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Bonjour à toutes et à tous, voici les dernières nouvelles collectées par Inna Verlinskaya sur Belgahai. Au 4 octobre, le nombre de personnes déplacées de force du Haut-Karabakh vers l'Arménie s'élevait à 100 632. Le président azerbaïdjanais Ilhan Maliev a refusé la réunion à 5 prévu le 5 octobre à Grenade avec la participation du premier ministre arménien Nicolas Pashinyan, du président du conseil de l'Union Européenne Charles Michel, du président français Emmanuel Macron et du chancelier allemand Olaf Scholz. La raison en est que l'Allemagne et la France ont rejeté l'offre de l'Azerbaïdjan visant à ce que le président turc participe à la réunion. Le premier ministre Nicolas Pashinyan a regretté que la rencontre prévue avec le président azerbaïdjanais Ilhan Maliev n'ait pas lieu à Grenade, soulignant qu'il y avait là une opportunité de signer un document historique. Ouvrez les guillemets, je suis prêt à signer ce contrat et je suis vraiment désolée de ne pas avoir l'occasion d'annoncer que cette décision très importante a été prise. Accompli Pashinyan. Le premier ministre Nicolas Pashinyan considère qu'il est important de poursuivre le processus de paix avec l'Azerbaïdjan, soulignant qu'il doit se poursuivre sur la base de trois principes clés qui ont été enregistrés lors de la réunion tenue à Bruxelles le 15 juillet 2023. Premièrement, l'Arménie et l'Azerbaïdjan reconnaissent mutuellement leur intégrité territoriale. Deuxièmement, la déclaration d'Almaty devrait devenir une base politique pour la délimitation des frontières et plus tard pour la démarcation. Troisièmement, l'ouverture des communications dans la région se fera sur la base du principe de souveraineté, de juridiction, de législation, d'égalité et de réciprocité des pays. Ouvrez les guillemets, le jour où l'Azerbaïdjan déclarera réaffirmer sa fidélité aux trois principes que j'ai mentionnés, nous pourrons considérer que la paix sera réalisée dans la pratique. Fermez les guillemets. A souligner Pashinyan. Le premier ministre a également déclaré que ces principes étaient également inclus dans l'accord qu'il allait signer à Grenade. Le premier ministre de la République d'Arménie, Nicole Pashinyan, assure qu'il ne s'accroche pas au fauteuil, qu'il est prêt à démissionner si sa démission permet de résoudre tous les défis. Mais il est sûr que s'il le fait, c'est le contraire qui se produira. Maria Zakharova, représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, a déclaré que les récents événements au Haut-Karabakh montraient que l'Union européenne avait trahi l'Arménie et que les observateurs européens avaient trahi les Arméniens, devenant ainsi des témoins silencieux de l'évolution de la situation. Zakharova a également déclaré que personne n'a demandé à la Fédération de Russie de l'aider à libérer les anciens dirigeants de la République d'Akhtar, arrêtés par les Azerbaïdjanais, et à les transférer en Arménie. Le 17 septembre, quelques jours avant l'agression de l'Azerbaïdjan contre l'Akhtar, de hauts responsables des États-Unis, de l'Union européenne et de la Russie ont tenu une réunion secrète en Turquie pour discuter du règlement de la situation au Haut-Karabakh. Le journal Politico en a parlé en faisant référence à sa propre source diplomatique de haut rang. La réunion s'est tenue dans le cadre des efforts visant à faire pression sur l'Azerbaïdjan pour qu'il mette fin au blocus de l'encasse qui dure depuis neuf mois. Alei Kharitounian, l'ancien président de la République d'Akhtar, illégalement arrêté et transféré à Bakou, a été interrogé. La République d'Arménie condamne fermement les arrestations des dirigeants du Haut-Karabakh par l'Azerbaïdjan. C'est ce qu'indique le communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères de la République d'Arménie. La République d'Arménie prendra toutes les mesures possibles pour protéger les droits des représentants du Haut-Karabakh illégalement arrêtés, y compris devant les tribunaux internationaux. Le ministre des Affaires étrangères de la République d'Arménie, Adelat Nijzoian, considère que la réponse de l'ONU aux événements du Haut-Karabakh est trop tardive et insuffisante, mais l'ONU a assuré qu'il y aurait une déclaration. Valérie Boyer, membre du Sénat français et vice-présidente du groupe d'amitié France-Arménie, a qualifié de « mascarade » la visite des représentants de l'ONU au Haut-Karabakh. Ouvrez les guillemets, avez-vous une liste des pays choisis par l'Azerbaïdjan pour participer à la mission ? Il n'y a plus personne au Haut-Karabakh, a déclaré Boyer. Des représentants de la Turquie, du Pakistan, de l'Albanie, de la Hongrie et de la Russie ont été inclus dans la mission de l'ONU. Elle a annoncé que la France devrait rappeler son ambassadeur d'Azerbaïdjan et imposer des sanctions contre le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev. Selon Nathalie Loiseau, députée française au Parlement européen, l'Union européenne a échoué dans sa politique de médiateur et après tout ce qui s'est passé au Haut-Karabakh ces derniers jours, elle doit agir sans tarder. Mme Patel, premier porte-parole adjoint du département d'état américain, a déclaré que les Etats-Unis voyaient la nécessité d'envoyer une mission d'observation à long terme au Haut-Karabakh. L'Union européenne pourrait revoir ses relations avec l'Azerbaïdjan, y compris les financières, et imposer des sanctions individuelles si la situation s'aggrave après que Bakou impose un contrôle militaire sur le Haut-Karabakh. C'est ce que rapporte Reuters, faisant référence aux documents du service diplomatique de l'Union européenne qui est entré en sa possession. L'ancienne défenseuse des droits humains de la République d'Arménie, Christine Grégorian, a été nommée chef du service de renseignement extérieur de la République d'Arménie. Le chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohamed Hossein Bagheri, a annoncé que l'Iran était prêt à envoyer des observateurs à la frontière entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. La Belgique a envoyé un groupe de spécialistes spécialisés dans le traitement des brûlures graves en Arménie pour transporter les victimes de l'explosion de l'entrepôt d'essence près de Stéphanaké vers la Belgique, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Adja Labide. La Lituanie envoie 350 000 euros d'aide humanitaire à l'Arménie pour aider à l'installation des personnes déplacées de force du Haut-Karabakh. A l'heure actuelle, la centrale nucléaire arménienne dispose d'un permis d'exploitation jusqu'en 2026 et d'une certaine direction jusqu'en 2031. Un certain nombre de travaux seront réalisés pour la prolonger. Le ministre de l'administration territoriale et des infrastructures de la République d'Arménie, l'a déclaré en faisant référence à la demande de la Turquie et à l'AIEA de fermer la centrale nucléaire de Metsamor. Selon lui, il ne reste presque rien d'ancien dans la centrale nucléaire. Pour les guillemets, je pense que l'AIEA présentera une réponse appropriée, a déclaré le Sanhossian. C'est tout pour aujourd'hui, nous continuons à suivre de près l'évolution de la situation donc restez avec nous sur Belgarhaï. Merci d'avoir lu nos sous-titres !