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La conscience test

La conscience test

00:00-14:04

brain storming spontané, reality-talk. On se "pause" et on se pose des questions, des interactions spontanées sur des thèmes liés à l'homme et son évolution, sur la physique quantique et "méta". des trucs comme ça, sur lesquels on aimerait discuter avec d'autres, créer cette arborescnce intellectuelle. parfois ça donne des idées et des compréhensions aux autres.

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The conversation discusses the concept of consciousness in animals and humans. They mention that animals may have a different type of consciousness, with heightened senses and intuition. They also discuss the idea of acquired consciousness and the importance of finding a balance between being aware and letting things happen naturally. The conversation touches on topics such as the resonance of the Earth, the connection between consciousness and control, and the concept of cellular memory. They conclude that consciousness is key and should be approached with awareness and understanding. Attends, ah ouais, tu savais que les chats n'avaient pas de conscience ? Attends, il faut oublier le Mac en fait, il faut faire comme si on parlait tout seul. Mais pourquoi ? Qui t'a dit qu'un chat n'a pas de confiance ? Qui m'a dit qu'un chat n'avait pas... Mais attends ! C'est une discussion en fait. Ah, t'as vu, regarde, ça fait la résonance de Schumann sur la télé. Les lumières là. Ah oui, effectivement. Ah ouais, c'est marrant, ça fait vraiment comme le schéma là, le blanc, tu vois la phase d'éveil, la phase rouge, les blessures, et dans les quatre coins, t'as la couleur bleue et verte, ça c'est quand t'as une phase de... Sommeil. Il se passe rien, c'est le calme plein. C'est pas une diffraction ? Oh là, je sais pas. T'as vu la dernière bande de la résonance de Schumann là ? C'est violent, il a fait bleu nuit, bleu nuit total. Y'avait pas de vert, y'avait pas de blanc, y'avait rien. Et là tu dis, la Terre qui était en train de dormir, et nous avec. Parce qu'en fait, c'est une histoire de fréquence, de résonance là. Je te dis, c'est le pour de la Terre. Il a 7 et quelques. Et bizarrement, ou bizarrement, je crois pas que ce soit bizarre, 7,83 Hertz. Donc quand elle tombe, tombe, c'est son rythme cardiaque, j'ai envie de dire. Donc c'est le champ électromagnétique de la Terre, comme ça. Donc elle bouge. Elle est pas immobile, elle bouge avec nous et nous on est dessus. Donc t'imagines quand la résonance augmente, comme la dernière fois elle est montée à près de 300 je crois, t'imagines c'est comme si nous on est en tachycardie, on a le cœur qui se met à battre à mille à l'heure. Donc tu m'étonnes qu'il y ait des gens qui soient morts. Et le taux de... Alors, l'hémoglobine glycée, la norme au niveau du sucre, le taux de sucre en général pour un être humain, il est de 7. 7 quelque chose. Enfin 7 en moyenne. L'équilibre, ça c'est le plus fort, l'équilibre acido-basique, donc pour savoir si t'as un pH qui est plutôt acide ou pas, enfin neutre, il est à 7.38. Et la fréquence de Schumann est à 7.83. T'as vu c'est bizarre quand même cette corrélation. Ça tourne toujours autour du 7. Autour du 7. Les 7 jours, tout tourne autour du 7. Il y a quand même quelque chose dans ce chiffre, en vrai. C'est incroyable. Enfin voilà, après tu vois c'est un bon truc. Une bonne introduction avec la conscience. Parce qu'en vrai, la conscience, tu dis qu'un animal, le chat n'a pas de conscience. D'ailleurs pourquoi le chat ? Pourquoi le chat ? Pourquoi t'as pas dit l'animal ? Ben non, parce qu'il y a le chat, il y a le chien, il y a le singe, et on sait que les êtres humains, enfin les êtres vivants plutôt, ont tous une conscience différente. Par exemple un singe, tu le mets devant un miroir, il va savoir que c'est son gros frère. À 3 ans il sait. Alors qu'un chat, il croit que c'est un autre animal. Un autre chat. Les grands férins aussi. Mais le singe en même temps, tu prends la gueule de l'ancêtre de l'humain. Donc quelque part, quand tu regardes, les mêmes mimiques. Absolument les mêmes mimiques. Mais c'est cette histoire de conscience qui m'a chagrinée. C'est vrai qu'en fait les animaux, est-ce qu'ils ont une conscience ? Comme la nôtre, non. Mais peut-être qu'ils en ont une, c'est nous qui savons pas qu'ils en ont une. Parce que justement, c'est pas la même. Parce qu'eux, ils ont ce sixième sens là. Ces intuitions hyper développées. Un chien va sentir un tremblement de terre qui arrive alors que nous... Ah oui c'est vrai. Tu vois, les animaux vont sentir les tsunamis, etc. Donc est-ce que c'est une conscience ? Moi je pense qu'ils ont une supraconscience. Ils décodent les informations. Alors cette conscience, elle serait limitante ou épanouissante ? Pour eux ? Ouais. En comparaison à la nôtre quoi. Oui mais justement, tu peux pas comparer parce que limitante et épanouissante, c'est typiquement humain. Pour l'animal, c'est sa conscience tout court. Il y a quand même une pyramide des espèces. C'est typiquement humain. Oui, c'est typiquement humain. Déjà utiliser épanouissant ou limitant, c'est typiquement humain pour l'animal. Il sent le cyclone qui arrive, il sent le tsunami qui arrive. Et voilà, ça fait partie de lui. Il a pas besoin de savoir si ça l'épanouit ou pas. Ça fait partie de ses sens. Tu vois, c'est comme nous. On a des sens mais on se pose pas la question de savoir si c'est limitant ou épanouissant. On les a, c'est tout. Et c'est acquis. Tu vois ce que je veux dire ? Ouais, c'est acquis. C'est acquis, c'est vraiment le mot, c'est acquis. Mais dans toute cette histoire d'acquisition là, le problème, tu vois, quand les choses sont trop acquises, c'est qu'on prend plus la... On conscientise plus. Tu vois, si je te touche, est-ce que t'as conscience que je te touche ? On ne conscientise plus rien. Tu sens une odeur, tu vas sentir, ah ça sent bon le chocolat, ah ça sent bon le poulet. Mais est-ce qu'on a conscience qu'on utilise un sens qui l'odorat ou le touchait ? Tu vois, on fait des choses... Est-ce que pour avoir cette conscience-là, il faut pas savoir avant ? Savoir, de base, qu'il y a un chemin neuronal qui fait un trajet, tu vois ? Oui, mais... C'est un jeu. Oui, c'est sûr. Du cerveau à la langue, je sais pas, savoir que le palais est stimulé... Mais c'est tellement acquis. Comme pour la langue, tu vois. Parce qu'en vrai, on le sait, puisque tu arrives bien à le décrire. On le sait, mais c'est acquis. C'est acquis, c'est comme la respiration. On respire, tout est bien coordonné, regarde. On respire, on parle en même temps. Pendant que je parle, je ne peux pas respirer, je suis en mode apnée. Oui, il y a ça aussi, ouais. Mais on est tellement dans le acquis. C'est comme ça, en fait. Et je pense que les animaux, avec leur conscience, c'est un peu pareil. C'est comme ça. Je me pose pas la question de savoir si c'est de la conscience ou pas pour l'animal. Nous, on a la même conscience que les animaux. Je pense qu'ils ont une supraconscience. Oui, quelque part, t'as raison, on a la même. Sauf que nous, il y en a une dont on n'a pas conscience, véritablement. La supraconscience. Et en fait, on est dans deux ambiguïtés. On est dans le mode, c'est acquis, donc j'ai pas conscience, je fais un truc, mais je le fais sans avoir conscience que je le fais. Tu vois, je vais faire ça là, mais je le fais sans avoir conscience de ce que je fais. Je me dis pas, je touche ma cuisse. Est-ce que parfois, cette conscience-là, on l'a pas à différents degrés ? Peut-être qu'on peut chercher des fois à s'en débarrasser de cette conscience-là. Comment ça ? Tu vois, par exemple, j'ai mes jambes. À un moment donné, je sais que je marche comme je marche. Je laisse mes jambes aller à une vitesse, même le plus vite possible. Sans chercher à la contrôler. Voilà. Sans chercher à la contrôler, oui, oui. Peut-être que ça, c'est même une idée. Mais c'est une forme de conscience quand même, ça, je trouve. Une idée. Je pense que c'est une forme de conscience parce que tu laisses faire en étant conscient qu'elles veulent avancer à leur allure et tu les laisses faire. Qu'elles doivent peut-être même. Voilà. C'est marrant ce paradoxe entre ce qui est acquis et la supraconscience parce qu'en fait, il faut qu'on trouve un juste équilibre. Le mieux, c'est d'être supraconscient, d'avoir connaissance des informations, etc. Mais on n'y arrivera pas. On n'est pas encore assez évolué. Je crois que ce qui va nous limiter par rapport à cette supraconscience-là, ça va être le fait de vouloir contrôler un maximum de choses. Oui. Le fait de chercher la maîtrise, de chercher le contrôle des choses. Et pour ça, il faut être un maximum conscient. Enfin, non. Il faut être capable aussi, il faut conscientiser un maximum de choses pour avoir le plus de contrôle, non ? Oui, à la fois, oui. Parce que c'est quand tu conscientises, c'est comme aller mettre la main dans le feu. Quand tu as conscience que tu vas faire quelque chose, tu ne le fais pas, tu vois ? Ah oui, oui. En fait, c'est ça. La dernière fois, on parlait d'un truc, mais c'est à ce prisme-là, la conscience. On l'oublie, cette conscience. Pourtant, elle est la clé de tout. Elle est vraiment la clé de tout. J'ai conscience de ce que je fais. Et c'est forcétif, clairement. La douleur. Enfin, là, tu avais de... De brûlure. Quelque chose de sans objectif. Mais... La mémoire. Tu as quoi, la mémoire cellulaire ? Non. La mémoire, le souvenir. Ah. Mais oui, la mémoire de forme ou la mémoire du corps. C'est nerveux, en fait, tout ça. Oui, c'est une mémoire cellulaire, quelque part, parce que le corps est composé de cellules. C'est quoi, la mémoire cellulaire ? C'est la cellule, c'est la mémoire, la cellule de ton corps qui se souvient. Tu vois, des fois, c'est comme ça qu'il y a des choses intergénérationnelles qui se transmettent, parce qu'il y a une mémoire cellulaire ou une maladie, tu vois, génétique. C'est une mémoire cellulaire aussi, quelque part. Mais... Oui, je crois qu'on doit avoir conscience de... Qu'il y a cette supraconscience, parce qu'en fait, tout ça, on doit le faire en conscience, mais tout en étant en soutache, c'est-à-dire que tu sais, en fait, on sait les choses. Aujourd'hui, moi, quand je parle d'énergie, je connais l'énergie, je sais. Enfin, je ne connais pas tout d'elle, mais je la sais. Et elle reste en soutache. Tu vois, même si je n'en parle pas, elle est toujours là, elle est latente. Je sais qu'elle est là. Elle est latente, même si je ne la comprends pas, donc je n'ai pas cette pleine connaissance d'elle, mais je sais qu'elle est là, et donc je la fais travailler en soutache. En fait, c'est ça. Et avoir conscience, quand tu as conscience de quelque chose, après, ça devient une soutache. Tu n'as plus besoin d'y penser. Et ce n'est pas pour autant que c'est à toi. L'énergie ? Oui. Peu importe. Par exemple, le fait de faire ça. Si moi, j'ai conscience au moment où je te touche, je vais lui toucher la jambe. Oui. J'ai conscience de ce que je fais. Donc à chaque fois que je fais un geste, je le fais consciemment, je conscientise ce que je fais, et à un moment, ça devient une soutache. C'est-à-dire que je vais le faire, je ne vais pas le penser. Oui, oui. Mais ce sera là. Oui, après... Voilà. Tu vois ? Il y a la 3D, je le touche, et puis il y a ce côté un peu en 4D qui dit, j'ai conscience que je le touche, mais je n'ai pas besoin de me le... C'est là, ça fait partie de moi, comme le fait de respirer. Tu vois, comme la conscience animale. Oui. C'est là, on sait que c'est là. C'est comme le grand tout, c'est comme le ça, c'est là. Il y en a qui parleront de spontanéité. Aussi. Un geste spontané, quoi. Un geste spontané. Oui, mais est-ce que c'est pour ça que... Parce que dans la spontanéité, il n'y a pas cette conscience en arrière-plan, normalement. Oui, c'est ça, c'est ce que j'allais te dire. La spontanéité, c'est... Oui, c'est spontané, ce n'est pas réfléchi. Mais est-ce que ça veut dire que... Est-ce que parce que ce n'est pas réfléchi, c'est en dessous-tâche ? En fait, c'est l'histoire de la conscience qu'il faut développer. Il faut vraiment qu'on ait conscience. Même quand on mange un truc, c'est limite toutes tes papilles, elles décortiquent le goût de ce que tu manges, ou la texture, absolument tout. Si bien qu'après, la fois où tu vas remanger cette chose, tu as déjà structuré ton corps ou ton énergie à décomposer la chose et à en profiter, tu vois, à le savourer. Oui. Ça me fait un peu penser... Ça n'a rien à voir. Mais ça me fait penser à... On parle de décentralisation dans le milieu numérique... Comment dire ça ? Tu vois, sans moi, il y a une espèce de numérisation qui se fait dans les entreprises, tout ça. Et même avant ça, c'est pas si intéressant que ça, parce qu'en fait, depuis qu'on développe Internet et tout ça, et les sites web, tu vois qu'il y a d'abord une décentralisation des systèmes. C'est comme si tu as un point principal qui se décompose en plusieurs plans. Donc c'est une décentralisation. Oui, logique. Et ensuite, étape 2, tu as une centralisation de tous ces éléments qui ont déjà été... Décentralisés. Ouais. Et successivement, ça se fait comme ça. Centralisation, décentralisation, centralisation, décentralisation... Depuis les années 2000, en fait. Et là, je ne sais plus où on en est. Mais ouais, c'est un peu ça. Ça me fait penser au fait que... Je pense qu'au cours de notre vie, on ne fait que ça, genre. Oui. Se centraliser sur quelque chose... Ouais, je sais ce que tu veux dire. Et recréer une arborescence derrière. Voilà, c'est ça. En fait, c'est... Ouais, ouais. Alors, c'est peut-être un principe d'évolution. Ça me fait penser à un arbre généalogique inversé. Ou même pas inversé, un arbre généalogique tout court. C'est une bonne connaissance. Ouais. Mais je pense que c'est vraiment une belle arborescence. C'est une belle arborescence. C'est une toile d'araignée. Voilà. On va jeter notre test pour le premier podcast. Salut. C'était les podcasts de Psychedelic. Ah oui. La psyché. La psyché. Salut les... Les psychonautes. Oh, punaise. On l'a dit en même temps. Bah, c'est ça. Comment je fais pour arrêter le truc ? Oh. Stop.

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