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The speaker discusses the issue of media concentration and its impact on democracy. They have been actively involved in proposing laws and fighting against the influence of powerful media conglomerates. They emphasize the importance of a free and independent press in informing citizens and allowing for informed decision-making. They have initiated a parliamentary inquiry into media concentration to raise public awareness and promote debate on the topic. The speaker believes that their efforts have been successful in shedding light on the issue and mobilizing public opinion. However, they express frustration with the existing regulations, which they believe are outdated and unable to address the current landscape of media and communication. Bon, la question des concentrations dans les médias, c'est un thème politique qui me motive depuis bien longtemps. J'ai posé, je pense, deux ou trois propositions de loi sur cette question, parce que j'ai toujours considéré que le droit de la presse, l'information libre, indépendante, était concomitant à la démocratie. Je ne sais pas si c'est un mot près, mais Victor Hugo disait que le suffrage universel prend tout son sens démocratique grâce au droit de la liberté d'expression. Pourquoi ? Parce que si on te demande de voter, mais qu'il n'y a pas le choix, qu'il n'y a pas la diversité des opinions qui sont exposées, à ce moment-là, ça peut être un peu difficile. Donc en gros, c'est tout aussi important pour lui le suffrage, c'est-à-dire le vote, et la question de la liberté de la presse qui a toujours été liée en France, comme la liberté d'exprimer des opinions différentes qui permettent d'éclairer le citoyen sur les choix possibles et qui puissent, à partir de là, faire un choix éclairé. Donc moi, ça, je l'ai vraiment au fond de moi et de mon engagement, et c'est pour ça que j'ai toujours mis cette question très au-dessus de beaucoup d'autres questions dans mon engagement personnel, mais aussi comme des législateurs et des professionnels. Donc, j'ai été attentif, les premières bagarres aussi se sont menées pour moi quand Nicolas Sarkozy a essayé de me mettre main basse sur l'audiovisuel public, avec une grande loi, j'ai combattu, en tout cas, et cette question qui tournait autour de l'audiovisuel public, qui était libre, étendue, au moment un peu clé où, de façon très offensive, Bolloré a commencé à essayer de prendre, pas seulement sur la télé, la création, etc., puisqu'il avait déjà en partie sa fait avec le cinéma, mais sur une chaîne d'information, c'était E-télé. J'ai soutenu à fond cette grève, et la première audition Bolloré dans cet hémicycle s'est faite au Sénat à ce moment-là, dans telle grève. Et donc, vous pourrez regarder d'ailleurs, c'est encore sur le site du Sénat, il y a une audition de quelqu'un, de Bolloré, où je le questionne, et sur une pratique comme Afrique, et aussi concrètement sur la liquidation de la rédaction E-télé. Ce n'était pas rien, parce qu'une chaîne d'info, c'est une chaîne d'info, c'est-à-dire qu'elle est la façon dont, justement, on traite l'ensemble des questions qui permettent aux citoyens de se faire des mouvements sur l'actualité nationale, internationale. Et puis aussi, il y a une réduction de l'idéologie, et le droit d'émettre est donné par un organisme indépendant, mais qui est voulu par la société, qui est représenté de la société, qui est l'ARCOP, et c'est un bien public, cette fréquence. Et donc, elle est assujettie à une prévention, qui est une des règles, vraiment les règles du pluralisme. Et donc, à partir du moment où on sent une volonté de mammisme, en cassant l'indépendance de la rédaction, en liquidant cette rédaction, en mettant en place des gens qui vont être des bras armés, disons, du propriétaire, on rentre dans quelque chose qui est préjudiciable à l'indépendance. Ensuite, bien sûr, c'est le contraire. Et je trouvais que ça continuait, de toute façon, dans différentes directions, qui n'étaient pas seulement malhorais, mais c'était à bas bruit dans la société. C'est là qu'on revient à votre sujet plus particulier. C'est que, bien entendu, il y a les cercles militants qui sont toujours mobilisés sur le droit à l'information, etc. Je les ai reçus régulièrement. Chaque fois qu'il y a des enjeux sur l'information, ici, je suis leur écouteur. Il y a aussi des volontés de réduire les sources, de mettre en danger la protection des sources, les journalistes, le droit d'alerte, mettant le droit des affaires partout pour empêcher l'inquiétude. Donc, les combats, il y en a eu pas mal. Mais là, j'ai considéré que la première tâche pour pouvoir aborder la question, c'était de sortir du cercle restreint de ceux qui sont déjà mobilisés là-dessus, y compris au Parlement. C'est-à-dire qu'il n'y en a pas sur quelques parlementaires, toujours, tout ce qui est relaté à la communication et à l'information à la presse, mais aussi dans la société et dans le groupe socialiste. On a discuté de quels sont les sujets, puisqu'on a des niches parlementaires où on décide dans la première proposition de loi qu'on va faire passer. On en avait fait passer une avant, justement, et qui a été votée, d'ailleurs, ici, à l'Assemblée, et qui est la loi de la République sur Google. Et là, le piège des sources journalistiques, l'année d'avant. Et là, je me suis dit qu'on a le droit à ou une mission d'information ou une commission d'enquête parlementaire. Et là, j'ai proposé à ce service qu'on choisisse une commission d'enquête sur la concentration des médias, pour que ce bas bruit cesse. Alors, certains m'ont dit, oui, mais l'objet n'était pas très précis. Justement, au bout de l'heure, on vous demande de faire un truc précis, parce que la concentration d'enquête sur la concentration, ce n'est pas grand-chose, même si c'était au tribunal. On a eu du mal à aborder tous les aspects complètement différents. La fusion du XTF1, ce n'est pas la même chose que ça, ce n'est pas la même chose que les plateformes qui ont aussi une concentration verticale énorme, etc. Il faut faire quelque chose qui oblige les principaux acteurs de cette concentration à venir s'exprimer. Parce qu'ils ne le font pas. Ils ont le droit, dans les médias, à la rigueur, s'ils veulent faire des propagandes pour eux, ils vont dire trois mots, mais avoir à rendre compte en interview qu'on occupe pas la journalisme, d'ailleurs. Donc, la commission d'enquête ne permettait plus que la mission, et puisque c'est la commission d'enquête, on est obligé de venir. Et en plus, il faut éviter de mentir. J'ai dit éviter parce que je sais très bien qu'on peut s'échapper de ça par omission, etc. Mais, sachant que la commission d'enquête elle-même n'est pas une juridiction, qu'elle n'a que le moyen d'enquête réelle par ses propres moyens, voilà, une fois que quelqu'un a dit quelque chose que je sais faux, je pourrais lui dire. Si c'est des faits très concrets, etc., c'est un parjure. Si c'est quelque chose de subjectif, on va dire, c'est un peu plus compliqué. Mais, en tous les cas, l'idée était de mettre ça sur la plate-publique, qu'il y ait du débat public là-dessus qui dépasse le service public. A un moment où je savais que ça serait fort parce que... — L'opée sur Lagardère. — Il y avait plusieurs choses. Il y avait l'opée sur Lagardère, il y avait l'affaire Zemmour sur E-télé, il y avait la fusion TF1-M6, il y avait la campagne présidentielle. Et je me suis dit, bon, ben, c'est le moment parce que, déjà, 9 milliardaires qui viennent, comme on n'a jamais entendu, ça va obliger aussi les médias à en parler, ça va faire un événement. Et donc, voilà. Après, dans ma tête, je connaissais l'ennemi de la révolution. Et donc ce que je voulais, c'est ça. Ça, je vais le maîtriser. Il y aura suffisamment des causes, que ce soit sur la plate-publique, suffisamment de travail, d'auditions intéressantes pour que tout le monde puisse se faire son opinion avec tous les éléments en main. Et puis ensuite, voilà. Ensuite, il faut toujours penser que les mobilisations sont fortes quand on a réussi à éclairer les gens et qu'ils prennent conscience par ses biais de l'importance d'un sujet, de sa puissance. Bon, voilà. Et je pense que ça, c'est complètement réussi. C'est objectif. — Le fait que je vous pose ces questions-là, ça... — Je comprenais. Je comprenais. Parce que bien sûr qu'il y avait des certes qui militaient autour de Mediapart ou quelque chose comme ça. Ils l'ont... Ils l'ont... Les uns et les autres ont rarement dit ou admis. Mais en réalité, je leur ai donné de l'air comme jamais. C'est-à-dire que le vrai mouvement, et même Stop Bolloré, etc., est né à ce moment-là. Le film qui a été fait par la majorité de Mediapart, ça s'appelle « Crash ». — Oui. « Médiacrash ». — « Médiacrash ». Bon, elle m'avait interrogé avant que je commence ma commission d'enquête. Les images qu'elle avait, c'était celles de ma commission d'enquête. Elle m'avait jamais vu m'interroger derrière le coin, ni même le dire. Mais bon, quoi que ce soit, je m'en fous. Ça m'appartient pas. Et c'était pas moi pour les faire bosser. J'ai apporté cette carrière. Ce que je sais, c'est que jamais en France, on n'a parlé autant de concentration des médias grâce à la commission d'enquête. Et ça a permis justement que les mouvements secrets prennent plus d'ampleur qu'avant, que le trameau ait lieu. Je sais. Il y a même des étudiants de l'école de journalisme qui me disent qu'il va y avoir mieux cette année, c'est avec leurs profs, de suivre les auditions de la commission d'enquête et tout ça, de faire des analyses. Donc voilà, on a alimenté le travail publicitaire, le travail journalistique, la sensibilisation de l'opinion. Il y a eu 500 articles de presse et d'émissions sur le travail de la commission d'enquête. Il y a eu des répercussions internationales. Il y a été une grande presse internationale. Voilà. Donc ça, c'est le premier objectif. Ensuite, ce qui peut-être paraît plus frustrant, c'est que, comme on a tout abordé, les sujets massifs, je vous ai dit, à partir du moment où on a une loi de régulation, c'est celle des 86. Il y a des trous dans la raquette de partout puisque, entre 86 et aujourd'hui, le monde de l'audiovisuel et de la communication n'a plus rien à voir. Et qui était, de façon relativement précise, prévue ce qui permettait de limiter les concentrations, structurellement et aussi en taille. Structurellement, on peut dire qu'il y avait autorisé des concentrations horizontales en limitant deux chaînes. Et on limitait le nombre de chaînes de propriétés sur un même média. En l'amendant d'année en année, c'était arrivé à 7 chaînes. C'est pour ça que, d'ailleurs, la société a permis de se donner un total de 10. Depuis, les concentrations sont verticales, c'est-à-dire que vous avez des choses qui n'ont jamais été imaginées avant. Tu peux être propriétaire du tuyau qui véhicule, c'est-à-dire que les producteurs d'accès qui véhiculent les choses. Vous pouvez avoir l'édition, c'est-à-dire la chaîne qui va être diffusée, mais aussi la production du contenu qui va être diffusée et tout ça dans les moindres temps. Donc c'est la verticalité totale du début à la fin de la chaîne qui arrive chez l'auditeur spectateur, vous avez le même propriétaire. Et là, il n'y a rien dans la loi. Alors que c'est, de plus en plus, non seulement ces modèles des plateformes qui, même si elles avaient commencé comme étant seulement quasiment des fournisseurs d'accès, se sont mis à faire du contenu, se sont mis à faire leur propre télé et devenir éditeurs, etc. Mais vous avez aussi en France les fournisseurs d'accès qui se sont mis à être propriétaires de télé et à avoir aussi l'ensemble de la chaîne de fabrication. Et ensuite, vous aviez le facteur TFM6 qui était important. En ce moment, tout le monde disait c'est fait. Quand je fais la commission, on était en queue de comètes, c'est fait. Parce que toutes les fenêtres étaient allumées, notamment celui de la France, celui de... Et finalement, c'est l'autorité de la conférence qui a mis le vent dans la machine, le petit caillou dans la machine. Mais c'était là de faire sur un média, certes, bien qu'il y ait un bruit, oui, c'est la téléphonie et les fournisseurs d'accès, mais c'était dans le domaine de la télévision avoir un géant qui écrasait tout. Et qui allait donc être celui qui allait fixer les prix de tout, et de la pub, et de la création, et de la production, et avec une potentialité de surface au moment du venteur qui écrasait le match avec tout le monde et donc qui donnait ce pouvoir de formation. Mais ça ne voulait pas dire... Vous voyez, les Bolloré, on sait que c'était agressif, biologiquement, là ça ne l'est pas, mais ça reste en soi un sujet, parce que si c'est quelqu'un qui est à la tête de ça, alors là, l'empire. Et je me souviens déjà, à ce moment-là, beaucoup me disaient, la commission Bolloré. Non, non, non, c'est la concentration, c'est tout ça. Mais c'est vrai que ce qui a tiré le plus d'attention, c'était l'offensive de Bolloré, parce que c'était essentiellement à ce moment-là alimenté par la polémique autour de Zemmour, qui avait donc pignon sur rue dans ses news, mais qui en plus, à partir de là, il signait une candidature à la présidentielle. Et en plus, les condamnations sur les propos racistes, etc., tout ça faisait que là, il y avait un objet qui venait presque symboliser le danger de la concentration. Et donc voilà, vous savez très bien que moi, je voulais éclairer sur la problématique à l'ensemble, avec la complexité de la société, y compris les concentrations dans le monde, les comparatifs, mais que si l'attente était politique sur un sujet qui fait de l'actualité, c'était Bolloré. Donc ce que nous allons essayer, c'est de concentrer sur Bolloré. Et donc, bien entendu, l'audition de Bolloré était la plus attendue. Ici, les dernières rameaux, les années 2000, etc., ça pesait aussi du jour au jour. Et est venu ce breffet, à ce moment-là, une actualité de nouvelles brûlantes de Bolloré, qui était l'offensive sur Hachette, qui touchait la presse, mais très vite, ça m'a ouvert un nouveau chapitre que je n'avais pas prévu au début, que j'ai impéré à la commission d'enquête, qui était le monde de l'édition. Parce que là aussi, quand on a les médias audiovisuels, la presse est créée, mais qu'on peut avoir la production intellectuelle du pays entre ses mains, et on le voit de façon, on le sait maintenant, qui est offensive, c'est-à-dire que c'est pas seulement pour faire du pognon avec une nouvelle affaire, mais avec un regard sur les contenus de ce qui est édité. Et à ce moment-là, on est dans un système très, très lourd, puisque j'ai essayé de le faire, si vous avez vu, d'ouvrir le contenu de Bolloré par la lecture de toutes ses propriétés. Oui, c'est extrêmement long, c'est au moins dix minutes quasiment. C'est l'idée. D'ailleurs, c'est ce qui a été le plus remarqué, parce qu'on a touché des tractions, des synonymes, des accélérations. C'est le début de l'Histoire, je crois. Parce que les gens qui connaissent le sujet m'ont dit que j'ai été saisi par l'ampleur. C'était d'un grand ampleur. Je disais, donc, par rapport à notre propre société, où nos actions sont situées dans la volonté de mettre sur la terre quelque chose, et donc d'alimenter les contestations, et aussi de trouver la prise de conscience du grand public, parce qu'on a toujours dit qu'il y avait de l'argent. Je me suis trouvé des solutions et des liens. Encore deux choses. C'est assez dur, parce que sur le plan de l'administratif, on peut... Bon, je fais des propositions, il y en a des moindres, qui permettent d'alimenter les choses, notamment. Le particulier sur le plan de l'administratif, il est... C'est comme ça qu'il y a les objectifs. Donc, il faut protéger la production et la diffusion de contenus, d'informatique, des objectifs. Comment créer une espèce d'étanchéité entre l'actionnariat et l'activité d'information et de prêt. Mais en même temps, on sait très bien que forcément, si un actionnaire est propriétaire dans le thème des trucs, il doit avoir son moyen. Bon. Et donc, on peut mettre des barrières, mais il y aura quand même une certaine autocensure de fait, parce que le patron est derrière et qu'il n'a pas besoin de dire « je veux ci, je veux ça », pour qu'on sache que c'est lui qui nourrit la lamette et que c'est compliqué de s'en écarter. Donc, il reste le chantier de comment on fait comme en 86, c'est-à-dire sur quelle base, aux limites, les possibilités de concentration. Et en seuil de propriété, de capital et d'audience. Comment ? Moi, je meurs d'un sujet auquel je m'entends. C'est que la loi, au fond, n'est pas rétrograde. C'est-à-dire que la loi ne dit pas qu'il y a une cause, et si on met la loi ou quelque chose, c'est la mort. Donc, je ne veux pas d'effet de guerre en l'air qui soit parce qu'on met des lois qui limitent. Ça ne va pas toucher ce qu'on s'entend, puisque ce n'est pas référentiel. Ça va empêcher les nouveaux entrants, donc d'avoir même les capacités qu'on les a pour les concentrations. Ça va encore plus installer le fait qu'il y aura des armes légales et que ceux qui sont les plus gros, qui sont en place, qui auraient pu être faits là. Là, il y avait un moment où il y avait pas mal de reproductions. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 30, 31, 32, 33, 34, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 40, 41, 42, 42, 43, 43, 44, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 60, 61, 62, 63, 62, 63, 62, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 63, 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