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RETOUR A JAMES BAILLIE PARK 1

RETOUR A JAMES BAILLIE PARK 1

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Paris, Bercy. Le cap, bizarre, courge jusqu'à mon lacet rose. Flex de Sprite rouge. La pluie roule à gauche. Welcome back. Dix-huit heures trente, l'homme, horizontal, au rayon des vins mauvais, me conseille la saumoire au goulot. Il dit que les bouteilles ont des oreilles, qu'elles ont des mains, que c'est ce qu'il lui a manqué, gamin. Toutes les taliennes sont des humains, à qui il manque le troisième oeil, la deuxième bouche, la troisième main. Rose, Géricault, que l'éternel maintient en vie. Chimal, quitte, que le fond du dernier verre humilie. Quand les tiges, raphidiques et tristes, ont l'allure d'un humain tumide, que rien ne rallumera plus. Que sa bouche à lui est une boube affamée, à l'écume lave rouge, aux crocs de bas d'altes noires. Que son œil est un panoptique liquide dans l'innocence, un regard. En tant, jusqu'à la honte recluse, à qui il refuse le répit, qui de trois-huit en trois-huit s'épuise, et règne en reine triste sur une vie sans remous. Un trou dans la serrure de la chambre, sur un corps d'enfant nu. Que ses mains sont une griffe de branches d'arbres, dont la sève séchée coagule. Et les branches vengeraisent, pense-toi, chez une seconde temps, dans ce dernier affront, prendre une goutte de sang et lécher. Ses mains sont une laisse délaissée, en laissant un tronc mort, et serrant, serrant, serrant plus fort.

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