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La pression de se placer

La pression de se placer

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The podcast "Révolution Z" is for women who want to prioritize themselves and live life on their own terms. The host, Marie-Lou, discusses mindset, self-care, and personal development to help listeners become more self-aware and fulfilled. She encourages listeners to question societal pressures and expectations, and to define success and happiness for themselves. Marie-Lou shares her own experiences and encourages listeners to embrace change and live authentically. Est-ce que ça t'arrive de ne pas te sentir à ta place, de te sentir perdue ou de vouloir du changement dans ta vie sans trop savoir où commencer? Si oui, le podcast est pour toi. Bienvenue sur le podcast Révolution Z, moi c'est Marie-Lou et je m'adresse aux femmes de ma génération qui veulent se mettre en priorité, bâtir leur vie selon leurs propres standards et à être pleinement. Tout ça dans le but d'assumer leur vraie couleur pour mener une vie à la hauteur de qui elles sont vraiment. Je suis tannée de voir des femmes s'empêcher d'être elles-mêmes par peur de sortir du corps imposé. Chaque épisode te permettra d'approfondir ton introspection et ta transformation intérieure vers une version de toi plus consciente et épanouie. On va jaser Mindset, Self-Care et Développement personnel dans le but de révéler la vraie toi et de mettre ton bien-être en priorité. Es-tu prête à créer des réels changements dans ta vie? Ça commence à l'intérieur de toi, ici et maintenant. C'est bénéfique! Allô! J'espère que tu vas bien. J'avais vraiment hâte de te filmer, de t'enregistrer cet épisode-là parce que je trouve que c'est l'épisode qui est tellement représentatif du but du podcast, qui est très représentatif du titre. Je trouve que c'est tellement relié à Revolution Z, qui est genre rébellion des Gen Z. J'avais vraiment hâte de te parler de ça parce que c'est vraiment un sujet touché. Je ne pense pas que je vais peser mes mots aujourd'hui. Je suis là pour te partager un peu ma vision des choses, peut-être te réveiller de quelque chose, peut-être te faire réaliser c'est quoi tes réels désirs, te faire réaliser c'est quoi la vie que tu veux. Je vais te poser des questions un peu d'introspection dans cet épisode-là. Ça va être juste le fun. Adapte-toi à toi, t'en prends et t'en laisses. S'il y a des choses qui ne te parlent pas, c'est correct. Aujourd'hui, je te parle de la pression de se placer. Je vais te partager un peu des anecdotes que j'ai vécues dans les dernières années par rapport à ça. Je pense que tout le monde en fait un peu cette pression-là de se placer, de vivre un peu, de ne pas déroger de la vie qu'on nous enseigne de vivre, de ne pas déroger de la boîte, de ne pas sortir du cadre, etc. Je trouve qu'en tant que Gen Z, c'est encore très prenant dans notre vie parce que on n'a pas d'expérience, on est un peu dans le néant. Tu dois choisir c'est quoi que tu veux faire dans la vie et tu vas garder ça pour le reste de ta vie. Là, on est comme, oh mon Dieu, c'est quoi que je veux faire? Honnêtement, j'ai toujours admiré les gens qui le savaient depuis tout jeune. C'est malade, je ne l'ai jamais su. J'avais tellement des millions d'intérêts dans ma vie que ça faisait que je ne savais jamais ce que je voulais faire. Ça a été vraiment tough pour moi de me placer entre gros guillemets parce que je pense que de se placer, c'est tellement péjoratif comme terme, c'est tellement, je ne sais pas, je trouve ça full négatif. Je pense que dans notre vie, on est là pour évoluer, on change, nos goûts changent, nos relations changent, nos envies changent. C'est tellement correct de juste se reorienter, je ne parle pas juste de métier, c'est un peu dans toute notre vie, on va changer, on va évoluer et c'est correct. Non, on ne se placera jamais, on va juste vivre. On peut-tu juste vivre? C'est ça le but que j'ai envie de te parler aujourd'hui, c'est vraiment ça le point. Je veux que tu aies l'avis que toi, tu ne veux pas celle qu'on t'a enseigné, pas celle que tes parents ont toujours voulu pour toi. J'entends tout le temps des histoires, genre mes parents, comme ils ont toujours voulu pour moi que je sois plein homme des métiers, que ça sera super full d'études, tout ça. Il faut juste être capable de se détacher de ça. C'est quoi ta réelle définition du succès? On dirait qu'on associe tellement le succès à la famille parfaite, à la vie parfaite. T'as un bon chum, t'as une bonne blonde, t'as des enfants, t'as un bon salaire, t'as une bonne job, t'es allé aux études. Ouais mais elle est allée aux études, elle a le fond de pension, elle a des assurances. Elle est tellement heureuse, elle a tellement de belles conditions, comme wow wow wow. Pis là, on dirait que, genre c'est ça que j'aime pas, c'est que, c'est comme si ça dénigrait tout le reste, genre du monde, qui n'ont pas choisi ce chemin là. Mais comme, on peut-tu, genre on, qu'est-ce qu'on a envie, genre pis de comme, nos choix aussi. Pis t'sais, l'affaire c'est que des fois, quand on est plus jeune, c'est qu'on peut manquer de confiance à ce niveau-là. Pis on peut se dire, t'sais, je veux pas déroger, je veux vraiment vivre ce qu'il faut, je veux pas manquer d'opportunités, je veux pas déplaire surtout. Souvent, c'est ça l'affaire, c'est que toute l'impression qu'on ressent, ça vient de l'extérieur. Pis, faut que tu sois capable de réaliser que, genre, les générations évoluent là. Comme, clairement qu'on est plus dans le temps de nos grands-parents pis de nos parents, comme, c'est en constante évolution. Pis je pense qu'aujourd'hui, les gens ne désirent plus, ça nous allume plus là, des assurances, ça nous allume plus là, un fonds de pension. Pis, comme c'est cool d'avoir ça, c'est cool d'avoir un bon salaire. Évidemment, t'sais, surtout avec la situation économique, tout ça, c'est pas évident. Mais je pense que les jeunes de nos jours, qu'est-ce qu'ils désirent le plus, c'est vivre, avoir un sentiment de liberté, profiter de leur vie. Comme, on dirait qu'on se réveille là. Genre, il est fini le temps où on travaillait en malade pour ramener, genre, pour faire vivre le monde. T'sais, comme, on veut profiter. Pis je pense qu'il y a comme une espèce de croyance dans notre société de, comme, plus tu travailles, plus t'as de l'argent. C'est dur d'avoir de l'argent, c'est dur de bien gagner sa vie. Faut travailler fort. Pis c'est comme si on dissociait le, je vis une vie heureuse et je vis une vie prospère. Genre, c'est comme si ça venait pas ensemble. C'est comme si, quand tu termines le secondaire, tu dois choisir entre, ok, ben moi est-ce que je veux aimer ma job ou moi je veux bien gagner ma vie. Ça n'a comme aucun sens. Tu savais que les deux peuvent venir ensemble. Pis j'ai l'impression que plus tu vas aimer, comme, ce que tu fais dans ta vie, plus tu vas attirer d'abondance. C'est vraiment une croyance que j'ai. Pis il a fallu que je déconstruise certaines croyances. De justement, t'sais, moi j'étais vraiment seule. Quand j'ai fini l'école, je tracotais un peu mon parcours scolaire. Comme, quand j'ai fini le secondaire, je savais pas ce que je vais faire. Comme, mes amis savaient, ils sont allés faire leur DEC. Comme, tout le monde est parti au cégep. Moi, tout mon secondaire, je me suis dit, comme, je vais pas aller au cégep, je vais pas aller à l'université. En fait, je dis pas trop, j'avais comme cette vision-là de, comme, j'ai pas le goût de faire ça. Pis, ça... Quand j'étais arrivée en secondaire 5. Là, on dirait que j'ai comme mangé une plaque. Parce que j'étais comme, ok, tous les métiers qui m'intéressent. Soit, je devais être entrepreneur. Genre, mettons, je voulais full être des ingrédients d'intérieur. Ok, ça c'est vraiment comme un sujet... Pas un sujet, mais un métier qui est comme... J'aime tellement cela, la déco, je tripe là-dessus. Pis, on dirait que vu que je devais comme... En tout cas, je connais pas full le domaine. Mais, je sais que quand j'avais regardé, c'était dur, mettons, de se placer là-dedans. Parce que, fallait que tu ailles des contacts. Fallait que tu sois à travers un tonneau, etc. Pis là, j'étais comme... Tu sais, quand t'es comme petite fille, t'as 17 ans. T'es genre, ok, non, je veux pas déroger du cadre. Tu sais, je vais pas être à mon compte. Mon Dieu, ça n'a pas de bon sens. Je vais-tu réussir? Fait que, j'avais juste comme laissé tomber cette option. C'est fucking ironique parce que, genre, aujourd'hui, je suis entrepreneur. Et, j'ai fait des moves très risquées dans ma vie. Genre, qui comme, peuvent faire vraiment pas grand du monde. Pis que, comme je retourne genre 4 ans avant. Pis, j'étais genre... Ouais, genre, voir que ça m'empêchait. Mais, je pense que c'était juste pas la bonne affaire pour moi. Mais, tu sais, dans le fond... C'est ça, fait que... Tout ce que je voulais, c'était comme pas accessible. Parce qu'il fallait, genre, moi pouvoir sortir. Pis, c'était des affaires que j'avais pas prises. Parce que, dans ma tête, j'allais pas avoir besoin de ça. Fait que, ça a comme un peu piqué ma bulle. Pis, t'es comme, ok, ben, je vais aller en 5 semaines. Tu sais, on va voir. Je sais pas trop. Tu sais, c'est full général. Pis, je pense qu'il y a un peu tout le monde qui sait pas ce qu'ils veulent faire. Ou qui savent ce qu'ils veulent faire. Mais, c'est à l'unique que ça se passe. Mettons, en psycho, ben, tu vas en 5 semaines. En tout cas, ton parcours peut varier, là. Mais, bref. Fait que, c'est la semaine de full général. Fait que, j'ai allongé mon parcours. Je pense que j'en ai parlé un peu dans l'intro du podcast, là. Qu'est-ce que j'avais fait comme parcours. Fait que, je vais pas, comme, m'étaler là-dessus. Mais, je me rappelle que j'étais vraiment, vraiment en quête de qui je suis. De qu'est-ce que je veux faire comme métier. Pis, c'est comme si j'oubliais un peu, moi, ce que je voulais. Pis, pourtant, j'ai vraiment eu des bons parents qui m'ont toujours dit. Ils m'ont toujours répété. Marlou, tu fais ce que t'aimes. C'est ça l'important. Il y a quand même une pression, genre, de, comme. Tu compares, là, avec les gens dans ta classe. Ils sont comme, ouais, moi, je m'en vais mettre ça. Moi, je m'en vais avocat, normalement. Pis, là, t'es comme, merde. Genre, moi, je vais pas faire ça, là. Est-ce que ça veut dire que je vais pas avoir d'argent dans la vie? Est-ce que ça veut dire que je vais pas être heureuse? Comme, on dirait qu'on se pose tellement de questions. C'est tellement de l'inconnu. Ça peut faire peur. Pis, je veux juste, comme, t'enlever cette pression-là, cette peur-là. Comme, c'est pas grave si tu le sais pas. Pis, moi, j'aurais vraiment aimé ça que quelqu'un me le dise. Que j'étais pas pressée. Pis, pourtant, je me mettais tellement cette pression-là, toute seule. De, comme, je veux absolument trouver. Pis, c'est parce que j'avais un peu un deadline, là. Tu sais, je faisais mon deck en cette semaine. Le deck, c'est deux ans. Je l'ai allongé trois ans, là, tellement que j'étais maigrée. Pis, j'ai passé mes trois ans à chercher, là. Trois ans pour chercher ce que je voulais faire. Pis, pourtant, comme, y'a rien, là, qui m'avait allumé. Moi, le site repère, là, au cégep, là, je le connais par cœur, là. Genre, j'ai défilé les messages. Et, genre, je m'acharnais, là. J'étais comme, non, je vais trouver. Pis, comme, à un moment donné, c'est comme si... Ah, c'est fucked up, genre, le mindset que t'as, là, quand tu veux, genre, te placer, là. C'est comme, à tout prix, je veux trouver de quoi. À tout prix, je veux, comme, me placer dans ma vie. Fait que, j'ai fait un peu n'importe quoi. Pis, moi, je me rappelle que je m'étais auto-convaincue que je voulais aller en adaptation scolaire. What the fuck? Genre, je fais tellement pas dans ce métier, là. J'en sais pas rapport. Pis, j'admets, vraiment, ceux qui font ça, je trouve ça malade. Mais, j'en sais pas rapport. J'en sais pas rapport. Genre, pourquoi, moi, je voulais... Comme, j'étais vraiment en quête, là, de, comme, qu'est-ce que j'aime, qu'est-ce que je veux. Pis, j'avais un peu une pression autour de moi. Tout le monde s'en allait à l'université, là. J'étais comme, mon Dieu, mais, là, moi, moi aussi, il faut que j'aille à l'université, là. Genre, mon chum y allait, mes amis y allaient. Comme, on dirait que j'étais, genre, ok, il faut vraiment que je trouve de quoi. Pis, cette deadline-là, ben, il m'a mis la pression parce que j'étais comme... C'est vrai que dans ma tête, ça se pouvait pas que je trouve pas, genre. Pis, je pense que c'est là qu'il est important de se rappeler que t'as pas de deadline. Genre, ta vie, là, peu importe combien de temps que ça te prend de trouver qu'est-ce que t'aimes, peu importe combien de temps que ça te prend de trouver le métier que tu veux faire, genre, y a rien qui rushe. Y a pas, là, genre, c'est correct, là. Comme, il peut rien arriver. Fait que, mets-toi pas cette pression-là sur les épaules. Si tu le sais pas, essaie des nouvelles affaires. Je te dis pas d'attendre que ça tombe dessus, là. T'sais, of course, on est mère de notre vie, on est responsable. Mais, comme, tu peux pas, genre, rusher ton processus. Comme, c'est full important d'être à l'écoute de toi-même, d'essayer des nouvelles affaires. Pis, je pense que plus tu t'alignes, plus tu choisis, plus tu oses aller dans un domaine que toi, qui t'intéresse. Pas que tes parents veulent, pas que tes amis, ils vont là-dedans. Fait que, toi aussi, tu veux faire ça. Non, toi, qu'est-ce que tu veux. Pis, de tranquillement, comme, essayer des nouvelles affaires, essayer des nouvelles opportunités. Pis, tranquillement, tu vas, comme, avoir des nouvelles opportunités qui vont popper vers toi. Pis, quelque chose qui, genre, m'a vraiment fait réaliser qu'on est tous différents, pis que c'était correct d'enjoyer mon processus, c'était qu'on a pas toutes la même réalité. C'est pas parce que ton ami te dit quelque chose que c'est vrai. Pis, je pense qu'il faut vraiment remettre en question la vérité. Parce que, la vérité de, c'est quoi une bonne job? La vé... Oh! Oh, mon Dieu! Mon chien a fait tomber mon trépied. Ok, je reviens. Ça se passe mal. Tiens, je te donne un exemple, ok? Deux réalités complètement différentes. Je suis revenue, ben, oui, je l'ai comme pas dit, c'est trop bizarre. Euh, ouais, je suis revenue. Fait que, c'est ça. Je te donne deux réalités complètement différentes. Quelqu'un qui a grandi dans une famille, mettons, moyenne, là, qui est pas dans la merde, mais, genre, c'est pas, genre, la grosse abondance, ok? Versus une famille que, genre, l'enfant a grandi dans la richesse, dans l'accessibilité de l'argent, ok? Pis là, je te parle d'argent, là, c'est comme le premier truc qui me vient, là. Euh, ben, la réalité des deux enfants vont tellement être différentes, comme l'enfant qui va avoir vécu pas dans l'abondance, euh, va avoir un... Pis là, je veux... Ok, c'est la grosse généralisation que je fais, là, comme, c'est juste pour te donner une idée. Comment que les réalités des gens sont différentes. Euh, la réalité du jeune qui va avoir eu un enfance pas dans l'abondance, va, euh, être qu'il va avoir des croyances reliées à ça, qu'il faut travailler vraiment fort pour faire de l'argent, que c'est difficile d'avoir de l'argent. Contrairement à la personne, à l'enfant qui a grandi dans une famille super aisée, que, t'sais, ses parents, peut-être, qui ont fait péter que l'argent c'était accessible, euh, tout ça, qui avait... T'sais, c'est tout... Tout est une question un peu de mindset, là. Pis, ben, l'enfant va... va juste, comme, attirer cette abondance-là parce qu'il va être, genre, c'est accessible, je suis là pour de grandes choses. Parce que, il voit le potentiel. Mais, comme, on a tout, là... On est tout manque de notre destin, pis je pense que, comme, c'est pas parce que t'es... t'as grandi dans une famille moins aisée que tu n'as pas place au succès, que tu n'as pas place à faire. Euh, à contrairement, comme, avec le premier millionnaire de ta famille. Genre, pour de vrai, ça veut rien dire. Mais, ça peut avoir eu un impact sur tes croyances, sur comment que tu vois les choses. Fait que, c'est juste de changer ta perception. Parce que, comme, si toi, tu t'entoures de gens qui ont des mindsets, euh, pas très élevés, dans le sens qu'ils voient pas de personnalité, qu'ils sont très dans la limitation. Ben, ça va faire en sorte que, toi, tu vas te, genre, diminuer à eux. Fait que, mettons que toi, tu veux... t'as des ambitions, là. Comme, si t'écoutes ça ici, c'est clairement parce que t'as envie de plus grand, là, dans ta vie. T'as envie de vivre une vie incroyable. T'as envie de grandir. T'as envie de, comme, travailler sur toi, pis attirer des choses dans toi. Ok? Fait que, je te parle comme si ça t'intéressait, là. Qu'est-ce que je disais? Mon film déconcentre bien Renne. Ouais, c'est ça. Ok. Fait que, mettons que toi, tu veux une vie prospère. Que tu veux, genre, élever tes standards. T'es comme, t'es tanné, là, d'avoir... T'sais, t'es dans une famille que, comme, chaque génération rush. Mais toi, là, t'es comme, non. Moi, genre, je change le cours de ma génération, de ma famille, dans le fond. Je vais, comme, bâtir mon entreprise, tout ça. Si tu parles à du monde qui ont vécu dans la misère toute leur vie, qui ont rushé toute leur vie, peut-être que, eux, leur vision, ça va être comme, ben non, là, faut que tu trouves une bonne job, faut que tu fasses des études, rushe pas comme nous, si c'est ça. Fait que, là, toi, ça va te décourager. Versus, si tu t'entoures de personnes qui ont pas pensé à ce mindset-là, que, eux, leur réalité, c'est de l'abondance. Que, eux, leur réalité, c'est que l'argent est accessible à eux. Le mindset va être complètement différent. Puis, avec eux, tu vas être, genre, ok, je peux accomplir de grandes choses. Fait que, c'est de choisir à qui tu parles de tes affaires. Comme, on les, genre, ton entourage, tu l'aimes, là. Mais, c'est peut-être pas eux qui vont t'aider à te rendre au projet, comme, à la prochaine étape de ta vie. C'est leur propre limitation qui projette sur toi. Puis, je parle de, tu sais, ça peut que tu sois pas ta famille, là. Ça peut que tu sois des amis. Ça peut que ce soit, qu'est-ce que tu regardes, là. Tu sais, qu'est-ce que tu consommes comme contenu. Genre, change tout de suite si c'est quelque chose qui te fait pas sentir bien. Mais, je pense qu'on a tous des réalités différentes. Puis, là, c'est qu'on peut choisir la réalité qu'on veut vivre. Il n'y a pas... Si, toi, ta réalité, ça a toujours été que tu as rushé dans ta famille, comme, que ta famille veut tellement que tu ailles aux études, que tu te places parce que c'est sur leur vision. Mais, ça, c'est leur réalité. C'est pas la tienne. Puis, tu as le droit de décider c'est quoi ta propre réalité. Puis, il ne faut pas associer, genre, la réalité, déjà, à la vérité. Genre, si tu parles à la personne qui n'a pas été dans l'abondance toute sa vie, puis qui a dit que l'argent, c'est dur à avoir, qu'il faut travailler fort. Bien, ça, c'est sa réalité. Tu ne peux pas y enlever. C'est ça qu'il croit. C'est ça qu'il a vécu. Versus, tu vas parler à la personne qui a grandi dans une famille prospère, que l'argent, yo, ça a plus d'argent, genre. Bien, comme, eux, tu vas juste, comme, avoir un mindset de, ok, c'est ça leur réalité, tu ne peux pas leur enlever. Ils vivent. Quelle réalité, toi, tu veux vivre? Puis, je te parle d'argent, là, c'est comme, il faut que tu aboues l'argent plus. Mais, je te parle de juste, comme, n'importe quelle part de ta vie. Genre, ce n'est pas parce que tu ne fais pas d'études, de grandes études, que tu ne seras pas prospère dans ta vie. Puis, il faut arrêter d'associer le succès à se placer, puis aller aux études, puis, comme, avoir une bonne famille, des enfants, si, c'est ça. Comme, ce n'est pas important, là, de se détacher de ça, puis de créer ta propre réalité. C'est quoi que tu veux. Puis, je te pose vrai la question. Toi, aujourd'hui, là, si tu as le choix, il n'y a aucune limite, là. Il n'y a rien qui peut arriver. Tout est accessible à toi. Quel genre de vie t'aimerais vivre? Puis, limite-toi un peu, là, comme, rêve. Permets-toi de rêver. Permets-toi de voir tellement loin. Permets-toi de voir tellement grand. Puis, pose-toi la question. Est-ce que le chemin que je choisis aujourd'hui est aligné avec ma vision? Petit silence pour te faire réfléchir un peu. Il ne faut pas que tu laisses les gens projeter leurs peurs. Il ne faut pas que tu laisses les gens te rentrer des idées dans la tête. Toi, c'est quoi que tu veux. Il faut que tu clarifies ça. C'est à quoi que tu as, tu sais, mettons, puis, je te poserais la question aussi. Pour toi, une vie à succès, c'est quoi? Puis, là, il va y avoir ce genre de choses. Puis, là, il va y avoir soit la version, genre, que tout le monde te dit de suivre. Fait que, genre, si toi, dans ta tête, comme automatique, tu as, genre, une idée, je t'invite à, comme, l'écrire. Peut-être la verbaliser ou la... Juste en prendre conscience. Puis, de te poser la question. Ok. Ma vision d'une vie idéale est influencée par telle, telle, telle sphère autour de moi. Est-ce que c'est le genre de vie qui me fait rêver? Puis, là, si c'est non, bien, redéfinis ta vision de c'est quoi ta vie idéale selon toi. Pas selon tes parents. Pas selon ta famille, tes amis. Selon toi. Tu as le droit de définir littéralement ta vie de rêve selon toi, ce que tu veux. Puis, si tu, genre, mets tes pensées, comment je pourrais dire ça, j'ai juste en anglais, là, que, genre, tu enlignes tes pensées avec ça, que tu fais juste y croire, là. Que cette réalité-là que tu veux, là, elle va être à toi. Ça va tout changer. Puis, ça ne fait pas toujours du sens ce qu'on fait, ok? Moi, quand j'ai fait, je ne sais pas si je l'ai dit dans un autre podcast, mais, dans le fond, quand j'ai terminé mon BEC, j'étais allée à l'université, je suis allée en loisir. Puis, c'était quand même un, je vais te dire c'est quoi mon mindset que j'avais à ce moment-là. J'étais allée en loisir pour avoir un diplôme. Je ne suis pas allée en loisir parce que ça allait me faire triper. Je ne suis pas allée en loisir parce que j'allais avoir un bon salaire. Je suis allée en loisir parce que, on m'a dit qu'avoir un diplôme à l'université, c'était un must. Mais, comme, quand que je repense à ça, je suis comme voir que je me serais imposée un 3 ans d'études. Puis, moi, je suis comme, je suis délorentine, là. Fait que, genre, c'était à Montréal. Je rêvais trop, là, everyday, de me faire chier à l'autre étude. Sorry, mais c'était littéralement ça. Puis, genre, même pas être heureuse, même pas avoir un bon salaire. Genre, mais, ok, là, j'exagère, là, c'est comme, c'est pas vrai, là. Comme, il y a plein de monde qui ont des bons salaires qui sont en loisir, là. Of course. Puis, genre, j'avais vraiment peur de ça, tu sais, comme ça dépendait de la ville avec qui j'étais. J'aurais pu avoir plein de projets, là, tu sais, je suis quelque chose de full créatif. Mais, genre, c'est pas ça que je voulais faire à l'immédiat. Puis, je me l'avouais pas. Puis, j'ai fait, ça m'a pris une journée, là. Ça m'a pris une journée, puis, moi, c'est comme, je suis capable de pivoter rapidement, mais ça m'a vraiment travaillé cette décision-là de quitter l'université. J'ai fait une journée, là. Genre, tu peux pas faire ça, là. Une journée. Puis, tu sais quoi? Je suis tellement fière, là, d'avoir fait une journée. Parce que si je n'étais pas allée, peut-être que je m'en serais voulu toute ma vie de ne pas avoir essayé. Puis, je suis fucking fière d'avoir quitté après une journée que je ne filais pas. Je connais tellement de monde qui reste dans des situations qui ne sont pas bien. Parce que, selon la société, c'est ça. Il faut se placer. Fait qu'il faut aller aux études. Il faut que tu fasses un bac. Il faut que tu... C'est comme, plus dans l'étude, mieux c'est. Mais, comme, c'est pas juste ça, la vie, là. Comme, c'est beau, oui, c'est un bout de papier, mais comme, ça évolue tout le temps. Fait que, je pense que c'est juste d'être capable de te poser des questions. Pourquoi tu fais ce que tu fais? Est-ce que tu le fais parce qu'on t'a dit de le faire? Ou est-ce que tu le fais parce que tu as réellement envie de le faire? Puis, c'est correct. Comme, j'ai plein de girls dans mon équipe qui trippent, là, à aller aux études. Comme, ils balancent leur business en ligne. Ils sont aux études en même temps. Ils adorent ça. Puis, c'est ça qu'ils veulent. Puis, c'est full correct. Mais, tu vois, moi, ça ne m'allumait pas tantôt d'aller aux études. Puis, c'est parce que j'avais comme une vision négative de ça. Parce que, je trouve que ça m'empêchait de m'épanouir. Ça me mettait dans une boîte. Tout peut s'adapter. C'est ça l'affaire. C'est qu'on dirait qu'on se limite tellement. On aime tellement ça se mettre dans des boîtes, là. Comme, on aime tellement ça voir ça d'une façon comme ça. Puis, de juste pas se permettre de sortir de ça. De mettre un petit pied en dehors. Puis, faire comme, ah! Genre, mon parcours, dans le fond, je peux l'adapter à ce que moi, j'ai envie. Bien, oui. Comme, tu n'es pas obligé de faire le chemin traditionnel que tout le monde a dû te faire. Puis, c'est correct. Tu as le droit de changer d'idée aussi. Tu sais, comme moi, quand j'ai changé d'idée, là. Après une journée, je suis revenu en pleurant. C'était assez pour me dire comme, non, je ne veux pas vivre ça tous les jours de ma vie. Tu es maître de ta vie. Je ne le dirai jamais assez. Puis, je pense que ça part avec des actions. Ça part avec des prises de conscience. De juste te poser les bonnes questions. De ne pas être sur un pilote automatique. Puis, de faire comme, bien, tu sais, c'est ça qu'on m'a dit de faire. Donc, je vais le faire. De t'ouvrir aux options que tu as. Parce qu'il y a tellement d'opportunités. Il y a tellement de choses que tu peux faire. Puis, des fois, parce qu'on a peur de déroger, on ne se permet pas. Mais, il ne peut rien. Comme, c'est juste de poser la question, genre, qu'est-ce qui peut arriver de pire pour de vrai? Comme, il ne peut rien m'arriver. Apportes-tu ta ligne que tu apprennes des choses? On est toujours en apprentissage. Moi, je suis vraiment comme dans un mindset de, comme, il n'y a pas d'effet que jamais. Il y a juste d'apprentissage. J'ai fait un journée d'université. J'ai appris que je n'aimais pas ça. Puis, souvent, l'affaire quand on déroge du cadre, c'est qu'on se fait dire, comme, bien là, ça n'a pas de bon sens. Comme, bien là, ça n'a pas de bon sens. Ça ne fait pas de sens. Mais, ça ne fait pas de sens pour qui? Comme, ce n'est pas de tes fucking affaires qu'est-ce que je veux faire avec ma vie. Même si ça ne fait pas de sens pour toi, peut-être que ça m'en fait pour moi. Puis, c'est ça l'important. Comme, je t'en ai, qu'on arrête, qu'on fasse juste donner du pouvoir à tout le monde sur ce qu'on veut vivre. Puis, qu'après ça, on se réveille dans 10 ans. Puis, on n'est pas heureux. On est en dépression. On a passé à côté de quelque chose. On n'a pas été épanoui dans notre vie. On ne se connaît pas. On ne sait pas qu'est-ce qu'on aime. On s'est oublié. On ne sait pas qu'est-ce qu'on veut faire. Comme, vivre une vie consciente, ça part de te choisir. Puis, d'arrêter de te mettre la pression de te placer. Puis, arrête de te comparer. Ce n'est pas parce que tes amis ont tous des enfants que toi, tu dois avoir des enfants. Ça ne te reste pas. Moi, je pense vraiment qu'il y a un timing à tout dans notre vie. Puis, de le respecter ton timing. Puis, que c'est correct. Si tu ne le sens pas, soit vraiment à l'écoute de ton corps. Ton corps te parle. Ton corps est tellement relié à tes pensées. Tu vas le ressentir direct. S'il y a un stress, s'il y a une tension qui embarque. Ou au contraire, peut-être qu'il va y avoir un feeling super positif. De genre, oh my god, j'ai des petits papillons. Suis-le ce feeling-là. Puis, si tu le sens pas, vas-y pas. Puis, c'est correct. Puis, des fois, notre feeling, notre gut feeling, de genre, oh my god, j'aimerais vraiment ça. Après ça, les peurs embarquent. On est comme, non, je ne peux pas faire ça. Ça n'a pas de bon sens. Mais ça, encore là, c'est influencé par nos croyances. C'est influencé par nos croyances sur, comme, qu'est-ce qu'on est censé vivre comme vie. Si ça sort du cadre, on le rejette. Mais, arrête de te juger. Comme, arrête. Puis, honore ces rêves-là, ces belles pensées-là qui viennent à toi. Puis, de te donner le droit de te dire, ok. Je l'accueille. Je ne le juge pas. J'ai envie de ça. Je ne sais pas quand. Mais, je sais que ça va arriver. Puis, tu sais quoi? Une chose qui m'a vraiment aidée, c'est de me dire ça. Je ne sais pas quand, mais je sais qu'à un moment donné, ça va être ma réalité. D'arrêter de, comme, se mettre la pression d'aller vite. De se placer vite. De avoir sa maison le plus rapidement possible. De fonder sa famille-là. Parce que, comme, tous mes amis ont des enfants. Oh my god, moi aussi, il faut que j'en aille. Oh my god, là. Moi, je sors de mon appartement. Puis là, tous mes amis se sont achetés une maison. Moi, je suis en cours d'études. Tout le monde a leur jeu de vie. Moi, je suis en cours d'études. Je me cherche. Je change de programme un peu tous les ans. C'est correct. C'est correct. Puis, peut-être que, l'affaire, c'est que souvent, on s'acharne. On veut, comme, continuer. Puis, on se rassure en se disant, ça va passer. Ça va passer. Mais non, comme, tu as des ressentis. Ce n'est pas pour rien. Ce n'est pas que tu les écoutes. Ton corps, il te communique des messages. Puis, si tu n'es pas à l'écoute de ça, ça va juste retomber d'une autre façon dans ta vie. Puis, tu ne vas juste pas te sentir bien. À un moment donné, tu vas voir comment il en est assez. Mais combien de temps que ça va prendre pour que tu te rendes compte que tu n'es pas heureuse? Combien de temps que ça va te prendre pour te rendre compte que tu n'es pas alignée? Il faut que tu prennes conscience de toi, tes réelles envies. Puis, arrêtez de te soucier de, comme, qu'est-ce que les autres pensent. Comme, oui, au début, c'est de la nouveauté. Puis, ça peut choquer, des fois, les choix qu'on fait. Ça peut choquer qu'on impose des études. Ça peut choquer qu'on continue nos études. Ça peut choquer qu'on se lance en business. Ça peut choquer qu'on se fonde notre famille à 20 ans. Ça peut choquer qu'on l'a créé à 30 ans. Comme, peu importe ce que tu vas faire, les gens vont te juger. Tu peux choisir. Toi, c'est quand ton timing. C'est quoi que tu veux faire quand dans ta vie, tu as le droit. Ça peut choquer que tu partes en voyage un an. Si, toi, ça te permet d'être retrouvé, ça change ta vie. Tu as des expériences de malade. C'est-tu pas de l'ordre? Est-ce que tu t'en fais un, genre, pour de vrai? Comme, l'important, c'est que toi, tu te sentes bien. Que toi, tu t'honores. Ma business, là, il y a plein de monde qui vont juger quand j'ai commencé ça. Maintenant, là, il y a tellement de monde qui sont comme, « Hey, comment t'as fait? » Ben, c'est ça. Comme, si, moi, j'avais écouté les gens qui me jugeaient, je ne serais plus ça aujourd'hui. Mais, comme, les gens, ils jugent ce qui est inconnu, ce qui n'est pas familier pour eux. Fait que, si, toi... Puis, souvent, c'est de la jalousie. Fait que, rappelle-toi de ça. Comme, quand les gens te mettent de la pression, quand les gens te jugent, ou te disent, comme, voir que tu fais ça, ben, soit qu'ils ne comprennent pas, soit que c'est trop inconnu pour eux. Puis, c'est correct. Comme, détache-toi de ça. Ce n'est pas personnel à toi. C'est plus parce qu'ils ne te comprennent pas. Puis, à un moment donné, il faut arrêter d'essayer de convaincre les gens que ce qu'on fait, c'est bien. Si, toi, tu sais que c'est bien ce que tu fais, puis que tu es heureuse, c'est ça le plus important. Merde, j'avais un point que je voulais dire, que j'ai dit, puis que j'ai, comme, abordé, mais je n'ai pas... Je vais le continuer. Je ne me rappelle plus. Ce n'est pas grave. C'est drôle, hein? Tu as, comme, mes différents tons de voix. Tu as, genre, Petite Marlou, Petite voix douce, qui est, genre, aime-toi, choisis-toi. La Marlou plus capable des standards, puis d'être dans une boîte qui hile dans son micro. Sorry, j'espère que tu n'es pas casse-les-oreilles. Mais, comme, je veux vraiment que, aujourd'hui, tu prennes conscience si tu es alignée ou pas. D'oser faire des choix différents, c'est correct. D'oser, comme, peu importe. Là, tu sais, je te parle de déroger, mais si toi, ta vie traditionnelle te va. Mais c'est juste, comme, au-delà du travail, au-delà de la famille, au-delà de ta santé, plus de... Tu sais, peu importe ce que... ce que tu vas faire, je pense que ça ne sera jamais assez bien pour le monde. Puis, tu sais, là, des fois, ce qui peut être frustrant, c'est qu'on te compare à quelqu'un qui est placé, entre gros guillemets, encore là. Tu sais, mettons... Je te donne un exemple. Mettons que ta soeur est placée, là. Comme, elle, elle a sa job, elle est enceinte, elle a sa maison. Toi, comme, tu ne sais pas ce que tu veux faire. Mais ça ne t'enlève rien. C'est ça l'enfer. C'est qu'on associe souvent notre valeur à ce qu'on fait dans notre vie. Mais, tu sais quoi? Ta valeur, c'est toi qui te l'accorde. Puis, si tu ne t'accordes pas de valeur, que tu te sous-estimes, que tu ne te mords pas, que tu te juges, que tu ne te choisis pas dans les moves que tu fais dans ta vie, que tu penses que tu n'es pas capable d'accomplir plus, les gens vont te voir de même aussi. Ça fait que ça commence avec toi. Ça commence à l'intérieur de toi. C'est toi qui va falloir qui change... qui évolue en tant que personne, qui travaille sur toi pour élever ta propre vision, ta propre confiance en toi, ton estime. Puis après ça, les gens vont te respecter. Si tu ne te respectes pas toi-même puis que tu te comportes et que tu te diminues, ce qu'est l'image que ça donne... Prends confiance à travers les choix que tu fais. Tranquillement, pas vite. Choisis-toi. Puis, ça va faire en sorte que tu vas développer un genre de... Ok, je suis capable. Je suis capable de prendre des décisions par moi-même. Je suis capable de choisir un chemin différent. Puis, ça ne m'enlève rien. Peu importe le chemin que tu choisis, ça ne t'enlève rien. Puis, c'est tout du bagage que tu apportes avec toi. Il n'y a rien de perdu. Tu ne perds pas ton temps. Il n'y a pas de rush. Comme, je te donne une situation. Mon chum est en cours d'études. Moi, j'ai mon entreprise. J'ai mon commerce. J'ai mon business en ligne aussi. Ça va bien. J'ai un bel entourage, honnêtement. Comme je travaille, j'ai une équipe de girls incroyable. J'ai des amis qui comprennent que je suis capable de parler de mon business et tout ça. Puis, mon chum, il m'a parlé cette semaine. Je ne sais même pas s'il... Il n'écoute pas mes podcasts. C'est comme... Ce n'est pas grave. Je ne sais pas s'il veut que je dise ça, mais bon. Mon chum, il est en train de faire son bac en admin. Puis, mon chum a des grands ambitions. Puis, ça le fait chier de passer par plus petit. Il voudrait aller en haut de l'échelle avant de passer par le bas, mettons. En tout cas, c'est un autre sujet. Mais bref. Ça le fait chier. Puis, il aime ça être bon tout de suite. C'est ça. Puis là, il était comme... Tu sais, toi, tu es placé. Tu as du monde à qui en parler. Moi, on dirait que je n'ai personne. Tu sais, c'est ça. J'aimerais ça avoir des amis qui font ça aussi. J'aimerais ça. Tu sais, j'aimerais ça que ce soit concret. Puis, j'étais comme... Est-ce que tu réalises que ça fait 4 ans que je fais ça? Que moi aussi, je me suis sentie perdue pendant tellement longtemps. Puis, c'est ça que mon propre chum, il le sait. Il a été là quand je me sentais perdue. Quand je n'avais personne à qui en parler. Quand je ne savais pas quoi faire de ma vie. Qu'il braillait ma vie parce que je cherchais les programmes. Mais lui, il était en finance et il était bien content. Mais moi, j'étais perdue. Mais là, c'est comme les rôles s'investissent un peu. Puis là, je l'ai fait comprendre. Je suis comme... Laisse-toi le temps. Ton entourage va se bâtir dans ton domaine. Souvent, on se met la pression d'aller à quelque part et de se placer. C'est ça. D'être établi. D'avoir les bonnes amies. D'avoir les bons collègues. D'avoir le savoir qu'on veut. D'avoir les accomplissements. Mais trust the timing. Ça va venir. Il faut apprécier le processus aussi. Souvent, on veut le résultat final. On veut la famille parfaite. On veut se placer en guillemette. Mais ça veut dire quoi se placer? On peut enlever ça de notre capteur. Arrêter de se mettre la pression. D'aller vite. Juste de vivre un jour à la fois dans le moment présent. D'être conscient. Aujourd'hui, qu'est-ce que j'ai vécu? Qu'est-ce que j'ai aimé? Qu'est-ce que j'ai vécu que je n'ai pas aimé? Comment je pourrais changer ça? Comment je pourrais favoriser ça? Plus le vivre. Blablabla. Tu vois le genre. On a tous des vies différentes. C'est correct. Je pense que si on l'honore, c'est plus beau que tout ce que tu fais te faire. Aujourd'hui, j'espère que je t'ai enlevé cette pression de rush. Faut se placer. On s'en fout de ton âge. Je m'adressais beaucoup au Gen Z. On a fini nos études. On est en début adulte. C'est beaucoup de pression, honnêtement. Je sais que ça peut être déstabilisant. Je parle de ça comme si j'avais de l'expérience depuis. Mais moi aussi, j'ai mes peurs. Moi aussi, ça repose. Je me fais toujours ce petit reminder. Que je suis alignée avec la vie que je veux vivre. Et que ça s'en vient. Des fois, on n'est pas passable. C'est ça qui fait qu'on arrête. C'est mon sujet. J'arrête de parler. Je m'éloigne. Semaine prochaine. Ou peut-être avant. Je commence à faire des petits bonus. Je trouve ça le fun. Je trouve qu'une semaine, c'est vraiment long. Semaine prochaine, comment arrêter d'abandonner. Je ne vais sûrement pas donner ce titre. Mais c'est vrai que dans ce genre-là. Je t'ai utilisé avec la fin de l'épisode. Mais c'est ça. Je t'envoie plein d'amour. J'espère que... Fais juste apprécier la vie que tu as. Apprécie la personne que tu es. Tu es merveilleuse. Il n'y a personne qui a le droit de te dire quoi faire. Il n'y a personne qui a le droit de t'imposer quelque chose. Enlève-toi de cette pression-là. Vie un jour à la fois. Fais en sorte, dans ton côté, de faire des actions pour toi qui te rendent heureuse. Tranquillement, pas vite. Je suis convaincue que tout va s'aligner pour toi. Si tu fais des moves qui sont alignés avec toi. C'est ça. Je te laisse là-dessus. Merci de m'avoir écoutée. Sérieux, je suis vraiment reconnaissante. On est presque à 1000 téléchargements. C'est tellement nice. Je suis vraiment reconnaissante. Je te rappelle juste qu'il reste des bougies au bien-être. Si tu viens en chercher une. Si tu viens chercher le thé Révolution Z au comptoir. Il reste des bougies cadeau. Tu repars avec une bougie qui brûle 10 heures gratuitement. C'est des bougies que j'ai faites pour le lancement du podcast. Elles sont vraiment trop bonnes. Petit moment self-care à toi que tu peux allumer pendant que tu écoutes le podcast. Pendant que tu prends ton bain. Pendant que tu prends juste un moment pour toi. Je te laisse là-dessus. C'est magnifique. Merci d'avoir été là. Je suis tellement reconnaissante de ton écoute. Si tu as apprécié l'épisode. Je t'invite à me laisser une petite note. Et partager dans tes stories. N'oublie pas de mettre un lien. Marie Barranda bien-être sur Instagram. Encore une fois, merci d'avoir été là. Mais aussi d'être accordé ce moment-là pour toi. D'introspection. Si tu veux aller plus loin dans ta transformation intérieure. Viens me jaser sur Instagram. Ça donne par plaisir de t'accompagner vers une version de toi plus épanouie et consciente. A la prochaine.

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