Moment Special 12

This transcription contains a mixture of religious hymns, prayers, and a discussion about following Jesus. It emphasizes the importance of being willing to sacrifice everything for Jesus and obeying God's commands. The speaker refers to various Bible verses to support these ideas. C'est armé nos bras, armé nos cœurs, nous tiendrons fermé, oh, la croix de notre bannière, pour vaincre l'adversaire par le sang de l'agneau. Oui, nous tiendrons bien haut, la croix de notre drapeau. Armé nos bras, armé nos cœurs, ils n'en seront plus que vainqueurs, ils n'en seront plus que vainqueurs. Armé nos bras, armé nos cœurs, luttons, prions, souffrons, nous aurons la victoire, la couronne de gloire, un jour celle à nos fronts. Luttons, prions, souffrons, bientôt nous gagnerons. Armé nos bras, armé nos cœurs, ils n'en seront plus que vainqueurs, ils n'en seront plus que vainqueurs. Armé nos bras, armé nos cœurs. Roi 147 Debout, sainte couronne, soldats du roi des rois, tenez une main forte, les standards de la croix, au sensier de la gloire, Jésus-Christ nous conduit. De victoire en victoire, il mène qui le suit, la trompette résonne, debout vaille un soldat. Immortel, couronne, elle lui prie des combats, si l'ennemi pérage, soyez fermes et forts, redoublez de courage, s'il redouble des formes. Debout pour la bataille, passez, n'hésitez plus. Jeune, heureux départ, regardez à Jésus. De l'âme invincible, soldats versez-vous, je crie en faire possible pour qu'il lutte à genoux. Debout, debout, sans corps, luttez jusqu'au matin. Déjà brille l'aurore, à horizon lointain. Viens, songe dans nos âmes, aux pieds du roi des rois, et chante après les larmes, le trône après la croix. Jésus te confie une œuvre d'amour, utile et déniée jusqu'à son retour. Cette sainte tâche, veux-tu l'accomplir ? Pour lui, sans relâche, sans jamais faiblir. Prie, agis, jour après jour, sans broncher, suis ton sauveur avec amour, foi fidèle, obéissant, et le maître viendra, ton travail puissant. Va chercher ton frère, esclave enlacé, là de sa misère, de son droit passé. Arrache son âme au plaisir trompeur, le salut proclame un Christ ton sauveur. Prie, agis, jour après jour, sans broncher, suis ton sauveur avec amour, foi fidèle, obéissant, et le maître viendra, ton travail puissant. Pas vers la jeunesse que le tentateur pleurit sans cesse, loin du vrai bonheur. Combattant le doute, parle-lui d'amour, montre-lui la route du ciel saint, ses jours. Prie, agis, jour après jour, sans broncher, suis ton sauveur avec amour, foi fidèle, obéissant, et le maître viendra, ton travail puissant. Pas vers ceux qui meurent sans Dieu, sans espoir, vis-à ceux qui pleurent quand tout semble noir. Jésus donne vie, bonheur, joie et paix à qui se confie en lui pour jamais. Prie, agis, jour après jour, sans broncher, suis ton sauveur avec amour, foi fidèle, obéissant, et le maître viendra, ton travail puissant. Adorables Pères des Cieux, nous prosternons encore une fois devant vous pour nous rendre gloire, pour nous donner hommage, pour nous donner l'adoration que vous mêmes seuls méritez. Merci Seigneur de ce que nous partageons et de ce à quoi vous venez mourir au pays d'être péché. Merci Seigneur de ce que vous faites de nous, le peuple saint. Vous faites de nous un royaume de sacrificateurs. Alors que vous permettez que nous réunissons les unes pour que nous puissions rechercher les autres présents. Pour ensemble que nous puissions étudier les paroles afin que nous puissions nous préparer pour nous puissons livrer la bataille pour nous demander encore une fois Seigneur de pardonner nos péchés. Assistez-nous Père Saint-Exupéry et Serviteurs et Sauveurs charlots qui préaligaient pour les animer, deuxième partie, et permettre qu'on puisse entièrement les remplir. Et en retour Seigneur, qu'on puisse les réunir conformément à cette volonté et à tout le monde qui obtient et qui souligne nos capacités. Donc, en ce qui concerne vous, nous ne pouvons pas dire béni aux différents, béni à tous les membres du groupe et béni au peuple. C'est ce que nous prions en Jésus-Christ. Amen. Ok. Et à présent, nous souhaitons la bienvenue à tout le monde qui est fait connecté, tout le monde qui était branché déjà. Et nous connaissons les rendez-vous cassés et nous préaliguons pour nous, encore une fois, étudier nos sujets. C'est assez important. Et par l'entremise de Serviteurs et Sauveurs charlots, nous remettons-les en termes pour les capacités à venir. Merci beaucoup. On se remercie à notre bien-aimé Frédéric Ems. Et chers Présenteurs, chers amis, bien-aimés dans le Seigneur, que la grâce et la paix de Dieu vous soient multipliées de la part de notre Seigneur Jésus-Christ, le Divin Maître en loi de roi, le Seigneur des Seigneurs. Nous sommes contents d'être ensemble encore à ce lieu de rendez-vous pour pouvoir continuer notre étude. Pour pouvoir continuer notre étude. C'est pour nous un honneur inmérité, pour nous pouvoir être ensemble en la présence de Dieu, en vue de la joie, en esprit et en vérité. Et nous saluons tout le monde qui est sur l'île. Et comme d'habitude, nous faisons toujours une révision. Il s'agit de combien d'études nous avons déjà faits. Aujourd'hui, nous sommes sur la 24ème étude. Et nous allons répondre à toutes les études que nous avons faites. Et première étude dont est faite, c'est le message de la Bible. Et deuxième, c'est le monde et son défunt. Troisième, vers un monde nouveau. Quatrième, le retour du Christ. Cinquième, les signes des temps. Sixième, Dieu existe. Septième, Satan. Huitième étude, c'était Jésus-Christ. Neuvième, le péché. Dixième, c'est la conversion. Onzième, c'est la nouvelle naissance. Douzième, la loi de Dieu. Treizième, le septième jour. Quatorzième, le dimanche. Quinzième, la prière. Seizième étude dont nous avons fait, c'était la mort. Après, nous avons étudié l'enfer. Dixième étude, c'était le millénium. Dixneuvième étude, c'était le jugement. Vingtième étude, c'était la véritable église. Et nous allons continuer. Vingt-et-unième étude, c'était le baptême. Vingt-deuxième étude, libéralité. Et vingt-troisième étude, c'était la santé. Nous sommes arrivés à la vingt-quatrième étude, c'est sur les traces de Jésus. C'est ça, après, nous avons dévisé une fois ces dernières études que nous avons faites pour serrer ça. Et nous savons qu'il y a plusieurs études qui sont arrivées. Nous pouvons reconnaître qui est en France. Mais, jusqu'à présent, nous sommes arrivés sur les vingt-quatrièmes études que nous avons faites pendant tout ce temps. Quelques mois, et à ce moment-là, nous avons étudié sur les traces de Jésus. Et la Bible rapporte l'histoire pathétique d'un jeune homme en Russie qui vint un jour à Jésus dans le but de trouver le secret pour obtenir la vie éternelle. Se pourrait-il que ce récit soit le reflet de notre propre expérience? Nous nous conseillons de le lire attentivement, tel qu'il est mentionné dans Matthieu 19, verset 16 à 22. Voici comment l'écrivain sacré introduit ce récit. Et voici un homme en s'approchant du Seigneur et dit, « Maître, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle? » La suite de l'histoire a inspiré les pensées suivantes à Madame Hélène Giroy. Ce chef avait une haute opinion de sa propre justice. Il ne pensait pas qu'il en put lui manquer, quoi que ce fût, et cependant il n'était pas satisfait. Il éprouvait le besoin de quelque chose qu'il ne possédait pas. Jésus ne voudrait-il pas de bénir comme il venait de bénir de petits enfants et répondre aux aspirations de son âme? Jésus lui dit que, pour obtenir la vie éternelle, il fallait obéir aux commandements de Dieu, et il cita plusieurs des commandements dans lesquels se trouve formulé le devoir de l'homme à l'égard de ses semblables. Le chef en répondit avec assurance, « J'ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Ce ne ment-il encore? » Le Christ en regarda le jeune homme en face comme s'il lisait dans sa vie et fouillait son âme. Il l'aime et il désira pouvoir lui communiquer la paix. La grâce et la joie qui transformeraient son caractère. Il te manque une chose, dit-il. Va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. « Lui, viens et suis-moi. » C'est la sainteté même de Dieu qui fut offerte au jeune chef. Il avait l'avantage de devenir fils de Dieu, coéquipier avec lui du trésor céleste. Mais il devait se changer de la croix et suivre le sauveur dans le sensier du renoncement. Il voulait obtenir le trésor céleste, mais il voulait en même temps les avantages temporels assurés par ses richesses. Il regrettait que de telles conditions furent posées, car s'il désirait la vie éternelle, il n'était pas disposé aux sacrifices. Le prix de la vie éternelle lui paraissait trop élevé. Il s'en alla tout triste, car il avait de grands biens. Extrait du livre de Jésus-Christ, page 240-242 Nombreux d'entre nous ressemblent à ces jeunes hommes riches. Nous aspirons à la vie éternelle, mais nous ne sommes pas disposés à suivre Jésus jusqu'au bout. Nous, les récits, nous finissons par poser des questions, et comme d'habitude, nous posons ces questions, et nous répondons à ces questions. Nous suivons tous les étudiants, et nous continuons à poser des questions, jusqu'où Jésus s'est-il abaissé pour nous sauver. Jésus s'est-il abaissé pour nous sauver ? Et nous allons dans Philippe 2, versets 5 à 8, et nous montrons les capacités qu'il a pour nous. Page 11, chapitre 91 Amen. Il s'est rendu obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort à la croix. C'est-à-dire que c'est la réponse. C'est-à-dire que jusqu'où Jésus s'est-il abaissé pour nous sauver ? C'est-à-dire qu'il est arrivé jusqu'à la mort à la croix. Et deuxième question, on n'a pas bien fait. Quelle est la première condition à remplir pour être sauvé ? Nous voyons les lignes en actes 16, versets 30 et 31. Quelle est la première condition à remplir pour être sauvé ? Actes 16, versets 30 et 31. Amen. Voilà la réponse. La question qu'on s'est posée, quelle est la première condition à remplir pour être sauvé ? C'est quoi, dans Jésus-Christ, le Seigneur ? C'est lui-même. Ce n'est pas le seul monde qui est capable de sauver, non ? C'est seul Jésus. On n'a pas avancé. Troisième question. Comment Jésus exprime-t-il le désir de justice qui doit nous amener ? Et dans Matthieu 5, verset 6. Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice quand ils seront rassasés. La question qu'on s'est posée, comment Jésus exprime-t-il le désir de justice qui doit nous animer ? Et d'après Matthieu 5, verset 6. Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice. Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice. Quatrième question. A quelles conditions pourrons-nous trouver Dieu ? Dans Jérémie 29, verset 12 et 13. Page 740. Jérémie 29, verset 12 et 13. Et vous m'invoquerez, et vous partirez, vous me prierez, et je vous exaucerai, vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Amen. A quelles conditions pourrons-nous trouver Dieu ? Et vous partirez, vous me chercherez avec tout votre cœur. On va avancer avec cinquième question. Lorsqu'on a découvert un trésor de grand prix, que doit-on être disposé à sacrifier pour pouvoir l'acquérir ? Matthieu 13, versets 44 et 46. Le royaume des cieux est semblable à un trésor caché dans un champ. L'homme qui l'a trouvé le cache, et dans sa joie, il va vendre tout ce qu'il a et achète ce champ. Le royaume des cieux est encore semblable à un marchand qui cherche de belles perles. Il a trouvé une perle de grand prix, et il est allé vendre tout ce qu'il avait, et il l'a achetée. Amen. J'avais dit, réponds ça, c'est tout ça le posséder, l'été vendre, tout ça le gagner, c'est le nécessaire. Et on va avancer avec sixième question. Lorsqu'une personne trouve le trésor inestimable de la vérité et du salut, que doit-elle être prête à sacrifier pour l'obtenir ? Lorsqu'une personne trouve le trésor inestimable de la vérité et du salut, que doit-elle être prête à sacrifier pour l'obtenir ? Réponds ça, les doués sacrifient tout ça le gain, tout ce bazar. On n'a pas avancé avec septième question. Que dit Jésus de celui qui refuse de le suivre à cause d'un membre de la famille ? Matthieu 10, versets 36 et 37. Que dit Jésus de celui qui refuse de le suivre à cause d'un membre de la famille ? Non à cause d'un pasteur, à cause d'un prêtre, à cause de plusieurs larges. Matthieu 10, versets 36 et 37. Et l'homme aura poué mille légendes de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi. Et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi. Celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n'est pas digne de moi. Réponse, il n'est pas digne de Jésus, de lui, il n'est pas digne de lui. C'est-à-dire que tout capable, tout pas caractérisé, tout bagage d'ailleurs pour suivre Jésus c'est qu'il n'est pas digne. Et huitième question, qu'en est-il de celui qui n'est pas prêt à tout pour suivre Jésus ? Luc 14, verset 33. Ainsi donc, quiconque d'entre vous ne renonce pas à tout ce qu'il possède ne peut être mon disciple. Il ne peut être son disciple, il ne peut pas être le disciple de Jésus. S'il ne peut pas renoncer à tout ce qu'il possède, il ne peut pas être le disciple de Jésus. Deuxième question, jusqu'à quel point le chrétien doit-il accepter de suivre Jésus ? Napoléon Luc 9, verset 23. Page 10, chapitre 2. Puis il dit à tous, si quelqu'un veut venir après moi, il renonce à lui-même, qu'il se charge chaque jour de sa croix et qu'il me suive. Amen. Réponse là, si quelqu'un veut venir après moi, à lui-même, et qu'il renonce à lui-même, ou qu'il se charge chaque jour de sa croix et qu'il me suive. C'est la réponse. Dixième question, pourquoi plusieurs des contemporains du Christ se refusaient-ils de le suivre ? Jean 12, verset 42 et 43. Pourquoi plusieurs des contemporains du Christ se refusaient-ils de le suivre ? Jean 12, verset 42 et 43. Et cependant, et même parmi les chefs, plusieurs croyaient en lui, mais à cause des pharisiens, ils n'en faisaient pas l'aveu dans l'extrême des textes de la synagogue, car ils aimèrent la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu. Et cependant, et même parmi les chefs, plusieurs croyaient en lui, mais à cause des pharisiens, ils n'en faisaient pas l'aveu dans l'extrême des textes de la synagogue, car ils aimèrent la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu. Amen. C'est la réponse. Nous avons avancé vers la 11ème question. Quel obstacle empêche-t-il que le jeune homme puisse suivre Jésus ? Matthieu, 6 heures, verset 21 et 20. Si tu veux être parfait, va. Vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis, viens et suis-moi. Après avoir entendu ces paroles, le jeune homme s'en alla tout triste, car il avait de grands biens. Amen. Et quel obstacle empêche-t-il que le jeune homme puisse suivre Jésus ? Son attachement aux richesses. A-t-il de grands biens ? Nous avons avancé vers la 12ème question. Quand on a commencé à marcher sur les traces de Jésus, quoi doit-on veiller ? 2ème fois, verset 17 et 18. Verset 17 et 18. A lui soit la gloire, maintenant et pour l'éternité. Amen. Quels privilèges en seront les nôtres si nous marchons dans la lumière que Dieu a fait briller sur notre chemin ? 1 Jean 1, verset 6 et 7. Et si nous disons que nous sommes en communion avec lui et que nous marchons dans les ténèbres, nous mentons et nous ne pratiquons pas la vérité. Mais si nous marchons dans la lumière comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tous péchés. Amen. Nous sommes mutuellement en communion et le sang de Jésus nous purifie de tous péchés. La réponse. 14ème question. Quelles promesses merveilleuses sont faites à ceux qui suivent fidèlement le Christ ? Matthieu 19, verset 27 à 27. Verset 27 à ? Matthieu 19, verset 27 à ? A 29. A 29, ok. Pierre prenant alors la parole lui dit, voici nous avons tout quitté et nous t'avons suivi, quand sera-t-il pour nous ? Jésus leur répondit, je vous le dis en vérité, quand le Fils de l'homme au renouvellement de toutes choses sera assis sur le trône de ta gloire, vous qui m'avez suivi, vous serez de même assis sur douze trônes et vous jugerez les douze tribus d'Israël. Est-ce qu'il faudra quitter à cause de mon nom et cette soeur, ou cette soeur, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le sang-sucre et héritera la vie éternelle ? Amen. La réponse, ils recevront le sang-sucre, le sang-sucre, du plan en récompense et hériteront la vie éternelle. C'est la réponse. Et, quinzième et dernière question, est-ce que vous êtes disposé à suivre Jésus de tout votre cœur ? Ça, c'est une question personnelle, une réponse personnelle. Et, ma proposée de question encore, êtes-vous disposé à suivre Jésus de tout votre cœur ? Ça, nous, tout le monde qui a besoin d'eux, nous-mêmes, qui est capable qu'on ait dans tout ça un cœur d'accord pour suivre Jésus avec tout créeux, avec tout nous-mêmes. En notre nom, Dieu n'acceptera pas le don d'un cœur partagé. Jésus dit qu'il n'est pas possible de servir deux maîtres. Si l'apôtre Paul a pu devenir un grand homme de Dieu, c'est parce qu'il n'a pas hésité à suivre le Christ jusqu'au bout. Avant sa conversion, alors qu'il était un adversaire du christianisme, il était le persécuteur le plus acharné que l'église chrétienne ait jamais connu. Mais, quand il devint chrétien, sa consécration à la cause du Christ fut aussi grande que l'avait été son attachement à la détruire. Le vrai chrétien doit être disposé à obéir à la volonté de Dieu en toute chose. Abraham est appelé le Père des croyants, il était prêt à obéir aux ordres de Dieu, tel qu'il fut. La Bible dit de lui « a obéi à ma voix et il a observé mes ordres, mes commandements, mes statuts et mes lois ». Genèse en 26 verset 5. Lorsque Dieu dit à Abraham de prendre son fils et de l'offrir en sacrifice, il n'hésita pas à obéir à l'ordre en divin. Il prit avec lui son fils et deux serviteurs et se rendit à l'endroit fixé pour l'Holocauste. Le voyage dura trois jours. Lorsque la Petite Anne arrive au pied du mont Morisia, Isaraque, demanda à son Père « Voici le feu et le bois. Mère, où est l'agneau pour l'Holocauste ? » Genèse en 22 verset 7. Abraham répondit au jeune homme « Dieu se pouvoiera lui-même de l'agneau pour l'Holocauste ». Abraham ne savait pas comment il pourrait exécuter l'ordre de Dieu, mais il savait que la Providence lui révélerait la solution au moment opportun. De toute manière, il se refusa à désobéir à Dieu en quoi que ce soit. Aussi, l'autre héros récompensera s'il sa consécration totale. Au dernier moment, il lui fournit la victime, lui permettant à la foi d'obéir à sa parole, tout en épargnant la vie de son fils. Ayant confiance en Dieu, ne croyons pas de faire sa volonté et de garder ses commandements. En répondant à ses exigences, il se porte lui-même garant de notre bien-être. Alors que nous vivons consciemment ou inconsciemment dans la désobéissance, Dieu a pris soin de nous. Il serait inconvénable qu'il nous abandonne lorsque nous aurons décidé de lui obéir. Oui, chers collègues, chers amis, nous sommes contents de pouvoir finir notre étude ce jeudi. Comme d'habitude, nous recevons toujours des commentaires et des questions. Nous avons apprécié ce moment avec Frénon et Frédéric, qui nous ont permis d'avoir une bonne conversation. Nous avons aussi appris de nos capacités. Et nous disons « Mon Dieu, merci » et quitte à utiliser ses invités, lui, sauvé en charlot, et pour être capable d'asseoir encore, présenter nos sujets de grande importance. Et alors, moi-même, l'impression par moi, c'est que de tous les sujets qui débattent déjà sur l'Ina, j'estime que ce sujet-là, c'est le sujet le plus courant, c'est le sujet qui a le plus de problèmes. Parce qu'effectivement, les deux premiers sujets jusqu'au 25e sujet, 24e sujet, eh bien, pendant tous les 23 premiers sujets-là, nous n'avons pas de problème. Parce qu'il y a un peu de monde, chrétien ou non-chrétien, qui veut mettre la parole de Dieu, qui veut mettre en dés. Il y a un peu de monde, même lorsque la Bible est possédée par les Bibles blancs. Et s'il y a un peu de monde qui veut lire la Bible pour eux, c'est avec plaisir. Il y a un peu de monde qui est en train de parler de « Bon Dieu ». Ils parlent des sujets de « Bon Dieu », « Bon Dieu, c'est le Créateur », « Bon Dieu », et ils font toutes sortes de choses pour nous, tout ce que nous avons besoin de « Bon Dieu », les sujets sur la prière, tout le monde aime la prière. En fait, tout le monde aime parler de Jésus et tout le monde aime que Jésus soit sauvé. Et c'est ça qui fait qu'aujourd'hui et lorsque l'Évangile a été prêchée, il y a un peu de monde qui parle de l'étendue, mais il y a un peu de monde tout qui est en dés. Et il y a un peu de monde qui a décidé « Bye, j'ai eu à Jésus ». Et tous les autres sujets, les sujets sur la santé, les sujets sur qui j'aime pour nous, et lutter contre le péché, mais il nous manque quelques sujets à soi, ce sont des sujets particuliers liés. Suivre Jésus. Et suivre Jésus à travers les sujets à nous et que nous n'avons pas qu'à suivre Jésus à demi. Jésus, ton Dieu d'amour, n'est l'imam de tout ou rien. Et l'exemple que nous prenons au début, en étudiant, montre que tout le monde, depuis qu'on a décidé de sacrifier tout ça et de gagner, tout ça qu'on a valu, hein, depuis qu'on a décidé et « Bye, bon, j'ai la première place, la deuxième place, la troisième place, la dernière place », on l'a vu ou ? Eh bien, nous sommes beaucoup plus près, vraiment. Et sujet à soi, son sujet chrétien que lui. Oui ? Ça veut dire que son sujet est beaucoup plus même pour chrétien que païen. L'homme riche n'est pas qu'à dire qu'il est païen, ce n'est pas qu'il est païen. C'est quelqu'un qui connaît la Bible, à l'époque, même lorsque la Bible n'a pas encore été terminée. Mais tout passage, tout livre qui t'est renfermé dans l'ancien testament, il te connaît. C'est quelqu'un qui te connaît les 10 commandements du bout des doigts. Et à savoir chaque question Jésus posait, il me répondait. Nous ne sommes pas qu'à dire qu'on n'est pas religieux. Le monde qui est religieux, c'est-à-dire qu'il est toujours dans le Synagogue, il est toujours dans le temps, il est toujours dans l'adoré. Et dans ce sens, nous ne sommes pas qu'à dire qu'il est toujours baisé dans l'offrande. Mais c'est juste qu'à quelle limite que M. Féblé suive Jésus ? Vous remarquez que je suis intéressé aux choses éternelles. Je suis besoin de la vie éternelle. Mais c'est avec qui tu as d'esprit que tu as besoin de Jésus. Je sais que tu as besoin de tout. Donc ce que tu as besoin, c'est pour Jésus que tu as honoré le public. Béni lui-même que béni Simonio. Mais Jésus qui sondait les coeurs des lérins, estimait qu'un bon monsieur n'est pas vraiment prêt. Et la raison pour laquelle nous disons que Jésus-Christ est de façon non-capable de dire est résophérique. Jésus utilise un mot qui est doux. Il te manque une chose. Mais en réalité, nous, avec M. Féblé, il nous manque plein d'autres choses. Pour ce qui est de Féblé, nous nous retrouvons là-dedans. La bataille que nous retrouvons là-dedans, c'est une bataille du cœur. En Éden, nous avons chassé Dieu dans notre cœur. Et maintenant, avec la rédemption, bon Dieu voulait avec à quoi nous reconquérir ce cœur-là. Et si bon Dieu arrive à reconquérir ce cœur-là, c'est que nous nous mettons tous nous-mêmes pour bon Dieu. À partir de ce moment, bon Dieu est capable de diriger nous pour mener nous vers la victoire que nous avons besoin. Par contre, depuis que le cœur n'est pas totalement à bon Dieu, depuis que le cœur n'est pas totalement à mon côté, mon parti libre qui est indépendant de bon Dieu, et la conquête n'est pas possible. Parce que pour Féblé, la vraie bataille spirituelle, c'est sur le terrain du cœur, c'est la pleine. L'ennemi voulait en Paris, il s'en contrôle que nous, et bon Dieu lui-même tout lui voulait conquérir que nous. Mais nous connaissons bon Dieu très bien. Bon Dieu lui-même n'est pas n'importe où. Bon Dieu lui-même n'est pas non plus là. Bon Dieu voulait que, c'est avec accord, et nous-mêmes volontairement, qu'il pousse décider, bâiller, et remettre du nouveau à Jésus. Si nous estimons que son parti nous cabâille, eh bien, nous ne sommes pas vraiment prêts pour nous faire route là avec Christ. Donc, et là Jésus et les disciples, nous avec eux, et chaque pépecheur, bon, Jésus a dit que Jésus n'a pas fait condition, Jésus n'a pas dit que ça m'a bâillé, mais qu'il a travaillé sur son terreau, Jésus dit suive-moi. Jésus a quitté tout bagage, il a quitté filets, il a quitté bac, il a suivi Jésus. Jésus a encore livré l'autre groupe qui l'a occupé, les bêtes, et sous le revenu papal, Jésus a dit, monsieur, regardez-vous, l'idiot que monsieur, et venez-joindre-moi, venez suivre-moi. Monsieur a quitté tout bagage, il a suivi Jésus. Donc, et ce type de, ces attitudes-là, ces façons-là seulement, que le monde n'est pas capable de faire vivre mon Dieu. Depuis qu'on n'est pas prêt pour quitter tout bagage, qu'on n'est pas prêt pour sacrifier tout bagage, on est encore son père qui a oublié de bâiller, ou bien, c'est mon frère, c'est Dieu qui a oublié de bâiller, c'est mon frère qui a oublié, c'est un des processus-là bloqué. Donc, c'est ça que le sujet à soi, son sujet est très particulier. Son sujet, qui n'est pas même capable de dire que c'est atypique, parce que son sujet est beaucoup plus, et même pour les chrétiens, que nos chrétiens. Ça veut dire que, et le sujet a montré-nous que la vie éternelle nous pose beaucoup plus d'enjeux, beaucoup plus de dangers que le monde qui beaucoup même connaît mon Dieu. Parce que, remarquez que, et on ne multiplie pas Christus pour vindiquer Jésus, donc, mon ensemble de bagages monte là-haut, puis, il faut obliger à fermer les yeux sous l'eau, et puis, et le regarder à cause que, ou pas arriver sur Jésus, jamais sur Jésus, ils vont partir à côté de l'idéal. Donc, et c'est un sujet qui m'a demandé un peu de réflexion, et son sujet qui m'a demandé un peu de prière. Suivre Jésus, mes frères et mes sœurs, à travers ce sujet-là, et bien, nous voyons que son défi, on ne peut pas penser que et on va pas marcher avec Jésus, mais pourtant, ça va faire, on va marcher avec Jésus pour le reconnaître. C'est-à-dire que et nous reconnaître que rien n'était possible à Dieu. Effectivement, et si, on est cassé au-dessus de la mer, si on commence à marcher avec Jésus, au bouquet, au campément, on est toujours capable de l'aider. Mais, suivre Jésus, ce n'est pas un plaisir particulier. Et, nous connaître que, et à la fin des temps, alors que nous connaissons les touts professionnels, nous pourrions arriver à un époque où et bien, et loyauté nous, pour nous défendre, loyauté nous, pour nous prêter jusqu'à mourir. J'avais dit que c'est dans le sang, c'est au plus de grands sacrifices que, et bien, nous pourrions arriver à conserver loyauté nous envers Dieu. Donc maintenant, face à cette situation, si nous n'avons pas déjà fait, si nous n'avons pas déjà commencé à faire des exercices, des exercices spirituels qui sont un petit peu difficiles, et qu'il y a un moment de grave détresse, nous pensons que nous sommes capables d'arriver et bien nous sommes capables de survivre à cette situation. Et tout comme le sujet a été commencé par nous et a été terminé par une question et sans réponse, mais la réponse nous l'amène, et bien, il a même dû nous terminer par une interrogation. Réfléchissez, réfléchissez bien à ce sujet-là. Suivez Jésus, ce n'est pas un moment à perdre. Il m'a donné un fil de consécration, il m'a donné un fil d'accueil spirituel, il m'a donné un fil d'exercice, et que nous en particulier nous devons entièrement à bon Dieu. Il n'y a pas de deuxième place, il y a plein de choses. C'est bon Dieu qui doit gagner la première place, c'est bon Dieu qui doit gagner la deuxième place, la dixième, la centième, la millième, la dernière place. Merci beaucoup. Et à tout le monde qui t'a apporté. Oui, on dit merci avec tout le monde qui qui sont lignants, qui sont, quelles que soient les côtés, ils ont apporté, on dit merci. Avec, c'était les derniers, les derniers sujets pour Cérita, que nous, il faut qu'on connaisse, qui s'en est resté mardi encore, n'a pas, n'a pas souligné, mais nous vous reconnaissons, qui Cérita a parlé, et puis ça n'a pas changé. C'est-à-dire que non, non, il n'a pas venu avec, on l'a tiré, et mardi, et mardi, j'ai vu, et avec, c'est-à-dire que nous allons l'appuyer, avec notre bien-élu frère James, et puis il faut donc avoir fini. OK, très bien, et encore une fois, nous remercions tout le monde qui s'est branché, qui est attendu, et nous dit, nous remercions une fois de plus, et papa nous, qui est dans le ciel là, qui t'a assisté nous, qui t'a permis que Réunion soit intégrée dans l'hôpital, à présent, nous parlons, nous avons fermé nos yeux, nous avons fermé nos yeux, et pour un coup de prière. Nous nous exaltons, nous nous bénissons, bon papa nous qui est dans le ciel là, parce que vous vous êtes mis dans notre cœur, vous vous êtes mis dans le cœur des citoyens, qui fait partie du groupe, les guerriers du dernier temps, le désir pour le groupe approcher à ses présences. Et merci Seigneur, pour rendez-vous, chaque mardi, et que vous permettez que, jusque là, que nous cambions. Et c'est vous-même seul, et qui va le vouloir, et le faire, selon bon plaisir. Alors, ce que Paolo, et nous sommes étudiés là, et Paolo là, nous a été décortiqué, avec clarté, nous croyons que tout le monde est tendu, tout le monde est compréhensible. Alors l'enjeu, question c'est, qui est-ce qui est capable de nous suivre ? Nous reconnaissons Seigneur, qu'avec la chair et le sang, nous ne pouvons pas nous suivre. Nous reconnaissons que, même avec les connaissances que nous avons de Paolo, nous ne pouvons pas nous suivre. Pour nous suivre, nous avons besoin d'une puissance, en haut. Nous avons besoin que Saint-Exupéry habite dans nous. Nous avons besoin de Seigneur pour nous accompagner. Nous avons besoin de Seigneur que c'est, ou même qu'il soit l'idole, dans la vie. C'est, ou même, seul qui doit, prendre contrôle de nous. Et nous pensons que c'est notre seule condition, pour que nous puissions, vraiment, arriver à suivre Jésus. Suivre Jésus, ce n'est pas une jouette, mais son bel bagage. Et si nous arrivons à suivre Jésus, du commencement jusqu'à la fin, nous reconnaissons qu'au dernier jour, lorsque Jésus retournera, nous aurons besoin d'une grande récompense. Aidez-nous, autant que vous pouvez, pour que nous puissions mener un bon combat. Aidez chaque petit-enfant qui se lève, pour que nous puissions mener un bon combat. Aidez tous les membres, les guerriers du dernier temps, pour que nous puissions mener un bon combat. Parce que son combat, c'est un genou, que nous pouvons remporter la victoire dans le combat. C'est le nourrité attachée à vers, seulement, que nous pouvons remporter la victoire dans le combat. C'est lorsque c'est, ou même, qu'il brûle dans la vie, que nous pouvons remporter la victoire dans le combat. Seigneur, fais-nous grâce, transforme la vie, pour suivre, pour travailler, pour commencer par cet esprit-là. Donne-nous la victoire, Seigneur, et permette que, au dernier jour, lorsqu'on va retourner, nous puissions bénéficier de la vie éternelle, et nous puissions, d'une opportunité pour nous, vivre avec vous, pour le temps et pour l'éternité. Restez avec nous, et fais-nous grâce. Bénis-nous, bénis notre famille, bénis tout le monde, bénis, Seigneur, bénis tout le monde qui apprécie l'Évangile un peu partout, à travers la terre, et permette que, eh bien, non seulement pendant que nous pouvons aller chercher mon Dieu, mais nous pouvons nous préparer. C'est pour cela que nous prions, dans notre Jésus, que nous puissions vivre, et que nous puissions réunir, au siècle des siècles. Amen. Amen. Amen. Nous disons merci à tous ceux qui nous soutiennent, et merci à tous ceux qui nous soutiennent, et ceux qui sont à côté d'eux. Nous sommes contents, et à un prochain rendez-vous, à un prochain rendez-vous. Merci.