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INSUBMERSIBLE 4 : Ignore the naysayers !

INSUBMERSIBLE 4 : Ignore the naysayers !

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In this podcast episode, the speaker emphasizes the reality of entrepreneurship and the challenges it brings. They encourage listeners to appreciate the journey rather than solely focusing on the destination. The importance of not judging a person's character based on their celebration of victory but rather how they handle adversity is discussed. The speaker also highlights the temporary nature of pain and encourages listeners not to give up. The episode concludes with a discussion on the negative influence of pessimistic individuals, referred to as "naysayers," and how to overcome their influence. The French mentality towards entrepreneurs is also explored. Hello à tous, c'est l'heure de votre épisode 4 du podcast insubmersible, le podcast dans lequel je vous donne la vraie vision de l'entrepreneuriat, celle qui est dure, loin des paillettes et du fameux TikTok millionnaire, où on se dit que c'est facile de faire des milliers d'euros chaque jour, alors qu'en fait pas du tout, c'est dur, galère. C'est le moment de se prendre notre temps ensemble, prendre du recul sur tout ce qui nous arrive au quotidien, sur les difficultés, qu'on se dise que ça ne nous arrive pas qu'à nous, qu'on n'est pas seuls et qu'on travaille encore ensemble sur ce moment, sur notre insubmersibilité, qu'on continue d'avancer et qu'on continue à bâtir les amis, parce qu'on est plus fort que tout. Aujourd'hui, c'est l'épisode 4 déjà, on a déjà fait trois ensemble, on va se faire le petit récap comme d'hab, de ce qu'on s'est dit la dernière fois, en tout cas sur les épisodes précédents, avec nos phrases, nos fameuses phrases qui deviennent une habitude maintenant. La première que je vous donnais, ce qui est important, ce n'est pas la destination, c'est le voyage. Aimer ce que vous faites au quotidien, c'est important, très important. La deuxième, ne jugez pas le caractère d'une personne à la manière dont il célèbre la victoire, mais à ce qu'il fait lorsqu'il est dos au mur. Inspirez-vous des bonnes personnes, pour vous guider au quotidien dans les difficultés qui vous arrivent. Dans l'épisode 3, je vous parlais également, the pain is temporary, la douleur est temporaire. Oui, des difficultés, on en a tout le temps, on en a tout le temps et le meilleur moyen de continuer à avancer, c'est de comprendre que toutes ces douleurs sont temporaires dans la mesure où on cherche à les résoudre. Ça prend du temps parfois, mais la seule chose où une douleur peut devenir permanente, c'est quand on dit j'abandonne à résoudre cette douleur, et là elle est déjà permanente. Donc surtout les amis, on n'abandonne jamais, jamais, jamais, d'ailleurs dans notre dictionnaire des personnes insubmersibles, le mot j'abandonne n'existe pas, c'est un mot qui n'existe pas. Et cette semaine, comme toujours, on va faire un peu le point sur un nouveau thème que j'ai envie d'aborder avec vous. Alors, à l'heure où je tourne ce podcast, on est en début d'année 2024, c'est l'heure où généralement on va prendre le temps de voir ce qui s'est passé en 2023, de faire le bilan et surtout de se dire mais bon, où est-ce qu'on va en 2024, qu'est-ce qu'on fait et on va souvent se fixer évidemment nos objectifs perso, nos objectifs pro, etc. Je vous parlerai de mes objectifs pour cette année, mais avant de rentrer là-dessus, c'est aussi le moment où on va parler de ses objectifs à notre audience et on va souvent se taper un peu le mur, en tout cas si vous êtes ambitieux, des personnes évidemment qui vont vous dire que tout ce que vous allez faire c'est impossible et la phrase du jour pour démarrer avec ça, encore en anglais, je vous la donne en anglais, vous allez dire « Ah mais Thomas, tu ne fais que nous donner des phrases en anglais ». Il faut se dire que si, c'est vrai qu'en def perso et en entrepreneuriat, ils sont quand même meilleurs que nous, donc c'est bien de s'inspirer des américains là-dessus et donc du coup, je viens à notre phrase du jour qui est « Ignore the naysayers ». Il faut ignorer les détracteurs et les pessimistes, surtout quand on en se reprend et ça, ça va être un peu le fléau pour lequel notre « voyage » va être bousculé et il va falloir se battre contre ça, contre les fameux naysayers. Alors, ce que je vous propose les amis, justement pour qu'on arrive tous ensemble à ignorer ces pessimistes, ces détracteurs, qu'on comprenne déjà l'anatomie d'un détracteur. Alors, si vous entreprenez, probablement que vous êtes en France, vous savez à quel point on n'aime pas les entrepreneurs en France. La mentalité française a de très belles choses mais s'il y a bien une chose, en tout cas, c'est toujours assez difficile, c'est quand on entreprend et qui de plus est qu'on réussit. Parce qu'un entrepreneur qui réussit en France, généralement c'est un voleur, c'est quelqu'un qui a pris aux autres pour son compte personnel, qui évidemment exploite des personnes, exploite la société. Bref, c'est souvent une personne qui n'est pas aimée des foules, on peut se dire. Au contraire, un entrepreneur qui ne réussit pas, c'est un échec, c'est quelqu'un qui est nul, qui est débile, entre guillemets. C'est un loser. Et ce qui est intéressant de voir, comparativement aux Etats-Unis, la vision des personnes qui ont des échecs dans leur vie là-bas et la vision qu'on en a en France, c'est que, généralement, un entrepreneur qui a eu plusieurs échecs dans sa vie va être considéré comme d'autant plus probable de réussir dans le futur aux Etats-Unis. Et il y a un peu un culte de l'échec là-bas où on te dit, en vrai, si tu n'as pas eu des échecs, c'est que ce n'est pas normal, tu n'as pas fait assez de choses, il faut que tu aies des échecs. Alors, parfois, il y a un culte de l'échec là-bas qui est un peu trop élevé. Mais c'est quand même très très bien vu et on encourage les gens justement à tester des choses, de ne pas avoir peur, même s'il y a des échecs. En France, c'est simple, c'est plus vous avez d'échecs, plus vous êtes une merde. Et ça, vous pouvez le voir à tous les étages. Dès que vous réussissez, on vous traite d'escroc, mais dès que vous avez des échecs, on vous traite de nul. Évidemment, vous n'êtes pas intelligent, vous êtes débile. C'est quelque chose au niveau des banques. Il suffit que vous ayez eu un projet entrepreneurial qui a raté, bon courage pour avoir des prêts derrière pour faire un second prêt. Bon, du coup, on est quand même entouré de naysayers au quotidien en France et il faut se battre contre ça. Alors, déjà, il faut comprendre un peu l'anatomie d'un naysayer. Il faut se dire que déjà, qui fait partie de ces naysayers ? Si on regarde un peu leur vie en général, c'est quoi la vie moyenne d'un Français aujourd'hui qui va souvent être ce genre de personne persimique ? C'est quelqu'un qui est né, qui va aller à l'école, qui va essayer de faire des études si longues soient-elles, qui va souvent trouver un job, qui va travailler, qui ne va pas trop s'éclater, qui va parcourir sa vie pro de manière assez lisse. Bon, il va se marier, il va avoir des enfants, il va avoir la crise de la quarantaine, il va se dire qu'il n'a rien fait de sa vie, il va se mettre à déprimer. Je profiterai volontairement, puis il va mourir. La question est, vous qui m'écoutez, est-ce que c'est le genre de vie qu'on a envie d'avoir ? Pas sûr, pas sûr, pas sûr. Mais du coup, il faut quand même se dire que ce que je viens de vous prendre comme tableau, c'est quand même la réalité de beaucoup de personnes. Et du coup, quand on a ce type de parcours de vie, c'est normal que quelque part, on tombe rapidement dans une catégorie de pessimisme parce que finalement, nos rêves ne sont jamais vraiment réalisés. Les rêves qu'on peut avoir quand on a été jeune ont disparu, on s'est contenté d'une vie normale. Et voilà, la satisfaction personnelle et le voyage de ces personnes-là n'est pas incroyable. Du coup, il faut comprendre que le trait numéro un de ces naïfsailleurs, ce sont des personnes qui manquent de conviction en elles-mêmes. Elles ont toujours suivi les masses, que ce soit les Français ou autres, ou même dans votre cercle proche, s'il y a des personnes qui peuvent parfois faire preuve de pessimisme à votre égard. Regardez un petit peu la conviction qu'ils ont d'eux-mêmes, des idées, qu'est-ce qui les drive au quotidien. Vous verrez que ce sont des personnes qui n'ont pas beaucoup de conviction en elles-mêmes. La suite logique, c'est que c'est aussi souvent des personnes qui se sentent mal à propos d'elles lorsque vous, vous avez des victoires. C'est dur quand même de voir des personnes de votre entourage ou typiquement aux infos réussir sur tout un tas de choses, quand vous voyez que vous êtes dans votre canapé à regarder Netflix toute la journée, que vous n'aimez pas trop votre job, que certes, vous avez des enfants, une femme ou un marié, mais bon, est-ce que fondamentalement, vous êtes amoureux de cette personne, vous ne savez pas trop. Oui, ça fait mal. Forcément, la réaction normale, c'est de se dire, ça fait chier que ces mecs-là réussissent, je ne me sens pas bien et donc du coup, il faut que je critique. C'est logique. C'est vraiment un comportement assez humain. Après, au-delà de ça, il y a beaucoup aussi de naysayers qui ne vous veulent pas de mal, mais qui veulent absolument que vous restiez dans un environnement sain, sans danger, pas de prise de risque, etc. Ça va souvent être vos parents. Vos parents, ils ont un amour évidemment, en tout cas, je vous le souhaite extrêmement profond à votre égard. Et c'est vrai que je pense, je n'ai pas encore d'enfants, mais je pense que c'est dur de voir parfois ces enfants prendre des risques inconsidérés. On a souvent envie de les raisonner, mais parfois un peu trop à défaut et à tort d'ailleurs. Et souvent, ces personnes-là vont souvent vous pousser à reconsidérer des convictions que vous avez et à prendre la voie de la raison, de la sagesse, du parcours sans filtre, etc. Et ce qu'il faut comprendre, c'est que souvent, ces fameux naysayers, ils vont souvent vous offrir des raisons pratiques, des raisons émotionnelles, plutôt que des raisons pratiques. Je vous en parlais dans le podcast numéro 3, qui était de se dire, OK, quelle est la différence entre l'obstination et l'entêtement ? L'obstination, c'est continuer dans une voie où vous savez que c'est la bonne parce qu'à aucun moment, vous ne voyez des raisons pratiques qui vous prouvent que vous êtes sur la mauvaise voie. Et ça, souvent, les naysayers vont essayer de vous prouver par A plus B, mais de manière très émotionnelle, que ce que vous faites, ce n'est pas bien. Non, mais ne va pas faire ton tour du monde parce que c'est dangereux, parce que si tu pars en Indonésie, au Mexique, 3 mois tout seul, tu vas te faire enlever, je ne sais pas quoi. Alors qu'en fait, pas du tout. Si vous regardez les chiffres de personnes qui voyagent seules et qui reviennent sans les saufs, à mon avis, c'est la probabilité très, très élevée que ce soit le cas. Bref, les naysayers vont souvent vous donner des raisons très pessimistes à ce que vous faites, vous critiquer, mais vraiment de manière très émotionnelle et jamais de raison pratique, par A plus B, avec des arguments logiques et constructifs qui, du coup, s'ils sont validés, pour le coup, vous mettrez dans une situation, pour le coup, d'entêtement, ce que je vous ai expliqué dans le podcast précédent. Souvent, et ça, c'est la plus dure, c'est que malgré le fait qu'ils soient là et que vous savez qu'il ne faut pas les écouter, souvent, ce qu'ils vont vous dire, ça va quand même vous remettre en question et souvent, vous créez une certaine négativité vis-à-vis de vos idées. C'est typiquement, vous avez un projet entrepreneurial, vous êtes en train de bosser le vendredi soir, le samedi soir, et puis quand vous en parlez autour de vous, les gens vont vous dire, non, mais t'es associable, t'as aucune vie sociale, pourquoi tu fais ça ? Viens un soir avec nous le vendredi, le samedi. Mais vous, profondément, vous savez que ce que vous faites, c'est bien parce que déjà, vous adorez, vous adorez monter votre projet, mais il y a quand même cette petite voix en vous qui va vous dire, putain, le vendredi à 22 heures, vous êtes encore au bureau en train de bosser sur votre projet et que vous pensez à Sennheiser qui est probablement en train de se mettre une murge au bar, etc., et qui est en train de se marier avec des potes et que vous, vous êtes tout seul. Vous savez, il faut se dire, OK, je n'écoute pas celui-ci parce que je sais qu'au fond, je sais qu'au fond, il n'a pas d'estime de lui, je sais qu'au fond, il n'est pas très heureux, alors que moi, en vrai, je m'éclate. Et ça, il faut vraiment arriver à lutter contre ça et Dieu sait que c'est dur. Dieu sait que c'est dur. Je vous donnerai après des anecdotes perso, évidemment. Mais évitez vraiment ou en tout cas, prenez du recul quand vous sentez ces idées des naysayers arriver en vous et vous faire culpabiliser certaines actions que vous menez au quotidien. Oubliez-les, oubliez-les. Et c'est là où, ce que je vous disais aussi dans le podcast précédent, c'est qui vous inspire au quotidien. C'est de vous dire, attends, attends, Elon Musk, Rafael Nadal, Djokovic, ils les font les heures, probablement qu'ils sont en train de s'entraîner le vendredi soir à 22 heures plutôt que d'aller regarder Netflix ou regarder Koh-Lanta, quoi. Oui, mais en même temps, ils sont numérants mondiaux, les mecs. Elon Musk, il est en train de lancer des fusées pour aller sur Mars, quoi. OK, eux, ils le font sûrement. C'est des personnes que j'admire, donc OK. Là, ils m'apportent de la positivité. La positivité, c'est eux qu'il faut que j'écoute et pas mon pote ou ma mère ou mon père qui me dit plutôt d'aller sortir, etc. Bref, voilà. Évitez, évitez vraiment de tomber dans une spira négative, de culpabiliser quand vous savez que ce que vous faites, c'est bon pour vous. Alors parfois, évidemment, vous vous remettez en question. C'est important. Mais il faut que ça vienne de vous et pas de ces personnes-là. Et le pire du pire du pire, c'est que souvent, vous allez regretter quand un naysayer vous a convaincu de faire quelque chose. Et ça, c'est assez drôle parce que finalement, quand le vendredi soir, vous allez lui dire bon, allez, en vrai, il faut que... putain, c'est vrai, ils ont raison. Allez, je dois peut-être aller voir un peu de monde. Allez, je vais à ce dîner, là. Ça me fait chier, mais allez, j'y vais quand même pour prouver que j'ai quand même une vie sociale. Vous allez à ce dîner, ça vous fait chier, vous allez parler à des gens inintéressants qui ne comprennent pas ce que vous faites, vous avez perdu votre temps. Puis vous rentrez le soir, vous vous dites putain, j'aurais pas dû y aller, quoi. Je le savais, il fallait pas que j'y aille. Je me suis laissé encore embarquer dans ces histoires et je regrette, et je regrette. Et ça, c'est le pire sentiment. Combien de fois on s'est retrouvé dans ces situations un peu écouardes où on sait qu'on n'a rien à faire là, on y est juste parce qu'il faut montrer qu'on a un semblant de vie sociale parfois quand on entreprend et qu'il faut garder contact avec des amis, mais bon, on n'a plus grand chose à partager. Mais allez, on se dit qu'il faut le faire parce que la masse nous impose de le faire, qu'on se sent trop coupable et que c'est trop dur de lutter contre ces sentiments de négativité et d'oppression de la masse. Et après, on rentre chez soi et on se dit, je savais qu'il fallait pas que j'y aille, j'ai perdu mon temps, j'aurais mieux fait d'aller faire ce podcast d'ailleurs que je suis en train de faire ou je ne sais quoi, d'avancer dans mon projet, de ne pas écouter ces gens, et je les ai écoutés, et ça m'énerve, et je regrette, et patati patata, bref. Vous le savez, donc pensez-y avant de faire une action, entre guillemets, qu'un noïsseur sous un coin a pu te faire. Pensez déjà au fait que vous allez regretter cette action, donc ne la faites pas. Alors je ne dis pas qu'en fait il ne faut pas toujours les écouter, évidemment il faut écouter les personnes pour lesquelles, encore une fois, ils vous apportent des raisons pratiques à ce que vous faites, enfin, qui vous donnent une raison pratique et un côté qui peut venir challenger effectivement ce que vous faites au quotidien, mais vraiment de manière très logique. Et ça, c'est souvent une phrase que j'aime bien, c'est « Ne reçois jamais un conseil d'une personne que tu ne respectes pas. » Au contraire, évidemment, approuve et considère sous les conseils qu'on peut te donner de personnes que tu respectes. Typiquement, quelqu'un qui va venir me dire « Tu travailles trop, mais qui en même temps ne fout rien à côté », je ne vais jamais l'écouter. En revanche, un entrepreneur qui a été à succès, qui va te dire « Je pense qu'entre 29 et 35 ans, je ne sais quoi, c'est ça qu'il faudrait que tu fasses à ce moment-là, parce que moi je l'ai vécu, j'ai fait ces erreurs-là, et je vois qu'aujourd'hui, à 50 ans, j'aurais aimé, entre 29 et 30 ans, qui est mon âge d'aujourd'hui, faire plus ça ou prendre plus de temps de faire ça. » Ok, si je vois qu'effectivement je tombe dans le même biais que ce mec-là, lui il m'a donné une raison pratique, c'est quelqu'un que j'estime parce que je vois qu'il a réussi, et là je vais prendre son conseil. Donc encore une fois, faites très attention à ces naysayers et à tout ce qu'ils peuvent vous dire. Alors, ignore les naysayers, pourquoi je vous dis ça ? Parce que je pense que quand on entreprend, on a tous ces moments où on les a ignorés, et quand on regarde un petit peu à posteriori, on se dit « mais heureusement que je les ai ignorés ». Alors, je vais vous donner encore une fois quelques histoires qui vont peut-être vous faire rire. La première, c'est au moment du Covid, alors c'est une qui me concerne personnellement. Au moment du Covid, bon, quelque part on a tous eu nos galères à ce moment-là. Je n'avais pas encore vraiment le « lead studio » à ce moment-là, j'étais évidemment déjà dans le monde de l'entrepreneuriat, mais j'étais ce qu'on peut appeler un « freelance », je gérais beaucoup de troncs de pub. Et, autant vous dire qu'au moment du Covid, ce n'était pas évident de continuer à dépenser des budgets publicitaires pour la plupart de mes clients. Et mon business, en tout cas, au moment de l'annonce du confinement a été divisé par trois. Et là, vous vous dites « c'est dur quand même ». Ça, c'est dur parce que vous avez bossé de fou déjà depuis quelques années pour arriver à monter tous ces clients. À l'époque, j'avais déjà une bonne d'antenne de clients que je gérais à fond, et du jour au lendemain, il y en a 65% qui s'en vont. Et là, vous vous dites « mais je ne comprends pas, pourquoi j'ai mis autant d'efforts à construire ce portefeuille de clients ? » Et là, on n'a rien de temps, en deux semaines, il y a tout qui s'effondre, etc. Je me suis dit « OK, c'est le Covid, il va falloir faire quelque chose pour redresser le business, pour aller rechercher des clients, etc. » Et, véridique, j'ai loué une maison à Mimisan, pour ceux qui connaissent, j'étais dans les Landes en 40, et je suis parti tout seul là-bas 3 mois. Je suis parti tout seul 3 mois avec comme objectif de me dire « OK, je vais prendre le temps de remonter mon business, il ne faut que je ne vois personne, de toute façon, c'est le Covid, il n'y a rien à faire, on est tous en train de mourir, mais je ne laisserai pas tomber toute mon entreprise, tout mon business à cause de ce foutu Covid. » Là, vous imaginez bien la partie « naysayers » qui croule au moment où je dis à mes parents, mes proches, « non, je vais prendre une maison tout seul à Mimisan pendant le Covid, je vais m'enfermer tout seul. » Là, évidemment, tout le monde me dit « mais t'es taré, qu'est-ce que tu vas faire ? » « Déjà, tu vas péter un cap tout seul, ne fais pas ça, reste à Paris, il faut que tu voies du monde, etc. » Sincèrement, je suis parti à Mimisan 3 mois, j'ai vu en 3 mois 2 personnes. J'ai vu 2 personnes, j'ai vu le caissier du supermarché globalement et le flic qui me demande mon adhésion de sortie. 2 personnes en 3 mois. Sincèrement, dans ces 3 mois, je les ai kiffées parce que personnellement, je sais que je suis un peu introverti et que je n'ai absolument pas peur de me retrouver tout seul avec moi-même. J'avais la conviction que c'était le cas et je le savais au fond de moi que je n'en souffrirais pas du tout, malgré tout ce que les gens me disaient. Pendant ces 3 mois, je n'ai jamais construit autant de choses. J'ai construit toutes mes formations Web Market School, j'ai produit un nombre de contenus vidéo exponentiel. C'est là où vraiment je suis tombé dans la partie lead, que j'ai découvert la leadgen en profondeur. Je n'ai jamais récupéré autant de clients pendant le Covid. Et c'est ce qui nous a amené après, avec Lucie à l'époque, à créer Lead Studio et à nous embarquer dans ce nouveau projet qui aujourd'hui est, je pense, un projet d'une vie en tout cas pour moi. Et si je n'avais pas fait ces 3 mois un peu de retraite méditative où globalement je me levais à 5 heures du matin et je travaillais jusqu'à 22 heures non-stop, je faisais évidemment 2 heures de sport, etc. Je n'aurais probablement pas obtenu tout ce que j'ai obtenu aujourd'hui. Et si j'avais écouté ces fameux naysayers, si j'étais resté globalement avec les potes, prendre une baraque pendant le Covid, s'éclater entre guillemets, faire une parenthèse où globalement tu ne fous rien ou aller guiquer comme un malade, rester avec les parents, je ne sais quoi, j'aurais probablement jamais autant construit de choses et jamais autant profité de cette parenthèse du Covid pour avancer. Et pourtant, c'est vrai que la diffusion, il y avait de quoi regretter et laisser, encore une fois, les naysayers me dire « Mais qu'est-ce que tu vas faire tout seul pendant 3 mois et demi, tu es vraiment un autiste ? » Franchement, on m'a traité d'autiste, on m'a traité de tout, on m'a traité de chômeur. Enfin bref, quand je retrouvais après, alors j'adore ma famille, je vous adore d'ailleurs si vous écoutez le podcast. Souvent c'était « Mais qu'est-ce que tu as fait quoi ? Mais Thomas, mais qu'est-ce que tu fais de ta vie quoi ? T'es parti t'enfermer à Minisans tout seul, mais quel paysan ! » Bref, même si ça vient de votre famille, ignorez-les, ce n'est pas grave, ils ne comprennent pas ce que vous faites. Vous les aimez, il n'y a pas de soucis, pareil au niveau des potes, ce n'est pas grave. Vous les aimez, ne tenez pas rigueur de ce qu'ils vous disent, surtout sur les personnes proches, mais surtout n'écoutez pas leurs pessimistes ambiants, surtout quand vous savez que vous avez ce gut feeling dans vous que c'est la bonne chose à faire. Je rebondis sur une interview que j'ai écoutée il n'y a pas longtemps d'Anthony Bourbon qui est passé dans le podcast d'Andréa Benzaie, assez bon podcast, même très bon podcast, je vous le recommande, je vous mettrai probablement des scriptings de ce podcast. Pareil, Anthony Bourbon pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est le fondateur de Feed et qui aujourd'hui a créé le Blast Club, c'est un club d'investissement pour les particuliers, c'est hyper intéressant, je vous encourage vraiment à regarder son podcast. Et ce qu'Anthony explique, c'est un peu ce que je vous explique là, c'est sur toute la partie naysayers, j'ai l'impression qu'il est assez fou lui aussi ce fameux Anthony, et il explique des moments où justement il est capable de s'enfermer pendant des semaines tout seul, avoir personne, ne pas aller à ses soirées pour continuer à bosser son projet, parce que fondamentalement il kiffe ça, il kiffe ça, n'oubliez pas, ce qui compte c'est le voyage, et donc il explique tous les traits de caractère à propos des naysayers, qu'on lui a dit qu'il n'y arriverait pas ou je ne sais quoi, et finalement aujourd'hui c'est un des entrepreneurs les plus successfull, et aussi tous les haters qu'il peut avoir du fait qu'aujourd'hui il soit successfull, de la mentalité ambiante en France, et comment est-ce qu'il gère ça, comment est-ce qu'il fait table rase de tout ça. Plein de très très bons conseils d'Anthony Bourbon, alors que moi je connaissais directement mon associé, c'est vrai qu'on peut avoir l'idée d'une personne qui était assez hautain, quelqu'un qui dure en fait, mais quand vous regardez son parcours, vous voyez que c'est quelqu'un qui est absolument exceptionnel, et justement je vais mettre dans ma catégorie des personnes qui m'inspirent, en tout cas je vais suivre cet Anthony Bourbon, parce que finalement sa philosophie est excellente, et merci à Andréa Destimos de l'avoir interviewé et d'avoir fait cette interview sans filtre. Donc voilà les amis, ignorez vraiment les naysayers, inspirez-vous des bonnes personnes, quand vous avez ce gut feeling que ce que vous faites c'est bien, même si c'est complètement fou, même si on vous traite d'autiste, de taré, faites-le, vous ne le regretterez pas, mais évidemment faites-le pour les bonnes raisons, et prenez les conseils évidemment de personnes avisées qui pour le coup vous permettent d'avoir un spectre un peu différent si jamais vous êtes sur la mauvaise voie, je vais y arriver. Alors c'est l'heure justement du bilan 2024, enfin du bilan 2023 et des objectifs 2024, tout ce que je veux faire cette année, et je vais l'illustrer d'une phrase, alors je pense que je ferai un podcast dédié à cette phrase là, mais c'est un peu pour que vous compreniez aussi ma logique, une phrase que j'aime beaucoup, enfin c'est pas une phrase plutôt, un bout de phrase, c'est « invent yourself and then reinvent yourself ». La vie c'est long, elle est semée d'embûches, elle est semée de victoires, d'échecs, et il faut comprendre que, en tout cas c'est ma conviction, pour vivre sa vie pleinement il faut toujours se réinventer, d'autant plus quand on entreprend, d'autant plus quand on monte des projets, en fait en tant qu'entrepreneur, et ça c'est des discussions que j'avais beaucoup avec Lucie, mon associée, encore une fois je le répète Lucie a quitté le projet d'Estudio, mais en fait on se voyait grandir chaque mois, chaque mois on était nouvelle personne, nos convictions évoluaient, nos actions, nos journées etc évoluaient, et chaque mois en fait on se sentait se réinventer, et ça je trouve que c'est une grande satisfaction de la vie de toujours se challenger, toujours se réinventer, et de ne jamais tomber dans cette fameuse routine que je vous décriais au début, alors c'est le fameux métro boulot dodo, des naysayers, vous avez un job, vous avez des enfants, vous avez une femme, et finalement votre vie n'est jamais vraiment bousculée et puis vous vous réinventez rarement. Et ce qui est important c'est je pense de toujours se réinventer, surtout quand on va tomber dans une certaine routine, quand on va être moins motivé à faire certaines choses, c'est important de se réinventer, donc pour moi 2024, en gardant cette tête à l'esprit, cette phrase à l'esprit, en tête justement, c'est de se réinventer cette année, et de bousculer des choses, déjà parce que 2023 pour moi était une année qui était quand même très dure, on va pas se le cacher, donc du coup Lucie a quitté le bateau pour des raisons personnelles, elle avait envie de faire autre chose, elle aussi elle avait envie de se réinventer, j'ai réussi à faire survivre l'élite studio plus qu'à le faire survivre, à continuer à faire prospérer l'élite studio, j'ai même réussi à faire 7 millions de chiffre d'affaires avec un seul salarié, évidemment toute une équipe formidable de partenaires, de prestataires, mais je suis quand même fier de cette année, mais ça a été dur, sommet d'embauche, on a eu beaucoup beaucoup de problèmes, et j'arrive à un fin de cycle aujourd'hui où je me dis, ok déjà merci entre guillemets à tous pour toutes les actions que vous avez menées avec moi, avec l'élite studio cette année, en même temps l'entrepreneuriat c'est génial, mais moi je ne me vois pas entreprendre tout seul, et c'est le moment de se réinventer pour aller chercher mes futurs associés ou mes futurs partenaires en 2024, se réinventer ça veut dire quoi, c'est évidemment sortir de sa zone de confort, je suis quelqu'un de très introverti, et ces derniers mois pour le coup j'ai eu trop tendance à m'enfermer, à faire en sorte que mon business fonctionne, mais pas assez avoir du monde à parler à suffisamment de personnes, puisque finalement c'est aussi la clé d'entrepreneuriat, c'est tirer des enseignements de chacun, de voir ce qui se fait, de parler de son projet à beaucoup de personnes, puisque c'est ce qui va vous permettre de vous challenger au quotidien, d'avoir des nouvelles perspectives sur vos actions, et surtout de créer des nouveaux partenariats, des nouvelles relations, et donc ça va vraiment être l'objectif de 2024, d'être moins dans, j'ai pas envie de dire l'opérationnel, mais dans le mode survie auquel je m'enferme pour que mon business et l'élite studio continuent de prospérer, je pense que maintenant le projet a survécu à cette année 2023 difficile, et c'est l'heure de se réinventer. Alors qu'est-ce que je vais faire cette année pour me réinventer ? Déjà, je pense que vous le voyez, ça va être de créer beaucoup plus de contenu, ce podcast, vous partagez la dure réalité de l'entrepreneuriat et vous aider à être insubmersible, en tout cas à faire preuve d'insubmersibilité au quotidien, vous allez le voir aussi sur l'élite studio, on va créer beaucoup plus de contenu, on va interviewer beaucoup plus de personnes, dans l'élite gen justement dans cette optique de partager notre métier, de voir qu'il y a des acteurs qui sont de qualité, malgré ce qu'on peut en dire, justement les fameux naysayers de l'élite gen, il n'y a que des escrocs, il n'y a que des arnaqueurs, il n'y a que des personnes qui sont là pour faire du business à court terme, prendre le max et se casser la caisse, non c'est pas vrai, il y a des personnes qui sont là sur du long terme, l'élite studio évidemment en fait partie mais on n'est pas les seuls, il y a des acteurs de confiance, il y a des acteurs d'autorité qui sont là, qui font pas forcément de bruit et pour lequel il faut s'inspirer et donc je souhaite mettre tous ces acteurs là en valeur, évidemment via le podcast sur l'élite studio et sur la chaîne youtube et évidemment ça va être d'aller rencontrer plus de monde, je vous en ai déjà parlé et vous suivrez mes aventures je pense cet été, mais je vais partir 3 mois aux Etats-Unis tout seul, encore une fois mais à la rencontre des entrepreneurs américains, voir ce qui se fait là-bas, j'espère faire des rencontres formidables, qui va m'apporter des nouvelles perspectives et ça clairement ça va me sortir de ma zone de confort, on va pas se mentir, j'adore Paris, j'adore tout ce qu'on fait, mais partir 3 mois un peu de manière travel business, à la rencontre de personnes dans un pays où je n'ai pas encore mis les pieds, je pense que ça va me permettre de voir d'autres choses et évidemment aussi m'entourer au quotidien de nouvelles personnes, on est en train de faire pas mal de tests de nouvelles personnes, là chez l'élite studio que ce soit la partie sales, la partie média bailleur pour nous aider à construire le projet, à le développer, donc voilà ce sont des choses où il faut se bousculer et j'ai bien envie de me réinventer cette année, d'être plus quelqu'un qui parle du projet de l'élite studio, qui crée du contenu plutôt que d'être dans l'opérationnel, à faire du lead entre guillemets, donc hâte de voir ce qu'il va se passer d'un point de vue pro là dessus, pareil d'un point de vue perso, j'ai trop sacrifié entre guillemets la vision pro vs perso en 2023, parce qu'évidemment quand vous avez un business c'est des sacrifices et j'ai envie de prendre plus le temps de construire un cercle d'amis qui est solide, évidemment j'ai déjà un cercle de quelques amis que j'apprécie particulièrement et je sais que de toute façon c'est sur eux que je pourrais toujours compter, mais c'est bien aussi de savoir étendre son cercle plus en avant dans la vie et aussi d'aller chercher de nouvelles personnes, profiter évidemment plus de la famille, j'ai beaucoup sacrifié des moments familiaux en 2023 et c'est important d'en avoir conscience et de corriger le tir, les parents ne sont pas éternels, les frères et soeurs entre guillemets aussi, mais aussi évoluent, le temps passe vite et je m'en suis vraiment rendu compte aussi cette année, de voir à quel point le temps passe vite et c'est important de savoir aussi prendre le temps avec ses proches, je pense que je ferai aussi un podcast là-dessus sur le fameux Mental Aid, c'est un concept de David Goggins que j'apprécie de plus en plus de savoir parfois, au lieu de prendre des grandes vacances de deux semaines, juste dans la semaine savoir prendre parfois des après-midi ou des moments où vous lâchez un peu tout puis vous allez faire cette sortie ou ce resto quand même avec vos proches, c'est important, alors non pas pour contrebalancer ce que je vous disais avec les naysayers de se casser la tête le vendredi soir, mais plus de temps en temps de le faire quand même, c'est important, mais pas en mode au cas où ils ont raison mais plus parce que vous revenez après le lendemain avec de nouvelles idées, votre cerveau s'est reposé et vous repartez à l'attaque, vous remettez entre guillemets les rames et vous êtes reparti pour un tour et c'est important, d'un point de vue pareil objectif sportif, vous savez à quel point c'est important pour moi, attention aux naysayers, objectif de dédile encore une fois cette année pour le sport, on va refaire le fameux éco-trail 80km avec mes deux frères, l'objectif c'est qu'on arrive au bout tous les trois à la tour Eiffel, donc premier objectif sportif avec deux difficultés supplémentaires, je ne compte absolument pas m'entraîner pour les 80km, à l'heure où je tourne ce podcast je crois que ça fait deux mois que je n'ai pas fait un running, bon je vais à la salle de sport tous les jours pour qu'on s'entende bien, mais je ne compte pas m'entraîner parce que je n'ai pas spécialement envie de m'entraîner pour, en revanche je souhaite pouvoir faire 120kg au développé couché, mon record all time best est 115kg et j'aimerais pouvoir passer les 120kg, alors là j'ai une vraie barrière psychologique à ce niveau là parce que je pense que je les ai, ça me demande de prendre un peu de poids, je pense que je les ai mais c'est juste que psychologiquement mon cerveau n'est pas prêt à se dire qu'il faut soulever 120kg, et donc je compte faire un travail assez assidu de lever d'objection de barrière psychologique et je souhaite pouvoir faire globalement 120kg la semaine de l'éco-trail, qu'en fait je voudrais qu'en une semaine être capable d'avoir fait 80km et avoir fait 120kg au développé couché, ce qui grosso modo n'a absolument aucun sens d'un point de vue sportif puisque ça me demande de garder un certain poids, donc je ne peux pas me mettre à faire des jeûnes et à perdre 6 ou 7kg parce que si je perds 6 ou 7kg je perds en force et je n'arriverai jamais à faire 120kg, et je trouve ça marrant de me dire ok j'arrive à allier quelque chose qui est d'un point de vue typiquement de messiah impossible, s'entraîner et faire une épreuve d'endurance absolument gigantesque, donc un ultra-trail de 80km tout en travaillant sur du powerlifting et faire 120kg au développé couché, ce qui demande d'avoir une condition musculaire et un poids qui est un petit peu plus élevé en termes d'indice corporel, ce qui est débile, ce qui est d'un point de vue sportif est absolument débile, en revanche je sais que je suis capable de le faire, et j'avais envie de prouver justement à tous ceux qui pensent qu'on ne peut pas faire de la musculation à outrance entre guillemets et avoir un cardio avancé et une très bonne endurance, je vais vous prouver que c'est possible, j'ai le gut feeling que c'est possible, et je n'écouterai absolument personne qui me dirait que c'est impossible ou qui pourra me montrer par A plus B que l'on ne peut pas faire 120kg de développé couché un jour et le lendemain faire 80km, en tout cas dans la même semaine, évidemment que dans une vie on peut le faire, mais c'est pas drôle, là je vais le faire la même semaine, donc j'écouterai le 19 mars, j'espère que quand je vous ferai l'épisode du podcast le 20 mars, je vous dirai que j'ai réussi cette fameuse semaine du 19 mars à faire 120kg au développé couché, à lever mes barrières mentales et à avoir fait ce 80km, et puis si je n'ai pas réussi, essayez de comprendre pourquoi et de trouver en 2025 comment y arriver. Voilà pour les objectifs 2024, se réinventer, voir plus de monde, partir aux Etats-Unis et avoir ces objectifs sportifs assez insidieux, et bien évidemment trouver un nouveau cofondateur ou des nouveaux partenaires d'association pour continuer à développer l'EAT Studio en 2024, et bien évidemment à ignorer les naysayers. D'un point de vue de l'EAT Studio, si on doit donner quelques chiffres, j'ai pas de chiffre de CA, donc on a fait 7 millions globalement en 2023, je pense que ça va être une année où ça va pas être ma North Star Metrics, ma North Star Metrics va plutôt être sur le business, à quel point le business est capable d'être automatisé et décorrélé de la personne, parce que je sais que ce qui nous amènera, en fait, mon objectif est à plus d'un an là-dessus, je sais que ce qui nous amènera aux 50 millions, c'est pas ce qui nous amène aux 7 millions, donc il y a un moment où il faut accepter de déconstruire un petit peu, donc je ne sais pas globalement ce que ça va donner d'un point de vue rentabilité, CA, etc., mais je vais vraiment poser les bases pour que en 2025, 2026, en fait, l'EAT Studio, on sera capable de faire 50 millions, et bien évidemment c'est possible, et une fois qu'on aura fait 50 millions, on essaiera de faire plus. Évidemment, toujours pareil, avec comme objectif, évidemment, de s'entourer des meilleurs, de rester sur des objectifs, sur des effectifs assez faibles, je ne pense pas que j'aurai un jour une boîte de 70 personnes, en tout cas ça ne me correspond pas, encore une fois, ce qui compte c'est le voyage et pas la destination, je ne me vois pas, je n'ai pas le gut feeling, encore une fois, que j'irai 50, 60, 80 personnes, que ce soit quelque chose qui me rende fondamentalement heureux, je préfère avoir une petite équipe de snipers, entre guillemets, qui sont capables de nous emmener aux 50 millions, et je sais que c'est possible, plutôt que d'avoir des personnes à bout de bras, afin justement de gérer trop de personnes et trop de pression, et c'est bon. Voilà les amis, pour cet épisode 4, ignorez les naysayers, les détracteurs, réinventez-vous, sortez de votre zone de confort, je vous souhaite que 2024 soit une année où vous vous réinventez, vous continuez à mener le front de vos projets, ne lâchez rien, vous êtes les meilleurs, continuez à faire preuve d'insubversibilité, on est ensemble, tous ensemble, dans ce fabuleux voyage, on ne lâchera rien, abandonner de toute façon n'est pas une option, et je vous souhaite le meilleur pour cette année 2024. C'était Thomas, pour Insubmersibles.

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