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Listen to Saison 1 épisode 1 by Jhon Brigth Pressaille MP3 song. Saison 1 épisode 1 song from Jhon Brigth Pressaille is available on Audio.com. The duration of song is 25:36. This high-quality MP3 track has 513.274 kbps bitrate and was uploaded on 28 Apr 2024. Stream and download Saison 1 épisode 1 by Jhon Brigth Pressaille for free on Audio.com – your ultimate destination for MP3 music.
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In this podcast episode, the speaker discusses social pressure among young people. They talk about how social pressure affects young people online, how social media contributes to social pressure, challenges faced online, and how to help young people manage social pressure online. The speaker emphasizes that social pressure can be both positive and negative, but it often leads to negative outcomes such as stress, anxiety, and even mental health issues. They also mention that social pressure is particularly difficult for young people as it is constantly present on social media platforms. The speaker provides examples of how seeing others' material possessions or comparing oneself to others on social media can influence young people's behavior and desires. They also mention that marketing on social media platforms adds to the pressure. The speaker concludes by discussing the amount of time young people spend on social media platforms and the impact it has on their lives. Bonjour à tous et bienvenue dans mon podcast au rythme de pressailles et pour notre premier épisode dans notre podcast et je vais parler avec vous de ce sujet, c'est la pression sociale chez les jeunes. Pour ce sujet je vais, c'est long, c'est un grand grand sujet mais pour ce premier épisode je vais développer les points suivants. Comment la pression sociale affecte-t-elle les jeunes en ligne? Comment les réseaux sociaux contribuent-ils à la pression sociale? Et troisième point, défis en ligne et pression sociale et quatrième point que je vais développer dans ce sujet, c'est comment aider nos jeunes à gérer la pression sociale en ligne? Et déjà je vous dis bonne écoute et nous allons commencer. Premièrement, c'est quoi la pression sociale chez les jeunes? En l'occurrence, on dit que la pression sociale est une forme d'influence exercée sur les jeunes par des personnes de leur âge ou par des personnes plus âgées, laquelle implique en général de les persuader de faire quelque chose qu'ils ne feraient probablement pas dans d'autres circonstances. Quand elle se manifeste dans un espace numérique tel qu'un réseau social, un jeu vidéo ou une discussion de groupe sur une application de communication, on peut parler de pression sociale en ligne. La plupart du temps, c'est souvent considéré comme négatif. La pression sociale peut pourtant aussi se réélever positive. C'est ça qu'on doit comprendre aussi. Parfois c'est négatif, mais parfois aussi ça se réélève positif. Elle encourage aussi à amener les enfants à adopter un comportement sain et à prendre des décisions raisonnables. Et comme on peut donner des exemples, si l'enfant décide de rejoindre un club, de participer à un projet scolaire ou arrêter de fumer par exemple, toutefois, son potentiel néfaste reste toujours très élevé. Et en résumé, la pression sociale c'est quelque chose qui peut être révélée positive et aussi négative. Quand on parle de positivité, c'est le fait que l'enfant ou le jeune, il s'intègre dans un club, que ce soit un club de lecture, que ce soit un club de football, mais quelque chose qui va l'empêcher ou quelque chose qui est là, mais il peut attirer à de bonnes choses. Ou aussi participer à un projet scolaire ou si le jeune avait l'habitude de fumer, il a arrêté de fumer par exemple. Mais comme on dit, c'est très, très, très élevé. Et aussi, on peut parler aussi le partage des photos, les discussions de groupe et constamment chez les jeunes, il y a une pression sociale intense. Ça, c'est en fait une définition globale et pour pouvoir comprendre c'est quoi la pression sociale chez les jeunes. Nous avons donc notre premier point, c'est quoi? C'est comment la pression sociale affecte-t-elle les jeunes en ligne? L'influence et la pression que les enfants ressentent dans leur environnement, y compris la tendance à se comparer aux autres utilisateurs sur les réseaux sociaux. Et c'est très simple. On arrive sur un des réseaux sociaux et on est en train de passer notre fil d'actualité et là du coup, on voit quelqu'un qui a une grosse voiture ou qui expose ou qui montre ses montres. Et ça, ça peut faire quoi? Ça peut influencer ou ça peut affecter un jeune. Et ça peut même provoquer du stress, de l'anxiété et ça peut même aller encore plus, plus, plus loin, c'est une baisse de morale. Et quand on parle de baisse de morale, on sait ça peut faire quoi, la dépression, tout ça. Et aussi, on dit que la pression en ligne est particulièrement difficile pour eux, car elle ne disparaît pas à la sortie de l'école. C'est quoi exactement? On va dire qu'à l'école primaire, il y a des enfants ou des jeunes, il y a un autre qui arrive avec un Nintendo Switch, mais dans sa classe, il est le seul à l'avoir. C'est sûr que ça va influencer les autres enfants à vouloir jouer et aussi ça va influencer d'autres enfants aussi à vouloir avoir le même jeu. Mais par contre, cette influence là, on va dire qu'il y a des enfants, c'est au moment même qu'ils voient le jeu et là ils aimeraient l'avoir. Et après la sortie des cours ou après la sortie des classes, ça part. L'enfant, il n'a plus l'envie de continuer ou il n'a plus l'envie de fâcher ou il n'a pas ou il ne veut plus avoir ce jeu parce que quand il l'a vu, c'est là que ça l'avait influencé. Mais une fois laissé l'école, c'est travail pour l'enfant. Et aussi, on va dire aussi, parfois aussi, c'est quelque chose qui est en permanence sur les réseaux, c'est en permanence sur Internet aussi et ça donne souvent l'impression que les jeunes ne peuvent pas y s'échapper. C'est comme l'exemple tantôt, on est en train de faire défiler notre fil d'actualité et on trouve quoi? Il y a du monde qui monte, qu'est-ce qu'ils ont à la maison, des voitures, tout ça. Ça c'est quelque chose que de nos jours, les jeunes, c'est pas facile de ne pas voir ces gens de choses parce que dès qu'on va sur Instagram, sur TikTok ou Facebook et qu'on voit toujours, on voit ces vidéos, ça c'est quelque chose qui se passe quotidiennement et on ne peut rien faire pour ça. Et c'est un sentiment de piège et ça peut provoquer le développement des troubles mentaux graves ou des comportements dangereux. Et vous savez, quand on parle de comportement dangereux ou des troubles mentaux graves, chez un jeune, c'est pas quelque chose qu'on prend à la légère, c'est pas quelque chose de très facile. Et c'est ça qu'on peut dire et la pression sociale, comment affecte-t-elle les jeunes en ligne? C'est ça. C'est en voyant les fil d'actualité, en voyant qu'est-ce que la personne, ils possèdent et nous, on aimerait avoir la même chose. Ou aussi, on pense que le moyen le plus facile de le faire, c'est de faire quelque chose qui n'est pas correct, que ce soit pour nous, que ce soit envers d'autres personnes. Ça, c'était le premier point quand on était en train de développer sur le sujet la pression sociale chez les jeunes. Ça, le premier point, c'est comment la pression sociale affecte-t-elle les jeunes en ligne? Et là, nous allons aborder notre deuxième point, c'est comment les réseaux sociaux contribuent-ils à la pression sociale? Je vais faire une brève lecture pour vous et aussi, je vais vous donner des chiffres et comment c'est, pas juste des chiffres, mais c'est un rapport annuel de 2022 qui a été fait et il nous montre le nombre de temps passé par les jeunes sur les réseaux. Et vous allez trouver ça, je ne sais pas, pas correct ou quoi que ce soit d'autre, mais c'est la réalité. C'est dans ce monde qu'on vit présentement. Et tous les utilisateurs des réseaux sociaux se sentent plus ou moins obligés de se conformer à l'apparence et aux actions des autres. C'est comme je l'ai dit plus tôt. Et si je vois quelqu'un, il a un iPhone 15, le jeune, il va avoir l'envie aussi d'avoir l'iPhone 15. Il va commencer à mettre la pression sur ses parents en disant ah, le fils de M. X, il a ça, pourquoi moi, je ne peux pas avoir ça aussi? Et ce n'est même pas les adultes aussi ou les jeunes, mais oui, ce n'est pas les jeunes seulement, mais nous aussi les adultes, parfois on a tendance à être influencé par ça. Si on voit quelqu'un, il a un nouveau téléphone, ah, l'envie ou on aimerait l'avoir, on aimerait avoir un aussi. Ou l'iPhone tel, tel numéro est sorti, le Samsung de tel numéro est sorti et qu'est-ce qu'on dit? On aimerait l'avoir aussi. Ça c'est les influences. Et aussi il y a le marketing qui se passe sur les réseaux sociaux. Et en voyant ça, nous, on aimerait avoir la même chose. Et en le voyant, on dit bon, il est en promotion ou il vient de sortir ou je dois l'avoir parce que mon collègue ou ma soeur ou mon frère ou mon ami, il va l'avoir aussi ou il l'avait même précommandé. Et ça, c'est quelque chose qui nous met la pression aussi. Il dit, ce type de comparaison sociale, avec ces plateformes, il touche même les adultes comme je l'ai dit tout à l'heure et aussi les enfants. Et aussi, ils ont dit que c'est bien plus sensible à l'influence de leurs camarades, en particulier à la préadolescence et à l'adolescence. Cela fait partie des courbes normales de leur développement. Et c'est ça. Ce n'est pas facile pour un jeune. Et surtout, quand il s'agit d'images vues sur Instagram, des snaps partagés sur Snapchat, des vidéos regardées sur TikTok ou des messages privés reçus sur n'importe laquelle de ces plateformes, ça va inciter nos jeunes à vouloir avoir la même chose. Ça va faire en sorte que la pression, il monte à un niveau qu'on ne comprendra pas. Et c'est ça qui arrive. Alors, il y a un rapport qui est sorti en 2022 qui nous dit que voilà le nombre de temps que les jeunes d'aujourd'hui, ils passent sur les réseaux. Ça dit, en général, les jeunes, ils passent 59% de temps ou en moyenne par jour à visionner les réseaux sociaux, Facebook, Instagram, TikTok, tout. 59%. Ce n'est pas juste, c'est 59%. Ça, c'est quoi en général? Ça, c'est le temps passé sur ces applications vidéos populaires chez les jeunes. Et ils disent aussi, on peut juste faire une brève description et pour YouTube, les jeunes, ils passent 63% de leur temps dessus. Netflix, c'est 39%. Disney Plus, c'est 22%. Et Amazon Prime, c'est 13%. Et Twitch, c'est 11%. Ça, c'est un rapport qui a été sorti en 2022 qui parle aussi. Un jeune qui passe, on va dire 63% de son temps à regarder YouTube, c'est sûr que la pression sociale va faire un impact sur sa vie. Parce que quoi? Il va en train de regarder ou voir des personnes qui vont montrer ce qu'ils ont, tout ça. Et ça, c'est quelque chose qui va rester dans la tête de l'enfant. Ce n'est pas quelque chose qui va vouloir sauter du jour au lendemain. Et avec ça, ça va faire quoi? Ça va inciter l'enfant à essayer d'avoir les mêmes choses. Et en essayant d'avoir les mêmes choses, ça va faire, je pourrais dire, ça va causer des problèmes à l'enfant et à la famille, surtout si c'est du mauvais côté. Ça, c'est comment les réseaux sociaux, ils contribuent à la pression sociale des jeunes de nos jours. Et c'est quoi le défi en ligne et la pression sociale? Ils disent que c'est un des moyens qui, on va dire, c'est un cinéma ou c'est une chorégraphie amusante. C'est ça, c'est créer une chorégraphie amusante et qui contribue même un bon moyen de se sentir intégré. C'est le défi en ligne et la pression sociale. C'est quelque chose qui, on va dire, c'est une chorégraphie amusante et pour les jeunes, c'est quelque chose qui ne présente aucun risque et contribue même un bon moyen de se sentir intégré, intégré dans quoi? Intégré dans notre société. Et on peut trouver des exemples avec tout ça. On va dire, de nos jours, nos jeunes, ils ingèrent des quantités excessives de médicaments pour perdre du poids. Oui, parce qu'il ou elle a vu son ami parce que son ami n'est pas une personne forte et elle aimerait être comme son ami. Ou aussi, parfois, c'est la société aussi qui fait en sorte qu'on se sent mal dans notre peau par rapport à notre grosseur, par rapport à notre taille, par rapport à je sais, on peut prendre plusieurs exemples. Et la société, elle nous met cette pression. Ah, si vous êtes une personne forte et vous n'êtes pas bon, mais lui étant donné qu'il est maigre, qu'il est mince, lui, il est bon. Alors, ça fait en sorte de créer une pression aussi chez les jeunes adultes. On peut prendre aussi le deuxième point, c'est de manger des objets non comestibles. Ou aussi de retenir sa respiration. Ou aussi de cuisiner avec des médicaments sans ordonnance. Juste pourquoi? Parce qu'il s'est laissé influencer ou à cause de cette influence, il va avoir la pression sociale. Parce qu'aux yeux de la société ou aux yeux de ses amis, elle n'est pas correcte. Sa grosseur n'est pas correcte. Parce qu'elle ne peut pas emprunter une robe à sa meilleure amie, parce qu'elle n'est pas correcte. Parce qu'elle ne peut pas être à vue avec ses meilleurs amis, parce qu'elle est une femme forte. Alors, de ce fait, ça provoque cette pression sociale chez les jeunes. Et aussi, pour terminer avec cet premier épisode, et ce n'est pas la fin, parce qu'on va continuer sur cette série aussi de notre première saison. Alors, c'est-à-dire comment aider vos enfants à gérer la pression sociale en ligne. Et on va toujours rester, on va dire, le moyen de soutenir et de protéger les enfants est de savoir ce qu'ils regardent, ce qu'ils font, tout en maintenant une communication permanente avec eux. C'est très simple. Il faut toujours essayer de comprendre ou qu'est-ce que nos enfants, ils regardent sur les réseaux sociaux, et c'est quoi les groupes d'os, c'est qui ses amis, et de quoi, comment ça fonctionne avec ses amis, c'est quoi les activités. Et aussi, en parlant ou en faisant ça, on peut même fixer des limites raisonnables aux jeunes et les encourager à un dialogue ouvert et honnête. C'est ça. Il faut être honnête avec eux et prêt à dialoguer. Et il ne faut pas avoir peur de parler des adultes ou des parents, de parler de la pression sociale à vos enfants. Il faut les expliquer que tout le monde, tout le monde ressent par un moment. C'est tout le monde. À un moment donné, on sent la pression sociale. Et aussi, il faut, en tant qu'adulte ou en tant que parent, d'écouter les expériences de nos enfants et d'écouter l'expérience qu'ils ont vécue à ce sujet. Peut-être l'enfant, il se laisse influencer sur la cour de l'école. Comme l'exemple, il y a quelqu'un qui arrive avec un Nintendo Switch et l'enfant, il n'en a pas un. Alors oui, ça va l'influencer. Oui, il va vouloir avoir la même chose. Et il faut essayer de parler avec les enfants ou qu'est-ce qu'il a vu sur l'Internet qui l'a influencé. Et aussi, il faut avoir une certaine curiosité plutôt qu'une aptitude accusatrice ou humiliante. Ce n'est pas bon ou ce n'est pas agréable de pouvoir ou d'avoir l'envie d'humilier les enfants quand ils veulent nous parler de quelque chose ou de ce genre de choses. Au contraire, il faut les écouter attentivement. Deuxième point aussi, étant donné que nous on est les parents, on peut même évoquer, on peut même évoquer nos expériences. Il faut expliquer aux enfants à quoi ressemblait la pression sociale lorsque vous avez leur âge. Ne commence pas à dire à l'enfant, moi je n'ai jamais eu la pression sociale. Non, il ne faut pas cacher ça. Il faut expliquer à l'enfant nos expériences. Et comme ça, ça va instaurer un climat de confiance avec l'enfant et c'est ça qui va faire en sorte que l'enfant, il va se sentir plus à l'aise. Il va prendre conscience de la situation que vous, vous souhaitez les soutenir. C'est ça. Et aussi, il faut essayer aussi à faire, essayer de demander à nos enfants de prendre des pauses régulières sur les réseaux sociaux. On va dire un moment famille, on dépose le téléphone, on dépose la tablette, on dépose l'ordinateur, on est juste en famille et on parle de tout. On est en famille, on explique leur qu'il est facile d'en oublier le reste, surtout en ligne et il faut essayer de prendre du recul, peut les aider aussi à avoir une meilleure vue d'ensemble. Et on peut assurer aussi que nos enfants sachent à qui s'adresser. C'est ça. Il faut établir notre lien de confiance avec les enfants. Il faut expliquer ou il faut évoquer nos expériences et aussi encourager les enfants à prendre des pauses régulières sur les réseaux sociaux. Et, point 4, il faut assurer que nos enfants sachent à qui s'adresser. C'est comme si notre enfant il ressent une certaine pression de la part de camarades ou en ligne, ils auront besoin de quelqu'un vers qui se tourner pour se soutenir. Il peut s'agir de vous en tant que parent, d'un enseignant, d'un membre de votre famille ou d'une autre personne de confiance. Alors, pour éviter tout ça, il faut déjà créer le lien de confiance avec vos enfants. Il faut aussi fixer des limites à atteindre raisonnables adaptées à leur âge concernant l'utilisation des appareils et veiller à ce qu'elles soient respectées. Oui, je sais, à 23 ans, dès que le jeune, il a 14, 15 ans, il peut avoir un enfant, un téléphone, il est partout avec son téléphone. Nous, les parents, on perd le contrôle. Mais il faut essayer de fixer ce genre de limites. Et il y a, je pense qu'il y a des compagnies téléphoniques ou qui vendent l'Internet, il y a des restrictions parentales, il y a des restrictions qu'ils mettent sur, on va dire, sur leurs applications qui permettent de contrôler ou qui permettent de bloquer des applications ou des sites que l'enfant aurait envie d'aller visiter. Il faut fixer ce genre de limites. Et ainsi, vous allez voir que ça va faire quoi? Ça va faire en sorte que l'enfant, il va être ou le jeune, il va être encore plus à l'aise, il va avoir la confiance en nous et il ne va pas, il ne va pas se dévier, je ne veux pas dire qu'il ne va pas avoir la pression sociale, mais avec un parent qui l'écoute, avec un parent qui l'aide à comprendre, c'est sûr que ce n'est pas la même chose avec un enfant qui s'est laissé tout seul. Et merci pour votre écoute. Et déjà, je vous dis, il faut vous abonner pour ne manquer aucune nouvelle publication. Et merci d'être avec nous. Et maintenant, c'est la fin de notre premier épisode et je vous souhaite déjà bonne écoute.
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