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Histoires et Avenir de l'éducation de Jacques ATTALI chez Flammarion

Histoires et Avenir de l'éducation de Jacques ATTALI chez Flammarion

HOUYENGAHHOUYENGAH

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Achetez ce livre... très riche d'enseignement.

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In his book "Histoire et avenir de l'éducation," Jacques Attali discusses the importance of knowledge accumulation and transmission throughout history. He argues that access to quality education is crucial for the future of humanity and warns against the dangers of ignorance and poorly mastered technology. Attali offers radical choices to combat barbarism and emphasizes the need for education to foster a benevolent world in harmony with nature. He also addresses the impact of artificial intelligence on learning and expresses concerns about the reliance on search engines like Google for information. Attali presents 20 recommendations, including guaranteeing access to education, promoting lifelong learning, protecting children, and fostering critical thinking and creativity. He calls for increased funding for public education and research, parental education, early introduction to philosophy and environmental issues, and social integration in schools. Attali emphasizes the importance of Je partage ici un extrait du dernier livre de Jacques Attali, ce livre est intitulé « Histoire et avenir de l'éducation » publié chez Flammarion, c'est un livre qu'il faut absolument acheter, si je partage cet extrait c'est pour vous pousser à l'acheter. Alors en quatrème de couverture, que serait devenue l'humanité sans tous ceux qui depuis des milliers d'années ont accumulé, protégé, partagé des connaissances ? Que serions-nous si la Bible, les œuvres de Platon et d'Aristote, les mathématiques d'Algebra, la poésie de Guillaume, la musique de Mozart avaient disparu ? Qu'en sera-t-il à l'avenir ? Depuis l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui, de la Mésopotamie à la Chine, de Jérusalem à la Venise, de Paris à Londres, de New York à Shanghai, les façons de transmettre les savoirs ont joué un rôle déterminant dans l'évolution des cultures, des rapports de pouvoir, des idéologies et des religions, les puissants cherchant le plus souvent à priver les peuples et d'abord les filles des savoirs menaçant leurs privilèges. Aujourd'hui la situation s'aggrave, très peu de personnes ont réellement accès à une formation de qualité. Demain, si on y prend garde, l'humanité sombrera dans une nouvelle barbarie faite d'ignorance et de technologies mal maîtrisées. Pourtant, nous avons les moyens de former tous les humains et de mettre l'éducation au service d'un monde bienveillant, en harmonie avec la nature. Alors, plus qu'une histoire mondiale de l'éducation et de son avenir, ce livre propose des choix radicaux pour lutter contre la barbarie, des choix sans lesquels l'humanité ne pourra survivre. Jacques Attali a écrit 86 essais, romans, biographies, pièces de théâtre, mémoires traduites dans plus de vingt langues. Il a enseigné dans les plus grandes écoles et universités françaises, créé quatre institutions internationales et a été pendant dix ans le principal collaborateur du président François Mitterrand. Ce livre, intitulé « Histoire et avenir de l'éducation » a été publié dans la collection Flammarion. Achetez ce livre. J'ai deux sujets. Le premier qui porte sur l'intelligence artificielle et puis le deuxième qui porte sur la notion de capital, capital de connaissances transmises. Hier, quand on avait une question, qu'est-ce qu'on faisait ? On la posait à une personne qui pouvait répondre. C'était l'enseignant, c'était la famille. Et puis, pour aller encore plus loin, on avait accès à des bibliothèques. On pouvait aller chercher dans les bibliothèques des livres, si on avait accès bien sûr, c'était prêt, etc. On pouvait accéder à l'information au travers des bibliothèques. Voilà, donc ce qui fait que chercher une réponse à une question imposait forcément un acte physique d'engagement pour aller trouver la réponse. Donc aujourd'hui, en fait, ce n'est plus du tout le cas, c'est-à-dire qu'avec un smartphone, on s'oriente vers un moteur de recherche et tout le monde dit « Google, c'est mon ami, Google, c'est mon ami ». Mais personne ne se dit qui est Google, que contient Google, qu'est-ce qui est affiché, qu'est-ce qui ne l'est pas ? La question ne se pose même pas, pour beaucoup en tout cas. Conséquence, il y a une espèce de confiance aveugle à un moteur de recherche et la vraie question que l'on peut se poser, c'est est-ce qu'il est réellement un parfait, ou est-ce qu'il n'offre que certaines réponses ? Alors, si vous avez la possibilité d'utiliser d'autres moteurs de recherche comme Quantum, qui est un moteur de recherche français, ou d'utiliser un moteur de recherche plutôt neutre, DuckDuckGo, qui est utilisé dans le monde des Linuxiens, vous verrez que pour les mêmes questions posées, les réponses sont différentes. Deuxième sujet, elle porte sur l'intelligence artificielle qui fait parler beaucoup en ce moment. J'ai eu l'occasion d'acheter aujourd'hui un petit livre écrit en 1867, qui parle d'algèbre. Donc en 1867, c'était avant la commune de Paris, les ordinateurs n'existaient pas, et pourtant, le calcul matriciel existait, des gens parlaient d'algèbre, bizarrement, et il y a une question qui est posée, et en fait, je me dis, si on pose cette question là aujourd'hui à des étudiants qui ont passé le bac, qui sont incapables de répondre, donc ils vont s'orienter naturellement vers un outil peut-être qu'on appelle un chat GPT pour avoir la réponse. Hier, les anciens avaient la réponse, intégrant-le aujourd'hui pour avoir une réponse à une question, on passe par un intermédiaire électronique, une intelligence artificielle. En fait, ça ne me rassure pas, c'est-à-dire que l'intelligence artificielle n'augmente pas l'homme, elle vient tout simplement compenser un handicap qui est le fruit de l'éducation qui aujourd'hui est totalement décomposée. Le système éducatif est mort agonisant. Tout à l'heure, en déposant ma fille à l'école, j'espère que demain on n'aura pas grève, parce que moi je dois aller travailler, puis je prends le train, si je prends un allé que je n'ai pas de retour, je vais être très embêté, comme la semaine dernière où j'ai dû trouver une chambre d'hôtel en catastrophe, dans une ville où il n'y avait quasiment plus rien, en pleine nuit, parce que le train était annulé, je n'étais même pas informé. Bref, cette enseignante-là dit qu'elle est contre le système de prolongation des retraites actuelles, pourquoi ? Parce que son père qui a travaillé à la SNCF a pris sa retraite à 55 ans, il était en pleine forme, il l'est encore, il doit passer les 80 ans, donc il a passé 30 ans à la retraite, il est en pleine forme, donc elle, enseignante, elle n'est pas d'accord, parce qu'elle aussi voudrait partir à 55 ans, alors qu'elle est en pleine forme, sur un plan physique, elle est très jeune, mais sur un plan mental, je crois que c'est une handicapée qui a certainement besoin d'intelligence artificielle pour venir compenser un peu ce manque de jugeote. Ce n'est pas l'âge de départ à la retraite qui est important, c'est la durée de travail effective. Plus on travaille longtemps, plus on travaille dans de mauvaises conditions, plus on est forcément cassé. Donc, la SNCF, à un moment donné, ils étaient tous morts à l'âge de 60 ans, aujourd'hui ils ont la chance de vivre au-delà de 80 ans, tant mieux pour eux, mais est-ce qu'il faut toucher à l'âge du départ à la retraite ou est-ce qu'il faut toucher à la durée ? Donc, tout un débat. Alors, pour en finir, l'exprès de Jacques Attali, il dit 20 recommandations pour tout le monde. Garantir à tous l'accès à tous les biens de l'économie, de la vie, dont l'éducation, le logement, l'alimentation, la sécurité et les soins physiques et mentaux. Donc, il met en premier la santé. Garantir à tous un droit universel à l'apprentissage tout au long de la vie et reconnaître l'éducation comme un bien universel accessible à tous, quel que soit le genre de chacun, son revenu, son origine, son identité, son handicap. Troisième point, établir et faire respecter un code mondial de protection de l'enfance et de l'adolescence, en particulier interdire vraiment toute forme de perversion, de violence ou de coercition physique, verbale ou numérique. Quatrième point, promouvoir la sincérité, la curiosité, la motivation, le goût de la raison, de la créativité, de l'art, de l'esprit critique. Cinquième point, aider chacun à devenir soi et à être un citoyen actif de l'humanité. Sixième point, doubler progressivement les financements nationaux et internationaux de l'éducation publique et de la recherche dans la perspective du basculement vers l'école hybride. Septième point, former les adultes au métier de parents comme on les accompagne au moment de la naissance de leurs enfants, leur faire prendre conscience de l'importance pour eux des études de leurs enfants. On ne naît pas parent, on le devient et il faut, si la santé aujourd'hui, si le système social a explosé, il faut que les parents soient accompagnés puisque aujourd'hui on se débrouille un peu tout seul. Huitième point, enseigner dès l'âge de 4 ans la philosophie et les enjeux de la survie de la planète. Bon, ma fille, elle est bien partie sur ce plan-là, les enfants ont bien été formés. Neuvième point, interdire l'usage de tout écran jusqu'à l'âge de 6 ans. Alors, je fais très attention en limitant, pour ma petite dernière effectivement, le temps écran parce que les écrans abrutissent, on ne se pose plus la question, on ne fait que regarder bêtement. Dixième point, veiller à ce que tous les enfants aient accès à une école maternelle de haute qualité. L'école maternelle, ce n'est pas une garderie qui permet aux parents d'aller travailler et payer leur endettement. L'école maternelle, ça doit permettre aux enfants de s'éveiller réellement, ce n'est pas un enclos avec des jeux de niais. Onzième point, organiser une scolarité obligatoire dans une école hybride telle que définie plus haut jusqu'à 16 ans avec le droit à une formation jusqu'à 18 ans et les moyens d'étudier jusqu'à 23 ans. Douze, imposer une mixité sociale dans tous les établissements d'enseignement y compris privés. Alors, c'est pour dire que dans certaines villes, notamment Paris, dans certains quartiers, les écoles sont fermées, on a même quasiment des bunkers, t'es riche, tu es dans une famille connue, ok, on te prend. Donc, on est sur une espèce de caste qui s'est développée et qui est encore plus importante avec tous ces enfants qui peuvent se permettre de faire Sciences Po et qui n'ont jamais fait une vaisselle ou qui n'ont toujours pas payé un moment derrière eux pour payer et qui sont maintenant encadrants ou cadres dirigeants et qui prennent des décisions d'imbéciles quoi. Parce qu'ils n'ont connu qu'un système, une certaine logique qui est hors sol comme on dit. Ils n'ont pas les pieds sur terre, ils se croient. Donc, imposer une mixité sociale dans tous les établissements d'enseignement y compris privés. Treizième point, enseigner universellement le nouveau quadrivium science, art, valeur et écologie. Quatorzième point, promouvoir massivement la pratique du sport, la connaissance de la nature et la diversité du vivant. Quinzième point, développer la recherche comme un élément essentiel de l'enseignement. Donc la recherche fait partie de l'enseignement. On ne met pas la recherche dans des structures privées qui demain font une hypothèse que tel ou tel produit fonctionne et comme le système public est totalement anéanti, il n'y a pas de critique possible. On se retrouve à vendre des vaccins avec tout un système de financement, de corruption où les gens touchent des pots de vin pour imposer des vaccins à tout le monde. C'est ce qu'il y a eu là en France, notamment avec von der Leyen et Pfizer, des personnes qui ont été achetées par les laboratoires parce qu'il n'y avait pas en face un système public qui pouvait critiquer. Donc développer la recherche comme un élément essentiel de l'enseignement. Seizième point, valoriser la profession enseignante et celle de tous ceux qui, d'une façon ou d'une autre, assistent les enfants. Les enseignants qui sont payés comme des moins que rien, forcément, ils donnent un service de moins que rien. Pourquoi se fatiguer quand à la fin du moyen il reste à peine 200 euros ou 500 euros et qu'on n'est pas en capacité de s'offrir le dernier écran ? Les enseignants aujourd'hui, s'ils ont une seule chose qui peut peut-être être reconnue, c'est qu'ils ont du temps parce qu'ils travaillent fondamentalement moins en contact avec les élèves, ils sont plus, soi-disant, à refaire leurs cours, mais est-ce qu'ils les refont réellement ? Donc, il faudrait valoriser justement la profession d'enseignant, non pas à travers les salaires, uniquement en mon sens, bien sûr, mais peut-être les pousser à faire un peu plus. 17. Assurer une relation intense entre les enseignants et les familles qui partageront la charge de l'école hybride. Alors, on retombe sur le local, bien sûr, concrètement, ce n'est pas une directive qui tombe du central du ministère qui dit voilà, il faut faire ça comme ça, non, il faut remettre du social au niveau de l'enseignement. Donc, les familles ont le droit de citer, voilà, la note, votre enfant, il est nul ou je n'en sais rien, mais que peut apporter une famille dans l'école, peut-être expliquer ce que c'est qu'une vraie pratique, si on a un boulanger, il peut aller donner un cours de boulangerie à l'école, si c'est un mécanicien, il peut aller expliquer à l'école comment c'est la mécanique, un agriculteur, il peut donner à l'école ce qu'il faut, ce qu'il ne faut pas faire. Donc, assurer des relations intenses entre les enseignants et les familles qui partageront la charge de l'école hybride. Voilà, l'école n'est pas faite pour fabriquer de nouveaux esclaves rêvant d'être cadres managers voire PDG, quoi, il faut arrêter, l'école c'est fait pour affronter la vie, pas pour rêver un statut social. 18. Transformer les écoles et les universités en institutions d'apprentissage tout au long de la vie. Voilà, ça c'est, on ne peut pas arrêter d'apprendre, tout change, il faut s'adapter, il faut prendre le goût de l'apprentissage, mais donner envie d'avoir envie d'apprendre, c'est pas évident. Si on commence par dégoûter, c'est-à-dire qu'on crie sur les enfants, on les menace, si tu continues comme ça, tu seras éboueur. Les enfants, ils ne sont pas forcément en capacité de récupérer la mauvaise humeur des parents, quoi. Je sais ce dont je parle pour avoir été moi-même très mal, en tant qu'enfant, dans cette situation-là, mais avoir transmis à mes enfants, mes premiers, surtout mon garçon, un stress. Si tu continues comme ça, ta vie sera nulle, quoi. Ah ouais, ben non, ça se dit pas, ça se fait pas, chaque enfant est différent, il faut leur donner envie, vraiment donner envie d'apprendre. Alors, faire revalider tous les 15 ans les diplômes de ceux exerçant des professions mettant en jeu la vie d'autrui. Voilà, un médecin qui reçoit son diplôme et qui ne se forme pas étant meurtrier en devenir, au bout d'une certaine année. Donc, les diplômes, tout comme le permis de conduire, doivent avoir un délai de péremption et on doit faire ça dans tous les métiers. Quand on n'y arrive pas, il faut s'adapter, peut-être changer de filière, bien entendu, si le salaire est correct, il faut repenser ça, c'est revalider tous les 15 ans les diplômes et puis, voilà, dernier point, récompenser toute personne qui apprend. Ne jamais rémunérer qui refuse d'apprendre. Ne jamais rémunérer qui refuse d'apprendre. Un jour, j'ai eu à aller discuter avec quelqu'un, je dis, ben, la vie est difficile, ben, je vais t'offrir un livre parce que dans les livres, il y a quelques petites histoires qui permettent de comprendre. Et puis, cette personne qui est difficile sur un plan économique, qui n'a pas vraiment la possibilité de faire face et m'a dit tout simplement, ben non, moi je n'aime pas lire, j'aime pas, j'aime pas, j'ai pas envie d'apprendre. Donc, le fait de refuser d'apprendre, c'est une imbécilité par nature quand c'est grave. Qui peut se lever en disant je sais tout ? Ben, c'est jamais tout. Donc, comment rémunérer des gens qui refusent d'apprendre ? Comment intégrer, assimiler, c'est un mot que j'avais jeté mais que je pense reprendre parce que je crois qu'il mérite d'être revalorisé. Comment assimiler les bonnes volontés dans des environnements où ils ne sont a priori pas invités a priori ? Donc, d'abord, comment valoriser l'envie d'apprendre ? Comment valoriser l'envie d'apprendre ? Quand il y a quelqu'un qui dit je sais, je sais, ben, tu sais quoi ? Maintenant, toi t'es... Ben, ça c'est avant, maintenant on n'a plus besoin d'apprendre. On a tout sur internet. Ok, d'accord, merci, au revoir. C'est des personnes qui pensent tout savoir mais ça fait peur. C'est ce qu'on appelle une société nihiliste. Donc, le nihilisme par nature, c'est des personnes qui pensent être arrivés au bout du bout, se croient supérieurs et face à des absurdités, ben, ils rient. Ils rient. C'est-à-dire qu'ils ne sont pas impactés par le malheur et puis, ben, ils rient. C'est-à-dire qu'ils rient de la médiocrité des autres. C'est-à-dire qu'ils n'ont même pas envie de dire, ben, je vais peut-être aider, je vais peut-être essayer de faire vouluer, je vais peut-être améliorer. Non, non, ils rient. C'est-à-dire qu'ils sont satisfaits comme s'ils avaient fait caca sur eux, mais ça ne les gêne pas, quoi. Ils refusent, refusent ça. C'est terrible, quoi, ça fait peur. Quelqu'un qui dit, non, non, j'aime pas lire, moi, ça me fait peur. C'est comme si t'es face à un gouffre et que le gouffre a... une personne qui est face à un gouffre et qui dit, ben non, ben non, ça va. En gros, le gouffre a d'ignorance et ça ne gêne pas. Ça ne gêne pas. Même les animaux sont intelligents. Est-ce que l'intelligence artificielle va venir permettre à ces handicapés d'être un peu plus efficaces dans la société ou est-ce qu'il faut arrêter de faire croire que tout est facile, qu'on peut manger sans faire d'efforts, qu'on peut avoir des enfants sans faire d'efforts, qu'on peut acheter des enfants parce qu'on en a envie, qu'on est de sexe différent. Où est-ce que... non, non, mais où est-ce que... Voilà. Donc, histoire et avenir de l'éducation, c'est l'éducation qui doit être revue complètement et remettre au centre la valeur de l'homme dans sa nature. L'homme n'est pas un objet, c'est pas un produit à beurre qu'on consomme et qu'on jette et puis on oublie, non. Remettre la valeur et transmettre, accompagner, vivre ensemble, lier et valoriser donc la santé, l'éducation, le savoir, transmettre, accompagner et pousser, pousser, pousser, pousser les gens à se critiquer, à essayer de comprendre, à évoluer un peu plus. Achetez ce livre, il est vraiment magnifique, Jacques Attali, Histoire et avenir de l'éducation, publié chez Flammarion. Merci.

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