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Today, our guests Charlotte and Camille came to debate the question "Is money necessary to be free?" It is difficult to escape poverty as categorization marginalizes the poor. However, it is possible to overcome social situations through education or sports/artistic pursuits, which require money. The state provides assistance to students, but freedom goes beyond material possessions. Freedom of expression is an illusion that masks the oppression of the poor. Elite schools oppress those from disadvantaged backgrounds. Aid for students is often insufficient. Collaboration and finding part-time jobs can help. In crises, inequalities between the rich and the poor become evident. The poor receive help from associations or the state. Access to healthcare is a significant difference, as medical expenses are often unaffordable. France has insurance and a health card, preserving freedom. Some people live self-sufficiently without money, like the Uliato village. Freedom is subjective, and each p Aujourd'hui, nous recevons nos deux invités Charlotte et Camille qui sont venus débattre sur la question « Est-ce qu'il faut de l'argent pour être libre ? » D'abord, je pense qu'il faut préciser qu'il est très dur de sortir de la pauvreté. La catégorisation fait que les pauvres sont mis à l'écart de la société. C'est donc très dur de changer des situations sociales, ce qui touche à leur liberté. Oui, mais cela n'est pas impossible. Il est possible de jouer le cadre social en faisant de bonnes études ou en faisant une sérioté sportive ou artistique. Oui, mais pour faire de bonnes études, il faut de l'argent. Par exemple, si vous voulez faire des études dans l'histoire de l'art, qui est un domaine avec très peu de débouchés, il faut d'abord être dans une bonne école pour espérer avoir un travail convenable. Malheureusement, toutes les grandes écoles sont beaucoup trop chères pour la plupart des gens ou moyens réduits. Pour être libre, il faut de la connaissance. Mais c'est pour cela que l'État donne des aides aux étudiants pour qu'ils aient accès aux études de leur choix. De plus, la liberté d'une bague jauge définit qu'il s'achète, mais plutôt un concept comme la liberté d'expression. Faux ! On ne donne pas la parole aux pauvres. Dans un débat, on écoutera toujours la personne la plus enfermée financièrement. La liberté d'expression n'est qu'une illusion qui masque le fait que les personnes pauvres sont oppressées. Dans les cas des écoles d'élite, les personnes profitant de pauvres sont constamment harcelées et opprimées. Et pour revenir sur les aides pour les étudiants, dans la plupart des cas, elles ne comblent pas sous leurs besoins. La majorité d'eux sont dans des situations très chères et ils ne mangent pas leur sang. Premièrement, pour s'écouter, on peut s'associer à d'autres personnes pour que notre voix soit plus forte. Et deuxièmement, les étudiants peuvent recevoir plusieurs aides ou dans le pire des cas, trouver un petit boulot. Trouver des aides est assez dur. Il faut remplir certaines conditions. Dans certaines situations, comme les crises, c'est là qu'on peut se percevoir le plus d'inégalités entre les riches et les pauvres. Les personnes riches se sentent beaucoup mieux que les pauvres qui ont des moyens réduits. Ils perdent donc leur liberté. Oui, mais en tant que crise, les personnes les plus démunies ne sont pas délaissées. Elles sont aidées par des associations ou par l'État. Grâce à ça, leur liberté n'est pas affectée et ils peuvent continuer à vivre comme ils le souhaitent. La plus grande différence pour moi est le droit à se soigner. Les frais médicaux sont souvent très chers, beaucoup trop chers, quand il y a des personnes avec des situations aux moyens réduits. Aujourd'hui, beaucoup de personnes sont en TNT. C'est pour ça que maintenant, les gens essaient de moins aller à l'hôpital et de se soigner par eux-mêmes. C'est une intérêt à la liberté. C'est pour ça qu'en France, on a de l'assurance et une carte vitale, ce qui permet l'accès aux soins. Leur liberté est donc préservée. De plus, on peut vivre librement sans argent. Par exemple, il existe des personnes qui vivent en étant autosuffisants. Ces gens qui vivent ce genre de vie, ils sont plus libres comme ça. Comme le village Uliato, qui est un village habité par 3 couvres français et 2 enfants de bas âge en Espagne. Les habitants vivent en autosuffisant sans argent de leur propre gré. La liberté n'est qu'un concept et chacun a sa propre définition. Certes, mais il y a encore des personnes en France qui sont malheureusement trop pauvres pour se payer de bons soins médicaux. Mais la France n'est pas à plaindre pour autant. Dans d'autres pays comme le Japon ou les Etats-Unis, où les frais médicaux sont très chers, une seule consultation peut coûter 1000 dollars, 100 dollars. Il y a beaucoup de personnes qui sont endettées à cause des frais médicaux. De plus, pour revenir aux personnes qui vivent en soi-disant autonomie, de mon point de vue, ces personnes ne sont pas complètement indépendantes. Elles dépendent de certaines choses comme les médicaments ou les maladies. Si vous prenez l'exemple des tribus marginales, elles sont en minimum dépendantes des plus grandes puissances aux alentours. Sauf qu'elles sont exceptionnellement très rares. Nous sommes dans un monde qui est très mondialisé. Et maintenant, tout le monde est dépendant de grandes puissances, même à plus petite échelle. Et pour reprendre le cas du village Uli-Ato, ils le disent eux-mêmes que leur indépendance est encore très loin. Enfin, de mon point de vue, le concept de liberté, je vous dirais que mon concept personnel de liberté, c'est d'être indépendant. Être libre de pouvoir faire ce qu'on veut, sans rien redemander à personne. Donc, de mon avis, ces personnes ne sont pas complètement libres. On peut donc dire que la liberté n'est qu'une façon de voir les choses, que chacun a son point de vue et chacun a donc sa propre réponse à la question. Merci à toutes les deux pour ce débat. L'émission est finie. À la prochaine !