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Several interviews were conducted to gather feedback from the students and teachers at Parvimon School. The 6th-grade students expressed that the scenarios in MoZoom are not realistic and do not provide them with actual solutions. They also mentioned that the videos do not align with their interests, preferring scenarios related to soccer rather than conflicts involving a slinky. The students found the videos repetitive. The TS committee member also noted the repetitive nature of the topics and videos year after year. The 6th-grade students considered the MoZoom workshops a waste of time and felt that it was not well-suited to their level. Teachers in the first and second cycles had similar concerns, with some opting not to use MoZoom due to a lack of follow-up and guidance from the administration. The teachers felt that the correct answers in MoZoom were too obvious and did not allow for critical thinking. Some teachers even treated MoZoom as a game, intentionally giving incorrect ans Afin de recueillir les résultats à l'école Parvimon, nous avons fait plusieurs entrevues. Donc, il y a eu une entrevue avec certains élèves de 6e année. Il y a eu aussi une discussion auprès de toute la classe de 6e année. Nous avons fait des entrevues avec des enseignants dans différents cycles, ainsi qu'avec deux TS et la direction. Pour ce qui est des résultats obtenus par les élèves de 6e année, ils disent que les scénarios sont peu réalistes, donc ce n'est pas des vraies solutions qui leur sont présentées. De plus, ils disent que les vidéos ne touchent pas leurs intérêts, c'est-à-dire que les conflits vont être autour d'un slinky, tandis qu'eux auraient aimé des scénarios où les conflits sont autour de parties de soccer, par exemple. Ils disent aussi que les vidéos sont très répétitives. C'est la même observation qui a été faite par la TS, qui est dans le comité MoZoom, qui dit que d'année en année, c'est très répétitif, les sujets et les vidéos proposés. Les élèves de 6e année vont même dire que c'est une perte de temps, les ateliers faits sur MoZoom et que c'est peu adapté à leur niveau. Pour ce qui est des enseignants du premier cycle, une enseignante de première année va dire que MoZoom, elle ne l'utilise pas par lâcheté parce qu'il y a un manque de suivi et d'encadrement de la part de la direction. En deuxième année, les enseignants vont dire que les bonnes réponses sont trop évidentes pour les élèves, donc ça ne leur permet pas de réfléchir. Ils vont même considérer MoZoom comme un jeu, donc ils vont dire la mauvaise réponse afin de faire réagir le groupe. Cette observation a été aussi vue au deuxième cycle par les enseignants, puisqu'ils veulent chercher une réaction de la part de leurs collègues et l'enseignant du deuxième cycle va dire qu'il n'y a aucun bienfait à travers les ateliers. Pour ce qui est des enseignants du soutien émotif au premier cycle, la classe d'adaptation scolaire, les vidéos proposées sont beaucoup trop complexes, tandis qu'au deuxième et troisième cycle, ils vont plutôt utiliser MoZoom pour débuter une discussion. La TES va dire que MoZoom est mal utilisé puisqu'il n'y a aucun suivi qui est fait à la maison. Selon les données recueillies, il y a un maximum de trois élèves par classe qui font le réinvestissement avec leurs parents. C'est pour cela que cette année, la direction a décidé de remplacer MoZoom par Orpis l'an prochain, puisqu'elle dit que les coûts sont beaucoup trop élevés pour les résultats obtenus.