se lamenter sur son sort. Donc, chômeur ambitieux, je veux bien. Chômeur ambitieux, mais pas rêveur. Pas rêveur. On a défecté. Si c'est un rêveur ou si c'est... Après ça, le défecté, c'est une autre histoire. C'est une autre histoire à durer. On ne peut pas savoir tout de suite. Tout de suite, c'est impossible. J'ai choisi cette question parce que je me suis rendu compte que si tu es ambitieux et que tu veux... Si tu es ambitieux et que tu as un travail derrière, c'est dur de s'organiser. En tout cas, si tu es un enseignant, c'est dur de s'organiser et de savoir plein tête ce que tu veux faire. Tu peux faire le plan, mais bon, actionner des trucs quand tu es en 35 heures, c'est compliqué. Ça prend toute ta journée. Après, tu as la fin de ta journée. Si tu commences à 13 heures, tu es entre 9 heures, tu es entre 8 heures et midi. Si tu commences le matin, tu es entre 17 heures et 21 heures. Après, entre-temps, tu n'as pas grand-chose pour t'organiser. C'est pour ça que j'ai demandé... Quand tu es ambitieux et que tu as un objectif, normalement, tu fais tout. Tu ne dors plus limite. Le matin, tu te réveilles tôt. Tu fais avant de travailler. Dès que tu as un laps de temps, tu es à fond dans ton projet. Dans ce cas-là, je comprends qu'une relation... C'est compliqué. C'est ça que je suis en train de dire. C'est compliqué parce que, du coup, tu ne travailles que ton projet. Et le reste... C'est compliqué. Tu arrives. Tu es fatigué. Il y a ta copine qui te dit ça. Je vais dormir. Bonne nuit. On ne peut pas concilier les trois. Travail, projet... Difficilement parce que c'est ta compagne. Ce n'est pas 2 jours dans la semaine. Tout dépend de ses attentes. Oui, voilà. Et tout dépend aussi si vous êtes compatibles. Si c'est une personne qui considère que tu es un rêveur et que ça ne sert à rien ce que tu fais, elle ne va pas comprendre. Alors que si elle-même a des projets à côté, elle pourra t'aider. Du coup, ça peut aussi se concilier. Il faut trouver la personne avec qui on est compatibles. Avec qui nos valeurs sont compatibles. Nos projets, nos objectifs sont compatibles. Et là, ça peut marcher. Ok. J'ai compris. C'est vrai. Quand tu es dans le milieu de la musique, de la danse, c'est plus facile de trouver quelqu'un qui comprendra votre passion. C'est vrai. Pas forcément. Parce qu'il y a les spectateurs et les passionnés. Les spectateurs vont kiffer. Ils vont dire que la musique est trop bien. Mais ils ne vont pas voir le temps de travail que tu mets dessus. Et quand ils vont se rendre compte que tu as du temps de travail, la musique, c'est chaud. Enfin, dans le monde artistique, c'est chaud. Donc, oui. Ok. On va dire que c'est un peu par manque de temps de répartir. Mais est-ce que vous savez quelles sont vos attentes vis-à-vis de votre partenaire ? Tout à l'heure, tu nous as dit que tu ne seras pas avec un chômeur. Mais restons dans le positif. Qu'est-ce que tu aimerais avoir comme partenaire ? Tu n'as jamais réfléchi ? Tu n'as pas de critère ? Tout de suite, là, non. Je n'ai pas de critère. Je dirais... C'est une personne qui... qui te motive chaque jour. Parce qu'on a des conjoints, mais les conjoints, c'est comme un partenaire. C'est comme... On fait un quin et c'est un duo. Si mon partenaire n'est pas bien, il est dans un bad mood, il faut que je sois là pour le rebooster. Je n'ai pas le mot exact, mais... C'est important pour moi que vous puissiez ramer dans le même sens. Oui, c'est ça. Pas que toi, tu essaies d'avancer, l'autre, tu te tires de l'autre côté. Mais est-ce que tes attentes, tu penses qu'aujourd'hui, elles allaient être objectives ? Je m'explique. Parce qu'aujourd'hui, vous êtes matraqués à longueur de journée par les couples au go, la vie parfaite, les belles choses, en fait. Du coup, tu ne penses pas que tes attentes vont être un peu déformées par rapport à tout ce à quoi tu es exposé ? Oui, un peu. En vrai, toutes ces images qu'on voit des couples qui sont dans un bateau, on ne voit que les jambes, le dos. La meuf, elle a un corps de ouf, le mec, il est musclé de fou. Ça peut jouer, en vrai. En vrai, ça peut jouer. En plus, je le vois sur les réseaux, les couples au go, elles partagent vraiment le même type de couple. Les couples à l'américaine, le couple au gaule. En vrai, oui. Ça peut me biaiser dans ma vision des choses. Clairement, je pense que ça le fait. En fait, parce que moi, j'ai lu dans un livre, le principe de contraste, on te dit qu'à force d'être exposé à des images trop parfaites, forcément, la vision que tu as de la réalité sera déformée. En fait, si on te plonge tes mains dans une eau très froide et l'autre main dans l'eau très très chaude, quand on va sortir les deux mains et on va les mettre les deux dans le même seau d'eau tiède, tu n'auras pas le même ressenti. Par rapport à d'où tu viens. Je pense que la même chose qui se crée aujourd'hui avec les réseaux sociaux, c'est que tu ne vois que des filles qui sont parfaites. Vraiment parfaites. Quand tu vois le gars avec le ventre un peu beudelant, tu te dis que non. C'est mort. Ça biaise ma vision et ce qui est censé être normal en gros. On voit un truc, comme tu as dit, extrême. À force de le voir, elle vient à la hausse et du coup, on commence à avoir des attentes un peu plus élevées que la moyenne. D'où le fait que j'ai dit que je cherche d'avoir ce que je veux. D'avoir ce que je veux, mais d'attendre pour ma propre personne avant d'aller voir quelqu'un et de dire j'attends ça de toi, j'attends ça de toi, j'attends ça de toi. J'attends que tu sois fit. J'attends que tu me fasses à manger tous les jours. C'est mort. Les couples gold, ça me fait moins rêver. Je ne sais pas pourquoi. Je sais un peu pourquoi. Tout ce qu'ils font, c'est du market. On sait qu'ils sont payés pour ça. En vrai, on ne sait pas s'ils vivent. Ils ne montrent que la face cachée. La belle face. Avant, oui. Quand j'étais plus jeune. Maintenant, en prenant de l'âge, tu es consciente de la réalité. Je suis d'accord. Je suis vraiment d'accord. C'est vrai, je suis d'accord. Les réseaux sociaux, ça joue. Même moi, en tant que personne en couple, je ne suis pas très réseau social, mais mon partenaire l'est. Il regarde beaucoup. Des fois, il va m'envoyer des réels. C'est ça que tu devrais faire. C'est dans tes rêves les plus fous. Ce n'est pas comme ça la vraie vie. Je pense que oui, ça déforme un peu la réalité. Ce que tu veux. Forcément, on aimerait tous être parfaits, avoir une vie parfaite. Tu ne souffres pas. Tu ne fais pas d'efforts. C'est vrai. C'est la question d'aujourd'hui. On revient sur quand on disait la préparation du mariage. Avant, les générations d'avant, ils s'étaient préparés à souffrir le mariage. Les femmes, on leur disait le mariage n'est pas facile. En vrai, c'était avancé. Avant, c'était en préparation de survie. Dans la survie, il y avait ce je dois avoir un mari, je dois avoir une femme, je dois avoir une maison, je dois avoir un enfant. Maintenant, on veut vivre. Dans cette vie, on se perd tard. Je pense que le couple, ça permet d'avoir un équilibre. Oui, je suis d'accord. Là, en vrai, je pense que la génération à l'ancienne, ils étaient plus focalisés sur l'équilibre en couple, la sécurité familiale, le job trouvé rapidement. C'est déguisé, tout ça. Nous, là, on cherche notre propre équilibre. Enfin, moi, la génération actuelle, ils sont plus à la recherche de leur propre équilibre ou même, comme tu as dit, avec les réseaux, leur équilibre, il est froissé de fou. Donc, ça veut dire que je comprends ce que tu veux dire, mais avec cette génération actuelle, ça n'a pas marché. Parce qu'on n'est pas en mode survie. C'est bon, nos parents nous ont donné le confort qu'on voulait. Du coup, ça veut dire que là, on est là. On ne veut pas... Ils nous disent qu'il faut faire des études. Non, non, non, non. On ne veut pas juste faire des études. On veut péter. On veut vraiment péter. Personnellement, pas en mode, les réseaux, on peut vraiment être bien. En vrai, je trouve que carrément, c'est du gâchis de faire que des études et être médecin. En vrai, tu as donné la possibilité de faire un gros truc. Les générations ambitieuses. C'est la génération Y. Je l'ai lu, ils sont principalement à la recherche d'un sens dans leur vie. Ils ne veulent pas faire les choses parce qu'il faut les faire. J'ai l'impression qu'au final, à force de rechercher continuellement un sens, ils se perdent dans plein de choses qui sont essentielles aussi. Oui, mais ça, en fait, c'est le choc des générations. Avant, tu faisais parce qu'il fallait le faire. Tu travailles parce qu'il doit travailler. Tu prends un CDI, un travail. Mais si tu n'aimes pas le travail, ça te ramène de l'argent, donc tu le fais. Tu n'es pas obligé d'aimer. En fait, personne ne te demande d'aimer. On te demande de travailler, de ramener de l'argent. Donc, tout ce que tu vas faire, au final, c'est parce qu'on t'a dit que c'est comme ça qu'il fallait le faire. Maintenant, la génération d'aujourd'hui, même moi, j'ai commencé un peu dans ce chemin-là, un chemin où il fallait faire les choses de telle manière. Tu déménages, tu achètes une maison. Tu te mets avec la personne rapidement. Tu as un enfant, etc. Mais je pense que si c'était à refaire, peut-être que j'aurais fait comme Ezekiel et Julien, non ? En fait, moi, vous ne me comprenez pas. J'ai l'impression d'être malveillée. Non ! C'est qu'à force de vouloir vraiment vivre ses rêves, à quel moment ils vont se mettre en couple ? Parce que maintenant, tu vas avoir des gens qui vont avoir 35 ans. On attend encore. On te cherche. Et les femmes, il leur met le gueule. Après, le premier qui arrive, je le prends. C'est vrai. C'est vrai, mais tu fais ce que tu veux. C'est le point négatif C'est vilain. En plus, c'était un constat que j'avais fait. Je me suis rendu compte que à partir d'une certaine génération, avoir des gosses à 25 ou 26 ans, c'est fini. On commence à avoir des gosses à 30, 33 ans. C'est un perpétuel recherche. Tout le monde se cherche. Comme tu as dit, il y a les réseaux qui trouvent le truc. Du coup, ça veut dire que ça prend un peu plus de temps. Ce n'est plus comme avant Quand tu es arrivé, tu croisais une meuf super belle, mais il n'y avait que MSN et Skyblog. Tu ne pouvais pas aller voir ailleurs. Tu ne pouvais pas autant aller voir ailleurs et tu ne pouvais pas avoir autant de choix. Aussi facilement. On a du temps. Il y avait une histoire. J'étais à un mariage d'une amie à moi en 2019. Il y avait brunch le lendemain. Elle nous a mis dans des tables séparées. Avec plein de gens différents. C'est marrant parce que je me suis retrouvé. J'avais 23 ans. Je me suis retrouvé avec des gens de 29 ans, 30 ans. Ils n'ont pas vécu la même chose que moi. Elle m'a raconté comment elle a rencontré son ex. Elle m'a dit qu'ils se sont vus en soirée. Ils ont flashé de fou. Il n'y avait rien pour se retrouver. Ça veut dire qu'elle allait en soirée tous les 29 jours. Ils allaient tous les vendredis. Ils se sont retrouvés. La personne ne se retrouvait pas. Elle avait vraiment flashé sur lui. Ça veut dire que il n'y a pas de choix. Tant pis, je ne vais pas se retrouver. Je vais aller sur Instagram. Je vais voir quelqu'un d'autre de plus beau. Elle cherchait. Je crois que c'était pendant 3 mois. Au final, elle l'a retrouvée parce qu'elle allait samedi. Elle s'était trompée. Ils s'étaient rencontrés le samedi et le vendredi. Ils se sont retrouvés ensemble. Ils ont signé ensemble. C'est trop beau. C'est mort ici. C'est mort. C'est trop frais. Je vais voir mon voisin. C'est qui ? Je vais regarder. Je ne vais voir que les belles photos. Quand tu vas la voir, il y a peut-être cette image qui va se casser un peu. Tu vas repartir sur Instagram. Il y aura quelqu'un d'autre. C'est une génération qui consomme beaucoup. On consomme. Tu m'avais dit quoi déjà ? Quand on est jeté. Génération fast food. On mange. C'est fini. On avance avec le temps. Il y a des musiques classiques. C'est des classiques. Le stream n'existait pas. Il n'y avait rien. Maintenant, c'est pareil. Les couples se distribuent. Il y a une musique. C'est un hit. Ce n'est pas un hit pendant un an et demi. C'est un hit pendant 6 mois. C'est le maximum. C'est un petit TikTok. C'est fini. On passe à l'autre musique. C'est le temps qui arrive. C'est la réalité actuelle. Il y a un truc à dire. Je voulais rebondir sur l'horloge. J'avoue que ça me stresse un peu. Je ne peux pas faire autrement. Je ne sais pas. Pour ma part, ma mère ne me donne pas l'impression qu'il faut se marier vite. Pour moi, je me dis que c'est le temps. En vrai, tu as raison. On n'a pas le temps. Si on veut concevoir, on a jusqu'à quoi ? Jusqu'à 50 ans. Jusqu'à 50 ans ? C'est trop tôt. C'est trop tôt. C'est trop tôt. Est-ce que tu auras l'énergie ? Je me suis dit que pour avoir un enfant, je devrais avoir 35 ans maximum. Quand il aura 20 ans, j'en aurai 55 ans. Est-ce que 55 ans, j'aurai l'énergie de le suivre ou non ? En vrai, ma mère nous a eu jeune un peu. Elle allait à Disney avec nous tous les ans. Elle faisait les pages avec nous. Moi, je lui dis la même chose. Si je commençais à avoir un enfant à 40 ans, il aura 20 ans, j'en aurai 60. Il va vouloir faire du basket avec moi. Je ne sais pas si ça commence. Ça me fait penser à une question. Est-ce que vous subissez la pression de la société ou pas du tout ? Vous avez encore moins. Vous avez moins de 30 ans. La société te dit que tu es toute seule. Autour de toi, tout le monde se casse. Ce n'est pas une pression, mais ça me met des coups de vieux. Je prends des coups de vieux à chaque fois. Par exemple, j'ai rencontré sa fille. Le temps passe. Je suis arrivé à une crémaillère il y a une semaine. Ils avaient quasiment tous deux ans de plus que moi. Minimum, tous en couple. Enfants, appart, voiture, marié. J'étais là en mode je suis le seul dans la tuerie. C'est bizarre. À la fin du mois, mes amis se sont mariés. Des amis que je connais depuis le lycée. J'avais 15 ans. Ils se sont mariés. Ça m'a fait bizarre. J'avais bientôt mon tour. Ça enchaîne. C'est la suite logique. Mariage, enfants, maison. Pour répondre à la question, ça fout un peu la pression. J'ai l'impression que ça me fout la pression, mais pas tant que ça. Les générations ont changé. Avant, j'aurais mis un peu plus la pression. Allez, dépêche-toi, t'es une fille. Dans notre communauté, je trouve qu'ils ne mettent pas trop la pression. Ils vous laissent profiter, voyager. C'est vrai. C'est vrai. Je pense que... Du coup, en France, c'est aujourd'hui. Oui, je pense que... Oui, largement. Je pense que c'est largement en ce moment. Bien avant les 30 ans. Dans notre communauté ? Je pense que toutes nos cousines sont couples, mariés ou gosses. Ah oui ? Je pense qu'à partir du moment où tu as fini tes études et que tu as trouvé ton boulot, ça veut dire quoi ? En 3 à 25 ans, c'est bon, il faut que tu te trouves un mari. On passe à l'étape suivante, on ne rêve pas comme bouillie. On est ambitieux, par exemple. Ambitieux. J'aimerais que tous nos auditeurs nous disent ce qu'ils pensent réellement. Est-ce que cette génération est ambitieuse ou plutôt rêveuse ? On va voir. On le saura dans quelques années. On aura du recul pour pouvoir en parler. Pour l'instant, c'est la réalité de cette génération-là. On vit avec. Exactement. Du coup, vous nous avez dit que vous aviez des attentes, mais pas trop. Est-ce que vous êtes prêtes, par rapport aux attentes que vous avez, à faire quelques concessions ? J'ai vu que vous nous avez parlé à l'heure du chômeur. Pour ma part, si ce n'est pas un chômeur ambitieux, non, je ne pourrais pas faire de concessions. Non, je ne pourrais pas. Pourquoi ? Parce que je trouve que c'est... C'est important pour moi d'être actif. Il ne faut pas que je ne te voie rien faire. Ça fait partie de tes valeurs. Ça fait partie de mes valeurs, tout simplement. Et là, quand on touche aux valeurs, ça veut dire que c'est bon, on peut tout accepter, finalement. Je suis d'accord. Moi aussi, je suis d'accord. Moi, le chômage, je ne pourrais pas faire de concessions, mais sur autre chose, si tu me donnes un exemple, peut-être. Là, je n'ai pas d'exemple. Vous avez des exemples ? Déjà, même si on parle du chômeur, peut-être que pour toi, tu ne supportes pas qu'il ne fasse rien, mais peut-être qu'il peut être au chômage ou au chômage à la maison. Pour moi, il faut qu'il soit actif quand même. Par exemple, admettons, je suis en couple. C'est un homme à la maison. Moi, je vais aller chercher l'argent pour payer les factures. Non, je ne peux pas. Moi, il faut qu'il soit aussi actif. En fait, comme je l'ai dit, c'est coéquipier. Attends, j'ai une question maintenant. Du coup, si c'est coéquipier, il faut le faire d'une autre manière. Par exemple, tu ramènes l'argent à la maison et lui, tout ce qui est démarches, papiers, tout ça dans la main pour tes projets, pour les siens, il te carry de fou. Est-ce que je suis prêt à faire une concession ? Dis comme ça. Oui, mais j'avoue que j'essaie de ne pas... Bon, si. Il faut qu'il y ait une contrebalance de sous par rapport au chômage. Exactement. Moi, faire une concession, c'est ça ? Moi, ça serait sur des trucs banals genre. En mode, pas pour tout le monde. C'est pas faire à manger. Par rapport à toi, je pense que tu vas trouver beaucoup de filles qui ne savent pas faire à manger. Bien sûr, surtout que pour ma part, pas trop. Franchement, j'en ai connu... Je n'ai pas connu beaucoup qui ne savaient pas faire à manger. Attendez, quand tu dis pas faire à manger, moi, quand je dis je ne veux pas savoir faire à manger, c'est pas savoir faire des plats africains qui prennent des heures. Mais faire à manger, il sait. Vraiment, il y en a qui ne savent pas faire à manger qui savent faire des pâtes carbonara normalement. Il y en a qui ne savent pas faire à manger et ça... Il y en a d'autres qui ne savent pas faire cuire du riz. Là, tu veux faire une concession ? Pas cuire du riz. Un minimum. Mais après, ça s'apprend. Moi, du moment qu'elle soit ouverte à ça, moi, ça ne me dérange pas. Tout s'apprend. Et après, une concession, c'est quelqu'un de... C'est juste une question de degré, je pense. Si moi, je suis très comme ça, qu'elle, elle n'est pas trop, vas-y, je peux accepter, tout le monde n'est pas pareil. Mais si, genre, moi, je suis à 70% comme ça, genre, par exemple, je suis à 70% sportif et elle, zéro, ah, ça va me faire bizarre. Parce que comme elle a dit, le train de ville, c'est pas le même. Moi, je serais là en train d'essayer de me tenir, de garder ma forme, garder ma ligne, ma ligne que j'ai actuellement. Et elle, elle est là, elle est posée, elle est zéro, même pas gros sur un truc comme ça. Juste, elle ne sait rien. Eh, ça va me déranger. Ça va me déranger, je veux dire. Et si elle te laisse aller ? Eh, c'est bof. Moi, du moment que tu te... Tiens, par rapport au sport, du moment que tu essaies de te tenir en forme un minimum, je suis content que tu sois grosse, maigre, digne, du moment que tu essaies de garder ta forme, parce qu'il y a des gens qui sont bien gros, il y en a qui sont bien maigres, il y en a qui sont bien... un peu flous, je ne sais pas, mais en tout cas, moi, ça ne me dérange pas, mais reste-moi là. Genre, en mode... Ouais, bah, pareil pour moi. Viens, on va à la salle. Ah, j'ai la flemme de la salle. Viens, on va faire un petit foutu, un truc comme ça, genre un minimum, tu vois. Elle me follow en tout cas, qu'elle me suive un minimum, alors qu'on est à peu près les mêmes centres d'intérêt. Mais si ça ne concorde vraiment pas du tout, je ne peux pas avoir de concession dessus. C'est-à-dire que le train de vie, ce ne sera pas le même, genre. Après, à tout moment, ça peut se compléter, mais c'est rare, ce genre de cas-là. Tu ne vois pas que sur les réseaux. Justement, moi, je dirais que c'est à cause des réseaux que tu dis ça, parce que c'est sur les réseaux que tu vois les couples faire tout ensemble. C'est ça que je viens de dire. Je ne dis pas tout ensemble. J'ai dit, par exemple, moi, si j'aime un truc à 70, qu'elle l'aime à 30. Tu vois comment ça me va. Tu vois, genre, je vais à la salle 7 fois par mois. Si elle y va 2 fois avec moi, je suis saucé, c'est bon. Et zéro ? Zéro, mais qu'on fasse un petit truc, une petite activité, genre. Même si on fait du yoga, ça ne me dérange pas. Mais je ne veux pas qu'elle se laisse aller là, en mode... Ou sinon, des concessions, je ne sais pas si je pourrais... Je ne connais que les trucs que je ne... Je ne connais pas mes concessions, en fait. Je ne connais que... Ce que je... Ce que je n'aimerais pas, je pense. Par exemple, je suis ambitieux. Je suis une génération ambitieuse, OK ? Quelqu'un de pas ambitieux qui fait métro, boulot, dodo. Ouais. Genre... Ah ! Sans projet derrière. Genre, moi, j'aime bien mon train de vie, mon petit travail, dodo, non, non. Mais si elle aime bien et que ça lui va, je ne veux pas que toi, tu sois ambitieux. Est-ce qu'elle va comprendre mes trucs de risque ? Non, elle ne comprends pas. Voilà. C'est là que ça bloque. Et du coup, ça veut dire qu'il y a des mouves que je vais faire. Bon, peut-être après, elle sera là pour me... Pour me ralentir. Pas me ralentir, mais... Me freiner un peu sur mes trucs de risque un peu trop dangereux, tu vois. Mais... C'est en prenant des risques qu'on arrive à faire ce qu'on veut faire. Donc si la poto, elle n'est pas... Elle n'est pas dans ce genre d'appui-là, je ne peux pas lui... Ben voilà, je ne peux pas lui... lui promettre d'être ensemble alors que moi, je suis là. Des fois, je prends ces prises de risque-là. Je veux aller à gauche, je veux aller à droite. C'est comme si, par exemple, on va prendre l'exemple de Pachi. Ton partenaire, il n'était pas très ambitieux. Je ne pense pas qu'il t'aurait dit mais ça ne sert à rien de faire cette émission. Viens, on essaie de se mettre de l'argent de côté. On fait des petits trucs de... ... ... Des trucs basiques, essentiels. Des trucs basiques, essentiels, plats, calmes. C'est juste en fait une question de compatibilité, en fait. Si la meuf, elle n'est pas ambitieuse et qu'elle s'est mis trop au boulot-dodo, c'est qu'elle n'est pas compatible avec toi. Enfin, vous n'êtes pas compatible. Oui. Ça va mettre beaucoup de tensions dans le couple. Oui. Des tensions qui pourraient être évitables. Et je pense que ça, il faut le détecter très rapidement parce que des fois, il ne faut pas forcer la compatibilité. Parce qu'à un moment donné, vous allez avancer, avancer, avancer et ce ne sera que des discussions parce que toi, tu es dans ton projet, elle ne comprend pas, etc. C'est ça aussi l'inconvénient de se mettre en couple jeune. Je rejoins beaucoup des points que vous avez évoqués. L'inconvénient, c'est que tu te cherches en même temps que tu es en couple. À un moment donné, la personne ne va pas comprendre pourquoi, comme tu disais tout à l'heure, elle ne va pas comprendre pourquoi tu penses à ça, tu veux faire ci parce qu'elle est en train de te chercher. Et je pense que c'est ça aussi l'inconvénient. Parce que tu peux rester en relation longtemps avec quelqu'un et au final, vous n'êtes pas compatibles. Donc je pense qu'eux, ils ont raison d'attendre. Et nous, ils ont raison d'un côté. On est encore jeunes. Ça dépend du continent. Ça dépend du continent. Oui, il y a du texte aussi. Je suis désolé. Je pense qu'ils ont raison d'attendre parce qu'ils ne se connaissent pas assez, ils ne connaissent pas leurs attentes. Ça ne sert à rien d'aller s'engager dans une relation. Ça va mal se passer. Ça va créer des blessures, des traumatismes, des déceptions et compagnie. Pour rien au final. Je ne dirais pas pour rien. Oui, après c'est vrai. C'est ça son expérience. C'est son chemin. Il n'y a rien qui fait au hasard. Tout est bon à prendre. Il y a des histoires de la vie bizarres. Oui, très toxiques. Mais sinon, je pense que tout est bon à prendre. Toute expérience, tout échec, c'est de l'apprentissage. Mais oui, je comprends son engagement à long terme. Si on ne se connaît pas un minimum, si on n'a pas fait cette petite expérience-là, je pense qu'on n'aurait pas su ce qu'on voudrait réellement. C'est vrai. Mais après, si ça fonctionne, sachant que tu te découvres dans le temps, c'est peut-être aussi, pas un coup de chance, mais que la personne, il y en a une des deux, en tout cas, qui a supporté. Qui s'est écrasée un peu des fois, qui s'est écrasée au profit de l'autre. Oui, c'est vrai. Je supporte tous tes trucs, toutes tes demandes. Mais après, je pense que c'est un échange des deux, comme à la vie partenaire. Il y en a un qui s'écrase un moment, et après il y en a un autre qui va s'écraser un moment. C'est en équipe que ça se passe. C'est vraiment en équipe. Et comme l'avait dit Pitchat derrière moi, c'est pas à 100%. Il ne faut pas que je me connaisse. Je me retrouve à 100%. C'est bon, j'ai fait ce que j'avais à faire. C'est bon, je suis devenu riche. Je vais aller chercher mon partenaire. Je pense qu'il faut monter ensemble. Je pense que la relation, elle va durer plus longtemps. Elle ne va plus se faire durer si on rencontre notre partenaire à un certain niveau de notre vie et qu'on monte ensemble. Parce que l'étape finale, c'est en vrai, je me suis déjà fait. Ça veut dire que quand elle va arriver, je vais me dire que je suis arrivé quasi au sommet. Je n'ai pas vraiment besoin de toi. La relation ne va pas être aussi forte que si elle m'avait vu à 50%. Si elle m'avait vu à 60%. Et on monte ensemble. 70, 90, 100, 70. Tu veux être à 100% avec une personne ? Si. Je me projette d'être en couple, vite famille. En vrai, c'est la finalité. Moi, je n'ai pas envie de rencontrer la personne quand j'aurai la flemme de rencontrer la personne quand j'aurai fait ce que je voudrais faire, quand j'aurai atteint le statut que je voudrais atteindre. Je serai là en mode... Ouais. Mon statut est ambitieux du coup. Et je vais me dire, pourquoi elle est là ? Si elle arrive comme les grands de James, il a vu sa femme au début, ce n'était pas le basketteur qu'il est devenu maintenant. Ça veut dire qu'ils ont monté ensemble. Elle, elle savait que... Ça allait être le king. Ce genre d'exemple-là, ce genre de schéma-là, je préfère la rencontrer au milieu de... De ton attention. De mon attention. Même pendant mon attention qu'à la fin du parcours. Ok. Mais du coup, moi, j'aimerais bien rebondir sur les concessions. Oui. Et donc, Pincha et Paché, vous en pensez quoi ? Étant donné vos expériences personnelles, est-ce que c'est nécessaire de faire des concessions ? Oui. C'est primordial. Pour que la relation dure. Genre, il n'y aura jamais un moment où on ne pourra pas avoir tous les deux ce qu'on veut exactement au même moment. Après, ça peut... Oui, c'est vraiment la première chose. Ça peut arriver, mais pour moi, c'est rare. Donc, oui. Dans ton quotidien, forcément, il y a des choses que l'autre va faire que tu n'aimes pas, que tu ne supportes pas. Même si ça touche à tes valeurs. Non, si ça touche à mes valeurs, là, c'est autre chose. Enfin, non, quoi que. Ça dépend. Je pense que, en fait, si tu as bien choisi, entre guillemets, la personne, bien choisi, selon tes valeurs de base, il y a des valeurs, en fait, que tu sais, tu ne peux pas changer. Il y a des trucs que tu dois te dire, c'est résilient de toi. C'est indispensable, en fait. Et après, quand c'est des petites choses dans la vie de tous les jours, parce que sinon, tu n'avances pas, en fait. Parce que sinon, c'est tout le temps l'autre. Je veux prouver que j'ai raison. L'autre veut prouver qu'il a raison. Et des fois, en fait, vous voulez la même chose. C'est juste que vous n'avez pas de même point de vue. C'est tout. Mais au final, c'est la même chose que vous voyez, mais ce n'est pas de la même manière que vous le voyez. Et des fois, il y a des valeurs qui sont compatibles. Par exemple, moi, je suis très ambitieuse et mon partenaire, il est très travailleur. Mais, tu vois, je ne peux pas le... Lui, il aime bien aller au travail. Quand il arrive à la maison, il est posé, il se détend. Moi, je n'aime pas ça. J'aime bien, toujours, je travaille sur un projet, etc. Et ça, c'est une confession que je fais. Je le laisse... Je ne peux pas le faire... Je ne peux pas l'exiger, exiger qu'il soit comme moi. Donc, confession, je le laisse. OK. Est-ce qu'il y a des confessions... Est-ce que vous avez déjà fait des confessions qui étaient à l'encontre de vos valeurs ? Non, pas moi. Non, parce qu'après, c'est nature. Et là, c'est là que ça crée une frustration. C'est parce que là, je reviens sur ce qu'elle a dit hier. Elle dit, oui, mais des fois, ça peut toucher vos valeurs et tout. Et je trouve que... Déjà, faire des confessions par rapport à ses valeurs, c'est une dinguerie. Bon, après, si tes valeurs sont pures et vraiment, tu n'as pas des valeurs de schlagos. Mais si tu as des belles valeurs et tout, et que la personne ne respecte pas ça, je ne me vois pas faire des confessions dessus. Non. Parce que, regarde, il y a un truc hyper important. Moi, je suis très black love. J'arrive à le faire marquer. Et en fait, je pense que le fait qu'on soit tous les deux déjà africains, pratiquement à la même ethnie et compagnie, on a été élevés un peu de la même manière. En tant qu'africains, on est tous élevés de la même manière. Donc, on aura tous un petit peu les mêmes valeurs. On ne sera pas à l'opposé. Donc, du coup, il n'y a pas eu de concessions à l'encontre de valeurs. Les valeurs sont similaires. Après, si tu te mets avec une autre personne qui a eu une vie complètement différente de la tienne... Je ne veux pas blaguer. Là, tu vas avoir des confrontations sur des trucs. Je ne comprends pas. Pourquoi il fait ça? Ce n'est pas comme ça. Moi, je n'ai jamais vu ça. Donc, il ne va pas comprendre. Et là, ça va créer des conflits. On ne sait plus qui est qui, pourquoi tu fais ci, pourquoi tu fais ça. Soit il y en a un qui s'écrase et il fait selon les valeurs de l'autre. Soit on s'arrête. Nivellée sur le black love. Bon, après, chacun fait ce qu'il veut, mais bon. C'est juste un argument parmi tant d'autres. En tout cas, c'est l'avantage pour moi du black love. C'est des noirs. Je pense qu'on a fait le tour de la question. Je pense qu'on a fait le tour de la question. Est-ce que vous voulez faire que vous allez réussir à vous mettre en couple? Moi, je ne m'inquiète pas. Moi aussi, je ne m'inquiète pas. Il y a une petite pression, mais ce n'est pas quelque chose auquel vous pensez tous les jours. Tant que les parents ne sont pas dedans, je suppose que toi aussi, il y a une petite pression. Tant que tu n'as pas quelqu'un qui te dit que tu n'as pas trouvé ton mari, il faut que tu trouves une femme. C'est les tantes au mariage. Elles, c'est vraiment des plaies. Ah, mais regarde ton copain. Il n'y a pas beaucoup. Moi aussi. Elles ne disent rien du tout. Elles sont là. Mais là, il est temps. Il faut trouver, à mon avis. C'est bon là. Mais je pense que pour revenir à la pression, il y aura de la pression tout le temps. À chaque stade de la relation, il y a eu un réel qui m'a fait rire. La meuf, elle disait qu'on lui posait tout le temps les mêmes questions. Quand tu n'es pas en couple, quand est-ce que tu vas être en couple? Quand est-ce que tu vas te marier? Quand est-ce que vous allez avoir un enfant? Et quand tu as déjà un enfant, quand est-ce que vous allez avoir un autre? Oui, ça n'a pas fini. Il reste toujours quelqu'un pour mettre la pression. Et oui, j'avais trouvé ça marrant. Du coup, voilà. Je pense qu'on a fait le tour de la question. Dites-nous, vous, de votre côté, si vous avez des attentes par rapport à votre couple ou votre futur couple. Si vous vous préparez à vous mettre en couple, comme on a dit, on verra le résultat du naturel que ça va donner. On verra ce que ça va donner le résultat du naturel. Je pense qu'au final, on arrive à se mettre d'accord sur le fait qu'il faut d'abord se chercher un minimum pour savoir ce qu'on veut, qu'on est prêt à payer aussi pour avoir ce qu'on veut. Payer dans le sens de l'effort à fournir, le constituant à faire. Et ce qu'on peut apporter, c'est un couple. C'est très important. Parce qu'on passe à exiger quelque chose et on n'a rien à mettre sur la table. Donc, partagez-nous vos avis sur ce petit débat. Et on va remercier nos deux invités du jour. Merci beaucoup pour votre présence et votre participation. Merci à vous. C'est nous qui vous remercions, pour votre invitation. Et on espère peut-être vous revoir dans quelques années. Oui, oui. Pour un prochain épisode, pour une autre scène. Ça marche, ça marche. Moi, je m'appelle quand vous voulez, je suis là. Merci de nous avoir écoutés. N'hésitez pas à partager le podcast, à nous suivre sur les réseaux sociaux et à mettre une note, un commentaire. Ce sera toujours bon à prendre pour la suite du podcast. Ils savent nous aider aussi. Merci beaucoup. À vendredi prochain. C'était pas si difficile.

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