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L'esprit vert s'enformer et agir, s'enformer et agir, l'esprit vert s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et agir, s'enformer et Il y a quand même encore 70% de notre chauffage qui est assuré par du gaz naturel, donc ça émet des gaz à effet de serre. Mais ça fait partie de la trajectoire de décarbonation que je vous disais avant. On va créer deux géothermies supplémentaires sur Charles de Gaulle d'ici 2035. Et c'est pour ça que Charles de Gaulle sera neutre en carbone en 2035, par rapport aux autres. Voilà. Et oui, on a aussi une géothermie au Bourget, alors une petite. Et là, le Bourget est en train de se connecter à la géothermie de la commune de Duny, parce que l'intercommunalité est en train de mettre en place un réseau de chauffage urbain. Donc on va venir se connecter dessus. Voilà. On sera décarboné aussi le Bourget. Voilà, au niveau de nos énergies. Puis il y a toutes les énergies qui sont liées à la mobilité. Donc on est en train d'électrifier avec les véhicules électriques. On est en train d'implanter, notamment à la direction de l'immobilier, on est en train d'implanter des stations multi-énergie avec des biocarburants et de l'hydrogène pour les poids lourds, par exemple. — Est-ce que l'outil qu'on dit qui est cher au port de Paris, elle doit respecter des engagements ou pas ? — Alors en fait, les boutiques qui sont chères au port de Paris, pour la question de l'énergie, elles sont chauffées par nous et éclairées par nous. Donc ce que je viens de dire sur l'énergie, ça marche pour les boutiques. Ceci dit, les boutiques qui sont chères au port de Paris, alors il y en a une partie qui appartient au groupe Aéroport de Paris. Nous, on a des filiales qu'on a à 100% et qui opèrent des boutiques d'autres là, respectent ce que je vous ai dit auparavant, puisqu'elles font partie du groupe. Mais il y a toutes les autres boutiques qui ne nous appartiennent pas. Enfin on loue. Et en gros, ils font un peu ce qu'ils veulent, quoi, entre guillemets. Et là, ces boutiques-là, effectivement, aujourd'hui, on n'a rien pour les obliger à respecter ce que je viens de dire. Ça, c'est un vrai problème, parce que lorsque vous étudiez l'impact de l'aéroport de Paris sur la nature et ses dépendances, vous vous rendez compte qu'en fait, le premier impact sur la biodiversité, par exemple, c'est ce qu'on vend dans nos aéroncars, parce que tout l'impact environnemental pour la fabrication des produits, alors ce qui est les plus polluants, c'est-à-dire la nourriture et le textile, ça n'impacte pas la planète. Il y a très très peu de choix. Mais par contre, pour les autres, en fait, on ne leur impose rien jusqu'à maintenant. Comment ça fait révoluer nos contrats de location avec ces boutiques ? Et qu'en gros, on leur impose de vendre les produits les moins impactants chez nous. Donc si on veut, on voudrait que lorsque vous venez acheter des choses dans les aéroncars, vous ayez la certitude que ce que vous achetez ici, c'est ce qui est le moins impactant possible en vente à Paris. Voilà. Et donc ça va être ça. On va travailler sur tous les produits de façon à réduire l'empreinte de diversité carbone. Et pour l'instant, ça, c'est quelque chose qui est devant nous et qu'on va travailler dans les années à venir.