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Podcast  2

Podcast 2

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In this episode, Fatma discusses immigration to Canada. She explains that immigration occurs when a citizen leaves their country for various reasons, such as war, better education, a change of scenery, or to join family. Canada has strict selection criteria for immigrants, with three main types of selection: economic, family, and humanitarian. Economic selection is based on qualifications and skills that are in demand in the country. Family selection involves joining family members who are living in better conditions. Humanitarian selection is less common since Canada is not often involved in wars or in need of significant humanitarian aid. The economic selection category has the highest percentage of immigrants. Immigration has various positive effects, including sociological, economic, political, and cultural diversity. It brings new perspectives and norms to the country. Integration of immigrants also benefits the economy as they contribute by purchasing goods, creating businesses, Alors, bienvenue dans un nouvel épisode de Qu'est-ce qu'on en apprend avec Fatma. J'espère qu'aujourd'hui vous allez bien et que vous avez passé une belle journée, une belle soirée ou un bel après-midi. Et aujourd'hui, on va parler de l'immigration. Mais bien sûr, pas de n'importe quelle immigration, de l'immigration au Canada. Donc, en se rend peut-être pas compte, mais l'immigration, c'est lorsque un citoyen décide de quitter son pays pour diverses raisons, comme la guerre, pour avoir une meilleure éducation, pour changer de paysage ou pour aller rejoindre de la famille. Bien sûr, souvent, la plupart du temps, lorsqu'on quitte notre pays, c'est souvent parce qu'on sait que le pays qu'on va aller rejoindre va nous offrir des meilleures conditions pour quitter. Donc, en se rend peut-être pas compte, mais le Canada a un type de sélection très, très, très strict, ce qui nous remet quand même beaucoup de questions en compte parce qu'on accepte quand même 1 million d'immigrants par année, si c'est pas plus. Donc, le type de sélection se fait sur 3 types de sélection, 3 types de critères. On a le premier, qui est l'économique. C'est celui où est-ce qu'on regarde les diplômes, les études, c'est là où est-ce qu'on voit que leurs diplômes pourraient servir à quoi, comme dans le pays où il y a le plus de main-d'oeuvre en demande. C'est ces choses-là. Après ça, on a le familial. Le familial, c'est lorsque les citoyens décident de rejoindre leur famille ou est-ce qu'ils veulent, parce qu'ils savent que cette famille-là vit des meilleures conditions que nous. Et puis, on a le humanitaire. Le humanitaire, comme on sait à peu près, le Canada, c'est pas un pays souvent en guerre, si c'est pas très rare en guerre, si c'est pas jamais. On reçoit jamais de bombes, on a pas beaucoup de soldats qui vont dans... Oui, on a des soldats qui vont dans d'autres pays, mais peut-être pas comme... On se bat pas dans notre pays. C'est sûr que ce que ça fait, c'est que l'aide humanitaire des autres pays est moins en demande. Ça nous rend compte qu'au final, on n'a pas beaucoup besoin d'aide des autres pays. Le humanitaire et le familial sont les deux types de sélection les moins hautes en pourcentage. Tandis que l'économique, celui-là, il est vraiment haut, parce que c'est vraiment ce qu'on demande le plus. Bon, il y a plusieurs problèmes sur le fait que, comme en ce moment, la main-d'oeuvre, c'est très rare, même si on a encore des besoins, parce qu'il y a beaucoup de problèmes économiques, l'inflation, les gens qui trouvent pas la crise du logement, la crise du travail. C'est bon, il y a plusieurs aspects qui changent tout, mais nous, on va plutôt parler des effets positifs. Si on propose du Canada en 2024, mais du Canada en général, comme les effets que l'immigration peut amener. Donc, l'immigration peut amener plusieurs effets, que ce soit sociologique, économique, politique, même histoire. Ça permet de la diversité, de la culture, ça amène des nouvelles normes, de la nouveauté au pays. Ça permet aux gens qui, peut-être, n'ont jamais vu des personnes différentes de nous, surtout au début, parce que l'immigration a commencé un peu après la Deuxième Guerre mondiale. On venait de ressortir d'une guerre immense, puis là, on acceptait des nouveaux, ça fait comme un gros choc, les personnes ont dû changer. On se rend peut-être pas compte, mais on a quelques lois qui viennent avec l'immigration, comme la loi de la laïcité, qui est la loi 21, après ça, on a la loi au 601, sur le français, comme, pour aussi peut-être donner un petit peu mon point de vue, moi, je pense que le français est très important, quelque chose que tout le monde devrait parler au Québec. Je peux comprendre que dans le Québec, on est très, très, très bilingue, des fois même trilingue, parce qu'on a beaucoup de diversité, mais le français devrait être très, très, très important. Et peut-être que, comme l'EGO, on n'est pas tous d'accord avec les lois de l'EGO sur les écoles anglophones, sur le fait que, comme tu sais, les parents doivent être les deux anglophones pour que ça puisse rentrer, mais personnellement, bon, il y a des lois que je ne suis peut-être pas très, très d'accord, parce que pourquoi donner l'épreuve uniforme de français dans les écoles anglophones, ça, c'est comme pas logique, parce qu'au final, c'est comme donner une épreuve ici en anglais, mais pour vrai, je pense que c'est vraiment important que tout le monde sache parler en français, parce qu'au final, même si je ne suis peut-être pas canadienne, je me considère quand même comme une Canadienne, et j'aimerais ça comme me servir dans mon deuxième pays, dans mon pays, en français, dans la première langue qu'on parle ici. Sinon, du manoeuvre économique, on ne se rend peut-être pas compte, mais l'intégration des immigrants, ça aide beaucoup à l'économie du pays, parce que ces gens-là, ils achètent des biens, et surtout, peut-être qu'on va dire qu'ils contribuent pour les études, mais ça coûte très, très, très, très cher. Les études sont à un étranger ici, ils achètent des biens, ils créent des entreprises, ils remplacent les mains d'oeuvre là où est-ce qu'on a besoin pour les travails que les gens ne veulent pas faire, ou ça ne leur dérange pas de faire. Les questions économiques, l'immigration, c'est vraiment bon. Donc, je pense qu'on a quand même fait un petit peu le grand tour de nous, qu'est-ce que l'immigration, mais pour cet épisode, ce qui est le plus important, c'est la deuxième partie, la deuxième partie où, avec des amis, on va parler de l'immigration, on va parler de quels sont nos points de vue qui peuvent être semblables, pas semblables, mais qui pourraient au final ouvrir les yeux à ces personnes, ces Canadiens qui cherchent à comprendre un petit peu plus sur l'immigration. Donc, merci beaucoup et bonne écoute. Bonjour, mon nom c'est Alexandre Dubé, je suis Québécois de Souches et j'ai 20 ans. Ok, parfait. Moi, mon nom c'est Fatma Klani, j'ai 20 ans et je suis immigrante depuis 2010 ici. Moi, je suis Rania, j'ai 20 ans et je suis née ici, mais mes deux parents sont d'origine immigrante. Bonjour, moi c'est Ben Akiama, j'ai 20 ans, je suis né ici, mais en mère, je viens du Japon. Bonjour, moi c'est Niaré Hissam, je suis immigrante de l'Église d'immigration. Parfait, donc aujourd'hui, on va parler un petit peu d'immigration, on va essayer de voir un peu nos points de vue différents. Donc, la première question que je vous poserai c'est, qu'est-ce que vous pensez que ce sont les difficultés que les immigrants vivent lors de leur transition au Canada? Ben, j'imagine la langue, c'est pas vraiment très certain. Les différences culturelles, c'est certain. Les pays du monde. Les pays du monde. La tête à culture de travailler, c'est pas vraiment difficile de travailler. Tu travailles par ailleurs. Non, mais c'est différent d'un pays à l'autre. Les heures. Les heures, les milieux aussi. En général, c'est plus de faire la paix, c'est comme de passer à ton ancien mode de vie, à ce que ça va, à ce que t'es, t'es comme au pays où est-ce que tu vas meurre. Souvent, c'est, par exemple, c'est des difficultés qu'on ne peut pas obtenir, par exemple, c'est avocat. C'est des vraies applications. Si tu viens ici, t'es pas partout, t'es même noir, t'as du temps qui vaut pas grand-chose. Donc, tu dois te lancer dans une nouvelle carrière. Si on se lance dans des études, tu ne peux pas toujours te le permettre. Les heures professionnelles aussi. Exactement. Il y a beaucoup de fidélité sociale. Voilà. Donc, tu ne peux pas vraiment te lancer dans ta carrière parce que c'est un développement complet. Exact. Les études, pour les gens qui viennent de l'étranger, c'est super. C'est vrai. C'est vrai. C'est pas tout le monde qui peut se faire. Ça coûte 5 fois plus que les personnes qui viennent ici. Les études? C'est la seule façon vraiment qu'on a de supporter notre système d'éducation. C'est vraiment les immigrants, les étudiants qui viennent ici, les étudiants internationaux qui supportent un peu notre système d'éducation presque créatif. Ce qui m'amène à ma question de qu'est-ce que vous pensez que seraient les motivations pour lesquelles un immigrant voudrait quitter son pays? Est-ce que vous pensez que c'est seulement la raison de quitter son pays pauvre pour aller dans un pays riche? Ça dépend. C'est définitivement qu'il existe plusieurs types d'immigrants. C'est les réfugiés, c'est les immigrants économiques, c'est leurs familles aussi. Je comprends. C'est les immigrants qui viennent pour recevoir leur famille. Donc il y a plusieurs motifs définitivement. Ça fait son meilleure qualité de vie aussi. Oui. Il n'y a pas de différence. Non. Je pense que pour la majorité des gens, c'est définitivement sur la qualité de vie plus que sur la pauvreté. Parce que oui, il y a quand même beaucoup de pays pauvres. Mais quand on regarde la population immigrante qu'on accepte ici, ça n'est pas particulièrement des pays qui sont extrêmement pauvres. C'est des pays qui sont plus défavorisés qu'ici. Mais c'est vraiment plus un point de vue de la qualité de vie. Bon, on n'a peut-être pas le meilleur système de santé partout, mais comme on a le meilleur système de santé, l'éducation est le plus facile, etc. On pourrait aussi venir habiter ici, c'est-à-dire que tu peux le faire pour tes enfants aussi. Mais c'est ça que mes parents ont fait personnellement. Ils sont venus parce qu'on aurait une meilleure éducation, un meilleur futur. Surtout qu'un diplôme dans un pays qui est très développé comme peut-être le Canada ou comme les États-Unis ou la France, ce n'est pas la même chose que peut-être un pays comme la Tunisie. Oui, mais tu sais, c'est définitivement… Moi, je pense que c'est justement pour les opportunités que les gens ont aimées, que ce soit financière ou pas. Mais même que c'est équivalent d'aimer une mère pour leurs enfants, c'est des gens qui cherchent juste des bonnes opportunités. C'est quand même drôle qu'on le dise parce que c'était vrai auparavant, mais aujourd'hui, on est à la fin de la série où il y a eu le plus d'émigration au Canada. Ce qu'on appelle l'émigration, c'est les gens qui quittent le Canada. Ça a atteint 31% dans les dernières années. 31% ? De la population ? Les migrants qui viennent décident de quitter leur pays, d'y quitter pour leur pays ou pour un autre pays. Parce que le Canada n'est pas survenue ici. Il n'est pas arrivé à la France maintenant. Oui, c'est ça. Parce qu'il n'y a plus de barbier. Très rarement. Oui. Tu sais, il y a le truc aussi du Medium Dream. Ici, c'est quand même grand. Oui, c'est ça. Tout est vraiment tout beau. C'est à cause des Américaines. Oui. Mais beaucoup de pays, c'est du Canada, c'est pas du Canada. Oui, c'est ça. Ça m'amènerait aussi à... Est-ce que vous pensez qu'en tant qu'immigrant ou en tant que Canadien, on aurait des attentes l'un envers l'autre ? J'ai lu dans un de mes tests que c'est un double sens, l'immigration. C'est que c'est pas que aux immigrants de s'adapter ici, mais plutôt aussi aux Canadiens d'être ouverts. Certainement. Certainement. Il y a beaucoup de gens qui sont enfermés d'esprit là-dessus. Ça vient les choquer, l'immigration. Mais qu'est-ce que tu veux dire par genre... Qu'est-ce que nous, on s'attend des... Comme la connaissance de la langue. Entre autres. Ce genre d'affaires-là, non. Mais par exemple, une attente, ça serait de s'adapter à la culture ou quelque chose comme ça. Même s'adapter à la langue, même si t'arrives sans savoir. Mais s'adapter un peu où est-ce que c'est immigrant, ça serait une attente que je me donnerais. Dans quel sens ? Expand. Expand. Non, je parle juste culturellement. Appelle-toi genre... Je ne mettrais pas le genre de fine line là-dessus. Mais pas de se fermer sur la culture qui est déjà en place. Dans le pays recevant. Je pense que c'est dans le sens que ça doit être un espèce de respect mutuel. Ouais, ouais, exactement. Je sais dans le même sens que les gens se trouvent seuls, racistes. Que des Blancs vont dire, il y a trop d'Arabes ici. Ils trouvent que c'est des commentaires racistes. Bien, l'inverse est aussi vrai. Si tu immigres ici et que tu commences à démigrer des gens qui étaient déjà là avant toi, c'est pas correct parce que ça manque de respect. Est-ce que ça veut dire que les immigrants font des commentaires sur les Québécois ? Non, mais si. Je ne dis pas que c'est un fond tout soutenant. Mais ça fait partie d'une attente. Les Québécois ne devraient pas manquer de respect. Ils devraient être ouverts à l'esprit. L'inverse aussi est vrai. Je trouve vraiment que ça se fait des deux côtés. Autant que nous, on accepte les cultures des autres et qu'on est toujours ouverts à l'apprentissage des cultures des autres, je pense aussi que les immigrants peuvent s'accrocher à comment tu es ou à ce que tu vas. Par exemple, apprendre la langue un peu, respecter les coutumes. Pas nécessairement les appliquer chez toi. Non, c'est vrai. En public, il y a des manières d'apprendre. Est-ce que vous pensez que le gouvernement devrait faciliter cette intégration ? Genre aider à faire des attentes culturelles ? Aider les immigrants à s'intégrer dans un pays comme le Canada ? C'est sûr que ça pourrait aider. Je ne voudrais pas dire présenter, mais en même temps, expliquer ou apprendre, il faudrait qu'ils s'informent par eux-mêmes. Mais oui, s'il y avait des ressources du gouvernement, je ne mettrais pas des cours ou des formations d'eux-mêmes. Juste que l'information soit disponible et qu'il y ait un compréhension. Mais je pense qu'il y a déjà un truc, je ne sais pas si c'est correct, mais je pense qu'ils passent un examen quand ils viennent ici sur l'histoire. Pour la citoyenneté. Quand tu as ta citoyenneté. Mais pas d'arrivée. C'est juste pour avoir ta citoyenneté. Oui, mais dans un sens, ça aide. Ça aide parce qu'au moins, tu connais un peu la place où tu vas. Surtout quand tu es un adulte. Oui, exactement. Ça fait juste que tu ne te rends pas ici 100% tout de suite. C'est déjà un premier étape. Je ne pense pas que c'est... Si on regarde les cours d'histoire qu'on a eu, oui, c'est sûr que ça aide à comprendre un peu comment la culture québécoise est. Ça donne une lance sur comment ça a commencé. Mais je ne pense pas que ça informe tant que ça sur la culture québécoise. Au contraire. Moi, je pense que l'histoire a un lien qui reste avec la société dans laquelle on est aujourd'hui. L'idéologie du peuple québécois, par exemple, qui est souvent un des plus gros théorème de sécurité par rapport à la langue française. Mais ça, c'est justifié parce qu'on regarde les statistiques à toutes les années. C'est toujours en détail. C'est parce qu'il y a un passé d'oppression. La langue française a été bâchée pendant des milliers de décennies. C'est vraiment une minorité. On a toujours une minorité, en guillemets, ethnique en Amérique du Nord. Mais ce que je poursuis, c'est pendant des décennies. Ces dernières années françaises, c'était des pauvres. Toutes les opportunités de langues. Tout le petit travail qu'ils payent. C'est tous des jobs anglophones. Souvent, tu promenais. C'est-à-dire, tu fais le speak-white. Tu parles le français. Parce qu'il y a de l'histoire. Je pense que l'histoire a vraiment un lien qui reste avec la société d'aujourd'hui. En sociologie, il y a une de mes profs qui a lu un article qu'une des profs de sociologie a sorti. C'était comme dans les îles comme Montréal, les Québécois se sentent moins fiers d'être Québécois parce qu'on est beaucoup d'immigrants. Est-ce que vous pensez que c'est vrai? Que les Québécois, de nos générations à nous, même plus qu'à Montréal, se sentent moins fiers de se montrer... Est-ce que c'est le nom de l'article? Je ne pense pas que je sois moins fier. Mais, définitivement, des fois, tu peux ressentir des jugements à Montréal. Ça, je le sentirais. Mais d'être moins fier, non. Moi aussi, je suis d'accord. C'est de mon point de vue à moi, les commentaires racisés, je les entends vraiment plus. C'est comme brûler towards les Blancs. C'est souvent plus... C'est comme si ça vive les Blancs plus que d'autres races. C'est un sujet socialement acceptable parce que la majorité n'en parle pas. Pour plusieurs, c'est comme le racisme. Le racisme, en réalité, les Blancs n'hésiteraient pas. Parce que c'est la majorité. En réalité, le racisme systémique, les Blancs n'hésitent pas. Mais le racisme au point, ça peut être du genre n'importe qui. Pour revenir sur la question de la langue, moi ce que j'aime pas, des fois, souvent, les statistiques ne sont pas comme trompeuses, mais elles sont un peu trompeuses. Après les deux derniers renseignements, la proportion de personnes ayant le français comme seule langue maternelle a diminué, passant de 77% en 2016 à 74%. Mais comme seule langue maternelle, ça veut pas dire que les autres parlent pas français. Ce que je veux dire, c'est que souvent, ils vont prendre des statistiques, ils vont les lire d'une certaine manière. Juste la statistique d'après, c'est un rapport caractéristique linguistique de la population du Québec en 2021, rapport officiel fait par le gouvernement. Puis, à l'instant, ils vont parler de répartition de la population sur la langue parlée la plus souvent à la maison. C'est vraiment que tu parles plus souvent à la maison. C'est ton business. À l'instant, y'a vraiment pas ce que le gouvernement fait mal de ça. Puis ça veut pas dire, moi, à la maison, quand je suis chez mon père, je parle plus souvent en anglais. Ça veut pas dire que je peux parler en français, je m'exprime très bien. Donc, ça que j'aime pas trop des fois avec comment on présente les statistiques à travers les statistiques. Mais en même temps, comme contre-argument, si j'ai, par exemple, je suis au Québec, je préfère apprendre l'anglais que le français, puis je m'en vais à certains commerces, puis j'ai du mal à me passer dans ma poche. C'est pas une question de se déforcer le monde d'apprendre le français, mais je me dis, je suis né dans un endroit où ils parlent ma langue maternelle, puis je peux même pas me perturber dans ma langue chez nous. Ça, c'est pour certains points, c'est une question de statistique. Non, mais personnellement, je pense qu'au moins au Québec, il faut parler le français. Peut-être que c'est la loi 101 qui oblige tout le monde à parler le français. Moi, personnellement, je suis vraiment pour que tout le monde parle le français ou au moins connaisse le minimum des bases, parce que je comprends pas. Je suis vraiment pour que tout le monde sache le français, surtout qu'au Québec, on est la seule province qui parle encore en français et que souvent, on se fait peut-être démigrer par les autres pays parce qu'il y a la France qui parle le meilleur français que nous. Je trouve qu'il est en train de disparaître. Il faut aussi compter qu'on est environ 7 millions de personnes, entourés par 420 millions de personnes qui parlent le français. J'espère qu'il va y avoir des influences extérieures, mais pas plus du fait qu'on a des gens qui accueillent beaucoup de migrants. Moi, ce que je veux dire, c'est qu'on n'est pas sur le grand déclin du français. Non, mais c'est définitivement palpable. Qui dit qu'il est dans un commerce, admettons, une fois sur cinq, tu peux te servir en anglais, il n'y aura pas d'autre option. Vous parlez vraiment maintenant downtown? Non, n'importe où, même des fois virale au Québec. Ici. Ça devrait pas avoir de portables On reste au Québec, ça devrait pas avoir de portables dans quelle ville tu es, parce que ça n'aurait pas de sens de dire que le Québec est une province francophone, mais cette ville du Québec, non vraiment. Ça n'aurait pas de sens aussi de dire que par exemple, là, si on dit qu'il y a beaucoup de commerces qui servent des clients en anglais, ça n'aurait pas de sens de dire qu'un immigrant, par exemple, marocain, il viendrait au Québec et il se force à perfectionner son français pour ensuite arriver dans un commerce qui va te faire servir en anglais. Je suis d'accord avec le bonjour, hi, ça c'est correct. Parce que comme ça, tu acceptes anglais et français, et si je te réponds après, salut, et tu me dis no french, comme pourquoi? Moi personnellement, je suis pour le français. Surtout que c'est comme... Quand l'immigrant arrive ici maintenant, je pense que c'est la voie de la France, c'est à partir de là que les documents gouvernementaux sont uniquement en français Je pense que ça devient un peu con, le francais de toute façon, parce que les façons de faire d'apprendre le français, tu sais, ça aide aussi les gens à stabiliser le français. C'est ce qui force les gens à apprendre le français. Quand c'est une langue qui est relativement difficile, on va pas se le dire. Je suis d'accord avec le fait de forcer les gens à parler le français. C'est pas forcé, mais comme à long terme, c'est favoriser le français, mais six mois, c'est pas réaliste, on va se dire. Six mois, c'est pas assez pour apprendre une langue. Et honnêtement, je ne parlais pas vraiment comme, je disais pas que le Montréal, c'est l'exception en tant que tel, parce que dans la majorité des pays de Montréal, tu peux faire travailler en français et en anglais. Ouais, mais par exemple, ça devient un contre-argument pour la même chose. Je suis à Toronto, puis j'ai un commerce que je fais absolument l'écrit en français. Je ne dirais pas 5, 9, 10. C'est en Montréal, en anglais, c'est accepté. Les gens vont juste se conformer à parler en anglais parce qu'aussi, on est un peuple qui est quand même fortement bilingue. C'est pour ça que ça crée moins de troubles, mais ça force à ce que le français déclare. On dirait qu'on favorise, mais on dirait qu'on dit, ouais, c'est correct, parlez en anglais et personne ne va dire son opinion dessus. Le premier lien, c'est cool. Ouais, exactement. Les gens, ils sont vraiment cool. Il y a une partie du champ de Montréal, c'est la météo-culturalité et que tout le monde demande l'expérience, etc. C'est de demander à tout le monde un français parfait, c'est pas réel. Sachant qu'il y a beaucoup de gens qui sont nés ici et qui ne sont pas un français incroyable, mais l'idée c'est juste de pouvoir avoir un échange de voix, très très de voix. Donc, t'as pas besoin d'avoir un français écrit incroyable parce qu'ils te connaissent et parce que c'est passé tous les accords. C'est pour ça qu'on demande. Mais, dans le fond, je sais pas si vous savez, mais j'ai lu dans un de mes articles, dans le fond, le Canada dans ses critères de sélection a un favori qui est les européens. Parce que, dans le fond, c'est sûr qu'ils sont peut-être un favoritisme pour les français parce qu'ils parlent français et les belges. Mais, en général, ils préfèrent les européens. Est-ce que vous savez pourquoi? Ben oui, je sais pas où tout ça vient. Moi, je rêve que c'est occidental pis que c'est des trucs de... que c'est des blondes dans un pays développé c'est un mode occidental. Genre, je pense qu'il cause un meilleur fait, entre guillemets. Moi, je pense que c'est un peu de xénophobie cachée sous le... ah ben, ça va être plus facile de s'intégrer si tu te ressembles. Ouais. Moi, à mon avis, ça va plus être comme un facteur économique parce qu'à chaque fois, dans l'histoire du Canada, chaque fois qu'il y a une binairie de main-d'oeuvre dans un domaine, que ce soit la technologie, la construction, quoi que ce soit, ben, les immigrants sont toujours là pour aider le Canada, justement. C'est la situation au Canada depuis sa création en 1877, même dans les colonies. Je veux ça pour dire que c'est l'élimination, c'est toujours ça pour les main-d'oeuvre, pis les diplômes en Europe sont souvent beaucoup plus fortement retenus, les systèmes d'éducation sont beaucoup plus limités, donc il y a beaucoup moins d'intégration qui travaille avec. Il y a beaucoup moins de besoin d'éduquer, je te promets, les immigrants qui viennent d'Europe. Ils viennent, ils travaillent dessus dans le domaine nécessaire, quand même, quoi. Mais, c'est ça la question. Pourquoi est-ce que les diplômes seraient pas reconnus, par exemple, dans les pays d'Afrique du Nord, qui sont que leur système scolaire est abandonné sur le système français? C'est très difficile, hein, l'école là-bas. C'est comme les collèges, là, leur système français. Pis les écoles, le système scolaire d'Afrique du Nord est plus difficile que le système québécois. Pour réussir à un diplôme équivalent, c'est beaucoup plus difficile parce qu'ils ont le BAC, qui est reconnu pour être grand, pis c'est plus le secondaire 5. Mais ça, je pense que c'est généralisé dans tous, juste les reconnaissances de diplômes, parce que moi, j'ai eu un diplôme français que le gars, il avait une maîtrise dans un certain domaine de chimie, pis il a pas été reconnu, mais il était français, pis il a fait son diplôme en France, pis il est venu au Québec, pis ça a pas fonctionné. Fait que c'est pas juste les pays occidentaux, parce que c'est généralisé. Notre reconnaissance de diplôme fonctionne mal. On s'entend qu'il y a quand même un endroit où c'est un peu plus difficile. Dans certains domaines, je pourrais peut-être comprendre, mais il y a des trucs comme, justement, les génies, parce que, genre, mademoiselle, elle a fait génie chimique en Angélique, genre, ça n'a aucun sens de dire que c'est pas reconnu. Genre, génie chimique, ça n'a aucun rapport avec la Française. Moi, exact, ça n'a aucun, aucun rapport avec la Française. Pour en revenir, une des raisons pour lesquelles le Canada préfère les Européens, c'est surtout à cause de la culture. Parce qu'on s'en rend pas compte, mais on est quand même, genre, entre guillemets, des Français. On vient de la France. Ce que ça a fait, c'est que, d'une manière ou d'une autre, ils ont un peu les mêmes cultures que nous. Surtout que, si la différence, souvent, comme les pays asiatiques ou africains, on a vraiment beaucoup de différences, un peu culturelles, qui font en sorte que, peut-être, les ressemblances peuvent être différentes. C'est ça pourquoi le Canada préfère les Européens. Peut-être qu'il y a aussi, comme l'a dit Rania, des différences de xénophobie, mais c'est surtout pour la culture. Par exemple, pour vous dire, c'est en 2022, par exemple, je vais vous donner les taffs, il y a eu 118 000 personnes qui sont venues de l'Inde, 31 000 de la Chine, 23 000 de l'Afrique du Nord, 22 000 du Nigéria, 22 000 du Suédois, et par la 6ème place, on a 14 000 de la France. C'est le premier pays occidental qui est de l'Allemagne. C'est une question de ratio. Combien de Français ont fait la demande versus combien ont été acceptés, et combien n'étaient pas faits la demande versus combien n'étaient pas acceptés. Si c'est 1 milliard, on va demander combien n'a pas été accepté. C'est la même chose, c'est la même chose, c'est la même chose, c'est la même chose. C'est la même chose. La ratio est plus importante. C'est vrai. Ça rejoint ce qu'Anna a dit sur les statistiques, c'est vrai que c'est un peu biaisé, parce que les chiffres sont en contexte, c'est vrai que c'est un peu biaisé, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, parce que les chiffres sont en contexte, sur son truc, il me dit qu'il avait pas écrit sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son passeport. sur son 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