Home Page
cover of 100 ans de parcours Arméniens -  EP06 Yannik Kalantarian.162623
100 ans de parcours Arméniens -  EP06 Yannik Kalantarian.162623

100 ans de parcours Arméniens - EP06 Yannik Kalantarian.162623

00:00-21:41

A l’approche du centenaire, Armine Hareyan et Nicolas Tavitian vont à la découverte des parcours de toutes ces personnes. Ce sont nos invités eux-mêmes qui choisissent les invités de l’émission suivante. L'invitée de cette semaine est Yannick Kalantarian.

PodcastYannik Kalantarian100 ansparcours ArméniensArméniensbelgiquebelgahayarmine hareyannicolas tavitian
10
Plays
0
Downloads
0
Shares

Transcription

Բողթյուն սիրելի ունքնդիրներ, բելկահայ ռաջորի եթերում, հայերի հարյուրամյա ուղին բելկայում ծրագրի հեռտական հաղորդումն է, և այդ հետև է առմին է հարյանը և նիկոլա տավիցյանը։ Աստված ես այդ արմենի հայուրամյանը կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կար ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող ես կարող � Եանի Կալանդարյանն է ներարված է վերաստանի վետական ժառանգության ծությակում։ Եանի Կալանդարյանը նաև բելկէ Հայաստան Արևդրային պալատի պոխնախագան է։ Benim geçmişte yaptığım her şeyden bahsediyorum. Çok gençtim. İpik konkurslarında ekipman ve profesyonel ekipmanımdım. Bu, benim kendimden kaçmak için çok genç bir fırsatı verdi. Bu yüzden, Belçika Halkı'nın İpik konferanslarında millet servisi yapmamın, benim için de bir şansım vardı. Ekipmanın bir öğretmeniydim. Bu, çok genç bir fırsatı verdi. Çalışmak, birçok şey yapmak için. Sonra, ilk otobüsümü açmaya başladım. Bu otobüsün adı Geyte'nin tiyatrosuydu. Bu otobüsün adı Rufo Seolu'nun Placu'nun adıydı. Sonrasında, publicity'e gittim. Çünkü artistlerimle tanıştım, birçok ünlü markalarımla tanıştım. Ve ilk publicity agencimi başladım. Publicity'nin çok güzel bir zamanıydı. Çok fazla ünlü markalara, çok fazla bölümlere sahip olduklarını söyledi. Ve bu, artıstlar ve show business'e verdiği her şeyden çok hızlı gelişti. Bu yüzden, 2005 yılında, Paris'teki ünlü cabaret Crazy Earth'ı satın alabildim. Sonra, Las Vegas'da, Amerika'da açılabildim. Hatta, herkesin tanıdığı Kerkoryan bir Almanya'dan dolayı, çok büyük bir mesene-donatör ve Almanya'nın destekçisi olduğundan hatırlıyorum. Ve Amerika'da tüm desteklerimi aldım. Sonra, Singapur'da açılabildim. Orada birçok Almanya'dan daha az varmış. Singapur'a dönüştürmek için, hayatımda çok fazla yolda gezdim. Çin'de 49 defa. Çin'de yaptığım şeyden biraz değişiyor. Çin'de dijital ekranlar üretiliyor. Dünya'da en büyük ürünlerden biri. Ve ben, bu ürünün Avrupa'nın partneriyim. Bu, küçük bir bölüm. Ve yaklaşık 3 yıl önce, Belediye Konsul Gürci'ni Belediye'de adlandırdım. İnanılmaz. Çok büyük bir ürün. Evet. En yeni olan şey, John Bernhardt ile. John Bernhardt, benim partnerim. Nemo 33'de, Avrupa'da en büyük bir plaj. Biz, Brussel'den yakın, Nivelle'den yakın, Ekosin'de, aynen öyle. Bu, 2 eski karyerler. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Ve bu, Nivelle'den yakın. Mais la Belgique était très connue à l'époque, Ostende, tout particulièrement, comme la reine des plages. Et la réputation d'Ostende, c'était que l'iode était très bon pour la santé. Il se fait que le frère de mon grand-père, donc mon arrière-grand-père a quitté la Georgie avec sa femme et ses 5 enfants, 5 garçons. Et le plus jeune, malheureusement, avait des problèmes de respiration. Et donc, les médecins avaient parlé de la réputation d'Ostende, de la reine des plages. Donc c'était une des raisons qui, comme tout bon Arménien, la famille c'est ce qu'il y a de plus important, a fait quitter la Georgie pour venir en Belgique. Et une autre partie de la famille, par la suite, a été s'installer à Paris. Donc la Belgique pour son climat sain et salubre. Alors, tu descends d'une famille célèbre de l'élite en Géorgie, en tout cas très connue dans le monde arménien. Est-ce que tu penses que cette ascendance te confère une responsabilité ou un destin particulier ? Moi, je pense que je suis très fier de mes origines. Quand les gens me posent cette question, oui. Descendre d'une grande famille, c'est important. Mais on est tous les mêmes, on est tous égaux. Et on a tous notre petit parcours quand on est arrivé en Belgique. Mes arrières-grands-parents, etc. Donc, pour répondre à ta question, tout le monde, on est tous égaux. Je suis fier comme tout le monde doit être fier de nos origines. Et voilà, mais ça s'arrête là. Pour poser la question autrement, qu'est-ce que tu as hérité de cette famille-là ? Je pense que j'ai surtout hérité, je pense, de certaines bonnes manières, de la générosité que mes grands-parents, mes arrières-grands-parents avaient. Et comme vous le savez peut-être, pour ceux qui me connaissent, j'essaie toujours d'être disponible pour aider les gens que j'aime bien. Oui, je confirme. Merci. Qu'est-ce qui t'a donné l'idée d'être le responsable de l'Afghanistan ? Quel est ton rôle en tant que consul honoraire de la Géorgie ? pour aider au maximum la Géorgie. Tout principalement, pour l'instant, avec Europe Alia Géorgie, qui aura lieu à partir du 4 octobre, où j'ai accepté d'être le président du comité d'honneur. Et donc, c'est d'essayer de faire mon maximum pour mettre en avant les 60 événements qui auront lieu dans ce cadre-là. Alors, tu connais les institutions communautaires, bien sûr, de la communauté arménienne de Belgique. Quelle importance, à tes yeux, est-ce que ces institutions ont, cet organisme a ? Quel rôle est-ce qu'il joue ? Je pense que ça a un rôle majeur, rien que pour me rappeler de ma jeunesse, où j'allais au Haïdoun. Il a déménagé, à mon époque, pas mal de fois. Je prenais des cours de danse arménienne, je faisais tout ça. Donc, je pense que c'est quelque chose de très important. C'est un noyau de nos origines, c'est dans notre ADN. Ça nous permet de nous rencontrer, ça permet d'échanger. J'ai aussi eu, par le passé, des fonctions dans l'Assemblée générale, dans le comité, et je suis toujours très content de pouvoir être actif avec mes petites idées, mes petits moyens, dans tout ce qui est communautaire. Donc, je trouve que c'est très très important qu'on reste liés par nos origines et qu'on fasse le maximum pour nous connecter entre nous. Je pense que j'avais déjà dit un tout petit peu comment j'étais lié. Et voilà, par le passé, je me rappelle la première chose que j'ai faite. J'avais à l'époque les budgets de tout ce qui était cinéma, donc Métro-Goldenmeyer, Paramount, Universal et Artistes Associés à l'époque. Quand il y a eu le tremblement de terre en Arménie, il y a déjà malheureusement très longtemps, j'ai organisé une grande avant-première. Je me rappellerai toujours, on avait reçu le film Rain Man. Dustin Hoffman nous a fait le plaisir à l'époque, et Tom Cruise, de dire que les droits du film, cette avant-première, allaient être reversés au profit de la communauté et de l'Arménie. Et puis, depuis ce jour-là, je pense que malheureusement, on a toujours eu des hauts et des bas. On a souvent fêté de très bons moments ensemble, et également de mauvais moments, comme les guerres, comme tous les problèmes liés à nos origines et notre communauté. Et tu as fait beaucoup de projets, surtout. Donc, si tu pourrais parler un petit peu à ces projets que tu as faits et que tu penses encore faire au futur. Oui, j'ai fait beaucoup de projets, et je pense que le plus important, c'est de continuer à en faire tant que je suis utile à la communauté. On a aussi, avec notre ami Valéry Safarian, créé il y a pas mal de temps la chambre de commerce belgo-arménienne, qui est une chambre de commerce bilatérale. Je pense que Valéry sera très bientôt invité ici, et en parlera mieux que moi. Et donc, je vais un peu me recentrer sur les choses que je fais et que je ferai encore. C'est, par exemple, la soirée de gala des Arméniens que nous avons déjà... J'avais organisé une première à l'époque au Cercle de Lorraine, puis on l'a fait à plus grande ampleur il y a plus de quatre ans, c'était au Cercle gaulois. On avait comme invité d'honneur les enfants de Charles Aznavour. Charles, que je connaissais très bien, les enfants avec qui j'ai gardé d'excellents contacts à travers la Fondation Aznavour et à titre privé. Et donc, on va bien sûr essayer de... Cette soirée avait permis de récolter de l'argent pour le comité, et nous allons refaire encore cette année, mais bon, la date sera bientôt annoncée, cette soirée de gala, de nouveau au même endroit, avec quelques invités surprises. Merci. Épatant. Alors, si tu veux nous faire un commentaire sur le centenaire, tu sais que cette année, on célèbre le centième anniversaire de la fondation des institutions de la communauté arménienne au Béjic. Est-ce que ça t'évoque quelques réflexions, ou est-ce que tu as des remarques à faire là-dessus ? Je n'ai sûrement pas de remarques, à part applaudir, parce que c'est important, c'est important de parler de notre intégration, des différentes générations, depuis 100 ans du comité, de l'intégration de toutes les générations d'arrivées des Arméniens. Peu importe, c'est notre grande force. On vient à travers le monde, c'est notre diversité. Il n'y a pas un pays au monde où je vais, où je ne rencontre pas des Arméniens. Bon, avec le nom de famille, c'est plutôt facile. Pas avec mon prénom, mais avec mon nom de famille, voilà. Donc, bravo pour cette initiative du centième anniversaire. Je me réjouis et je pense qu'il y aura de très, très belles choses à voir, à lire, à écouter, voilà. Merci. Merci. Bon, je vais être très franc. Je ne parle pas arménien, je trouve ça dommage. Alors, je ne parle pas très bien flamand non plus, donc mes amis belges m'excuseront également. Je ne suis pas le plus doué pour les langues. Mais je pense que dans la tradition, essayer de garder la langue, c'est important, du moins un peu la comprendre. C'est un premier pas. Le respect de tout ce que nous avons, qui nous est cher. Bien connaître notre histoire, s'intéresser à notre histoire. Je ne parlerai pas du génocide arménien, parce que c'est un sujet qui me tient à cœur, où tous les Arméniens du monde, on essaye d'avoir cette reconnaissance au sens le plus large. Mais ça, c'est un autre topic à discuter. Et j'adore aller en Arménie. J'adore les traditions arméniennes. J'adore la nourriture arménienne. J'adore quand on me nomme le Tamada. Voilà. J'ai d'ailleurs une société qui s'appelle Tamada Productions. Voilà, c'est pour le petit clin d'œil. Mais non, non, c'est très important. Absolument tout ce que nous avons dans notre culture, de maintenir ça, de partager ça, comme les tapis d'Orient que j'ai chez moi aussi. Voilà, j'en rigole, mais c'est vrai. Donc tu as parlé des traditions. Et d'une certaine manière, tu as déjà abordé le sujet que je voudrais aborder ensuite. Dans quelle mesure est-ce que tu dirais qu'il est facile ou bien il est difficile d'être, de rester, de devenir Arménien en Belgique ? Je dirais, je suis toujours surpris de voir à quelle rapidité des Arméniens que je ne connaissais pas il y a 20 ans ont réussi à s'intégrer, à développer leurs affaires, leurs contacts à étudier. Je trouve qu'il y a beaucoup de résilience dans le peuple arménien, énormément de talent, parce que presque tous les Arméniens que je rencontre, surtout les jeunes, parce qu'on essaye, au fur du possible, de connecter les primo-arrivants, comme on dit, avec des contacts, pour que ce soit des stages dans des entreprises, que ce soit des ouvertures de portes au niveau du travail. Je suis toujours tellement surpris, dans le bon sens, de voir qu'ils maîtrisent 3, 4, voire 5 langues. On parlait tout à l'heure de mon pauvre niveau de langue, mais là, c'est tout à fait extraordinaire. Je pense que cette résilience fait partie de notre ADN. On a malheureusement connu de très mauvaises choses dans l'histoire de notre peuple. Je suis particulièrement fier d'être Arménien, c'est quelque chose de très important, et de voir, comme je le disais précédemment, qu'on en rencontre à travers le monde, un peu partout, même en Chine. Je suis très content, à chaque fois, d'aller voir l'ambassadeur d'Arménie à Pékin, de discuter. Alors, par rapport à la taille du pays, il n'y a pas beaucoup d'Arméniens, mais ils sont toujours dynamiques et à l'écoute. Je pense que, comme toute communauté, rien n'est facile, rien n'est acquis, et qu'on doit toujours se remettre en question. Ce n'est pas lié aux Arméniens, c'est lié à l'ensemble des communautés. Le monde change, le monde évolue. Aujourd'hui, grâce à l'arrivée du digital, regardez, on est tous aujourd'hui ici. On peut faire une émission de radio, c'est une très, très bonne chose. Et je crois qu'il y aura, par le futur, plein d'initiatives. On a des discussions également, Armine, tu le sais bien, Nicolas aussi, au niveau de rassembler tous les gens qui travaillent, qui ont un métier, mettre ce métier en avant et leur donner la possibilité d'être connectés entre eux. Ça, de nouveau, grâce à l'Internet, grâce au dynamisme du nouveau comité, ces choses-là sont possibles. Donc, voilà, pour me dire un peu le futur, oui, notre arménité, notre arménitude, c'est que nous devons rester connectés entre nous et essayer de nous aider les uns les autres. Et nous remettre en question. Et nous remettre en question parce que, effectivement, je pense que le monde change et on doit être à l'écoute de la nouvelle génération, du dynamisme et de leur disponibilité. Alors, on en arrive tout doucement à la fin de l'interview et à notre dernière question. Et la dernière question, c'est toujours la même dans toutes les interviews. C'est à toi que revient la responsabilité de nommer la personne qui sera interviewée dans la prochaine interview. Oui, je pense que nous avons déjà un soupçon. Vous avez déjà un petit soupçon, mais, effectivement, c'est, comme je dis, Valéry, le jeune frère que je n'ai pas eu, que j'aime beaucoup. Donc, Valéry, c'est le jeune frère que je n'ai pas eu, que j'aime beaucoup. Donc, Valéry Safarian. Voilà, je le nomme. Et j'en profite pour remercier Arline Magdat, qui est une bonne amie, de m'avoir nommé. Ça ne me dérange pas du tout. Elle a très, très bien fait, parce que je suis ravi d'avoir été parmi vous aujourd'hui. Yannick, merci beaucoup pour cette intéressante interview. Nous accueillons toujours vous à la radio. Vous pouvez venir quand vous le souhaitez. Nous allons bien s'occuper d'eux. C'est pour cela que nous terminons cette interview. J'espère que c'était intéressant pour vous. C'est bien sûr que vous allez entendre vos propos et vos suggestions, que vous pouvez laisser sur la page Facebook de Belgique et de l'Allemagne. J'ai aussi envie de mentionner que, après cette interview, notre journaliste, comme vous le savez tous, va aller en Artsakh, et nous reviendrons le 1er septembre. Avec plus de force et plus d'idées intéressantes. Suivez Belgique Radio-Allemagne pour recevoir nos prochaines interviews. Nous vous souhaitons une bonne soirée et à la prochaine rencontre. Et bonne vacances. Excellentes vacances à tous, et merci de votre invitation. Sous-titrage Société Radio-Canada

Featured in

Listen Next

Other Creators