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Image no1 Kathy P

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In this podcast episode, the host introduces herself as Cathy Panagiotopoulos and discusses the connection between inner discourse and image. She shares personal anecdotes about her upbringing as the daughter of Greek immigrants and how her image was shaped by societal pressures. She talks about the influence of Socrates and Plato's rhetoric and the power of words in shaping our thoughts and beliefs. She also explores the concept of self-criticism and the impact it has on self-esteem and confidence. The episode ends with an introduction to the three dimensions of rhetoric: logos, ethos, and pathos, and how they relate to our inner discourse. Bonjour et bienvenue à vous, chers auditeurs, dans ce tout premier épisode de mon podcast sur l'image. Je vous propose de découvrir le monde fascinant du discours intérieur relié à l'image, en compagnie de mes amis Socrate et Platon. Qui a dit qu'ils étaient morts? J'ai envie de vous prouver qu'ils sont bien vivants et en présentiel permanent. Quatre épisodes vous attendent, où je vous partagerai à ma façon d'où vient notre discours intérieur et le lien que je fais avec la philosophie, remontant à 2500 ans d'histoire à ne pas oublier. Prenez une pause, détendez-vous et préparez-vous à élargir vos horizons. Allons-y, explorons ensemble les trésors de la philosophie qui nous habitent depuis toujours sans même le savoir. Je m'appelle Cathy Panagiotopoulos et je suis votre podcasteur ou orateur. D'origine gréco-québécoise, je porte en moi la fierté de mes origines liées au magnifique pays de la Grèce. Ces racines qui font de moi la femme qui s'adresse à vous aujourd'hui. Tout d'abord, pour vous situer un peu, voici d'où vient Cathy, qui est-elle? Je suis fille, femme et mère, toutes à la fois. Fille d'immigrants grecs, père monoparental, restaurateur, homme d'affaires et philosophe à ses heures. Femme de 54 ans, forgée par une vie remplie d'expériences diverses et avide de trouver sa vérité. Mère, ce rôle privilégié qui m'a permis vers la fin quarantaine d'offrir la vie à deux garçons magnifiques qui représentent la plus grandiose de mes missions de vie. Et aujourd'hui, c'est avec toutes ces facettes de moi que je m'adresse à vous pour partager un brin de savoir dans ce monde axé et biaisé par l'image qui façonne nos actes, nos humeurs et notre discours intérieur. L'image. Entrons au vif du sujet. Selon Socrate et Platon, parallèlement à moi, et un peu teinté par l'éducation de mon père, je vous partage le lien que je fais avec la rhétorique inventée par Socrate lui-même 300 ans avant Jésus-Christ, un discours qui s'adresse à un auditoire tandis que mon discours mental s'adresse à moi-même, ou plutôt mes pensées, mes croyances. Le mot « image » a aussi des synonymes tels que modèle, réplique et, au sens littéraire, visage. J'ajouterais avatar, émoji, photo et bien d'autres pour être de mon tas. Comme vous ne me connaissez pas, laissez-moi me raconter à travers quelques anecdotes en lien avec mon cheminement personnel et mon image. À l'époque, mon père n'avait pas la possibilité de nous offrir des vêtements neufs. J'aimais bien leur mettre du salut. Initialement, j'avais un tas de vêtements neufs, bien qu'ils étaient usagés. Pour moi, ils étaient nouveaux et j'en avais une tonne. J'étais contente d'avoir des vêtements à ma taille enfin et que mon père, surtout, veuille prendre du temps avec moi pour les choisir. Mais à l'adolescence, ce qui compte, c'est l'étiquette pour montrer que c'est nouveau, ressembler au magazine, avoir l'ordre de celle qui est « in ». Le paraître, l'image, c'est la base de tout. Alors que j'étais super contente de mes nouveaux vêtements, je commence tranquillement à avoir honte. Surtout, fermer ma gueule. Ne dire à personne d'où viennent mes vêtements. Même pas à ma meilleure amie, j'ai trop honte. Personne ne doit savoir ça. Pendant que mes amis s'amusent à l'heure du dîner, pour ma part, je cours au restaurant de mon père car c'est moi qui fais la vaisselle et je suis responsable de la caisse. Je mange sur le coin du gros congélo et hop, repart pour l'école. Seule dans la ruelle, une pensée grandie m'envahit. Est-ce que je pue la graisse à patates frites? Est-ce que j'ai des taches que je n'ai pas vues sur mes vêtements? Est-ce qu'un tel va encore me dire « hey la graisseuse » en référence à mes origines grecques ou que je sens la graisse à patates frites? Est-ce qu'il fait du sens? J'aurais eu envie de dire tout ça à mon père. Mais papa, tout le monde me trouve moche. Puis en plus d'être grecque, de sentir la graisse à patates frites, j'ai des vêtements qui me font paraître plus vieille que mon âge. Mes amis se moquent de moi et j'ai juste envie de disparaître pour ne plus entendre ces commentaires sur ce que je suis, ce que j'ai l'air. Mais non, oh que non! Mon père avec sa stature imposante, sa voix qui impose le respect et le danger de recevoir une taloche en arrière de la tête est trop charpayé pour me plaindre. Je dois trouver une nouvelle façon de ne plus subir ces médisances. Alléluia, oura, je l'ai, je l'ai enfin trouvé comment faire. L'humour, le sarcasme, voilà mon tout nouveau truc. Écouter, observer les personnes autour de moi et dès que je sens que quelqu'un est sur le point de m'attaquer, bang, mon improvisation est en action. Talent naturel, comme disait mon père, j'avais la répartie facile, le sens du punch. Alors, le haït la graisseuse, je le complétais avec. Dis-le que t'es jaloux, hein, parce que toi quand t'as envie de manger des patates frites, tu dois demander à ta maman de l'argent et venir au resto de mon père pour en avoir. Dégage le jaloux, je me tournais vers n'importe qui et lui disais, toi, t'aimerais revenir avec moi après l'école, je vais te donner une frite pour apporter, c'est un oui catégorique. Et voilà, ma stratégie avait marché. Chaque jour, ma rhétorique devenait instinctive et acerbe aux petits fauteurs de trouble. Ce que je n'avais pas réalisé et qui me poursuivra trop longtemps, trop, vraiment trop, mes pensées obsessives s'étaient enclenchées et graduellement, inconsciemment et subtilement, en train de nuire à mon estime de moi, ma confiance qui était intimement liée à mon image de femme en devenir. À la vingtaine, cette image imposée par les magazines, les amis, les discours à la radio, dans les conversations au restaurant de mon père, à l'école, partout, continue d'ancrer et de valider que mon discours intérieur est vrai et véridique. J'ai l'obligation de mettre toute mon énergie à avoir un corps zelte, mais mon corps n'est pas zelte, il ne veut pas, il n'est pas comme les femmes qui m'entourent. Malgré mes entraînements, diète de fou, restrictions, le comptage de calories dépensées versus le comptage des calories ingurgitées, mon obsession est rendue trop importante et en train d'être une nouvelle sensation, la jalousie. Mon chum capote quand je lui fais certains commentaires, surtout. Je me comporte anormalement et parfois démesurément. Je ne me reconnais pas. Ça commence à prendre une tournette qui m'effraie moi-même. Je crains mes pensées et surtout pourquoi? Pourquoi je suis jalouse de Julie Masse à la télé dans son vidéo que je considère sexy, sensuelle et qu'aucun homme ne pourrait résister? Surtout pas le mien qui me confirme apprécier ses courbes qui sont, selon moi, tellement plus belles que les miennes. La trentaine, le désir de former une famille s'ajoute et la crainte d'avoir mon corps grossir et ne plus être comme avant aussi, mais être mère transcende cette peur. Tout se bousculait. Je voulais montrer que j'étais une adulte responsable, que mon père me regarde en disant bravo ma fille parce que mon image se définissait à travers mes actions. Je lisais, j'allais voir des conférences, j'étais avide de savoir, d'apprendre et sûre de me comprendre. Pourquoi j'étais si malheureuse? J'avais tout en principe. Tout ce qu'on pouvait voir mettait de la poudre aux yeux à ceux qui regardaient mon paraître, mais mon être boitait sans même que j'en sois consciente. L'introspection suite à des rencontres, des émissions, tout ce qui existait dans le développement personnel était une motivation pour trouver ma voie. Mon désir d'être la meilleure version de moi-même est omniprésente. À l'aube de ma quarantaine enfin mère, mon image me bouscule. Je prends une de ces débarques mentales. My God! Je suis en mère, pas de gilet de sautage et j'ai la vive impression que je vais m'échouer. Je devais choisir. Je devais me choisir et aller au-delà de la paire. Chercher, trouver, démystifier, réaliser, comprendre le pourquoi du comment de que c'est. Alors, j'ai pris le taureau par les cornes et c'est pourquoi je me suis choisie et me suis appliquée à mettre l'enfance sur mon être. C'est à partir d'ici que les amis Socrate et Platon entrent en scène pour exprimer qu'est-ce que la critique intérieure liée aux pensées selon moi bien sûr. La rhétorique. Pourquoi Aristote a inventé la rhétorique? Quel est le but de la rhétorique? Elle possède plusieurs synonymes comme éloquence, grandiloquence ou encore bien dire. Aristote commence par définir la rhétorique et montrer en quoi elle est utile. Selon lui, elle n'a autre utilité que de faire prévaloir le vrai du juste. Pour déterminer l'efficacité d'un discours, il y a trois segments. Le logos, l'ephos et le pathos qui est grec évidemment. Alors le logos qui est la structure du discours, c'est la parole, le discours, la relation, la raison, la logique. C'est un vrai couteau suisse des mots. Et puis il y a l'ephos, l'orateur qui veut dire le caractère habituel ou les habitudes d'une personne. Enfin, il y a le pathos, l'auditoire qui est lié aux émotions dans un discours. La rhétorique pour Aristote est un discours qui tient un orateur et qui est propre à persuader un auditoire ou à l'émouvoir. Les trois dimensions sont bien présentes, mais intégrées à la puissance du verbe. C'est le verbe qui crée de l'effet sur l'auditoire et c'est cette puissance que vise l'orateur. Il veut convaincre, ce qui fait appel à des arguments sollicitant la raison, tandis que persuader sollicite les sentiments. La rhétorique intérieure, quant à moi, est identique, car je me convainc par mes pensées ruinées sans cul de sac et me perçoit sans discrimination, car j'ai la vérité, ma vérité ou mes croyances, la question demeure. Je suis ma propre orateur, mon auditoire sont mes pensées et je m'émeut par mes propres émotions, mes ruminations qui créent indéniablement l'empreinte vécue par l'image imposée par la société, la famille, les amis, les médias et les croyances involontairement ancrées dans mon cerveau et qui guideront longtemps mes choix, mes envies, mes désirs d'être plutôt que de parler. Platon, l'élève de Socrate, disait que la rhétorique peut parfois nous éloigner de la vérité et nous séduire avec des discours promettant puissance et richesse. En fin de compte, la rhétorique est un or puissant qui peut persuader et influencer, mais on doit toujours garder un esprit critique et se méfier des discours qui nous promettent monts et merveilles. Et maintenant, un parallèle de la rhétorique et moi. Comment apporter un parallèle à notre petite voix intérieure reliée à l'image de soi, la critique, les croyances auto-suggérées, tel un Socrate dans notre cerveau qui discute avec Platon en joute oratoire à l'infini. La petite voix intérieure, souvent appelée conscience, peut en effet être comparée à un dialogue entre Socrate et Platon dans notre esprit. Socrate était connu pour ses dialogues avec les Athéniens et Platon, son étudiant, poser des questions pour amener les gens à réfléchir profondément sur leurs croyances et leur vérité intérieure. C'est exactement le discours intérieur qui a émergé en moi, particulièrement au cours de la dernière décennie, en lien avec mon image. Platon, lui, représente la partie de nous qui prend du recul pour analyser nos pensées et nos croyances. Il cherche à comprendre, à structurer nos idées, à donner un sens à nos expériences et à nos émotions. Il cherche à trouver des modèles et des schémas de pensée pour mieux comprendre le monde qui nous entoure. De la même manière, notre petite voix intérieure peut être vue comme un dialogue entre ces deux grandes figures philosophiques. Socrate représente la voie de la remise en question du questionnement critique et de la recherche de la vérité. Il pose des questions contraignantes et invite à réfléchir sur nos croyances, nos actions et nos motivations. Cette voix peut parfois sembler agaçante, mais elle nous pousse à grandir, à nous améliorer et à évoluer. J'ai croisé des personnes lumineuses par leur savoir et inspirantes par leur savoir-être, comme Maricela, qui ne répond jamais à mes questions. Elle me propose une façon différente d'aborder mes craintes, mes incertitudes. Encore aujourd'hui d'ailleurs, elle me sort de ma zone, j'adore. Ou encore des conférenciers, des influenceurs comme on les appelle, Facebook, Instagram, ces médias qui m'ont servi et m'offrent encore des mots différents à mon discours intérieur et qui m'est propre. Elles m'offrent des pistes pour challenger mes convictions qui modulent ma façon d'aborder la vie et qui m'assagissent au gré des saisons. Des centaines de personnes m'ont offert des phrases, des anecdotes, des histoires ou des mots qui ont coloré la femme que je suis ici et maintenant. Par exemple, en 2023, mon mot était « bienveillance ». Bienveillance envers moi, c'est LA partie que j'ai perfectionnée, je dirais. Car pour les autres, j'étais ceinture noire. Pour moi, je me tenais à peine debout en équilibre. Cette année, mon mot est « grandiose ». Il a une résonance absolument sursalente pour moi car en lisant lentement, j'entends grandis et oses. Vous l'entendez, vous aussi? Il est mon plan d'action chaque jour, au quotidien. Ma rhétorique intérieure est centrée sur ce mot et mes choix sont basés sur celui-ci également. Ce qui fait que Socrate et Platon sont mes meilleurs amis pour garder le focus et me faire grandir en osant chaque jour me sortir de mon petit confort. Par exemple, ce podcast qui m'insécurise depuis des semaines car je n'y connaissais rien est mon centre du perfectionnisme associé à ma vie de mère monoparentale, qui travaille à temps plein et qui ose prendre un cours de son pour comprendre, apprendre et créer des podcasts. Tout ça dans le but ultime de changer ma rhétorique intérieure qui me glace le sang et m'empêche d'accomplir, enfin oser, essayer, oser quelque chose de nouveau et qui m'interpelle depuis longtemps, trop longtemps. Le dialogue entre Socrate et Platon dans notre esprit symbolise notre capacité à remettre en question nos croyances, à analyser nos pensées et à chercher la vérité. La petite voix intérieure, comme ce dialogue, peut nous guider vers une meilleure connaissance de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. En fin de compte, Socrate et Platon représentent la lutte constante entre la remise en question et l'analyse profonde, une lutte qui contribue à ma croissance personnelle et ma relation avec moi. L'ouvrage, elle vient d'où finalement ? Et bien selon moi, nous bâtissons notre image, celle qui nous représente de diverses façons, physiquement, émotionnellement, psychologiquement et professionnellement vis-à-vis le monde qui nous entoure. Elles sont les clés qui construisent nos croyances, notre estime de soi et notre réputation. Sur le plan physique, notre apparence, notre style vestimentaire, notre langage corporel et nos expressions faciales contribuent à la perception que les autres ont de nous. Sur le plan émotionnel, la façon dont nous gérons nos émotions et nos relations avec les autres jouent un rôle important dans la construction de notre image. Sur le plan psychologique, nos croyances, nos valeurs, nos pensées et notre capacité à surmonter les obstacles influent sur la manière dont nous sommes perçus. Sur le plan professionnel, notre réputation et notre crédibilité dépendent de notre capacité à fournir un travail de qualité et à maintenir des relations professionnelles solides. La construction de notre image, c'est un peu comme jouer au Lego. On empile des briques, les unes sur les autres, pour créer quelque chose de solide, unique et impressionnant. Ces briques représentent notre apparence physique, notre comportement émotionnel, notre attitude professionnelle et nos interactions avec les autres. Mais attention, il est important de choisir soigneusement ces briques, qu'elles soient colorées, brillantes et solides pour que notre construction soit vraiment hot. En ce qui concerne nos croyances, notre estime de soi, notre réputation, c'est un peu comme cuisiner un plat parfait. On mélange un peu de confiance en soi, une pincée d'intégrité, une dose d'empathie et on assaisonne tout avec une bonne dose de sens de l'humour. Parce que, soyons honnêtes, tout est plus facile à affronter avec un rire bien senti. En outre, la communication efficace, l'empathie, l'ouverture d'esprit et la volonté de s'améliorer contribuent également à renforcer notre image. En fin de compte, la construction de notre image repose sur notre capacité à cultiver la cohérence entre nos valeurs, nos comportements et nos interactions avec les autres. Ça nécessite une prise de conscience de soi, une réflexion sur nos actions et une volonté de grandir et de s'améliorer en permanence. J'ajouterais cette étincelle qui fait que nous, des êtres uniques et mémorables, parce qu'au bout du compte, c'est cette étincelle qui rend notre construction vraiment spéciale. La rhétorique, c'est un peu comme l'art de la persuasion. Imagine, tu veux convaincre tes amis de partir en voyage dans un endroit que tu adores. Tu vas leur parler des paysages magnifiques, des activités super fun à faire là-bas. Tu vas peut-être même exagérer un peu pour les convaincre. C'est exactement ce que les politiciens par exemple font pour obtenir des votes. Ils utilisent des discours persuasifs pour convaincre les gens de les soutenir. Mais attention, la rhétorique a ses côtés sombres. Si elle est utilisée de manière manipulatrice, elle peut avoir des conséquences néfastes. Ça peut influencer négativement les gens, les pousser à prendre des décisions basées sur leurs émotions plutôt que sur la raison. C'est un peu comme quand tu te laisses convaincre d'acheter quelque chose que tu n'avais même pas besoin juste parce que le vendeur t'a fait un beau discours. Cette rhétorique intérieure, cette critique intérieure, je me suis aperçue au cours des dernières années que c'est mon Platon qui s'était endormi. Et il a fallu réactiver et lui laisser la place pour pouvoir donner la rhétorique à Sackfette, mon Sackfette, et trouver le vrai, le juste qui est étroitement lié à mes valeurs, mon essence, et que tout ce qui vient de l'extérieur n'a aucun poids sur ce que je suis ou ce que j'ai l'air. C'est tout. Finalement, tout ce que nous devons avoir est en nous. Et au lieu d'attendre les beaux compliments, les beaux discours des autres pour nous, être continuellement dans le mode attente d'avoir des encouragements, des validations de tout ça, ce discours, il nous appartient et c'est le nôtre qui prime. J'ajouterais que c'est le seul et unique discours qui est vrai car nous sommes les seuls à savoir qui nous sommes et d'où nous venons. C'est maintenant la fin et chers amis, je vous laisse avec ça. Ce mélange de sagesse grecque-antique d'expérience de vie que j'apporte à votre discours intérieur. Pour ceux d'entre vous qui me connaissent, c'est typiquement moi, Cathy, dans toute ma splendeur, filles, femmes et mères. Un peu farfelues, j'admets, mais qu'est-ce que la vie sans un peu de fantaisie? J'espère que ce podcast vous inspirera la réflexion. Dans mon deuxième, je vous parlerai de mon étincelle, celle qui a allumé ma mèche, mon inspiration. Retenez une chose de ceci, nous sommes tous beaux, uniques et précieux tout comme les histoires que nous avons à partager. Célébrons, célébrez et goûtez à la vie. Choisis tes pensées car elles sont le berceau de tes actions. Parce que, après tout, n'est-ce pas là l'essence même de la rhétorique, selon mes amies Socrate et Platon. Tchin tchin à la vie, à l'image et à toutes les merveilles et folies qui nous attendent. On se retrouve au prochain épisode et en attendant, soyez vrai, soyez vous, soyez ce que vous avez de plus beau. Je suis Cassie Panagiotopoulos, la grecque qui jase son image intérieure dans le but de vous inspirer.

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