Nothing to say, yet
Transcription
We have started a series called "Essential Knowledge" together. This series focuses on the knowledge needed for personal and spiritual development. There are three essential knowledge areas: self-knowledge, knowledge of your enemies, and knowledge of your environment. Today, we will explore self-knowledge and delve into the depth of our inner selves. Understanding oneself is crucial in controlling our environment, conditions, and reality. We can achieve this through self-reflection, psychological models, mindfulness, and meditation practices. By recognizing our true nature and unlimited abilities, we can express ourselves as wonderful creations. The knowledge of self is essential for personal and spiritual growth. On a commencé une série ensemble avec vous, bien aimé. Cette série s'appelle les connaissances essentielles qu'on a gagné ensemble avec vous. Les connaissances essentielles que vous avez besoin pour votre développement personnel, pour votre développement spirituel. On a gagné trois connaissances avec les connaissances essentielles que vous avez besoin. Trois connaissances. Ok. Trois connaissances essentielles que vous avez besoin. La première connaissance, c'est la connaissance de soi. La première semaine qu'on a gagné ensemble avec vous. La connaissance de soi, la première semaine. Deuxième semaine qu'on a gagné, la connaissance de votre ennemi. Et troisième semaine, la connaissance de votre environnement. Avec trois connaissances que vous avez gagnées, il est dit que vous êtes capables de devenir un citoyen, un monde de maturité. Nous avons commencé ce matin ensemble avec vous, la connaissance de soi. Le sujet, c'est de dévoiler la profondeur intérieure. Et cette profondeur intérieure, c'est la connaissance de soi. Compréhension de soi, exploration intérieure et quête de connaissance de soi. Et que m'atteignant que nous verrons ensemble dans quelques minutes. Lecture que nous avons gagné dans le livre de Sommes 139, les versets 14 à 16. Je lis pour vous. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes yeux sont admirables et mon âme le reconnaît bien. Mon corps n'était point caché devant toi lorsque j'étais fait dans le ciel, dans le lieu secret, tissé dans la profondeur de la terre. Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient. Et si ton livre était tout inscrit, les jours qui m'étaient destinés avant qu'aucun d'eux n'existaient. Et Sommes 139, versets 14 à 16. Et le livre de Proverbes chapitre 4, verset 23. Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui viennent les connaissances de la vie. Nous allons vous parler de trois connaissances essentielles pour faciliter le développement personnel et spirituel de l'être humain. Ces trois connaissances sont la connaissance de soi, la connaissance de l'ennemi et la connaissance de l'environnement. Aujourd'hui, nous allons voir comment nous pouvons atteindre la connaissance de soi. Aussi, nous allons explorer ce qu'est l'homme dans le niveau supérieur de ses capacités. La recherche de la connaissance de soi a toujours été l'objectif de l'homme afin de contrôler son environnement, ses conditions et sa réalité et lui-même. Cette connaissance vient dans l'utilisation des modèles psychologiques d'auto-réflexion et d'étrospection comme cités Carl Gustav Jung et Sigmund Freud et dans les pratiques de pleine conscience et de méditation. Pour entrer dans cette glorieuse aventure, je vais vous donner des exercices hebdomadaires pour garder les pieds sur terre. Comme je vous le rappelle déjà, dans la vie, il existe une quête primordiale, la compréhension de soi. Si on connaît soi-même, on connaît les dieux et les hommes. Cette semaine inaugurale de notre exploration du parcours de transformation consiste à approfondir les domaines de la conscience de soi, à adopter l'auto-réflexion, les modèles psychologiques et les pratiques de la pleine conscience et de méditation. Pour démarrer, gardons ensemble notre origine spirituelle. Vous êtes devenu imbue de votre nature et les capacités qui sont illimitées que vous avez. Vous verrez la nécessité de vous exprimer comme le salmiste. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables et mon âme le reconnaît bien. Verset 16 Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient et sur ton livre étaient tout inscrit les jours qui m'étaient destinés avant qu'aucun d'eux n'existaient. Les modèles psychologiques, auto-réflexion et de perception. Mes amis, laissez-moi vous dire, lorsque cette semaine nous parle de connaissances essentielles pour un monde capable de se développer, capable de devenir mature chrétien, mature être humain, un monde qui réussit dans la vie. Trois connaissances essentielles, c'est qu'on est tout, qu'on est monde, qu'on est tout, qu'on est mieux et qu'on est environnement. Si vous reconnaissez qui est ce qu'on est, qui est ce qu'on est, qui est ce qu'on a bâti, qui est ce pouvoir illimité qu'on a gagné, qui existe dans soi-même, où tu peux t'exprimer la même chose que Samy Slendi, je te loue, je te loue papa. De ce que je suis une créature si merveilleuse. On va répéter avec moi, je suis une créature si merveilleuse, je suis une créature si merveilleuse. Je crois qu'on a attiré quelque chose sous la doctrine chrétienne qu'on a élevée il y a longtemps, qui a dit que c'est péché à nouyer, puisque c'est péché à nouyer, nous ne pavons rien, nous coupables, nous guilty, nous n'obtenons pas de condamnation. Mais si je dis à nos vivres et à nos têtes, nous n'en m'en savons rien. Regardez le somme 59 fait le fait, conception mentale. Et à chaque moment, on regarde dans nos miroirs, on regarde dans l'anglaise. Et à chaque moment, on sent, on songe avec les côtés rouges, les côtés crampés. C'est pour dire moi je suis heureux mon Dieu, parce que je suis une créature si merveilleuse. Moi je suis heureux, moi je suis merveilleuse. Dans le livre de Genèse chapitre 1er verset 26 à 27, Merveille s'accorder, l'éternel n'a pas de point chelou comme modèle pour le créer. L'éternel n'a pas de point blanc comme modèle pour le créer. L'éternel n'a pas de point éléphant comme modèle pour le créer. L'éternel n'a pas de point lambert comme modèle pour le créer. Dieu prend la tête de Dieu comme modèle pour le créer. Des guérins, chien, chat, lion, animalio, pas de point modèle pour le créer animalio. Mais l'éternel, il est sous l'homme. Il dit faisons l'homme à notre image et à notre ressemblance. Et que l'homme domine sous toute création. Et dans Genèse chapitre 5 verset 1 à 3, il dit les dieux créaient l'homme. Ils créaient l'homme pour que l'homme soit ensemble avec l'homme. Si moi je dis que c'est Dieu, ce n'est pas moi qui le dit. C'est Genèse chapitre 5 verset 1 à 3 qui dit, Mais les religions venaient de se baisser. Les religions venaient de se pécher. Ou pécher au coupable, ou guilty, ou pas là-dedans. La destruction de l'homme venait dans le chapitre 3 du livre de Genèse. Mais il y a un pile-pasteur par contre, plus loin que seulement au livre de Genèse. Il y a par contre un problème Genèse 1, Genèse 2, Genèse 3 qui est là-dedans. Qui fait des discussions théologiques, qui fait qu'ils ne comprennent bien. A partir de Genèse 1, Genèse 3, il y a ajouté plus tard dans le livre. Mais il y a un pile-pasteur qui va faire études plus loin. Seulement appelé en connexion de Genèse 1, Genèse 2, Genèse 3. Donc je dis qu'il n'y a rien à comprendre, une discussion sale. Lorsque j'étais au cimiterie, ils m'ont donné un cimiterie. J'ai appris comment péter et faire l'eau. J'ai dit à mon consacré, le péché originel. L'homme péchait originellement. Mais le mot originel veut dire qui ça ? Origine. Origine qui ça veut dire ? Le début. Pour péter et faire l'eau, il faut péter et faire l'eau. C'est l'écriture de Genèse. Tout ce qui se trouve dans Genèse. C'est parce que c'est salier. Mais laissez-moi vous dire, il n'y a pas de théologie scolaire qui peut étudier ce qu'on est bien. Livre chapitre 3, un peu plus tard dans le livre. Mais dans le chapitre 1 et le chapitre 2, le chapitre 1 dit. Moi, j'ai créé l'image, mon Dieu. Moi, j'ai créé l'assemblée, mon Dieu. Mon Dieu dit, il n'y a pas toute autorité, tout pouvoir. C'est pour grandir, c'est pour multiplier. C'est pour riche, c'est pour grand. C'est pour grandir, c'est pour avoir tout sa trésor sur la terre. C'est pour yoyer, il n'y a pas de pouvoir pour dominer. Mais dans le chapitre 3, il prend la sortie de l'homme et nous. Pour le retirer, il nous dit qu'on est pécheur, qu'on est coupable, qu'on y est bénévole. Vous allez me comprendre plus tard, laissez-moi vous dire. Je vais vous dire à l'âge de moi, je vais vous dire les connaissances pour que vous me compreniez. Le chapitre 3 va ajouter pour l'autre monde. L'ajouter pour moins haïtiens, pour les mêmes haïtiens, pour les mêmes africains, pour les mêmes nègres noirs. Nous avons fait l'expérience, c'est quand on a gagné. On ne va pas vous dire comment on vit la vie, qu'on est moelle. On ne va pas vous dire comment on lit. Avec les nègres noirs qui ont fait l'évangile, c'est de l'évangile différent. C'est de la perception mentale que nous gagnons. Si la mentalité qu'on est, c'est pécheur. Théologie ou christianité ou spiritualité ou diou. Pécheur, il dit, le salaire du péché, c'est la mort. Mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle. Mais laissez-moi vous donner un parallèle. C'est mal la salle, malgré tant et tout. Mais le bien n'a pas arrêté, le don gratuit n'a pas arrêté. Mais c'est pécheur, c'est la mort. Et puisque c'est la mort espérée, soit espérée. C'est lui-même qu'on trouve chacune dans la vie. Parce que l'homme, la réalité de l'homme, c'est fait à partir de ses pensées dominantes. Nègres noirs, nègres africains enlevés, ils ont besoin de Jésus pour sauver, parce que c'est pécheurlier. Mais je viens de vous dire, laissez-moi vous donner un parallèle, amis. Je ne suis pas prêt pour tout ça, je vous le dis. Laissez-moi vous donner un parallèle, je ne sais pas quoi. Moi, j'ai besoin de Jésus pour me sauver. Je n'ai pas besoin de Jésus pour sauver. Moi, j'ai besoin de Jésus pour rappeler aux connaissances. Pour comprendre qui est ce foyer ou ces petites, mon Dieu. Ou ces images de Dieu. Et c'est ça qu'aurait le Jésus-Christ. Qu'aurait le Christ, cette conscience qu'il y a. On prend la Bible d'un troisième niveau pour comprendre lui. Pas au niveau de l'exotisme, de l'égoïsme, de l'africainisme ou de l'alcoolisme. C'est ça qu'il y a, c'est ça qu'il y a. Mais les nègres, on les reconnaît. Conscience qu'il y a ces petites, mon Dieu. Qu'il y a ces images de Dieu. Qu'il y a la même puissance que mon Dieu. Qu'il y a le valide, qu'il y a le tout. Ils connaissent son Christ sous la terre. Les séminaires, les rougames, les rosicruciens, les hermétistes, connaissent les entrées des prêtres. Ils connaissent les entrées dans la cérémonie. Ils ont changé de taille, ils ont dit. C'est l'autre idée, c'est l'autre imbécile. Mais l'autre, c'est pour qu'ils connaissent où sont-ils. Jésus, c'est où? Où c'est Christ? Comment? On m'explique comment pour qu'ils comprennent. Jésus, son archetype, et lorsque l'on rentre dans la psychanalyse de l'archetype de Gustav Jung, Carl Gustav Jung et Sigmund Freud, leur archetype, leur image, leur modèle. Jean, c'est Jésus. Nanon, c'est Jésus. Lucie, c'est Jésus. Où c'est Jésus? C'est Christ. C'est Messiaen. C'est conscience qu'on a besoin de gagner pour ne pas vivre comme un haïtien. Pour ne pas vivre comme un nègre doué. Pour ne pas vivre comme un blanc. Pour ne pas vivre comme l'homme. Pour ne pas vivre comme un pécheur. Mais pour vivre avec conscience. Moi, c'est petite, mon Dieu. Moi, c'est image de Dieu. Moi, c'est Messie, Christa. Conscience Christa qu'on gagne. Eh bien, même Jean-Michel a le droit de vivre bien, il a le droit de vivre bien. Même Jean-Pape l'a dit, c'est Dieu sous la terre. Moi, même tout, c'est Dieu sous la terre. C'est la Bible qui dit ça. Déclarons ça. La Bible dit, le somme 82 verset 1 à 8, nous dit, que vous êtes tous fils et des filles de Dieu. Même quand on croit vivre comme des hommes, comme des pristes quelconque, vous êtes tous fils de Dieu. Jésus vint plus tard, plus qu'il nous dit tout ça, Jésus dit bon. Jésus vint plus tard, il dit, non, Jean, chapitre 10 verset 30 à 34, Jésus-Christ dit au verset 31, moi et le Père, nous sommes un. Au verset 34, Jésus longe les doigts sous Pharisiae, sous Lotio, il dit, ou même vous êtes des dieux. Jésus dit, ah, nous avons tué M. Papa parce qu'il a violé sa banne, non? Parce qu'il dit même qu'ils sont hommes, ils font tête et qu'ils sont des dieux. Sinon, d'accord, monsieur, la Bible nous l'a. Jésus déclarait, moi et avant, nous tous, nous, c'est Dieu, parce que nous sommes petites, bon Dieu, nous sommes images, bon Dieu, nous sommes ressemblances, bon Dieu. Il y a même des grands chiens, ici, chiens, les élevages, ils font trois chats. Oui, les chiens font trois chats. Regardez-moi, les chiens font trois chats. Bon, ben, nous, lui, nous dit, c'est passé la partie. Vous n'avez pas de tête, M. Papa? Je suis pas d'accord au chien qui a fait chat. Comment on se rend d'accord ou même qu'ils sont hommes ou c'est petite, bon Dieu, ou sont l'autre bête? Ou sont pécheurs? Si papa, c'est Dieu, petite, lui, c'est petit Dieu qu'elle y est. Si papa, c'est pécheur, ou même tout, ou c'est pécheur, c'est pas moi qui dit, c'est la Bible qui dit, me répétez ça, la Bible dit. Où est-elle ma bague à la banque? Il dit, soyez donc parfaits comme votre Père Céleste est parfait. Regardez, il continue plus tard, il dit, il dit, il dit, aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous maltraitent. Mais là, on voit que conditionné ou société conditionné ou le monde conditionné ou même dans la relation ensemble avec les fils de Jaffer, ils vivent comme des dieux sur la terre. Regardez, en bas à pied, regardez. Il a parlé. Yes sir, yes sir. C'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, J'ai cette qualité idéale. Appelle dans ton cœur les qualités que vous voulez. J'imagine aujourd'hui, je fais ça, et ma famille, mes amis disent de grandes choses de moi. Imaginez le matin, où c'est mouillé comme exercice que doit faire l'accueil. Non, imaginez. Imaginez. Imaginez chaque jour. Non. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez. Imaginez.
