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Maxime is discussing his junior hockey career and the obstacles he faced. He admits that he prioritized having fun with friends over training, which affected his progress. He also mentions the loss of a loved one and how it impacted his studies and hockey. Maxime talks about his motivation to inspire others through his TikTok videos and the positive feedback he receives. He reflects on his most rewarding hockey experience, participating in a showcase in Boston. Maxime values the relationships he has built through hockey, particularly with his coaches and teammates. He describes his playing style as a balance between calmness and athleticism, relying on instincts and game analysis. Maxime shares how he accidentally became a goalie and his pre-game routine. He mentions his preferred jersey number, 31, but acknowledges that he doesn't always get it. Bonjour, nous avons l'envahis de Maxime, et je suis accompagné de ma collègue Inna, comment ça va? Ça va bien, vous-même? Oui, ça va très bien. Ça va super bien. Est-ce que tu nous parles un peu de ton parcours de hockey junior? Qu'est-ce que t'as porté par vous? Quels embûches as-tu pu avoir? Pour ma carrière de hockey junior, il faut dire que cette année, c'est ma première vraie année junior. Parce qu'une année passée, j'étais collégial, et ça ne compte pas nécessairement comme du junior. Mais oui, j'ai eu beaucoup d'embûches tout au long de ma carrière qui sont dans mes roues. J'ai toujours été un gardien qui avait du talent, mais je ne savais pas comment faire pour arriver à un niveau supérieur. Dans mon temps, quand j'étais jeune, c'était vraiment, je vais m'entraîner une fois par semaine, je vais être professionnel. J'ai des rêves d'enfant, et on était un peu naïfs. J'ai pensé de moi-même vraiment longtemps. Les entraînements ont un peu passé, et j'ai priorisé vraiment le fait de m'amuser avec mes amis. Ça, je l'ai regretté longtemps. Au départ, l'éthique de travail n'était pas là. C'était extrêmement difficile de s'y mettre. Quand j'ai commencé, j'avais beau essayer, on me mettait tout le temps dans des catégories inférieures. J'étais là, je me disais, « Mon Dieu, qu'est-ce qu'il faut que je fasse de plus ? » J'étais là, je travaillais jour et nuit pour essayer d'y arriver. Comme certains de mes abonnés peuvent le savoir, j'ai perdu mon mal l'année passée. Ça a été quand même quelque chose d'assez difficile que j'ai pu vivre. Son deuil d'essayer de réussir mes études, de jouer au hockey, de garder le numéro un dans l'écologie, c'était pas évident non plus. J'en ai eu beaucoup sur les épaules pendant longtemps. Ça, c'est quelque chose en douche. Je pourrais en parler pendant des heures de ce qui a pu m'allouer tout au long de ma carrière de hockey. Mais ça serait vraiment trop long. C'est vrai que c'est pas mal ça, les deux principales. C'est ce que je fais en ce temps. Je suis la personne que je suis aujourd'hui. Je suis capable de jouer au junior en Ontario. Je peux essayer d'avoir un peu de fun. Parfait. Toi encore, tu as un compte Skootx. Oui. On voulait savoir comment tu vis le fait, par exemple, qu'il y a beaucoup de jeunes gardiens qui te regardent, et comment tu es parti pour avoir tes vidéos de motivation. On commence par commencer. J'ai commencé au début de TikTok avec un peu d'humour, parce que c'est vraiment ce qui était vraiment populaire à l'époque. On va commencer avec ça. Quand j'avais atteint à peu près mes 800 abonnés, j'ai su que je pouvais tremper des vidéos de mon téléphone à TikTok. Si je prends des clips de hockey et que je les mets sur TikTok, ça pourrait m'amener des nouveaux abonnés. Je partage ma passion, ça va être le fun. J'ai commencé après ça avec des vidéos de hockey. J'ai commencé à partager un peu mon histoire personnelle. Les gens commençaient à me connaître de plus en plus. Je me suis dit que si je transfère ma vie personnelle sur TikTok, peut-être que je vais pouvoir inspirer certains à justement pouvoir donner meilleur d'eux-mêmes. Et eux, ne pas refaire les mêmes erreurs que moi j'ai faites dans le passé. Mais moi, je n'avais personne pour me le dire. Sauf qu'eux, ils ont quelqu'un pour leur dire. C'est ça mon objectif. C'est d'amener les gens à vraiment pouvoir exploiter leur plein potentiel. Qu'ils ne fassent pas les erreurs de débutants. Quand on est trop naïf pour réaliser les choses, qu'eux puissent le réaliser parce que je suis là pour leur dire. Puis le fait qu'il y ait plusieurs gardiens, plusieurs personnes qui me suivent sur les réseaux, je trouve ça le fun. C'est quand même un bon sentiment des fois de recevoir des commentaires, de voir qu'il y a des gens qui tiennent à tes vidéos, des gens qui se motivent à continuer jour après jour, à continuer de trouver des nouveaux modèles. En même temps, je trouve que c'est quand même quelque chose d'inspirant. C'est quelque chose qui fait en sorte que chaque jour je me laisse et je me dis qu'on s'en va pratiquer. Ce n'est pas juste pour moi que je le fais, c'est pour tous les autres followers qui me suivent du Québec. Quel est le plus beau moment que tu as vécu en lien avec le hockey ? Ça peut être personnel ou ça peut être sur le plan sportif, bien sûr. Le plus beau moment au hockey ? Honnêtement, je pense que... Honnêtement, c'est dur à dire parce que... Où est-ce que je viens ? On n'a pas vraiment gagné. On n'avait pas des vrais bonnes équipes, mais je te dirais que le plus beau moment, celui qui m'a été le plus gratifiant, c'est quand je suis allé à mon showcase à Boston l'été passé. C'est vraiment exceptionnel. On n'a pas gagné vraiment, mais juste l'effet de compétitionner contre des joueurs d'un peu partout à travers l'Amérique, c'était vraiment une expérience exceptionnelle. J'ai eu la chance de pouvoir y aller avec mes amis québécois. Pour vrai, c'était un des plus beaux week-ends, c'était le plus beau week-end de hockey que j'ai pu vivre dans ma carrière de hockey. On va y aller un peu dans le titre de la question à Cannes, mais en même temps, ta plus belle rencontre ? Ça peut être un coach, ça peut être un joueur, ça peut être un coéquipier, ça peut être un partenaire, peu importe. Ma plus belle rencontre ? C'est une bonne question. Tu sais, j'ai... J'ai fait quand même plusieurs belles rencontres, je dirais, dans notre équipe de hockey. Surtout en secondaire 5, j'avais deux coaches exceptionnels. Moi, personnellement, je les adorais. Quand ma mère est tombée balade, il était tout le temps là pour m'accueillir dans le bureau si jamais j'avais besoin de parler. Il me faisait entièrement confiance, déjà. Il savait qu'il pouvait me faire confiance, puis moi, je savais que je pouvais leur faire confiance. Ça crée vraiment quelque chose de solide entre nous, puis si jamais avec moi, on était toujours là pour s'aider. Puis même, après le secondaire, j'ai continué à garder contact avec ces deux coaches-là. Mais tu sais, honnêtement, c'est... Puis le hockey, c'est toujours des belles rencontres. J'ai encore des amis de mon secondaire 2 quand je suis arrivé au Collège Saint-Hubert que je suis encore en contact avec. C'est probablement mes meilleurs amis. C'est vraiment des gars incroyables. Il y a d'autres gars aussi que j'ai pu rencontrer. Je peux te dire que c'est vraiment ça. Ce bonheur de rencontrer eux est vraiment global. Ce n'est pas nécessairement une personne en particulier, c'est vraiment l'ensemble de tout. Ceci nous parlait de quel type de gardien, toi, tu es. Est-ce que tu as un gardien... C'est le papillon, c'est sûr, je ne sais pas. C'est quoi ton style de gardien? Moi, je suis vraiment quelqu'un... Si on prend, mettons, les deux opposés, tu as le gardien très athlétique, puis tu as le gardien vraiment très calme. Moi, je suis vraiment un juste milieu. Je peux être vraiment calme comme je peux être le plus athlétique. Je suis vraiment quelqu'un qui suit beaucoup à son instinct. C'est ce qui m'a sauvé pendant des années avant que j'apprenne la technique. Être un gardien de vue, c'est vraiment mon instinct. C'est vraiment ça. C'est l'analyse de jeu. Généralement, je suis capable de devenir... Ok, il va faire ça, ça va rester encore plus simple pour moi. Tu as souvent des gardiens vraiment plus techniques. Tu as des gardiens plus calmes, plus agressifs. L'athlétique, pour moi, c'est vraiment un gardien d'instinct. Vraiment, c'est l'amour. Parfait. Pourquoi la position de gardien de vue? Toi, est-ce que c'est quand tu as commencé à jouer au hockey que tu savais que c'était cette position-là, ou c'est un peu comme la position qui est venue à toi? Honnêtement, je pense que c'est plus la position qui est venue à moi. Parce que j'ai commencé Mag2. J'avais six ans. J'avais dit à mon frère que je voulais être joueur. Je me suis inscrit comme joueur, j'ai commencé. Je n'étais pas le meilleur. On va s'entendre là-dessus. Je n'étais pas très, très bon. À un moment donné, ma gardienne s'est fait blesser. Le coach, plein de joueurs, dès que ça arrive, je lui ai regardé et il me l'a laissé. Il est allé dans la chambre et il m'a dit, « Qui veut goaler? » Personne ne voulait, mais j'ai levé ma main et j'ai dit, « On va l'essayer. » C'est vraiment là que j'étais comme, « Ah, je vais essayer de faire m'arrêter des rondelles. » Je me débrouillais déjà pas si pire. Je suis déjà meilleur que le joueur. J'ai commencé à me pousser le front. J'ai dit, « On va rester là-dessus. » On va continuer ma carrière comme gardien de but. Préparation d'avant-match, c'est quand même assez classique. Je ne dirais pas faire quelqu'un d'expert. On arrive deux heures avant le game, une heure et demie avant le warm-up. C'est juste travailler tes réflexions un peu avec des balles. On enchaîne avec un petit stretching, une petite course. Après ça, je me retourne dans le vestiaire. Je m'habille tranquillement. Je mets mon bas. C'est essayer de filer ton stock un peu, pour bloquer, t'amènes tes pattes, tes pattes teintes. T'essaies de les filer un peu avant le warm-up. Après ça, il reste à peu près 1-10 minutes. Je mets mon haut tranquillement, pas vite. Il y a tout le temps de la musique dans la chambre. T'écoutes la petite musique, tu te mets dans le game. T'as eu un bon 10-15 minutes de préparation mentale à faire. Dans les matchs rouges, je trouve que ça fait une grande différence. En effet. Est-ce que ça t'arrives dans une nouvelle équipe? C'est comme l'homme et toi, t'es dans une nouvelle équipe. Est-ce que tu as un chiffre en particulier que tu veux? Ou toi, peu importe le chiffre, c'est pas grave. C'est sûr qu'il y a un point que c'était mon idole toute mon enfance. C'est toujours le chiffre que j'ai voulu. C'est sûr que si j'ai eu l'option d'avoir le 31, je vais être très honte. Je ne dirais pas non plus. Cette année, j'ai eu le dernier choix. Je n'ai pas eu le 31. Je suis un peu déçu, mais bon. Ce n'est pas la fin du monde. C'est sûr que l'année prochaine, je retourne dans mon ancienne équipe. J'ai eu le 31. Je vais être très content de ça. Donc, toi, ton idole de jeunesse, on peut dire que c'est Eric Price. Ah oui. C'est à cause de lui que j'ai commencé à jouer au hockey. Tu as gardé un peu. Quand j'ai commencé à jouer, c'est vrai que son pride commençait. Tu le voyais, il commençait à faire des grossesses. Moi aussi, je vais faire ça. Moi aussi, je vais réussir. Je vais le regarder à la télé. Quand tu es excité, tu vas aller à tes games pour essayer de ne pas faire pareil. Sans lui, je ne serais pas le gardien et la personne que je suis aujourd'hui. En termes de hockey, est-ce qu'il y a d'autres sports dans lesquels tu excelles? Honnêtement, je me débrouille quand même pas si bien dans tous les sports, mais il n'y en a pas tant un que je dirais que j'excelle dans le hockey. Je me débrouille dans pas mal de choses. Tu mets un très bon joueur de soccer comme moi, je me fais admirer. Un joueur moyen, je devrais tenir mon bout. Plusieurs disent que les gardiens ont la plus grande pression pendant un match. Est-ce que tu es d'accord avec ça? Honnêtement, ça dépend du type de match. Quand c'est un match assez calme, je te dirais que c'est bien réparti entre tous les joueurs. Quand ça vient des matchs où l'équipe joue un peu moins bien et qu'il faut qu'il tienne son équipe dans le game un peu plus parce que là, ça ne suit pas, je te dirais que celui-là a une plus grande pression sur toi parce que c'est toujours toi le dernier plié. Si tu fais une erreur, je ne veux pas, c'est la faute qui va tomber dessus. Mais quand tout le monde joue bien ensemble et que l'équipe fait un bon match, oui, tu as une certaine pression, mais c'est la même pression que le joueur qui doit aller marquer un but pour aider son équipe. Ça dépend vraiment de comment l'équipe va jouer et comment l'équipe va s'en sortir. À part le hockey, est-ce que tu as d'autres passions? Par exemple, la musique? Moi, j'ai quand même un goût petit à le peindre. L'hiver, pendant la période des fêtes, j'aime ça aller peindre tout le décembre. C'est quand même assez le fun. Ça reste quelque chose de physique, mais ça reste quelque chose que tu peux aller chercher une certaine adrénaline dedans. Tu peux toujours essayer de faire mieux, de te supporter. C'est vraiment ce que j'aime. C'est dans un bel environnement. Tu as des beaux paysages. Le hockey, c'est vraiment merveilleux. Honnêtement, je n'ai pas tant le talent, mais c'est quand même une activité qui est plaisante à faire. Comment gères-tu ta pression avant un match relativement important? Honnêtement, j'ai compris quelque chose qui a complètement changé ma manière de garder les lieux. Fais juste jouer ta game normalement. N'essaie pas d'en faire trop. Fais juste, genre, va t'amuser. Amuse-toi dans les buts, et ce qui doit arriver, arrivera. À chaque fois que je dis ça, je me dis que fais juste goûter ta game et fais ce que tu as à faire. Et le reste, si ça t'arrive, c'est que ça devait arriver. T'es absolument d'accord. C'est quand même assez simple, et ça peut se dire malin à des gens, mais si tu te dis juste ça, tu ne seras pas prêt. Oui, tu vas être prêt, parce que tu crois en toi et en tes capacités. Tu sais que si tu fais juste jouer ta game et que tu te donnes à 100%, ça va fonctionner. On le sait. T'entends parler de Curry Price, c'est ton idol de jeunesse. Est-ce que t'en regardais quand t'étais plus jeune ou c'était juste comme Curry Price? Honnêtement, ça n'a pas mal juste été Curry Price. On est pas mal une famille des Canadiens de Montréal. Je te dirais qu'on ne regardait pas tant d'autres équipes que ça. Curry Price, c'était lui que j'avais. Dans la ligue d'hommage, je ne le voyais que lui. C'était à lui qu'il voulait ressembler. Si tu pouvais remonter dans le temps, est-ce que tu pourrais changer quelque chose dans ton parcours ou tu es fier de ce que t'as appris et le fond que t'as appris? C'est sûr que si j'avais la chance de recommencer, je te dirais que je lui aurais pris le hockey comme quelque chose de plus difficile, vraiment au sérieux, plus jeune. J'ai réalisé, j'ai commencé à m'entraîner quand j'avais 15 ans. J'étais vieux. J'étais vraiment vieux. Quand on parle qu'aujourd'hui les jeunes commencent à s'entraîner dans les orateurs de 8 ans, dans le gym et tout, moi je commençais à 15 ans. J'étais vieux. J'aurais commencé avant, je te dirais. J'aurais vraiment... Si j'avais compris à quel point le hockey c'était difficile et que c'était important de s'entraîner avant, c'est sûr à 100% que je le ferais. Une petite question rapide. Ta marque d'équipement, Bauer, CCM ou autre, c'est-tu une raison particulière de te choisir cette marque? Honnêtement, je suis toujours avec Bauer. Surtout pour les pas parce que dans le temps, j'avais essayé les anciennes CCM mais je trouvais qu'ils ne pissaient pas. Plus jamais de CCM, moi je reste avec Bauer. L'obstruction sur les gardiens de vue, c'est-tu beau ou t'es con? L'obstruction sur les gardiens de vue, qu'est-ce que t'en penses? Ceux qui se mettent dans la cuisse et qui s'empêchent de gauler, honnêtement, c'est les pires. En tant qu'arbitre, en tant que gardien, dès que t'en vois, t'es comme « Non, ça passe pas. » Un moment donné, si t'empêches le gardien de faire sa job, c'est un peu comme tricher. Faut qu'il soit capable de marquer. Le gardien est 100% dans ses fonctions. C'est comme si tu demandais à un joueur « Ok, t'es gaucher, mais tu vas jouer pour se marquer avec un droitier. » C'est quelque chose qui marche comme pour... L'obstruction sur les gardiens, c'est... Non, non, non, c'est pas ça. Toi, es-tu plus le type de gardien qui va rester quand il y a un attroupement de joueurs après le coup de sifflet? Tu vas plus rester dans ton but ou tu vas aller voir ce qui se passe? Je me mêle pas trop de ce qui se passe en avant du but. Une fois que j'ai fait l'arrêt, je garde la rondelle avec moi, je m'en vais dans le coin, j'attends que la belle vienne me chercher la rondelle. J'ai rencontré ça, ça sert à rien de prendre des puits de chasse, ça sert à rien de rester dans le troupeau et donner du fil à retordre aux arbêtres. Moi, je me sors de là, je reste focus dans mon match. Tu as été repêché, si je ne me trompe pas, l'année passée. Comment as-tu vécu ton repêchage? Honnêtement, moi, je ne m'y attendais pas. En mai dernier, je ne m'y attendais pas. Ce n'était pas prévu du tout. Mon agent m'avait dit que je n'avais pas été un psychographe, que je n'avais pas parlé avec aucune équipe. Je revenais d'un moment à l'autre, c'est quand j'ai pris mon téléphone et j'ai vu que j'avais une trentaine de notifications sur moi, une dizaine de faits marqués. Il y a quelque chose qui est en train de se passer. Quand j'ai vu le message de mon agent que j'avais été repêché, je me suis dit que j'étais vraiment content. Dans ce temps-là, je ne savais pas encore où je m'en allais dans le hockey. L'été s'en vient, je n'ai toujours pas d'équipe, je n'ai toujours rien. Je commençais à me stresser quand j'ai été repêché. C'est un gros pouce sur mes épaules Effectivement. Si tu avais une personne à choisir qui t'a le plus aidé dans ta carrière, ce serait qui? Une personne qui m'a le plus aidé? Honnêtement, il n'y a pas une personne en particulier qui m'a le plus aidé. Mon père a toujours été là financièrement pour que je puisse m'aider, pour que je puisse me développer. Je ne pourrais jamais, je ne pourrais jamais, mais une personne vraiment morale qui a toujours été là et qui était à fond à trois en moi, je te dirais qu'il n'y en a pas. Depuis que je suis né, il n'y a pas personne qui m'a déplacé longtemps pour vraiment m'avoir aidé au total. Ça a été quelque chose d'assez difficile. J'ai toujours été quelqu'un de solitaire un peu plus. Je n'ai jamais eu de succès avec les gens. Je me débrouillais vraiment par moi-même et tout ce que j'ai fait, ça a été par moi-même. Essayer de dénicher des affaires, trouver comment... Il n'y a pas une personne en particulier que je pourrais dire, « OK, vraiment, lui, il a clairement été là 100 % de ma carrière. » C'est quoi ton plan pour le futur? Mettons, après le junior, tu vives sous le senior. Honnêtement, moi, je n'ai pas tant de plans. Je me dis, joue au hockey, amuse-toi et vois ce qu'il arrive. Je sais ce que je veux faire dans mon métier. Si le hockey, ça ne marche pas, je m'en vais voir mes plans d'études. Merci, monseigneur, merci. Si jamais, j'ai l'occasion de pouvoir continuer dans le hockey, aller jouer au junior, je regarderai. C'est quoi? Qu'est-ce qui s'offre à moi? Je n'appelle pas, mais je ne me mets pas de pression en me disant, « OK, oui, je vais aller jouer au senior aussi. » C'est là que je me mets plus dans l'anxiété des performances et que je commence à presser un peu plus. C'est en ce temps-là que je performe moyen. Amuse-toi, fais ce que tu as à faire et tu verras ce qui arrivera dans le futur. C'est une bonne façon de penser, selon moi. Merci beaucoup, Maxime. On te souhaite une bonne chance cette année. Merci beaucoup. Et une bonne poursuite dans le top hockey du Sud. Merci beaucoup. Merci de l'invitation. Merci. À la prochaine.