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The speaker discusses strategies for better understanding texts, particularly narratives. They emphasize the importance of determining one's intention for reading or listening to a text, as it helps with comprehension. The speaker also mentions a classroom experiment where students read the same text but with different intentions, leading to different understandings. They stress the need to accompany reading instructions with an intention of reading. Other strategies mentioned include reacting to better understand and solving comprehension problems independently. The speaker encourages students to identify when they have lost comprehension and take action to regain it. Je ne porte pas de montre, et donc j'utilise mon résultat pour voir ce qu'il y a de plus facile. C'est vraiment pour voir, pour essayer de ne pas déborder du temps. Après, je pense que chacun est actif et responsable de se créer les bonnes conditions de travailler. Et puis, au fur et à mesure de ces trois heures, on va passer ensemble un bon moment de travail. Voilà les programmes du jour. Je vais reprendre en place les stratégies de compréhension. Notamment la liste des dix stratégies que je vous ai présentées très rapidement à la fin du tour 8. J'ai pensé que j'étais un peu trop grave sur cet élément, donc on va repartir de là. Je vais vous proposer un chorégie du CP3. Et puis, si vous avez des propositions à l'intérieur de vos liens, on peut aussi en discuter à la pause. On va ensuite, aujourd'hui, s'intéresser aux textes du narratif. Et au cours prochain, on va s'intéresser aux textes informatifs. C'est pour vous montrer que le cours 8, on a traité de la lecture en général. Aujourd'hui, on va s'intéresser à la lecture de textes narratifs et, en particulier, dans le genre des récits. Je crois que vous l'avez déjà vu une partie avec mon collègue François Hester. Vous avez déjà abordé cette notion de récit ? Un peu ? Alors nous, on va l'aborder vraiment du point de vue de la lecture. De voir ce que ça engage en particulier de lire des récits. Il faut savoir que c'est le genre de texte qu'on les rencontre à l'école, et notamment au cycle 3. Il y a des enjeux spécifiques aux textes narratifs qui sont différents concernant des textes informatifs. On verra la semaine prochaine. On aura un premier essai sur la manière dont le récit apparaît dans le plan d'étude roman. De manière aussi à ce que vous puissiez peut-être revisiter le plan d'étude et voir comment vous le manipulez à présent. On va ensuite regarder un dispositif d'enseignement pour la compréhension des récits. Et puis on va terminer par une ouverture à la littérature numérique. Vous savez que le numérique fait partie des contenus de ce résultat. Ce sera plus une sensibilisation qu'un véritable enseignement. Pour moi, la partie un peu propre de ce séminaire, je dirais que c'est jusqu'au dernier point, et qu'on aura une sensibilisation numérique où je vais vous demander de dire certaines choses, et puis de me dire ce que vous avez pensé. On reprend avec les stratégies de compréhension. Vous vous souvenez que je vous avais présenté quatre stratégies de compréhension. Est-ce que vous pouvez nous raconter ce qu'est une stratégie de compréhension ? A quoi ça sert ? C'est une manière de comprendre un texte. C'est la manière dont on doit procéder pour comprendre un texte. C'est les activités que vous mobilisez vous, comme lecteur-experte, sans même vous en rendre compte, pour lire un texte ou bien comprendre un texte. Et puis ce sont ces mêmes activités qu'il s'agit d'enseigner aux élèves, pour que les élèves qui n'aiment pas les mobiliser automatiquement, ou vous-même, puissent bénéficier de cette même expérience. Je vous en ai annoncé quatre, qui étaient issues du modèle de Cédric Ouagou. Je vous en ai annoncé très rapidement ces dix stratégies-là, qui sont celles qui ont été adoptées par les Nouveaux Moyens d'Enseignement Romand pour le français. Je vous propose en fait, pour commencer ce cours, de prendre stratégie après stratégie. Et puis vous allez pouvoir noter peut-être un mot sur chacune d'entre elles. Et puis peut-être que ça va vous aider aussi pour le CP3, et puis pour mieux comprendre les enjeux qui sont autour de ces stratégies-là. Alors là, je réponds, je sais que c'est la règle, parce qu'en général, on a mangé avant ce soir, on est en phase digestive, on aime bien, on est là, on est assez tranquille. Mais là, je vais vous demander en fait d'aller contre ce mouvement assez naturel, parce que je vais chaque fois vous demander de me dire que vous, vous comprenez la stratégie. C'est pas très important que moi je vous dise effectivement ce qu'elle représente, mais si vous, vous arrivez déjà à comprendre vous-même une partie de ce qu'elle représente, je pense qu'on a fait déjà la moitié du chemin. Est-ce que ça pourrait être déterminer son intention de lecture ou d'écoute ? En termes de stratégie. Quand vous voulez faire un texte, à quoi ça peut servir que vous abordiez la lecture de ce texte en vous disant que vous allez déterminer votre intention de lecture ou d'écoute ? Qu'est-ce que ça peut amener comme élément intéressant ? Oui ? Je pense que si on se trouve dans le cadre du texte dans lequel on se trouve, si c'est justement un récit ou un formatif comme vous disiez, je pense que nos deux intentions ne sont certainement pas les mêmes. Si c'est un formatif, on sait que le but sera sûrement de faire un résumé plutôt synthétique avec des éléments importants. Si c'est un récit, ce sera plutôt comme on dit, une conclusion. Voir, réexpliquer ce qu'on a lu en montrant qu'on a compris dans l'histoire. Je pense que déterminer l'intention, c'est plutôt dans l'éthique, de quelle manière on doit avoir l'intention. Exactement, c'est exactement ça. Il y a une expérience assez céleste qui a été faite dans les années 70. Je vous interroge juste un peu. C'était dans une classe de psychologie aux Etats-Unis. Et puis, il y a un prof qui est venu à sa classe. À la classe, on lançait le même texte qui était en fait le texte d'une description maison. Il a demandé à la moitié, côté smith, de lire ce texte comme s'il était des futurs acheteurs. Et à l'autre moitié de la classe, comme s'il était de futurs scandriologues. Très intéressant, parce que quand on demande aux deux parties de la classe ce qu'ils ont retenu de ce texte, vous voyez qu'ils ont retenu des choses qui sont assez différentes. Des éléments communs, mais clairement, on pouvait dire qui a lu ce texte comme étant un futur acheteur et qui a lu ce texte comme un futur scandriologue. Donc, en fait, l'expérience, elle est là pour nous montrer que quand on donne à lire à des élèves d'une classe de psychologie 3, mais aussi de psychologie 1 aussi, et même de post-obligation 1 aussi, quand on donne un texte à lire et qu'on donne une consigne de lecture qui accompagne le texte, on arrive déjà mieux à mettre en perspective les aspects de compréhension. Parce que vous savez, en fait, pourquoi vous lisez ce texte. Vous savez si à la fin, on va vous demander de faire un résumé. Vous savez si à la fin, on va vous demander de relever le thème principal. Ou vous savez qu'on va vous demander simplement quel est le genre de ce texte. Donc, en fait, c'est important de toujours accompagner une consigne de lecture, d'une intention de lecture. Et en même temps, quand on vous fait lire les textes à des élèves dans une classe qui ont le cours ordinaire de l'année, c'est important que les élèves puissent intégrer petit à petit cette stratégie qui est de dire, OK, je suis face à un texte informatif. Donc, ce texte, en fait, il va me donner des éléments documentaires sur, je ne sais pas, un animal ou sur la géographie. Je lis un texte narratif, je lis un récit policier. OK, en fait, on va sûrement parler d'un meurtre ou de quelque chose qui s'est produit au début, quelque chose en général d'assez horrible. Puis ensuite, j'aurai l'histoire d'une enquête qui va s'engager. Et en fait, le fait de savoir en fait dans quelle optique on s'engage dans le texte, dans la lecture d'un texte, c'est une stratégie qui peut aider la concentration. Vous aviez une question, madame ? Est-ce que c'est lié aux conflits d'horizons basins ? C'est lié ? Oui, ça peut être lié. Oui, absolument, c'est vrai. Exactement. En fait, vous vous souvenez, je vous ai montré la dernière fois une recette de cuisine en vietnamien. Quand vous ouvrez un livre de cuisine, vous avez un horizon d'attente qui est assez précis. Vous avez une intention de lecture qui est assez précise. Il y a des fois des termes différents qui désignent un même objet. Simplement, on est dans des théories. L'horizon d'attente, ça vient de la théorie de la réception. C'est une théorie de critiquité reste. Et puis là, nous, on est orienté plutôt au didactique, mais on parle effectivement de la même chose. Le deuxième, ça pour moi, je vous avoue, c'est la stratégie qui est la plus opaque. Donc, si ça ne vous parle pas tout de suite, je ne comprends pas que c'est une question de votre ressort. Réagir pour mieux comprendre. Qu'est-ce que vous comprenez de ça ? Quand on dit à l'élève, une stratégie qu'on va vous enseigner maintenant, c'est réagir pour mieux comprendre. Si il y a quelque chose qui n'est pas clair, il peut tout de suite le dire. Oui, c'est ça. Ça, c'est dans le meilleur des cas. Quand l'élève arrive à identifier quelque chose de pas clair, il doit se dire, « Ok, si j'ai un problème de lexique, je vais plutôt m'orienter vers ce type de stratégie. Si j'ai un problème d'enfermement, c'est ce que je vais me faire. » Ça correspond, en fait, si vous faites du schéma de Jefferson, ça correspond au cinquième type de processus. C'est le processus mais pas collectif. C'est-à-dire qu'on essaie de régler soi-même sa compréhension. L'enjeu, en fait, c'est d'arriver à amener les élèves à identifier qu'ils ont perdu le flux de la compréhension. Et puis de se dire, « Là, je dois faire quelque chose pour renouer le flux de la compréhension. » Mais là, on est sur une stratégie qui est extrêmement globale. Vous voyez qu'on est sur des niveaux assez différents de la une et la deux. Donc le deux, ce n'est pas qu'il va solliciter l'attention d'une enseignante. Il doit la résoudre du problème lui-même. Ce serait, je dirais, une première étape. Déjà, si l'élève identifie qu'il a perdu quelque chose et pose une question, c'est déjà mieux qu'un élève qui pense qu'il a compris alors qu'il n'a pas compris le texte. Oui, mais des fois, on attend des élèves qui l'ont toujours compris. Donc des fois, il y a des élèves qui se projettent dans les attentes des enseignants alors qu'ils n'ont peut-être pas compris mais ils ne vont pas le dire. C'est pour ça que je pense qu'il est important de leur montrer que s'ils n'ont pas compris, on leur donne une boîte à outils à côté pour qu'ils puissent petit à petit devenir de plus en plus autonomes. Mais en fait, ça c'est un accompagnement qu'ils font sur des années. L'idée, c'est qu'en fin de cycle, les élèves soient de plus en plus autonomes. Mais pendant longtemps, vous allez les guider, vous allez les accompagner, vous allez leur montrer ce que vous faites aussi pour que les élèves puissent s'approprier ça. La troisième, reformuler. On voit qu'il y a une stratégie de compréhension. En fait, quand on a acquis la compréhension du texte, on est capable de le reformuler. C'est l'indice qui fait que, c'est la chose qui fait qu'on a vraiment compris un texte, c'est le fait qu'on peut l'expliquer ou le reformuler à quelqu'un. Exactement. C'est tout ce qui concerne aussi la production de résumés, comment nos élèves aient synthétisé un passage, de ressortir le thème principal d'un texte, ou comme à la fin de la dernière séance, quand je vous ai demandé, c'était de vous dire maintenant ce qui était important. Qu'est-ce que vous retenez de ce cours ? C'est aussi le travail de se dire, qu'est-ce que j'identifie et comment est-ce que je vais retenir avec le propre mot ? C'est un indice de la compréhension. J'ai appris à me repérer les informations importantes du texte ou de l'image. Des fois, ça peut paraître assez simple. Celle-là, je pense qu'elle est assez simple en termes de... On voit que c'est une stratégie de compréhension utile pour la lecture. C'est un indice. Alors, Mme Oskani, suivez-moi, chérie. Qu'est-ce que vous diriez ? Tout. Exactement. C'est de vous retenir ce qui est important. À partir des éléments importants, c'est là que vous allez créer le fil, en fait, de votre compréhension, qu'il faut justement laisser de côté tous les détails qui ne vont pas avoir d'impact sur la compréhension de l'histoire. S'interroger sur les pensées des personnes et des personnages. Alors, personne, quand il s'agit de textes informatifs, de textes documentaires et personnages, des textes fictionnels. M. Bernadette, qu'est-ce que ça évoque pour vous, d'arriver à s'interroger sur les pensées des personnes et des personnages ? Qu'est-ce que ça dit, en fait, de la compréhension ? Qu'on arrive à comprendre les personnages, de comprendre vraiment ce qu'ils ressentent, comment ils vivent l'action, comment ils font les choses. Exactement. Quand on arrive, en fait, à se projeter dans les pensées d'un personnage, et c'est de ressentir ce que ressent le personnage, et puis, du coup, on comprend son système de valeurs. Mais aussi, ça peut être s'interroger sur... Si on est sur un texte documentaire, en fait, Si on est sur un texte documentaire ou un texte argumentatif, sur comment est-ce qu'on comprend, en fait, les idées de l'énonciateur. Est-ce que je comprends le point de vue d'un texte argumentatif ? Est-ce que je comprends que cette personne veut me convaincre de quelque chose et de quoi ? C'est vraiment essayer de se mettre à la place des personnes ou des personnages, et ça aussi, c'est un élément qui aide à la compréhension. Alors, venez peut-être juste prendre votre moment, et puis un document. Pour la suite, merci. Comprendre la structure du texte pour donner les informations entre elles. M. Nicolet. Encore à communiquer les éléments de texte ? Oui. Je pense que ça aide de faire des liens entre différentes informations. Quels types d'éléments d'un texte à relier des informations entre elles ? Quel type de mot ou quel type de signe ? Les connecteurs. Les connecteurs, c'est une des catégories de mots très importantes pour relier les éléments entre eux. On peut aussi, des fois, essayer des signes de ponctuation selon les régions de texte. Et puis, également, quand on est sur une structure un peu plus globale, qui peut aussi aider, c'est la chronologie des événements. On essaie de comprendre d'où on part, par quels détours on passe, et puis, où est-ce qu'on arrive en situation finale. La tête qui a comblé les blancs et les noyaux du texte et des images. Cela est assez intuitif, j'ai l'impression, oui. Faire des suppositions sur ce qui n'est pas dit. Exactement. Faire des hypothèses. Oui, des hypothèses, des références, des thèses d'allemands à partir des instructes du texte, comme on l'a vu la dernière fois. Il y a deux interprétations différentes sur l'entendu du texte. C'est celle d'un certifiant de son mari, ou celle d'une surnouvelle de son mari. Activer ses connaissances. Alors là, c'est assez explicite, mais quels types de connaissances on peut activer ? C'est, je crois, des lectures antérieures. Une compréhension de comment fonctionnait la société. Je ne sais pas, ce genre de connaissances. Alors, on peut partir du micro. Des fois, c'est plus simple de partir du micro pour aller vers le macro, parce que j'ai appris beaucoup du macro. On peut activer des connaissances lexicales. C'est-à-dire, je ne prends pas un mot, sur quel indice je peux me fonder pour essayer de comprendre ce qui est le texte parmi les mots dictionnaires, etc. Des connaissances syntaxiques. Et là, on revient à la question des connecteurs. On revient aussi sur comment les éléments particulent entre eux au niveau de la phrase. Et puis, effectivement, des connaissances sur la culture et celles des autres. Peut-être sur des éléments, un système moral, un système de valeurs, en fonction de certaines normes, de certaines situations de communication. S'interroger sur le fond d'un mot, d'une phrase, je ne vais pas commencer parce qu'il est aussi relativement explicite. Et puis, le dernier, imaginer le fil de ce qu'on lit et de ce qu'on écrit. M. Pierre, qu'est-ce que ça évoque pour vous en termes de stratégie ? Pour voir le récit dans une continuité, on peut imaginer des issues à la direction que peut prendre le récit. Et je pense, dans cette perspective-là, que le récit étant tout, c'est pour le voir dans une continuité. Et si vous arrivez, vous, en tant que l'acteur, à vous faire un film de ce que vous lisez et que votre film a du sens, on peut dire que vous avez une meilleure chance de l'encontrer. Parce que si votre propre film est complètement découpé dessus, vous n'arrivez pas à le réaliser. Vous voyez, certaines de ces stratégies se recouvrent un peu. Parce qu'entre activer ses connaissances et réagir pour mieux comprendre, on est quand même sur des éléments qui sont assez semblables. Recadrer, imaginer le film de ce qu'on lit ou de ce qu'on écoute, on est aussi sur quelque chose d'assez ressemblant. Les professeurs et les conseillères de ces nouveaux moyens ont choisi d'en avoir dix. Je vous disais qu'elles sont valables pour tous les genres de textes, pour l'oral et pour l'écrit. Le TP3, c'était de revenir aux difficultés de la compréhension du texte. On s'était mis d'accord sur une liste de quatre difficultés qui pouvaient prévenir la compréhension chez les élèves de TP3. Et puis, la deuxième partie du TP, c'était quelle stratégie il s'agit d'enseigner par rapport à chacune de ces difficultés pour que les élèves soient oubliés ou se concentrent sur le texte. Je suis bien consciente que vous n'aviez peut-être pas l'explication aussi détaillée que ce que je vous ai donnée aujourd'hui, mais est-ce que vous avez réussi à faire déjà quelques propositions ? La difficulté que j'ai rencontrée, c'était s'ils n'ont pas les informations, on parlait souvent de faire appel à tes connaissances, s'ils ne les ont pas, il ne faut pas faire mal à rien. Donc, une des stratégies qu'il faut enseigner pour qu'ils soient aidés là-dedans, c'est leur donner un contexte, leur donner des outils pour qu'ils puissent avoir justement tous ces éléments. Pour se créer un peu une espèce de connaissance de la culture, comme on dit. En gros, si on n'a jamais vécu un enterrement, on ne sait peut-être pas, on ne comprend pas en fait ce long descriptif au début, où on rentre du cimetière. Donc ça, c'est déjà un élément de contexte assez global. C'est vrai que si le texte que vous choisissez concerne un élément très particulier, ou un moment de l'histoire très particulier, c'est autrement dit. De ne pas donner d'informations sur ce contexte-là, ne sachant pas qu'ils ont eu une part en histoire, c'est augmenter la difficulté, qui n'est peut-être pas liée à la compréhension véritablement du texte, mais qui est liée au contexte dans lequel le texte est placé. Si je reviens maintenant aux difficultés qu'on avait listées la dernière fois, il y avait tout d'abord l'échelle anaphorique, la définition des personnages. Deuxième difficulté, la structure narrative, la chronologie de l'histoire qui correspondait par la chronologie du récit. Trois, le fait qu'on avait un récit enchâssé devant un autre, c'est-à-dire la difficulté numéro deux, la chronologie qui est un peu bousculée. Et puis, la fin du récit, avec la chute qui remet en cause la première compréhension qu'on avait du texte, si on prend l'hypothèse qu'Angèle a assassiné son mari. Dans ces difficultés, est-ce que vous avez une idée d'une stratégie qu'on peut utiliser ? Si je pense à l'échelle anaphorique, à la désignation des personnages, on est sur quelque chose d'assez micro. Qu'est-ce que vous pourriez enseigner aux élèves, en leur disant, si tu travailles cet élément-là, tu vas mieux comprendre en fait qui sont ces personnages et comment le texte est désigné. Est-ce que vous préférez que je mette le corrigé sur Google, que vous le faites tranquillement, avec l'explication des stratégies que vous avez eues maintenant ? Je ne me rends pas compte en fait, dites-moi, parce que si vous n'avez pas eu le temps de le faire, ou que vous n'avez pas su comment le faire, ça ne sert peut-être à rien que je le commence maintenant. Je peux mettre le corrigé sur Google, vous comparez à vos réponses, et puis vous venez me voir si vous avez des questions. Alors en fait, on ne parle pas vraiment au récit, parce que quand on fait un récit, c'est déjà un récit. C'est un récit bref, et c'est un récit, c'est un récit de récit, tout le monde le sait. Je voulais vous demander de prendre maintenant deux minutes, que chacune et chacun de vous rédigiez une définition du récit. Qu'est-ce que c'est qu'un récit ? Comment vous le définissez ? Quand je vous dirai, vous l'échangez, vous en discutez par groupe de deux ou de trois, et puis après, vous faites une définition par tout le monde, qui reprend toutes les bonnes idées que vous avez. Qu'est-ce que c'est que les moins bonnes idées que vous avez ? Qu'est-ce que c'est qu'un récit ? Si vous avez de la peine à engager le travail, partez d'un exemple. Vous prenez l'exemple de François-Angèle Fuffel, et dites-vous pourquoi c'est un récit et pas une recette de cuisine. Qu'est-ce qui fait que c'est un récit et pas autre chose ? Qu'est-ce qui fait que c'est un récit et pas autre chose ? Alors, si vous êtes arrivés à une première définition, échangez peut-être avec la personne la plus proche de vous. Regardez quels sont les éléments communs, quels sont les éléments différents, et qu'est-ce que vous recevez de vos deux ou trois définitions. C'est un récit. C'est pas barbare. Pour moi, le récit, je trouve que c'est un peu différent d'une fiction. Je ne l'ai acheté pas très sereinement, mais je dis que c'était en fait une narration, parce qu'on n'a pas besoin de réaliser des récits, qui parlent d'un moment ou d'un épisode significatif dans la vie d'un personnage. Ça peut être un récit qui est un peu fictif quand même, ou autobiographique. Et toi, t'as mis quoi ? Tu n'étais pas très au clair. Moi j'ai mis le récit étant un texte qui représente du déroulement d'une histoire où il y a des personnages qui participent à... J'ai mis l'intrigue. Il y a une intrigue. C'est pas l'intrigue. Maintenant, je n'étais pas très au clair si c'est de la fiction ou de la réalité. Je pense que dans tous les cas, ça changera. Je dis dans tous les cas, ça changera. Si, ça peut changer. En tout cas, en récit, avec Jérôme Ménon, il y avait la notion de récit qui est différente d'une fiction. Et fiction, c'est vraiment... Je crois que récit, ça englobe les fictions et peut-être les différences. OK. Et les autres, ce que tu disais, autobiographiques et tout ? A mon avis, c'est plus large qu'une catégorie que la fiction et donc ça peut englober les autobiographies aussi bien que les fictions. Je ne suis pas complètement sur. C'est juste qu'on ne sait pas. On verra. On imagine que c'est ça qu'on espère. On ne peut pas savoir que ce sont nos bonnes idées. En fait, il y a la notion de durée et la notion d'un événement. On ne peut pas faire un récit s'il n'y a pas une intrigue. Oui, s'il n'y a pas un fil rouge ou quelque chose à raconter au final. Il y en a qui ont fait des récits où il y a un peu comme des ambiances, mais il y a toujours quelque chose qui transmet. Il y a quelque chose. Vas-y à la fin pour se mettre une... Alors, si tu mettais à ta liste un récit... J'ai mis le récit est un récit relatif. Gérons le monde d'une histoire. On y inclut des personnages qui participent à l'intrigue. À une intrigue... Il n'y a pas forcément au final des personnages. Les personnages s'appellent eux-mêmes. Mais est-ce qu'on est catégorisés comme personnages quand on parle de nous-mêmes ? C'est la grande question. Ou des personnes. Tu peux mettre personnages ou personnes. Comme ça, ça envoque les deux. Comme elle l'a dit avant, elle l'a dit dans une définition. Elle a utilisé le mot personnes. Personnes, c'est quand c'est dans la réalité. Personnages, c'est quand c'est dans une fiction. Ah oui, c'est juste. Je l'ai perçu beaucoup. Alors... Donc... Donc... La question de récits... Je te montre, je suis un peu inquiète. Et puis... D'un mot, je ne sais pas. Il y a quand même des trucs bizarres qui se passent. J'ai perdu un membre de notre équipe. Il ne t'a rien dit non plus ? Il m'a dit qu'il rentrait, mais... Je ne sais pas pourquoi. À quelle fin ? Je ne sais pas. Je ne comprends pas trop. Parce qu'en fait, si on a un intérêt, après on a un intérêt à venir. Oui, oui. Sur la société ? Tout. Donc là, ce n'est pas vraiment représentatif de la société ? Un peu quand même. Un peu, oui. Parce que la société nous impose. Oui, oui. Oui. Un mois plus tard. On a fait mon tour. Si vous voulez être nos copains, ils pourraient nous donner déjà les questions d'examen. Déjà ? Déjà. Je pense qu'ils devraient nous donner les questions d'examen. On va les préparer à la maison, comme vous voulez. S'ils veulent être sympas avec nous. Ils peuvent être sympas avec nous. C'est barbare. C'est violent. C'est quoi ? Ce n'est pas vraiment là. Déjà, quand on se parle, on ne sait pas quoi dire. Ah non, non. C'est bon, c'est la bonne réponse. Maintenant, j'ai un problème. Vous ne me connaissez pas. Madame, bienvenue. Oui. Qu'est-ce que vous avez comme propositions pour la chaussure ? Alors, moi, j'ai écrit ce que j'ai écrit. C'était une narration orale ou écrite de façon réelle ou imaginaire. Et Mélissa a ajouté les organiser en suivant une structure particulière. OK. Je ne sais pas. Pour commenter vos propositions, on va les écouter pour l'instant. On va regarder si ça dépend de comment. On ne va pas... J'ai acheté des volontaires. Tu as acheté de quoi ? Tu as acheté des volontaires ? Oui. Pour dire quelque chose ? Oui. Ah ! Il manque la notion de personnage ou de personnes. C'est que ça met en scène une intrigue avec des personnes ou des personnages. Une intrigue avec personne ou personnage. Ou si c'est des personnes, je ne sais pas. Ça me l'intrigue. On est toujours deux vies. Alors, on va laisser la question suspendue. C'est intéressant, ça. Monsieur Abedrou. Qu'est-ce que vous avez à dire ? Alors, j'ai montré des documents. C'est une narration orale ou écrite par un ou plusieurs fondateurs noticiaires. OK. D'accord. Une structure narrative. Oui, d'accord. Est-ce qu'il y a des éléments différents de ce que vous avez déjà entendu ? Dans les définitions, vous avez écrit... C'est incroyable. C'est les gens que vous dénoncez. Merci. Merci beaucoup. C'est mon chien. C'est qui ? C'est qui en réel. Ensuite, dénoncer. Voici un film en réel avec des personnes ou des personnages. C'est une structure. Je comprends un peu qu'ils ont un sens. Je comprends un peu tous les côtés qu'on a fait avec Alaïa. Le fait qu'on a réussi à avoir un sens. Il faut encore se demander ce que ça veut dire. Comment ça définit le sens. Est-ce que j'ai tout repris ? Il y avait des points de vue. Il a dit plusieurs points de vue. Plusieurs points de vue. Un ou plusieurs points de vue. Je crois que c'est ce qu'il a dit. Oui. Je crois qu'on va réussir avec un ou plusieurs points de vue. Il a dit un ou plusieurs points de vue. Oui. On peut avoir un ou plusieurs points de vue. Je crois que c'était une caractéristique. On avait ajouté la notion d'un narrateur. Mais on n'avait pas spécifié. Mais il y a plusieurs formes de narrateur. Il y a une construction globale. Exactement. Il a raconté parfois. Je vais vous montrer maintenant quelques exemples. Je vous ferai des définitions. Mais il y en a d'autres qui sont très bien aussi. Je vais vous les lire. La première de Genève a réussi. C'est une représentation d'un événement de justice. C'est un événement réel ou fictif dans le manière du langage. Ce que je veux dire dans cette définition, c'est réel ou fictif. C'est réel ou fictif. Comme a dit Madame Sorano en arrivant, on a eu un couragin. C'est un récit. C'est un récit d'événements réels. Un récit, ce n'est pas simplement un texte narratif fictif. C'est un texte narratif réel. On est tout le temps en train de raconter des récits. On se raconte beaucoup. On raconte aux autres. On raconte ses besoins à ses amis, à ses parents, à ses familles. Tout ça, c'est des récits. Deux citations un peu plus longues. Le récit peut être supporté par le langage articulé, oral ou écrit, par l'image fixe ou modif, par le geste et par le mélange ordonné de toutes ses substances. Il est présent dans les mythes, la légende, la fable, le conte, la nouvelle époque, l'histoire, la tragédie, le drame, la comédie, la comédie, le thème de l'enfance, le cinéma, le film, les comiques, la fête d'hiver, la première fête. Ce que je retiens de cette définition-là, c'est le fait que ça peut être donné à l'oral ou à l'écrit, et que ça peut être porté par plusieurs types de supports. On peut avoir un récit qui est raconté par un texte, un album sans texte, un album qui n'a que les images qui se fuscadent. C'est un récit. Ça peut être un récit. Le film, par exemple, dans lequel nous avons animé, est un récit. Ce qui est intéressant dans cette suite de gens que Barthes cite, c'est de comprendre qu'on peut trouver des récits dans plein de genres de récits. Je ne sais pas si vous êtes attentifs et attentives à ça, mais très souvent, certains articles de presse, des articles de journaux, commencent par nous raconter une histoire. Madame, je ne sais pas ton nom, est sortie il y a deux ou trois mois sans chien. Elle a glissé sur une plaque de Benilla. Et ensuite, l'article va parler des problèmes, du déblément qu'il y a eu l'hiver dernier dans les réseaux sociaux. Mais pour parler des problèmes de déblément d'années dans les réseaux sociaux, on va d'abord rentrer par le récit particulier de Madame X, qui est tombé et qui s'est fracturé dans l'école de théâtre. On peut trouver des récits, en fait, dans plein de genres de textes différents. L'image, c'est vraiment un récit, mais ce n'est pas plutôt une suite d'événements. C'est de l'histoire. Pour moi, il n'y a pas de récit, il n'y a pas d'écriture, il n'y a pas d'oralité. Il n'y a pas un texte, une façon de raconter, il n'y a pas un récit. Alors, techniquement, vous pouvez avoir une suite d'images qui est un récit. Mais toutes les suites d'images ne sont pas des récits. Mais pour qu'il y ait un récit, il faut qu'il y ait un sens. Et on va voir là-dessus ce qu'il faut pour qu'il y ait un sens. Et en fait, le récit, c'est vous qui allez le créer. Parce qu'il y a des récits, entre guillemets, où on vous prend plus par la main que d'autres. Il y a des récits où on vous raconte une histoire, où il y a des histoires qui sont très explicites. Oui, c'est-à-dire des suites d'images dans les cathédrales ou quoi que ce soit. Il y a plusieurs fois des récits. Je voyais ça plutôt comme une histoire, comme des événements. C'est nous qui faisons le récit. Alors, techniquement, je les considère comme des récits. Mais on est moins habitués à ce type de récits. Ensuite, ça, c'est une définition en 5 points que je reprends de Jean-Michel Adam. Pour qu'il y ait un récit, il faut une succession temporelle d'actions et d'événements. Alors, pourquoi une succession temporelle ? Parce que derrière ça, en fait, il y a l'idée que tout ce qui se produit, tout ce qu'on raconte, se déroule dans le temps. Et donc, il faut qu'il y ait cette notion de succession dans le temps, une succession temporelle, pour qu'on puisse dire qu'il s'agit d'un récit et pas d'une juxtaposition d'événements qui n'ont pas de liens entre eux. Donc, il faut qu'il y ait une notion de temps, en fait, qui traverse un récit. Deuxième élément. C'est un élément rempli de formules, mais on va dire tout simplement. Pour avoir un récit, il faut qu'il y ait une intention dans l'agent ou dans l'héros. Donc, il faut la présence d'un acteur, individuel ou collectif, mais qui va, en fait, être l'acteur qui est ce qu'il appelle l'agent de la transformation, l'agent qui fait avancer le récit. Et la présence de cet acteur, individuel ou collectif, c'est la garantie, en fait, que le récit est tendu vers une fin. On va suivre, en fait, cet acteur au travers des différents éléments. En fait, tous ces éléments se récomposent. Parce que quand on suit un acteur au travers des différents éléments, il y a cette notion temporelle aussi qui ressort. Il y a plein d'éléments, en fait, qui se mettent en forme d'une fin de récit. Un récit doit indiquer ce qu'il advient en fin de texte de séquence des propriétés qui caractérisent un sujet individuel ou collectif aux débités de l'agent. On peut le dire avec d'autres mots. Un récit doit avoir un début, un milieu et une fin. Et, de manière analogue, si je dis qu'il y a un début, un milieu et une fin, je m'inscris dans une séquence fondamentale du texte. Il y a un développement, en fait, dans la suite chronologique. Pour qu'il récit, il faut une unicité de l'action. Et c'est une manière de dire qu'un récit forme en tout, encore une fois, avec un début, un milieu et une fin. Alors, bien sûr qu'on va avoir un récit qui parle de plusieurs éléments, de plusieurs choses. Mais, à un moment donné, il faut que vous puissiez ressortir une action du travers lancée dans le récit. Parce que c'est ça aussi qui va donner la cohérence, en fait, au récit. Par exemple, je n'ai pas compris ce que c'est un récit. C'est une seule action, une unicité de l'action. Il faut que vous puissiez... Si je vous demande de réduire le texte dans un récit, je vais dire que c'est une histoire de récit. Si je vous demande de réduire le texte dans un récit, je vais dire que c'est l'histoire d'une femme qui rentre sur une terre. Et on comprend à la fin que c'est un récit. Si vous n'arrivez pas à ressortir d'un récit une action qui traverse lancé du récit, c'est que ce n'est pas un récit. C'est que vous êtes dans une juxtaposition d'éléments qui n'ont rien à voir les uns avec les autres. Et donc, on peut se demander si le texte a une structure qui est considérée comme la grande principale pour un récit. Et puis, sans la causalité et la constitution d'une mise en intrigue, on ne peut pas parler d'un récit. En fait, il faut une mise en intrigue pour parler d'un récit. Et la mise en intrigue, c'est aussi ce qui va vous permettre de passer d'une situation initiale à un problème, à une situation, à une réduction, à une réduction finale. Donc, ça, c'est pour la définition d'un récit. On peut essayer d'expliquer ce que c'est qu'un récit. Un récit, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Un texte, c'est un texte. Pourquoi est-ce qu'on enseigne le récit à l'école ? Parce que depuis que vous êtes en 1P, je pense, on vous a raconté des récits à l'école, on vous a fait lire des récits tout au long de votre scolarité. Et puis, c'est pas n'importe où. On a bien fait raconter des histoires, on a bien fait lire des histoires, vous racontez des histoires. Et cette section-là, je voudrais qu'on réfléchisse un petit moment sur l'importance de se raconter des histoires. Pourquoi est-ce qu'on enseigne ça à l'école ? Et pourquoi est-ce qu'il y a des enjeux à en faire un récit ? Alors, je vais vous donner plusieurs définitions. Elles sont toutes assez longues, donc je ne vais pas les lire... Je vous laisserai les lire vous-même, ce sera plus agréable. Et puis, à la fin de chacune des citations, on va s'arrêter et j'essaie de retirer que l'auteur de votre citation. Alors, je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. Je vais vous montrer quelques-unes de mes citations. 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