Home Page
cover of obésité
obésité

obésité

Jake Gobeil

0 followers

00:00-40:39

Nothing to say, yet

Podcastspeechnarrationmonologuemale speechman speaking

Audio hosting, extended storage and much more

AI Mastering

Transcription

A group of individuals are discussing the topic of obesity and its impact on society. They address questions regarding the causes and consequences of obesity, as well as the societal influence on perceptions of overweight individuals. They discuss the concept of "grossophobia" and its negative effects on self-esteem. They also explore how beauty standards and societal pressures contribute to the discrimination and mistreatment of individuals who are overweight. They mention the body positivity movement as a response to these issues. The conversation highlights the role of social media and advertising in promoting unhealthy eating habits. They also touch on the psychological factors that contribute to overeating, such as stress and emotional eating. Salut Mary-Hélène, on se retrouve au sujet de podcast dans la troisième pavillon en fait, avec mon équipe de MTE autour de la table pour discuter du sujet de l'obésité. Dans le fond, je choisis ce sujet-là parce qu'on trouvait ça quand même assez pertinent puis qu'on trouvait que c'était comme assez moins parlé dans la société, c'est pour ça qu'on est venu à la conclusion que c'était de l'actualité parce que justement ça concerne de plus en plus de personnes dans notre société. Puis dans le fond, j'enchaînerai avec représentation à partir de ma droite. Dans le fond, je vais présenter ma question en premier, moi c'était sur les causes qui causent l'obésité et les personnes en surpoids, puis je présenterai. Oui, allô, moi c'est Alexis, dans le fond, ma question en moi de recherche sur l'obésité c'est les conséquences qu'ont un surpoids ou l'obésité sur une personne au niveau surtout médical. Moi c'est Maëlys et ma question c'était comment ça a évolué la perception des gens qui étaient en surpoids de l'époque jusqu'à maintenant. Moi c'est Amélie et ma question c'est comment la société influence notre perception sur les personnes en surpoids. Donc avec Amélie, nous allons commencer par parler de la grossophobie et des critères de beauté. Ce qu'il faut savoir c'est que le mot grossophobie s'est rentré dans les dictionnaires seulement en 2019 alors que ça fait genre 5 ans, ça fait seulement 5 ans que c'est rentré officiellement. J'ai vu sur le Mauritian qu'il y avait un témoignage d'une petite fille, lorsqu'elle avait 5 ans, elle s'est fait émuler par sa prof devant toute la classe et à cause de ça, ça a causé des phobies du regard des gens et ça a beaucoup de conséquences sur le futur de cette personne. Sur son moral dans le fond, j'ai vécu quelque chose d'assez similaire en secondaire 1, 2, je ne suis pas sûr mais au début de mon secondaire, j'étais vraiment en surpoids puis les gens me regardaient vraiment différent d'aujourd'hui, on passait toujours des petits commentaires déplaisants puis je détestais ça, ça m'a vraiment détruit mon moral, je n'avais pas envie d'aller à l'école, je n'avais pas envie d'apprendre, je n'avais pas envie d'aller voir mes amis puis c'est pour ça que tous les standards de beauté, c'est vraiment débile, ça peut détruire une personne. En effet, pour appuyer les privilèges de beauté dans la vie quotidienne comme dans le travail, dans l'école, la justice et dans l'amour. Donc, à l'école, les enfants peuvent subir de l'intimidation à cause de leur physique et au travail, par exemple dans les entretiens d'embauche, les personnes peuvent subir de la discrimination à cause de leur physique. Aussi, c'est aussi une sélection de l'apparence physique dans l'amour qui peut amener aussi à d'autres injustices. Malheureusement, ça fait des années et des années, c'est même avant l'Antiquité que les critères de beauté existaient. En fait, ça généralise beaucoup tout le monde, homme ou femme, mais c'est surtout centré sur les femmes malheureusement. On a l'exemple de Barbie, par exemple, il y a beaucoup de femmes qui ont été complexées à cause de ça et les mannequins de type qu'on appelle, c'est vraiment la femme grande, blonde, droite qui est, on va dire, le corps idéal et c'est seulement pendant les années où il y avait des guerres, que ce soit la première ou la deuxième guerre mondiale, que les femmes ont repris un rôle naturel, je ne sais pas si on peut dire ça comme ça, le fait de juste prendre la place des hommes et pas juste être catégorisée toujours pareil. A l'époque aussi, les hommes, on va dire en surpoids, ont été catégorisés comme riches et en santé, pas forcément en surpoids, mais assez enrobés, je ne sais pas comment l'expliquer. Et les femmes qui étaient minces, eux par contre, c'était une fragile et délicate et élégante, c'est vraiment un signe de beauté pour la femme et c'est vraiment catégorisé comme ça, c'est vraiment sexy. Pour rajouter, selon les critères de beauté dans la société, son mince corps jeune, né droit, une symétrie du visage, une peau lisse et etc. Aussi, d'autres traits de beauté comme le visage ayant des rides, des taches, un visage carré ou plutôt rond, sont considérés pour la société pas de la vraie beauté. Aussi, pour rajouter, dans les enquêtes de psychologie, selon la société, la beauté est liée à l'intelligence, la gentillesse, la santé, la sympathie à cause de son privilège de beauté. Tandis que la laideur, selon une citation, a une représentation très opposée. Voici la citation. « De tout temps, l'imaginaire de la laideur fut associée au mâle en correspondance avec les monstres, le diable, le pervers, le malade et les magnifiques et entraînent fripution et crainte. » Cette citation vient de ma source, de Jean-François Dorthier, le titre « Tyrannies de la beauté » et venant de la revue Science humaine. Et malgré toute l'agro-sophobie subie, il y a quand même eu des gens qui se battaient contre l'obésité, contre l'agro-sophobie, excusez, et par exemple, Beaupassant, il dit à la Duchesse de Mortemains, qui était une créatrice de mode, il dit en 1889 « Vous êtes toujours à la mode des os parce qu'on les habille mieux que la chair, aujourd'hui c'est la génération des femmes maigres ». À l'époque, certains se battaient déjà contre l'agro-sophobie et malgré ça, on est encore là en 2023 à toujours se battre contre parce que c'est encore très catégorisé. Oui, Jake, tu voulais dire quelque chose ? Oui, justement, on va revenir surtout plus tard sur le mouvement de Body Positivity, puis sur l'impact sur la santé mentale, mais pour revenir sur l'agro-sophobie, j'ai vraiment l'impression que c'est vraiment sur les réseaux que ce genre de truc se véhicule. J'essaie malheureusement, mais… En fait, je pense que ça s'est empiré à cause des réseaux sociaux. Oui, c'est vraiment, ça se doute de quoi qu'il n'y ait pas. Oui, Mary-Amélie, tu peux y aller ? C'est pour rajouter, les magazines de mode aussi peuvent effectivement diminuer la confiance en soi de plusieurs jeunes filles, même du primaire, donc c'est assez choquant, je trouve. À cause du body, du mannequin type, entre autres. Oui, exactement, ça a un impact, c'est sûr. Donc, si vous n'avez rien conclu sur ce sujet-là, je passerai directement sur notre deuxième aspect. Marie-Antoinette, c'était correct ? Oui, non, ce n'est pas ma chose, oui. Parfait, donc là, je reste sur les causes directement liées avec ma question. Pour donner un peu plus de contexte, si on gestisse l'organisation mondiale de la santé, dans le fond, à l'échelle mondiale, le nombre de cas d'obésité a presque triplé depuis 1975, mais vous vous demanderez sûrement pourquoi. Eh bien, dans le fond, si on différencie plusieurs concepts, l'obésité, comme tu l'avais bien cité, c'est l'accumulation excessive de grâces corporelles qui peut donc nuire à la santé. On différencie plusieurs types d'obésité, comme du surpoids, mais on peut avoir notre poids santé jusqu'à, bon, ça augmente, avec notre masse adipeuse. L'indice de masse corporelle, ce qu'on utilise pour différencier cette personne, dans le fond, c'est le rapport de la masse versus la taille qu'on multiplie ou carrée. Puis, comme ça, on peut déterminer si une personne est en surpoids ou en obésité selon différents stades. Pour continuer, selon les causes fondamentales, je vous dirais, c'est le déséquilibre énergétique entre les calories consommées et dépensées. Ça, ça se traduit par plusieurs raisons. Puis, ça, j'avais oublié d'éditer, mais c'était écrit dans le livre de Patricia Burnham et plusieurs autres auteurs, qui était le titre « L'obésité et les problèmes de poids » de la collection « J'ai envie de comprendre » de l'édition Planète santé à Genève en 2007. Le livre contient 141 pages, vous aussi, c'était important de le dire. Oui, c'est ça, donc, dans le fond, je vais revenir sur les plusieurs facteurs. J'irai en premier parlant des erreurs nutritionnelles. Dans le fond, c'est par habitude, par préférence ou par manque d'éducation, d'information, les gens vont manger trop de gras, trop sucré, puis dans le fond, ça revient aussi avec la régulation de l'appétit parce qu'en fond, on est tous avec quelque chose qui va nous faire que, mettons, si on mange beaucoup avant un repas, on va moins manger selon l'autre, après l'autre, je veux dire, l'autre repas, mais ça, c'est différent de chaque personne à chaque personne, donc, ça peut amener des personnes à manger plus. Sinon, sur les comportements inadaptés face à l'alimentation, dans le fond, l'alimentation, ce n'est pas seulement physiologique, dans le fond, on ne mange pas juste pour manger, il y en a que oui, mais c'est aussi relié avec des facteurs psychologiques, donc, on va avoir des rapports différents en chaque personne avec la nourriture, il y a des personnes que ça va être relié avec leur émotion, donc, dans le fond, le stress, dans le fond, aussi, il y a des personnes qui vont manger plus parce qu'on manque de temps, donc, on prend les premiers ingrédients, puis différentes choses, donc, dans le fond, ça fait qu'on parfois, on ne mange pas super bien. Oui, ça, je l'avais dit, puis ça, ça c'est relié aussi avec notre estime de soi, puis les compositions alimentaires qui est relié avec le stress, si on a beaucoup de stress, puis on mange tout d'un coup, tu peux y aller main lisse. Bien, aussi, c'est que maintenant, Uber Eats, les fast-foods et les livraisons à domicile, ça n'aide vraiment pas parce que, je veux dire, tu as la flemme de faire à manger, donc, tu vas commander parce que machin, et sauf que tu dis ça tous les jours et au final, ça fait juste… Oui, c'est un bon point, je n'avais même pas pensé que tu peux y aller, Alexis. Puis, je pense aussi, tu parlais d'Uber Eats puis d'autres services de livraison, je trouve que la publicité, ça l'encourage vraiment. Des fois, tu es à la télé, puis là, tu vois un bon burger, il a l'air tellement bon. Après, tu commandes, puis des fois, tu regrettes, des fois, non, mais ce n'est jamais ce que tu commandes, ça a tout le temps l'air d'une bonne chose santé, puis dans la vraie vie, au final, ce n'est vraiment pas ça. Moi, j'avais vu une vidéo, je n'ai pas la source exacte, mais c'est juste un petit monsieur qui dit, n'allez jamais au magasin lorsque vous avez faim, genre, parce que vous allez toujours acheter des cochonneries, que ce soit des Barnards ou des trucs comme ça. Oui, effectivement, il y a un proverbe que ma mère a dit tout le temps, c'est de ne jamais aller vers l'épicerie, le rendre vide, parce qu'on revient souvent avec beaucoup de choses qu'on n'avait pas prévues au début. J'enchaînerais sur l'une des dernières conséquences que j'avais, dans son cause, pardon, c'est la sédentarité. Aujourd'hui, nos activités professionnelles et domestiques nous poussent beaucoup plus à rester assises et d'être moins actifs. Dans le fond, si on retourne autant au phénomène d'urbanisation et d'instabilisation, le travail à la chaîne, on travaille moins dans les champs, donc il y a moins d'activités qui nous poussent à dépenser plus de calories. Puis, c'est ça qu'ici, c'est en même temps qu'on parle des trajets qu'on fait maintenant beaucoup plus passifs, c'est-à-dire qu'on marche moins pour faire nos loisirs, même à ça, je veux dire, les loisirs, c'est souvent on reste assis puis on game ou on fait d'autres choses, c'est vraiment moins des loisirs comme sportifs. Puis, sinon, les dernières causes que j'aurais, ce serait des causes qui sont pas vraiment, qu'on peut pas vraiment changer, qui sont acquises, comme on dit. Il y a beaucoup de recherches qui amèneraient le fait qu'il y a des facteurs qui sont prédisposés, donc ce que je disais, le génétique biologique qui serait aussi la cause, comme admettons des changements métabolistes ou des régulations de l'appétit. Puis, sinon, il y a la prise des médicaments qui fait que plusieurs personnes qui vont pouvoir prendre plus de poids que d'autres, puis c'est tout des effets secondaires. Puis, je pense que j'avais terminé pour les causes, donc là, on pourrait continuer sur... Les conséquences. Oui, exactement. Moi, je vais vous parler justement des conséquences d'un surpoids ou de l'obésité chez une personne, ça peut être soit médical ou sinon j'en ai même quelques-unes économiques, mais ça, j'en ai moins. Donc, les conséquences médicales chez une personne, bien déjà, il faut différencier l'obésité d'un surpoids parce que c'est pas la même affaire. Un surpoids, c'est, il y a le IMC que Jake parlait tantôt qu'on mesure ça, c'est un surpoids c'est quand ton indice de masse corporelle est égal ou supérieur à 25, puis l'obésité c'est quand ton indice de masse corporelle est égal ou supérieur à 30, puis l'obésité morbide c'est quand c'est supérieur à 35, mais moins. Donc, l'obésité, le surpoids il peut avoir les mêmes effets que l'obésité, mais juste l'obésité c'est vraiment plus extrême, il y a beaucoup plus de chances d'avoir ces problèmes-là. Les problèmes qu'il y a, on en connait tous un peu, mais un truc moins connu dans le fond, c'est que 20% des cancers, on les attribue à l'obésité, que ce soit le cancer du côlon, du rein, de l'œsophage, du sein, de l'endomètre chez les femmes, c'est tout attribué, bien pas tout, mais 20% de ces cancers-là sont attribués à un surpoids ou à l'obésité, c'est plus rare, mais ça arrive quand même assez souvent. Ça c'est le docteur Sean Wharton, je sais pas si je prononce ça bien, puis 20 autres auteurs dans l'obésité chez l'adulte, ligne directrice de pratique clinique qui a dit ça, puis l'obésité ça engendre plein de problèmes à court et à long terme, comme long terme les cancers comme je disais, sinon ça peut avoir des maladies cardiovasculaires et musculo-squelettiques comme par exemple l'arthrose, mais il y a plusieurs problèmes à court terme comme des manques de souffle, des fois que t'es épuisé plus facilement, t'es plus chaud souvent, tu sues plus, puis à part ça, il y a les conséquences économiques justement que j'allais dire tantôt, qui sont aussi environnementales. Dans le fond, ça peut paraître assez fou, mais il y a les familles aux États-Unis, de plus en plus qui sont obèses, puis les familles obèses généralement ils optent pour des véhicules plus gros pour avoir plus d'espace, puis ces véhicules là sont plus polluants. Il y aurait des statistiques qui disent que chaque année, il y a 4 milliards de litres d'essence supplémentaire aux États-Unis juste à cause de ces familles là, je ne les blâme pas là, c'est juste des statistiques que William Raymond a trouvé dans son livre « Toxic, Obesité, Malbouffe, Maladie, Enquête sur les vrais coupables » en 2018. Je voulais finir sur un truc, il y a beaucoup de défis négatifs sur la santé, c'est plus négatif que positif, mais mon anecdote c'est que ma mère a été sauvée de la mort grâce à son surpoids, si je peux dire ça comme ça, c'est juste que son appendice a explosé dans son ventre et elle devait mourir genre deux semaines avant qu'elle ait vu le médecin. Et c'est la première fois que le médecin a dit « Heureusement que vous étiez grosse. » Heureusement oui, mais je trouve que si tu fais partout des souffles et des affaires comme ça, c'est moins comme médicamenté, on dirait que tu ne vas pas vraiment aller chez un docteur et qu'il va te dire « Ouais, là t'as l'affaire, t'as l'affaire. » C'est important je pense de prévenir avec les docteurs, quand on va faire des trucs annuels, des examens, souvent ils nous pèsent et ils prennent en grandeur pour calculer notre IMC. Je pense même qu'il y a ça à Brompton, il y a comme une genre de machine où tu peux te pèser et calculer ton IMC et c'est gratuit, alors allez-y. Sinon, on peut s'enchaîner, je pense qu'on va y aller. Je voulais savoir, le IMC selon vous, c'est vraiment vrai ou c'est trop généralisé? Selon la moyenne. C'est la moyenne, c'est sûr. C'est sûr que généralement, elle a raison l'IMC, mais il y a certains cas où les gens par exemple ont des os plus gros, ça change leur poids, mais c'est quand même assez précis vu que ça prend en compte ta taille. Mais c'est sûr qu'il ne faut pas se fier juste à ça, tout le monde est différent et je pense qu'il y a aussi une acceptation qu'il faut faire parce que personne n'est parfait et en plus c'est vraiment très général, c'est très typique, mais des fois il faut prendre en compte ce genre de choses-là, si on ne se sent pas bien ou par exemple on commence à avoir de l'arthrose, ça peut être lié à ça par exemple. L'IMC, j'avais vu dans mes recherches justement sur l'Organisation nationale de la santé, on parlait que dans le fond, il n'y avait pas de distinction à faire entre les sexes, dans le fond c'était les mêmes chiffres qu'il fallait prendre, mais à partir d'un certain âge, je pense que les enfants jusqu'à 5 ans, il y avait comme un autre critère à prendre en compte, je pense de 5 à 19 ans aussi pour calculer l'IMC, puis sinon il y avait aussi le taux de taille qu'on peut calculer pour savoir à partir de combien de centimètres, mais même encore, c'est encore moins précis parce que justement, les hommes ont plus tendance à stocker, vraiment ça disperse vers leur ventre, tandis que les femmes parfois ça va vers leur fessier ou il y a différents endroits, ça n'est pas toujours super accurate, je ne sais pas si on peut l'utiliser dans l'anglicisme dans ce podcast, mais oui, c'est pas mal ça. Avec l'acceptation, je pourrais enchaîner sur le mouvement du body positivity, c'est une enquête récente, une idéologie sociale fondée en 1996, c'est assez récent malheureusement, heureusement que ça a été fondé quand même, mais malheureusement que c'est seulement récemment, malgré que le corps idéalisé par la société change souvent avec la guerre, que ce soit avec la guerre, que ce soit les femmes qui ont décidé de porter des pantalons au lieu des jupons, que ce soit la taille, bref, je ne vais pas nommer tous les exemples. C'est à l'époque rebelle que les grandes marques ont compris que ce qui était mieux à montrer pour la société, c'était de nous vendre avec des différences, des choses qui nous rendent uniques, comme les albinos, les tas de rousseurs que beaucoup avaient du mal à accepter, les personnes rousses, les dents croches, le nez comme l'avait cité Amélie, le nez pas idéalisé par la société, ça a complexé beaucoup de gens et même encore aujourd'hui malheureusement à cause des réseaux sociaux et des magazines, mais avec ce mouvement de mannequinat-là, ça encourage de plus en plus l'acceptation de soi. Alexis, tu voulais ? Oui, je trouvais ça intéressant ce que tu disais sur le mouvement body positive justement parce que généralement, on a tendance à croire que ce mouvement-là, ça englobe juste les gens qui sont en surpoids par exemple, mais au fond, c'est vraiment pour tout le monde qui sont socialement moins beaux, mais ce n'est pas le cas. Par exemple, justement les gens qui ont un handicap visible, souvent ils ont beaucoup de stéréotypes face à eux, mais le mouvement body positive, c'est aussi ces gens-là, ce n'est pas juste les gens qui sont en surpoids. Malheureusement, c'est ça. Je vais parler des femmes parce que j'en suis une là, mais on va dire les vergetures, c'est beaucoup complexé, pourtant c'est juste naturel qu'on soit maigre ou en surpoids ou pas assez ou je ne sais pas quoi. On a toujours des vergetures et ça complexe beaucoup de femmes, alors que, je ne sais pas vous là, mais en soi, on s'en fout. Oui, on s'en fout. Même moi j'en ai là, c'est plein de monde en nom. Voilà, ça confirme mon truc. Amélie, tu peux y aller. Aussi récemment dans les réseaux sociaux, comme avait mentionné Miley, les mouvements body positivity a récemment beaucoup évolué, puis davantage de personnes militent pour la cause, pour le body positivity, et je trouve... Pourquoi il lutte ? Alors, tu vas y arriver ? Oui, oui, oui. C'est pas grave Sandra, plus de temps, tu peux y arriver. Non, non, non, tu ne peux pas se tromper. Je trouve que c'est un bon changement dans la modernité, une nouvelle évolution en gros. Oui, je ne sais pas si tu es d'accord, mais j'ai l'impression que le mouvement, justement, ça donne beaucoup plus de représentation pour les personnes, justement parce qu'on parlait tantôt des réseaux sociaux, mais les personnes qui sont idéalisées par les photos, par les influenceurs, tout ça, c'est tous des corps parfaits, tandis que quand on montre des personnes qui sont en surpoids, qui sont avec des handicaps visibles, ou plein d'autres choses comme ça, j'ai l'impression que les personnes qui eux-mêmes vivent dans cette situation-là, ça leur donne beaucoup de représentation, puis ils peuvent justement plus s'accepter, donc je pense que c'est un bon mouvement, puis on s'en va vers la bonne direction pour ça. Après, je ne sais pas vous, mais moi, ce que j'ai vu, c'est beaucoup, c'est tellement des femmes qui ont un body positive. Moi, j'ai rarement vu des garçons, malheureusement, mais ça concerne aussi les hommes, que c'est juste de l'acceptation en général. Oui, tu peux y aller. Non, vas-y, vas-y, vas-y. Ce que je veux dire, c'est que le mouvement body positive, justement, malheureusement, ça ne parle pas vraiment à les hommes, mais c'est souvent, moi, je pense dans la direction que ça devrait aller, c'est souvent les hommes qui sont super musclés, sur les stéroïdes et tout, avec les abs tous définis, ça, c'est vraiment toxique d'un sens. Je pense qu'on devrait lancer la direction vers ça. Moi, ce que je voulais dire, justement, c'est un peu comme tu disais à Jake, j'ai l'impression de ce que je vois, moi, en étant jeune qui passe quand même beaucoup de temps sur les réseaux sociaux, que c'est peut-être de la généralisation abusive, mais il y a plus d'hommes qui bâchent sur ce mouvement-là, justement, qu'il y a de femmes, parce qu'ils trouvent que c'est comme contre-nature et des choses de même. Aussi, le mouvement, il englobe moins les hommes. Je ne sais pas ce que je vais dire. Je le couperai au pire. C'est dans l'un de nos cas. En fait, ça, c'est ma vision de femmes sur les hommes, c'est que les hommes, vous essayez d'être en mode, moi, je n'ai pas besoin de support, je suis capable d'aimer moi-même, je n'ai pas besoin du regard de la société. Et malheureusement, oui, vous avez besoin d'être genre... C'est comme on s'en fait à pas... Oui, Amélie. Et parlons de ce que tu avais dit, Maïs, que les hommes en général, mais pas tous, juste en général, qui sont comme tu avais dit, ils vont au gym, à les muscles, tout ça. Peut-être qu'au fond, selon moi, peut-être qu'ils ne sont pas vraiment contents avec leur corps, mais ils font peut-être pas les apparences, puis peut-être que ça peut vraiment affecter leur santé mentale. Puis je trouve que c'est peu parlé de ça dans la société, qu'à propos de leur santé mentale, plus du tout. Oui, mais c'est ça, je pense qu'on pourrait aller sur... Par rapport au harcèlement des femmes, genre, en fait, c'est que le problème, c'est que les femmes, entre parenthèses, harcèlent les hommes, et les hommes harcèlent, entre parenthèses, les femmes. Et c'est vraiment un cercle vicieux, comme. En fait, ça n'aide vraiment pas juste pour le regard, en général. Mais je pense que ça ne favorise vraiment pas le vivre ensemble. Quand on fait une distinction entre les deux sexes, puis on commence à se faire des petits gueuguerres. Non, non, c'est raté par-là, c'est vraiment pas... Il y avait juste un truc que j'avais besoin de parler, et j'ai juste oublié de le mentionner plus tôt. C'est qu'on ne parle pas du ventre des femmes après l'accouchement. Beaucoup sont choquées de voir que le ventre, c'est un excès de gras qui ramollit. Je veux dire, je ne sais pas comment les exprimer. Et beaucoup se font bitcher dessus. Je ne sais pas... Des animaliens. Beaucoup se font insulter parce qu'ils ne s'attendaient pas à ce genre de ventre, alors que c'est juste... Tu veux qu'il aille où, le ventre ? Juste, dernier petit truc avant qu'on enchaîne. Comme tu disais, les femmes qui accouchent, après, le ventre change. Je pense que ce n'est pas juste aussi avec l'accouchement, même avec l'âge, la ménopause. Toutes les corps changent au fil des années. C'est normal, mais les gens veulent qu'une femme de 60 ans ait l'air d'une femme de 25 ans. Ce qui n'est pas normal, ça ne peut juste pas. L'effet d'avoir d'enfants, ça fait juste traduire que j'en ai donné la vie, dans un sens. Ce n'est pas censé être négatif, même s'il y a un excès de ventre. Si il y a des partenaires qui te menacent de repartir parce que tu as pris trop de poids, vraiment, c'est n'importe quoi. Exactement, c'est gamin. Pour revenir à la grand-mère, c'est qu'une grand-mère qui ne ressemble pas à un jeune se fait bitcher dessus. Si elle fait de la chirurgie pour ressembler à une jeune, c'est encore pire. C'est vrai, c'est bien dit. Peu importe ce que tu vas faire, de toute façon, tu vas toujours avoir des accusations. L'important, c'est de s'aimer. Tu l'as trouvé de pas, Mélise ? On peut enchaîner sur les troubles alimentaires, si jamais tu es prête. Pas trop. En enchaînant par les troubles alimentaires, la boulimie est un des troubles alimentaires. Par exemple, la définition de la boulimie, c'est quand tu manges trop, puis après ça, tu vomis après. Attends, c'est tu te fais vomir ou tu vomis ? Je pense que c'est toi qui te fais vomir. Ouais, c'est ça, tu manges trop pour te faire vomir après ? Tu culpabilises. Tu culpabilises après ça, tu manges plus, après ça, tu refais. Je pense que c'est ça. La boulimie peut entraîner des problèmes graves sur la santé physique, puis la santé mentale, sur de longues périodes d'années. Donc, selon les chercheurs de l'Université Concordia, selon eux, les réseaux sociaux jouent un rôle, sont des causes fréquentes de l'apparition de ces troubles alimentaires qui peuvent être mortels. Par exemple, dans une de mes sources, qui est le livre des pas des apparences, beauté, amour, gloire, de Jean-François Amadieu, citant le rapport taille-hanche, regroupe en partie l'indice de masse corporelle et il est particulièrement prisé quand il se situe entre 0.6 et 0.8 cm. Une femme sera autant attirante aux yeux de l'homme qu'elle se rapprochera de cette norme. Cela démontre que les réseaux sociaux ont un puissant pouvoir, causant une mauvaise appréciation de soi-même, la souffrance et peuvent aussi affecter l'appréciation professionnelle dans le futur, selon cet auteur du livre. Je vais continuer aussi. Je voulais parler parce que mon livre de sociologie de l'obésité de Jean-Pierre Plouin élaborait surtout sur les régimes que les gens se sentaient à faire encore aujourd'hui et qu'on n'a comme toujours pas trouvé le régime parfait pour tout. Dans son livre, il dit que les régimes sont dangereux parce que l'obésité a été souvent prise comme pour un symptôme à place d'une maladie. On nous disait qu'en gros, si tu es gros, c'est parce que tu manges trop et que ça s'arrêterait là. Maintenant, on sait qu'il y a d'autres causes qui sont prédisposées même avant qu'on n'ait. Les régimes qu'on voit, ça nous empêche. Des fois, c'est mal sain parce que si on ne sait pas parler avec un nutricien mais on peut juste voir sur les réseaux qu'il faut manger tant de calories et que les gens vont vraiment commencer à compter tout ça. C'est ça, ça devient toxique et ce n'est vraiment pas bon. Ce n'est pas une grande source folle, mais en éducation physique, on parlait de ça, de la « diet culture » et tout. Ils parlaient justement de troubles que ça pouvait créer. Par exemple, il y a des gens qui sont des mangeurs intuitifs. Eux, ils mangent jusqu'à ce qu'ils aient le plus faim. Ils ne culpabilisent jamais avec leur assiette, mais il y a des gens qui voulaient tellement bien paraître et ils ne se sentent tellement pas bien qu'à force de faire ça, ils se restreignent dans leur appétit et ça crée plus de problèmes que d'effets positifs. Tu ne vas jamais réussir à t'accepter comme ça non plus. On n'en parle pas assez. On en parle un peu plus qu'avant, mais je trouve que c'est vraiment quelque chose qui est assez banalisé, les problèmes de manger. Oui, c'est ça. Tantôt, on parlait des troubles alimentaires, mais ça arrive aussi avec l'anorexie. Quand on se prive pour manger, ce n'est pas toujours mieux. Toi, tu parlais des calories. Comme tu dis, on compte les calories, mais on ne compte pas celles qu'on a dépensées. Justement, en éducation physique, on disait que selon ce qu'on dépense, tu dois manger ce que tu as dépensé plus que ce que tu dois par jour pour ton corps. Ton corps a besoin de se recharger et les calories, ce n'est pas le fait que tu vas grossir, c'est l'énergie que tu as besoin. C'est sûr que si tu manges plus que ce que tu dépenses, c'est sûr que ce n'est pas bon, mais ça reste que ce n'est pas un truc que tu dois te priver. Les gens qui font un régime, on a le droit au cheat day. Je suis très habitué à ce terme. Il ne faut pas complexer de tricher. Ce n'est même pas de la triche. Tu te fais un kiff et c'est bon. Surtout, quand on fait de l'activité physique, je ne pense pas qu'il y a des règles définies pour dire que tu as fait un sprint tellement que tu as perdu 100 calories. Tandis que quand tu manges une barretante, n'importe quoi, tout ce que tu vas manger, tes calories sont écrites à l'endos. Ça, c'est malsain. Tu manges de quoi, tu vas le savoir comment elle t'a pris. Tandis que si toute la journée, je ne sais pas moi, tu as marché pour les travailler, tu as fait des efforts, tu ne sauras pas comment tu as dépensé tes calories. Au final, tu es dans un enfer. Ça, ça revient au capitalisme. Pour recevoir tes calories perdues, il faut que tu achètes la nouvelle montre Apple. Je pense que c'est l'énorme des produits de mettre les calories dessus, malheureusement. C'est à la fois logique, mais très complexant pour beaucoup. Je connais beaucoup de gens qui ont vécu la même chose. Je pense qu'on avait fait le tour de nos aspects. Ah oui, tu avais d'autres choses? Ce n'était pas l'aspect de la santé mentale après. Je pense qu'on l'avait regroupé avec l'équipe alimentaire. Tu peux parler. Pour l'aspect de la santé mentale plus en détail, les personnes en surpoids sont à risque de la dépression et de l'anxiété. Excellent. Le Dr. Branston Schachter, je pense que c'est son nom de famille, je ne suis pas sûre, professeur adjoint et directeur du département de la psychiatrie de l'Université de l'Alberta, décrit que 40 à 70 % des personnes obèses sont atteintes de la dépression. Il annonçait aussi que le taux de dépression augmente plus lorsqu'une personne en surpoids est en suivi pour son traitement d'obésité. Selon une de mes sources, le poids des apparences, amour, beauté, gloire de Jean-François Amadieu, la définition de la beauté est en grande partie une construction sociale. Cette construction aboutit à une opération de classement tout à fait arbitraire des individus. Donc, je trouve que les personnes obèses tombent plus en dépression, car j'ai l'impression que leur poids et leur apparence, ils ont l'impression de ne pas avoir leur place dans la société, puis on a l'impression que la société leur met beaucoup de pression pour être parfaite, mais le modèle parfait, ça n'existe pas. Oui, c'est ça, je pense que ça revient à ce qu'on disait, l'écriture à la beauté, c'est pour ça que mon modèle d'obésité est autant important. Juste, vite fait, je n'ai pas cité mes sources, je voulais juste dire que la plupart de mes sources venaient de Catherine Ormen, c'est une spécialiste et écrivaine historienne de la mode, et la deuxième, c'est juste Mathilde Lavierou, et j'ai pris la source sur Karine. Parfait, est-ce qu'il y avait autre chose à rajouter? Je pense que finalement, pour rajouter juste une dernière information, pour dire que maintenant, dans les magazines de mode, les modèles qu'on voit sur les revues de magazines, leur vraie apparence, ça peut être photoshopée, ou eux-mêmes, ils peuvent développer des troubles alimentaires, comme l'anorexie ou la boulimie, pour avoir le corps idéal. Donc, le corps idéal, techniquement, ça n'existe pas, pas dans la société, mais c'est la société qui l'impose. Oui, c'est très malassant, surtout pour les gens qui font le mannequinage. Le mannequinage, le ballet, la danse classique, des affiches publiques. Même la danse, tu cours pas juste le ballet, la danse, tu cours quand on voit quelqu'un en surpoids, par exemple, qui fait de la danse, il y a tout le temps plein de commentaires qui sont tout le temps négatifs, sauf que quand la personne pourrait danser très très mal, mais si elle fit dans les standards de beauté, ça passe, mais si c'est quelqu'un qui danse très très bien, mais qui en surpoids, c'est le pire danseur qu'on ait jamais vu. C'est la ridiculisation du mec. Tantôt, on parlait de mannequins, justement, moi j'avais vu, l'autre jour, encore une fois, sur les réseaux sociaux, j'avais un gars que je voyais à plusieurs de ses posts, puis je trouvais ça plus triste qu'autre chose, parce qu'il était vraiment très très proche de l'anorexie, mais les gens le trouvaient tellement beau, il avait un beau visage, mais c'était pas santé, c'était pas bon, il doit avoir plein de complexes, il se prive de manger, c'est tellement toxique comme industrie, je trouve qu'il y a des changements à faire. Entre parenthèses, l'anorexie des garçons ça existe pas, parce que c'est plus vu sur les femmes que sur les hommes, malheureusement. Je pense aussi que ça se traduit dans les diagnostics, il y a beaucoup moins d'hommes qui mangent moins, parce que ce qui pousse les gens à être diagnostiqués, c'est surtout aller voir le médecin, mais c'est surtout dans la famille qui est le premier acteur là-dedans, quand ils remarquent que les personnes mangent moins dans leur famille, dans leur entourage, ils peuvent en parler, puis ça avance la discussion sur ça, mais si on ne le dit jamais aux garçons qui peuvent avoir des troubles alimentaires, justement ça change ça. Encore une fois, c'est un peu de la généralisation, mais il y a moins d'hommes qui s'en vont chercher cette aide-là, justement, que des femmes, parce que, je ne sais pas, il y en a plein qui pensent que c'est des gros hommes fort virils, puis ils n'ont pas besoin de la société, donc ils ne vont pas en thérapie, ils ne vont pas voir le médecin, ils ont le bras ouvert, mais ils ne vont pas voir le médecin, parce que ça va guérir tout seul. Il y a beaucoup d'hommes qui souffrent de ça, quand ils ont des symptômes graves, ils ne s'en vont pas consulter, puis c'est ça. Puis aussi, en Corée du Sud, je pense que c'est des chanteurs K-pop, c'est des chanteurs K-pop, c'est ça, j'ai l'impression que les fans, tu vois, ils pensent, il y a des fans qui voudraient devenir... Comme eux. Faire de la K-pop. Oui, faire de la K-pop, genre chanteur K-pop, c'est ça. Mais ils ne savent pas c'est quoi la réalité en dessous pour devenir K-pop, tu vois. Il y a des témoignages... Il y a beaucoup de dramas sur les agences. Oui, c'est ça, il y a des témoignages sur les agences de la K-pop qui disent qu'il y a des chanteurs K-pop qui développent des troubles alimentaires, puis il y en a aussi des chanteurs K-pop qui se sont suicidés à cause de la pression de la société, à cause des critères de beauté, puis... Il y a aussi plein de chirurgies, c'est juste pour rentrer dans ces standards-là, il y en a plein, on voit des transformations d'avant puis d'après, je n'ai pas de nom parce que je n'écoute pas vraiment ça, mais il y a plein de gens qui sont... C'est le nez surtout. Oui, le nez, les yeux, tout, ça change. Je pense qu'on peut conclure, je ferai un autre tour de table dans le même ordre qu'on a commencé. On pourrait peut-être juste donner une petite phrase de ce qu'on a appris pour conclure ça, puis ça va être tout. Moi, dans mes sources, j'ai appris beaucoup sur l'obésité, surtout notamment sur les causes, mais même dans ces discussions, je pense qu'on peut dire ça entre nous, dans toutes les choses, comme par rapport aux cahiers de l'IMC, puis les causes environnementales. Oui, c'est ça, ça m'a beaucoup choqué, puis on peut continuer. Moi, c'était un peu plus négatif que vous, mon sujet, parce que ça parlait gros de problèmes que ça faisait, puis c'était des trucs médicaux, donc c'est rien de super fun. Moi, ce que je ne savais vraiment pas, c'était vraiment qu'il y a gros des cancers, que ce soit l'obésité qui cause ça, je trouve ça impressionnant. Je ne pensais pas que ça avait autant d'impact comme ça, mais c'est ça. Moi, c'est plus pour conclure sur ma question, c'est que l'évolution, ça va se faire beaucoup sur le long terme, malheureusement, parce qu'encore beaucoup d'industries de la mode pensent que c'est seulement un mouvement de tendance, en mode, regardez, cette personne est grosse et tout. C'est exceptionnel de voir quelqu'un de gros ou grosse sur les réseaux, sauf que ça va changer les tendances au bout d'un moment. Moi, ce que j'ai trouvé marquant dans mes sources, c'est vraiment le point d'un auteur qui disait que le privilège de la beauté peut vraiment avoir un impact dans la vie, puis qu'il y a aussi beaucoup de discrimination à propos de ça, par exemple dans le travail, dans l'école, dans l'amour, et je trouve que c'est très juste parce que ça peut aussi réduire l'estimation de la beauté. Donc on avait tout conclu. Bonne journée.

Other Creators