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Meta 4 - 008 Part 2 Էդուարդ Ակիլյան - Edouard Akillian - IT Գործարար -

Meta 4 - 008 Part 2 Էդուարդ Ակիլյան - Edouard Akillian - IT Գործարար -

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AI Mastering

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Edouard Aquilian discusses the advancements in technology, particularly with the use of artificial intelligence. He talks about the benefits of using AI to generate code and provide solutions in various fields. He also mentions the potential risks of deepfake technology and the importance of critical thinking in a world where misinformation can easily be spread. Aquilian believes that while AI may replace certain jobs, it can also encourage people to engage in deeper philosophical thinking and expand their knowledge. Bonjour et bienvenue sur METAPHOR PODCAST. Comme vous le savez, vous pouvez nous suivre sur notre chaîne YouTube, mais également sur la radio Belgaï. Notre invité d'aujourd'hui sera Edouard Aquilian qui est informaticien et entrepreneur. Avec M. Aquilian, on va aborder le thème des technologies actuelles et futures, on va parler de l'éducation, de la bourse et de l'argent au sens large. C'est parti ! Ceci est la deuxième partie de l'émission avec Edouard Aquilian. Donc, ça c'était 7GPT3 et effectivement, j'ai testé un moment le 4 et là, j'ai fait que ce n'est pas un peu meilleur, ce n'est pas deux fois meilleur, c'est mille fois meilleur. Et ça, c'est incroyable. Ça vaut les 20 euros par mois. Écoute, ça vaut les 20 euros par mois. Et aujourd'hui, je vais te dire que je m'en sers couramment. Mais pour des questions très pointues, très pointues, par exemple, dans un truc de développement ou dans une plateforme ou dans un jeu d'info, je n'ai pas envie de chercher sur Google. Mais ça, la 3.5 ne fait pas. Je ne sais pas, mais vu que je suis sur la 4 maintenant, je vais essayer la 3.5. Tu vois, si ça m'arrive de donner des codes, par exemple en Python, je ne connais pas des masses, mais parfois je développe des trucs avec Python, surtout en analyse des données. Et ça arrive qu'il génère un truc qui ne marche pas. Et alors je tape ça dans ma machine. Je dis voilà, j'obtiens ça comme un message d'erreur. Et puis après, il s'excuse et il refait ça aussi. Et j'ai ça deux, trois fois. Mais après, ça marche. Généralement, ça arrive que ça ne marche jamais. Mais bon, ça peut être un problème conceptuel aussi. Conceptuellement, ce n'est pas bien conçu, mais généralement, ça fonctionne. Et ça, tu as JPT 4. Franchement, je sais. Alors, je suis passé en fait, parce qu'à l'époque, tu pourrais le 3 gratuit et le 4 était payant. Donc voilà, je suis rentré avec le 4 et puis j'ai continué avec. Alors, comme je t'ai dit, j'ai voulu l'interfacer aussi, parce qu'effectivement, il y a plein de choses que tu pourrais imaginer. A partir du moment où tu laisses tomber l'interface que tu utilises, mais que tu crées une application, que tu utilises le module JPT pour générer des choses, fabriquer des choses et tout ça. Effectivement, il y a pas mal de choses qui peuvent être bien là dedans. Il y a quelqu'un que je n'aime pas tellement, qui s'appelle Philippe Alexandre. Je ne sais pas si tu connais, qui est un Français qui a créé Doctissimo, qu'on voit beaucoup sur les ondes radio en France. Doctissimo, ce n'est pas un site. Si j'ai mal, tiens, j'ai un truc qui me gratte. Mais bon, je crois qu'il a revendu ça. Enfin, tout va bien pour lui, merci. Et il prend maintenant souvent la parole en tant que S sommité des technologies. Et voilà, il y a certaines de ses idées que je ne partage vraiment pas. Mais par contre, je trouve qu'il y a un moment quand il parle des intelligences artificielles du langage, il a quelques bonnes idées et d'ailleurs, il m'a donné une idée quelque part. Je n'ai pas encore creusé dedans parce que je suis sur d'autres choses, mais qui peuvent être géniales. C'est par exemple, tu prends un livre, tu lis le livre. Très bien. Mais ce qui pourrait être marrant, c'est de nourrir quelque part l'intelligence artificielle avec ce livre et de pouvoir converser avec les personnages du livre. Impressionnant. Et Sky est de l'hymne, donc ça m'est déjà arrivé, par exemple, de de lui poser comme question à Tiens, mais dans tel livre, on abordait tel sujet, il y a un truc qui m'échappait. J'avais oublié et je lui pose la question et là, il répond avec vraiment en situant le contexte, etc. Donc il te fait en sorte que tu te souviens vraiment de ce que tu avais lu. Il peut se planter aussi. Il peut y avoir des confiances, mais c'est ça. Mais de nouveau, alors faire confiance, faire confiance, mais moi, je n'avais pas le choix. Je ne me souvenais pas. Alors, alors il y a un truc, alors ces technologies, on va partir maintenant vers des choses un peu plus drôles. Ce qu'il y a d'incroyable, c'est les types. Les types, pour ceux qui ne savent pas, on met le visage de quelqu'un connu sur sur un acteur qu'ils font, on le fait faire des trucs. En gros, tu fais n'importe quelle vidéo avec n'importe quel personnage. Tu leur fais dire n'importe quoi avec leur voix. Ouais. Et c'était pas fait avec Brad Pitt qui parlait qui parlait au micro des Nations Unies. Je ne crois pas que j'ai vu, mais tu as même des applis très simples. Maintenant, tu vas et tu mets ton visage sur certaines scènes de films cultes. Et alors on parle de la confiance. Aujourd'hui, tu as on a été habitué, si tu veux, tu disais il y a 30 ans, t'as jeté le soir la Libre Belgique, c'était l'information, c'était l'Aztec analysé, c'était réfléchi. Et on arrive dans un monde où effectivement, tout ce qu'on a fait, ce qu'on appelle le mainstream media, il te dit la même chose. Mais il te dit la même chose aux Etats-Unis, il te dit la même chose en Europe, il te dit voilà. Donc, fais moi confiance. Grâce au Deepfake, grâce à cette possibilité de te montrer des choses qui n'existent pas. Je suis à deux solutions. Ou tu deviens fou. Ou tu commences à réfléchir sur ce qu'on te montre. Parce qu'aujourd'hui, les gens, je pense, ne réfléchissent, tu prends l'info, mais t'as pas le temps en plus. Tu prends, tu regardes, tu ouvres une chaîne d'informations, tu vois un truc. OK, c'est bon, c'est ça. Aujourd'hui, quand tu sais que tu as le Deepfake, peu de gens, ça devient les gens qui commencent à savoir ce que c'est. Mais quand ça va vraiment être utilisé. Tu vas vraiment devoir, toi même, comprendre si ce qu'on te montre est réel ou pas. Ça devient limité à possible. Mais écoute, je ne sais pas si c'est. Qu'est ce qui est mieux? Croire tout ce que tu vois? Ou réfléchir à ce que tu vois pour réellement penser où est la réalité? Qu'est ce que tu préfères? C'est plus fatigant, la deuxième solution est plus fatigante. Mais tu n'as pas le temps de tout, sauf si c'est des sujets qui t'intéressent vraiment. Mais si comme ça, tu as envie de voir ce qui s'est passé dans le monde pendant la semaine qui vient de passer, tu n'as pas t'amuser à aller analyser derrière chaque sujet que tu vois. Pourquoi? J'avais entendu parler d'un site, je pense qu'il s'appelle Grand News, où tu peux. En fait, ils prennent des dépêches un peu partout dans les agences, agences France Presse, Reuters, etc. Donc, ils analysent, mais ça, c'est ils analysent le côté billet politique, par exemple, si c'est un média de droite, un média de gauche. Comment est ce qu'ils abordent tel sujet par rapport à un média de droite par rapport à un média de gauche? Qu'est ce qu'ils mettent comme headline, etc. Pour accrocher, etc. Et qui appartient à cette plateforme? J'ai aucune idée. C'est la première information à savoir. Tu vois ce que je veux dire? Oui, si toi, tu fais une plateforme de main, on sait ce que tu aimes, on sait quels sont tes goûts, on sait quels sont tes billets, enfin, oui, ou ce que tu penses, tes avis sur les choses. Alors, soit tu es. Tu es très démocrate, tu vas accepter que des gens viennent et écrivent dans ton journal des idées complètement opposées aux tiennes. Mais je ne sais pas si aujourd'hui, c'est la tendance actuelle. Ça, c'est un truc par rapport au deep fake et par rapport à Tchad GPT. Le deuxième truc avec Tchad GPT, ce qu'on te dit quand je dis Tchad GPT, c'est le plus connu, mais parler de plein d'outils intelligents, c'est que. On va mettre beaucoup de gens au chômage. On va saquer. Il y a des métiers qui n'existeront plus. Par exemple, le métier, peut être que l'expert comptable restera un métier, mais un comptable, tu pourras t'en passer comme ça. Donc, oui, il y a des gens, des rédacteurs qui écrivent des articles. Effectivement, tu vas dans le Tchad GPT, tu demandes, tu as un petit blog. Voilà, les community managers qui écrivent des trucs, ces gens là, ils vont sortir deux articles par jour. Tchad GPT, tu vas lui demander de t'en sortir dix. Ensuite, tu vas les prendre, tu vas les passer dans une autre moulinette qui va les dé-Tchad GPTiser et qui va permettre, parce que mon avis, si Google remarque que c'est du Tchad GPT que tu publies, tu vas descendre très, très fort. Déjà, dans pas mal de sites, ils mettent ce disclaimer pour dire que si jamais c'est un texte généré par une intelligence artificielle, on va vraiment te recaler. Voilà, mais tu as des outils maintenant qui paraphrasent en fait ce qu'est un Tchad GPT, ce qui veut dire que c'est plus reconnu comme sortant de Tchad GPT. Mais donc, quand les gens voient effectivement ou entendent qu'un Tchad GPT va effectivement te mettre beaucoup de gens sur le carreau. Les gens pensent à quoi? Les gens pensent à l'argent. Oui, c'est normal, t'as une famille, t'as un prix hypothécaire. Qu'est ce qui se passe si demain tu dis non, désolé, tu sais, en fait, vous étiez cinq à faire ce que vous faites. On va en garder un qui va utiliser une intelligence artificielle pour générer le foot des cinq. Alors, effectivement, tu vas avoir un. Ça va être difficile pour beaucoup de gens, mais d'un autre côté. Je pense que peut être les gens pourront. Revenir à certaines choses qu'on a connues par le passé. Qui sont effectivement, c'est soit relire un grand, un grand pont en philosophie, mais peut être relire des ouvrages philosophiques du passé quant à ce que c'est que la vie, que c'est la vie sur Terre. Qu'est ce qu'on fait ici? Qu'est ce que voilà? Ou alors peut être créer une nouvelle philosophie. Et je pense que là, ça peut rendre effectivement l'être humain plus intelligent. Plus intelligent. Qu'est ce que tu entends par relire des ouvrages philosophiques? Écoute, prend les gens aujourd'hui. Dans la société, parle avec eux, parle de leur vie, parle de ce qu'ils font, parle de ce qui les intéresse. Je crois que les choses, ce sont les domaines d'intérêt. Ce sont souvent, ce sont réduits, réduits, réduits, rétrécis à travers le temps. Eh bien, peut être que là, ça va forcer les gens à réouvrir un peu le scope de leurs intérêts. Ça ne va pas leur permettre de payer leur. Leur crédit, ça va immédiatement. Non, effectivement, ça va changer. Il faudra que beaucoup de choses changent. Tu rentres dans un nouveau monde. Si vraiment, si vraiment, ces technologies permettent de, je veux dire, de faciliter et faciliter les choses. Écoute, il y a 100 ans, les gens travaillaient à 80 heures dans les mines chaque jour. Puis la guerre mondiale, puis les mouvements sociaux, puis c'est passé de 80 à 40. Et en fait, depuis la Deuxième Guerre mondiale jusqu'aujourd'hui, on est passé de 40 à 38. Alors que tu as eu, tu as des techniques, l'informatique n'existait pas. Donc, en fait, si on devait lier le temps de travail aux technologies, si on est passé de 1900 sur 50 ans, on est passé de 80 heures à 50 ou à 40 heures. Mais là, entre 1960 et aujourd'hui, on devrait être à 5 heures par jour. Je ne sais pas si c'est utopique, mais c'est qu'il y a quelque chose qui n'est pas bien huilé et qui aurait dû. Voilà, je pense que ça va ouvrir de très, très, très grands débats, très grands débats de la société. Je pense qu'on va quand même toujours revenir vers la même chose qui est le fait la l'innovation que les gens sont prêts à. Pour moi dire. A développer. Personnellement, parce que s'il n'y a pas d'innovation, on va penser que pour les 50 prochaines années, on peut continuer à faire comme on a fait et qu'avec toutes les nouvelles technologies qui apparaissent chaque jour, rien ne va changer. Alors qu'on sait que ce n'est pas vrai, mais si on n'a pas un regard différent sur le concept d'innovation, je pense que ça ne va pas nous aider. Qu'est ce qui fait, par exemple, que quand tu regardes les dans les 100 plus grandes entreprises mondiales, la plupart sont américaines. Il y a certains Européens qui apparaissent après après la 20e place, peut être des chinois, des japonais. Qu'est ce qui fait que l'innovation vient à chaque fois des Etats-Unis, on va dire. Alors il y a un truc. Je tiens à préciser d'abord que j'avais un drapeau américain dans ma chambre jusqu'à mes 15 ans, donc vraiment, voilà, il y a l'image que t'envoie les Etats-Unis et la première fois que j'étais aux Etats-Unis, je crois que je devais avoir 20 ans en Californie, à Los Angeles et je n'ai pas du tout trouvé ce que je m'attendais à trouver. J'ai fait un procès à l'Office du tourisme californien parce que ce n'est pas du tout. Il y a vraiment un choc de culture, une différence de culture américaine. Et c'est européenne. Mais pourtant, voilà, on boit du Coca-Cola. Non, mais j'aime bien ça, je suis très content, je suis très content qu'effectivement, après la Seconde Guerre mondiale, je préfère que tu n'aies pas allé voir les universités, par exemple, aux Etats-Unis, si elles sont magnifiques, j'ai été voir le campus de l'une ou l'autre université. Moi, déjà, à l'ULB, j'ai profité vraiment des infrastructures, mais là, je crois que je serai encore fait moins. C'est un autre système aussi, c'est un autre système. Alors, je pense, par exemple, qu'on parle des Etats-Unis, je pense quelqu'un qui termine, en tout cas à mon époque, quelqu'un qui terminait, qui avait sa réto ici en Belgique. Tu prenais une réto maths, par exemple, mais deux fois plus compétent qu'un Américain qui terminait à 18 ans son cycle d'études aussi. Par contre, par la suite, effectivement, c'est après que ça se passe. Je veux un bête exemple ici, tu devais dessiner une fonction, tu calculais ses dérivés premières, secondaires et ainsi de suite, et puis tu dessines la fonction. Aux Etats-Unis, tu faisais OK, si X égale ça, je calcule Y, tu mets un point. X égale 2, je calcule, et puis c'est un peu idiot, mais c'est un peu le truc américain. Mais je pense que ça a beaucoup changé. Je pense que l'innovation américaine, c'est un vaste sujet, c'est un vaste sujet. Regarde l'argent qui dépense dans l'innovation. Regarde nous ce qu'on dépense dans l'innovation. Ici, rien du tout. Mais non, il y a d'autres pays parce que je pense que c'est culturel aussi. On dit, on répète ça souvent que c'est quoi un Américain? Quelqu'un qui se présente devant des investisseurs, des banques, etc., qui vend son idée. Et en Europe, si pas auparavant, il n'a encore jamais échoué. On va peut être le droit à l'erreur aux Etats-Unis, alors qu'aux Etats-Unis, il a planté trois fois. Il a bien compris maintenant. Je crois que c'est un peu caricatural. Mais bon, n'oublie pas de toute façon, les Américains, c'est quoi? C'est des Européens qui ont 200 ans. Si tu comptes pas les Amérindiens et je pensais que tu allais dire que des Européens en surpoids, je te laisse la responsabilité de ce que tu dis. Mais non, c'est vrai. D'ailleurs, tu sais que la langue. Je ne sais pas, je crois qu'il n'y a pas de langue officielle aux Etats-Unis. C'est vrai, il n'y en a pas. Et la langue des institutions a été votée il y a plus. C'était pas si longtemps que ça, genre 30, 40, 50 ans. Et que l'anglais est passé et à une voix près, c'était l'allemand. Les institutions et les institutions, alors qu'il n'y en a pas beaucoup des germanophones, c'était pas 50 ans, mais peut être il y a 80 ans. C'est qui les Américains? C'est des Allemands, des Irlandais, des Anglais, des Français, des Français qui ont immigré. Et donc, tu as toutes les langues qu'il y a au Texas. Par exemple, tu peux demander à avoir tes papiers en espagnol. C'est encore possible. Oui, mais c'est drôle. Aujourd'hui, il n'y a pas de langue officielle. En Floride, tu te promènes, tu te montes ta route, tu as des gens, ils te parlent espagnol, ils ne te parlent pas anglais. Il y a beaucoup de Cubains. Oui, mais c'est amusant. Donc voilà, mais les Etats-Unis, il y a un truc. Il y a un truc qui est pipé. Il y a un truc qui est pipé avec les Américains. Et je vais te dire c'est quoi? C'est. Alors, on s'éloigne de l'innovation. C'est plus à ce moment là, un business. Vas-y lire. Oui et non. Est ce que je vais te poser une question? Est ce que Uber, c'est de la technologie ou est ce que c'est du commercial? Pour moi, c'est les deux. Il n'y a rien de technologique dans Uber. L'application Uber en soi, tu commandes ton taxi. C'est un truc que tu me demandes. Ça ne coûte pas cher. C'est pas des. Il n'y a pas d'indice d'énormes bases de données qui sont derrière où il traite le profil de client, etc. Et puis, ils vont venir avec des offres qui sont vraiment adaptées. Alors, je ne connais pas ce point géographiquement et d'autres. Alors, je ne connais pas ce point là, mais je te dis donc, tu as quoi? Tu as ton appui? Tu dis je veux aller de là à là. On te propose un prix. Tu dis j'accepte. Tu vois la petite voiture qui arrive devant chez toi. Tu descends, elle t'amène où tu veux. Tu dis merci, au revoir. Tu t'en vas, c'est débité de ta carte de crédit. Ça, au niveau fonctionnel, c'est pas roquette science. Maintenant, là où il joue et là où la concurrence, une concurrence qui est inégale, une concurrence qui est déloyale, c'est que toi, tu aurais décidé de faire Uber en Belgique. Donc, tu faisais ton implication. Voilà n'importe qui avec sa voiture à pouvoir s'inscrire, aller amener des gens de gauche à droite. Mais je te prie de croire que dans la semaine qui suit ton lancement, tu avais la police qui était dans ton datacenter, qui éteignait tes serveurs et qui mettait des chaînes autour. Mais aussi vite que ça, ce qu'ils ont essayé de faire à Uber aussi. Oui, mais ils n'ont pas fait d'abord. Ça n'a pas dû être cette année de semaine. D'abord, ils sont installés pendant combien de temps sans qu'il y ait de procès et finalement un procès. Et puis, ils sont toujours là. Je te dis que toi, tu aurais fait ça, tu aurais été en prison. Alors, qu'est ce qui se passe? Il n'y a pas longtemps, on a entendu parler des Uber Files. Je ne sais pas si tu as entendu parler de ça. Donc, je crois que tu es dans le conseil d'administration de Uber. Je crois que tu as un ex vice-président ou un truc comme ça. Si nous, je ne sais pas quoi faire. Effectivement, ces gens arrivaient. Les Uber Files, c'est quoi? C'était des échanges, par exemple. Moi, j'ai vu ce que c'était en France. C'était à l'époque où Macron était à l'économie ou en fait, Uber s'adressait un peu à Macron en lui disant écoutez, mais dans votre dans votre code, ici, il y a cette loi qui ne nous arrange pas tellement. Donc ça, il faudrait peut être la virer. Donc, et puis, celle là aussi, Macron répondait du genre oui, non, mais ça, ça ne peut pas, ça, ce n'est pas trop de problèmes. On peut éventuellement faire différemment. Mais celle là, par exemple, c'est plus compliqué. Attends, mais tu fais un business, effectivement, si tu appelles le ministre de l'économie pour te dire ben voilà, je vais m'implanter chez toi et qu'il est là et qu'il te sert le café et les petits fours, c'est plus facile. Alors, ça, c'est un petit peu malsain, ça, c'est un petit peu malsain parce que voilà qui est une scène concurrent des idées. Très bien, allons-y. Moi, je trouve par exemple anormal que si tu veux faire un taxi, par exemple, à Bruxelles ou n'importe où en Belgique, tu dois avoir des licences et les licences se vendent à 200, 300 euros, 200, 300 000 euros et plus particulièrement les licences des taxis à l'aéroport. Mais ça, c'est un syndicat qui est organisé. Mais je veux dire, si si on dit que Uber, c'est déloyal, ben non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, 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