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mais ou est qu'on s'en va 4

mais ou est qu'on s'en va 4

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mais ou est-ce qu'on s'en va? Ce soir dernière présentation de la série par le Conférencier Paul Scalliet. le titre du message de soir est "Enfin la Bonne Nouvelle" bonne écoute!

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Transcription

Dr. Paul Scalier is giving a presentation on how to be ready for the return of Jesus. He emphasizes the importance of being prepared rather than just preparing. He discusses the problems of sin and sins, and how we need solutions for both. The good news is that God has provided a solution through Jesus. He explains that all humans are born with the disease of sin and are condemned, but God's plan of salvation offers justification and eternal life. The speaker also addresses the concept of death and destruction as the consequence of sin, rather than eternal torment in hell. Chers amis, nous voilà arrivés à la dernière présentation par le conférencier Dr. Paul Scalier. Le métage de ce soir a pour chiffre enfin la bonne nouvelle. Je vous souhaite une bonne écoute. Le sujet que j'aimerais regarder avec vous ce soir paraît d'une grande importance parce qu'on a parlé du scénario biblique, comment est-ce que tout ça va s'orienter, s'organiser. La question pour moi est de savoir comment est-ce que je peux être prêt pour le rejouer à Jésus. C'est une question importante parce que ça touche à notre vie chrétienne pratique d'aujourd'hui. Jésus nous a avertis, nous a dit c'est pourquoi vous aussi tenez-vous prêts car le Fils de l'Homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas. Tenez-vous prêts et j'aime faire la différence entre se préparer et être prêt. Tant qu'on est en train de se préparer, on n'est pas prêt. Jésus nous a dit soyez prêts. C'est-à-dire qu'on doit arriver à un état de marche dans notre vie chrétienne où on peut dire aujourd'hui je suis prêt, demain je suis prêt, je suis prêt chaque jour. Mais si on est constamment en train de se préparer, on n'est pas prêt tout le long du chemin. Qu'est-ce qu'on va l'être si on est toujours en train d'être prêt? Jésus a dit tenez-vous prêts, soyez prêts maintenant et demain soyez prêts de nouveau. Comment est-ce que je peux être prêt constamment? Alors, j'aimerais regarder ça avec vous, reprendre certains éléments que l'on a regardés et voir quels sont les moyens que Dieu nous a donnés pour être prêt pour le retour de Jésus. Nous avons deux problèmes. Deux problèmes. Le premier problème s'appelle le péché. L'apôtre Paul en parle, c'est le texte auquel je faisais allusion. Il dit dans l'Écriture aux Romains, j'ai la volonté mais non le pouvoir de faire le bien car je ne fais pas le bien que je veux mais je fais le mal que je ne veux pas. Je trouve donc en moi cette loi, quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. L'apôtre Paul parle ici d'une loi. Une loi, on ne peut pas s'en défaire. Elle est là. Cette télécommande, si je la lâche, elle va aller où? Au plafond ou par terre? Pourquoi? Parce qu'il y a la loi de la gravité. Le seul moyen que cette télécommande ne tombe pas par terre si je la lâche, c'est d'utiliser une loi plus forte qui va la faire monter. C'est ce qui fait voler les avions, heureusement. Ils emploient des lois de la résistance de l'air qui leur permettent d'avoir plus de force que la loi de la gravité. Nous avons en nous une loi qui nous tire vers le mal. Le seul moyen d'en sortir va être de récupérer une force plus importante que cette loi de la gravité mortelle de péché pour nous en sortir. Dans le livre de la Genèse, on a ce constat extrêmement clair où il est dit, Genèse chapitre 5, lorsque Dieu créa l'homme, il le fit à la ressemblance de Dieu. Il créa l'homme et la femme, il les bénit et les appela du nom d'homme lorsqu'ils furent créés. Adam, âgé de 130 ans, engendra un fils à sa ressemblance selon son image et lui donna le nom de Seth. Quand Dieu créé l'être humain, il le créera à sa ressemblance à lui. Mais une fois que le péché est rentré dans le monde, l'être humain, lui, va continuer à transmettre cette maladie aux générations suivantes et ses enfants seront à sa ressemblance à lui, plus à la ressemblance de Dieu. Et depuis, nous vivons dans ce problème-là qui est le péché. Le deuxième problème que nous avons s'appelle les péchés. Il est en quelque sorte la conséquence du premier. Regardez ce texte dans l'Épître aux Colossiens, « Faites donc mourir ce qui dans vos membres est terrestre, la débauche, la pureté, les passions, les mauvais désirs, la cupidité qui est une isolatrie. » C'est ainsi que vous mentiez autrefois, lorsque vous lisiez dans ces péchés. Ce sont des actions, ce sont des pensées, ce n'est plus un état, ce sont des faits, des actions, des pensées. Ou bien dans Matthieu 26, dans le texte où nous avons parlé de Jésus qui célèbre la dernière Pâque avec ses disciples, il prit ensuite une coupe et après avoir rendu grâce, il l'ordonna en disant, « Buvez-en tous, car ceci est mon sang, le sang de l'Alliance qui est répandue pour beaucoup pour le pardon des péchés. » Nous avons donc ces deux problèmes, le péché, un état, et les péchés, des actions, des pensées. Nous avons besoin d'avoir une solution pour l'un et pour l'autre. On ne peut pas dire, je vais prendre une solution pour l'un et puis c'est bon, ou pour l'autre. Il va falloir que nous ayons la solution aux deux problèmes que nous avons. Le péché, c'est une maladie, j'allais dire, génétiquement transmissible que nous avons tous en tant qu'êtres humains parce que nous sommes tous des descendants d'Adam. Les péchés, c'est ce que cette nature de péché nous amène à faire, immanquablement selon la loi dont l'apôtre Paul parlait tout à l'heure. On est donc pris avec deux problèmes. Il faut trouver une solution aux deux problèmes. Et mes amis, la bonne nouvelle aujourd'hui, c'est que le Seigneur a prévu une solution pour l'un et pour l'autre. Il nous reste plus qu'une chose à faire. Recevoir les deux solutions que le Seigneur vous a données. Pour le péché et pour les péchés. Alors, ce que j'aimerais regarder avec vous, c'est un de ces textes dans la parole de Dieu qui nous aide à comprendre. Tout le monde connaît le texte de Jean XVI qui est un résumé extraordinaire du plan du salut dans peu de mots. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu'il aie la vie éternelle. Ce résumé-là qui est un plan du sauvetage de l'humanité, c'est un texte que nous connaissons et que nous citons volontiers sans peut-être penser à ce que ça a coûté de réaliser ça. C'est gratuit pour nous, pas pour Dieu. Dieu a payé la grosse facture qui nous dépasse et qu'on a peut-être en tant qu'humains de la difficulté à imaginer jusqu'où elle va. Cependant, ce plan du salut, Dieu l'a mis en place. Il est là, il est disponible pour vous et pour moi et j'aimerais qu'on le comprenne. La solution maintenant au péché, problème numéro 1. J'aimerais regarder avec nous ce soir un texte de l'apôtre Paul qu'on ne regarde pas souvent parce que parfois l'apôtre Paul écrit des choses difficiles à comprendre. Et on est en bonne compagnie parce que vous vous souvenez l'apôtre Pierre disait l'apôtre Paul écrit des choses qui ne sont pas faciles à comprendre. Donc on est en bonne compagnie. Mais j'aimerais qu'on regarde ce texte. Et pour le comprendre on va même le dessiner et vous allez vous rendre compte que c'est finalement extrêmement simple. Le texte se trouve dans Romain au chapitre 5 et au verset 18 où il est dit Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même, par un seul acte de justice, la justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes. Vous allez dire oulalalala, où est-ce qu'on est partis là ? Ne vous inquiétez pas. C'est très simple. On va analyser ça ensemble. Il y a là une comparaison. On va prendre le début du texte où il dit Ainsi donc, comme par une seule offense, la condamnation atteint tous les hommes. On l'a vu tout à l'heure dans le texte de la Genèse, le problème du péché s'était tendu à tout le monde. On a ici ce texte dans l'Épître aux Romains où il est dit Il n'y a point de juste, pas même un seul. Il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul. Car tous sont péchés et sont privés de la gloire de Dieu. Combien de gens qui sont pécheurs ? Tous. Est-ce qu'il y en a qui échappent à la règle ? Non. Bon, avec plaisir, il est dit non. Il n'y a sur la terre point d'homme juste qui fasse le bien et qui ne pêche jamais. Autrement dit, on est tous dans le même bateau, les uns et les autres. On attend tous, à notre point de départ, cette maladie qu'est le péché. Nous sommes tous dans cette situation qu'on est comme il faut ou non. Par exemple, ce petit bébé, tout neuf, tout beau, tout rose, que vous avez dans les bras parce que vous êtes grand-père ou grand-mère et que vous admirez, est-ce qu'il est pécheur ? Oui. Est-ce qu'il est condamné à mort ? Oui. Est-ce qu'il a commis des péchés ? Non. Est-ce qu'il est coupable ? Oui. Est-ce qu'il est responsable ? Non. Il est à peine né mais il est parti pour mourir. Pourtant il n'a rien fait. Mais il est pécheur. Pas parce qu'il a commis ou pas commis, il est pécheur parce qu'il est né de l'humanité. Et dans ce sens-là, nous en sommes tous au même point. Le salaire du péché, c'est la mort. Mais attention, pas la mort que nous connaissons là, la mort-sommeil comme la Bible l'appelle. Il est question de la mort-destruction. Référence à ce qui était dit dans la Bible de la Genèse, vous vous souvenez quand Dieu parle à Noël, il dit le jour où vous en mangez, vous allez mourir de mort littéralement. Pour faire comprendre que ce n'est pas la mort de sommeil là. La mort de sommeil c'est juste quelque chose qui permet à Dieu de gérer le temps. La mort dont il est question c'est la destruction. C'est la destruction que Dieu accomplit à la fin des temps pour détruire le mal et les pécheurs. Il y a un texte dans le livre du prophète Esaïe au chapitre 66. C'est un texte qui est troublant. Et dans ce texte, Dieu parle par le prophète et il dit, l'éternel, ceux que l'éternel tuera à la fin des temps seront en grand nombre. C'est pas simplement qu'ils vont mourir, point. Non, non. Quand Dieu, je ne sais plus si je disais ça à l'un d'entre vous l'autre jour, quand Dieu détruit le mal, il fait le bien. Quand Dieu détruit les pécheurs, il fait le bien. Parce que le mal n'est jamais bien. Donc la destruction du mal par Dieu à la fin des temps, c'est Dieu qui fait le bien. Et c'est la raison pour laquelle on ne peut pas envisager qu'il y ait un enfer qui dure éternellement. S'il y a un enfer qui dure éternellement, il y a le barbecue du Seigneur là. Ça veut dire que Jésus n'a pas été suffisamment, le mythe, le mystère de Jésus n'a pas été suffisant pour résoudre le problème du péché complètement. Donc quand il est question ici du salaire du péché qui est la mort, c'est la destruction que Dieu accomplit à la fin des temps pour détruire le mal définitivement. Très important. Donc on n'est pas en train de parler ici de quelque chose qui est sans importance. Le salaire du péché, c'est la mort. Et nous sommes tous dans cette situation. Tous. C'est-à-dire tous des candidats à la destruction que Dieu fera du mal. Je suis simplement en train d'essayer de vous donner envie de saisir le plan que Dieu va donner pour sortir de là. Vous me suivez ? Le péché, c'est une séparation entre nous et Dieu. Dans Ésaïe 59, il est dit non, la main de l'Éternel n'est pas trop courte pour sauver, ni son oreille trop dure pour entendre, mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu. Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face. On prenait l'illustration d'un interrupteur qui va interrompre le flot du courant. Si on touche un interrupteur, le courant va s'arrêter et la lampe va s'éteindre. L'image de la mort. Le péché, c'est une relation rompue. Une relation vitale rompue. Donc la solution du péché va être de reconstruire la relation qui est cassée. C'est dans ce sens-là que Jésus a un rôle essentiel pour nous dans la reconstruction de cette réconciliation. Dieu était en Christ réconciliant le monde avec lui-même. La solution au problème du péché va être de reconstruire la relation qui a été cassée dans l'un de l'autre. Lorsque Adam et Ève ont péché, ils n'ont pas péché quand ils ont croqué la pomme, ou peu importe le fruit que ça voulait être. En fait, ils ont commis cette action-là en conséquence du choix qu'ils avaient déjà fait avant. Et le choix qu'ils ont fait avant était en fonction de ce que le diable leur avait dit. Écoutez, Dieu vous a raconté des histoires. Si vous m'écoutez, vous serez comme Dieu. Et ils ont acheté ça. Ils ont dit, on peut être comme Dieu nous aussi. Parfait. Ils ont donc choisi d'obéir à sa jambe plutôt que d'obéir à Dieu. Et on obéit à qui ? On obéit à celui qu'on reconnaît comme étant notre maître. Ils ont changé de maître. Autrement dit, ils ont débranché le courant chez Dieu, où il y avait la vie, et ils ont rebranché chez le diable. Il n'y a pas de vie là. Il n'y a pas de courant. Il n'y a pas de vie. Et c'est pour ça que Dieu leur avait dit, le jour où vous en mangez, vous mourrez. Parce qu'ils sont morts. Non. Et oui. Prenez un ventilateur. Vous avez un ventilateur qui tourne, et vous tirez la prise. Comment est-ce qu'il va s'arrêter ? Il va continuer à tourner, jusqu'à ce qu'il s'arrête. Mais en fait, le moment où vous avez débranché, il n'y a plus de force. Il a tourné sur l'élan qu'il avait. Mais il n'y a plus de force. Il est mort. Le jour où vous en mangez, vous mourrez. Et ils sont morts là, et nous avec. Voilà la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui. Alors, on va prendre le texte qu'on a vu tout à l'heure. Le texte qu'on a vu tout à l'heure nous parlait comme par une seule offense. La faute que Adore a commise, avec elle, quand ils ont renoncé à suivre, à obéir à Dieu, qu'ils ont préféré obéir à l'autre. Seulement, le texte nous disait que par une seule offense, la condamnation a atteint tous les hommes. Cette condamnation, c'est la mort. La mort éternelle dont on parle tout à l'heure. Et de cette manière là, nous avons le problème du péché qui s'étend à tous les êtres humains que nous sommes. Vous vous rendez compte que cette famille des pécheurs n'a pas beaucoup d'espoir. On est tous dans cette situation d'être condamnés pour la destruction permanente et éternelle. Voilà ce qu'est le péché. Voilà ce que fait le péché. Alors maintenant, je voudrais continuer à comprendre ce qui se passe parce qu'il y a deux parties dans ce message. Ainsi donc, comme par une seule offense, la condamnation atteint tous les hommes. J'ai ici maintenant un problème. Parce que Adam avait un choix. Ce choix, la coupée de Dieu. Le fait d'être coupé de Dieu, l'a conduit à la mort. Et moi avec. Et je dis à Dieu, il y a quelque chose qui ne marche pas dans cette affaire. Je n'accepte pas de porter les conséquences du choix que M. Adam a fait. Ce n'est pas juste. Parce que moi je n'ai rien demandé. Et on n'a pas fait choisir quoi que ce soit. Donc il y a quelque chose qui ne marche pas dans cette histoire. Adam pêche et moi je meurs. Ça ne marche pas. Et Dieu me dit, tu as raison. Dieu me dit, tu as raison. Je vais corriger ça Dieu. Pour corriger ça, je vais te donner à faire un choix de la même nature que le choix d'Adam. Parce que moi je peux dire, si j'avais été à la place d'Adam, je n'aurais pas croqué la femme. Elle peut-être, mais moi pas. Et Dieu me dit, ok, je vais te donner un choix semblable. On verra si tu fais mieux. Je vais te donner un choix semblable à faire. Le même choix. De manière à ce que tu ne puisses pas dire que tu vas mourir pour la faute ou le choix de quelqu'un d'autre. Tu vas faire ton propre choix dans cette affaire. Et de cette façon là, tu vas pouvoir garder en ta main, ta destinée est terminée. En haut ou en bas. Le texte continue et nous dit, ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les autres. C'est de ça qu'on a fait. De même, par un seul acte de justice. La justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes. Dieu veut nous offrir cette justification. Alors il faut qu'on continue notre dessein. Voilà où on était tout à l'heure. Adam, numéro 1, tombe dans le péché et emmène tous les êtres humains à la mort éternelle. Et je dis à Dieu, ça ne marche pas. Dieu me dit, ok, je vais te sortir de là. Alors, Dieu va envoyer un Adam numéro 2, un nouvel ancêtre. Et cet ancêtre là, va en fait relever le défi que Adam a laissé tomber ici dans la chute. C'est à dire, l'Adam numéro 2, celui qui va remplacer Adam numéro 1, va vivre une vie sans péché. Il ne va pas tomber. Cet Adam là, il vient du ciel, il vient de la terre. Il est homme et il est Dieu. Et il s'appelle Jésus. Et Jésus va mener une vie sans péché. Le texte nous disait, de la même manière qu'Adam numéro 1 nous a emmené dans le péché, Adam numéro 2, par sa vie sans péché, nous amène à la vie éternelle. Alors, si le péché nous amène à la mort, le non-péché nous amène à quoi ? Ne pas péché nous amène à la vie. N'est-ce pas ? On se retrouve tout d'un coup avec une situation où nous avons un ancêtre, pardon, où nous avons un ancêtre, Adam numéro 1, qui nous emmène tous à la mort. Et Dieu dit, voilà, je vais te donner le choix avec un nouvel ancêtre. L'ancêtre numéro 2, le père d'une autre famille. Et cette famille-là, pardon, va constituer la famille des enfants de Dieu, mais qui sont tous en marche pour aller à la vie éternelle. Deux ancêtres, un qui nous emmène à la mort, l'autre qui nous emmène à la vie. Vous voyez ça ? Est-ce que vous avez de la difficulté à choisir ce que vous voulez faire ? Écoutez, on parle français, mais ça a l'air libre ça. Ok ? Écoutez, vous voulez choisir quoi ? A quel ancêtre est-ce que vous voulez appartenir ? Est-ce que c'est compliqué à comprendre ? Alors, il y a dans le texte, ce mot qui est compliqué par contre, de même par un seul acte de justice, de la justification qui donne la vie, c'est un à tous les hommes. Dans la Bible, le mot justifier, le mot justification, ne veut pas dire devenir juste. Il veut dire être considéré comme juste. C'est un mot de justice, c'est un mot juridique. Considéré comme juste. Mais quand je suis considéré comme juste, est-ce que je suis juste ? Non. Mais on me regarde comme si. Prenez l'exemple d'un assassin, d'un meurtrier, d'un individu épouvantable qui est enfermé à vie et condamné à mort. Et il va demander la grâce de la reine, non du roi maintenant. Il va demander la grâce du roi. Et il va obtenir la grâce du roi. Et on va lui ouvrir la porte de la prison et il va dire « Ah monsieur, vous pouvez sortir ». Il est libre, on va le considérer comme quelqu'un qui n'a pas commis tout ça, mais il est encore le meurtrier, l'assassin, etc. Mais on va le considérer comme quelqu'un qui n'a pas fait et qui va donc jouir des privilèges de quelqu'un qui n'est pas un assassin, un meurtrier. Le meilleur terme que l'on peut comprendre en français, pour essayer de voir de quoi il s'agit, c'est le mot « gracieux ». Celui qui obtient la grâce. Mais personne ne va obtenir la grâce avant d'être condamné. Pour obtenir la grâce, il faut qu'on soit condamné. C'est comme Jésus. Jésus n'a jamais ressuscité des malades. Jésus ne va ressusciter que des morts. Donc il va falloir que je sois condamné pour pouvoir bénéficier de la grâce. Mais nous sommes tous condamnés. Donc nous sommes tous à disposition de la grâce. Ce mot « justification » nous montre à quel point on est considéré comme juste et le texte de Colossiens 3 nous aide à comprendre ça. Un texte très intéressant qui nous dit « Si donc vous êtes ressuscité avec Christ, cherchez les choses en haut où Christ est assis à la droite de Dieu. Car vous êtes mort et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. Quand Christ votre vie paraitra, alors vous paraitrez aussi avec lui dans la gloire. » Alors ce texte est curieux parce que l'apôtre Paul dit « Vous êtes mort. » Mais j'ai accepté Jésus Christ pour avoir la vie. Il dit non, non, non, vous êtes mort. Mais vous êtes caché devant Dieu en Jésus Christ. Ce qui veut dire que quand Dieu me regarde, il ne me voit pas moi. Il voit Jésus qui est devant. Mais écoutez, vous réalisez la grâce que c'est. Dieu refuse de me regarder comme je suis parce que j'ai accepté Jésus comme mon sauveur. C'est mon sauveur qui regarde, pas moi. Ce qui veut dire que finalement, quand je suis justifié, pour reprendre le mot de notre texte, Dieu ne me regarde pas tel que je suis. Il me regarde au travers de Jésus en qui je suis caché. Mais dans Jésus, il n'y a pas de péché. Dieu me regarde alors comme si je n'avais jamais péché. Est-ce que vous réalisez, mes amis, à quel point c'est une grâce inexplicable. Dieu est prêt à me regarder et à regarder chacun d'entre nous comme si on n'avait jamais péché. Il refuse de nous voir, il va regarder Jésus à la place et en Jésus il n'y a pas de péché. C'est une image qui essaie de nous faire comprendre l'immensité de cet amour et de cette grâce de Dieu qui en Jésus nous cache, nous qui sommes des pécheurs. Nous sommes considérés comme justes. Ce qui est compréhensible parce qu'il y a le deuxième problème. On a encore le deuxième problème d'être péché. Alors comment est-ce que je peux le faire ? Parce que le dessin qu'on a vu tout à l'heure, moi je veux sortir de la ligne d'en bas et passer dans la ligne d'en haut. Je ne veux pas continuer dans cette famille d'avant qui m'emmène à la mort. Je veux passer dans la famille de Jésus qui m'emmène à la vie. Comment est-ce que je peux faire ça ? Comment est-ce que je peux changer d'ancêtre ? Comment est-ce que je peux sortir de la ligne d'en bas et passer dans la famille dont Jésus est le nouvel ancêtre ? Alors voilà où on en est. Et moi je voudrais faire ça. Je suis là et je voudrais passer là. Comment est-ce que je vais faire ça ? Comment est-ce que je peux échapper à cette famille qui m'emmène à la mort ? Comment est-ce que je peux sauter du train et passer dans ce train-là qui m'emmène à la vie éternelle ? Comment est-ce que je peux faire ça ? Dites-moi pour que je puisse le faire. J'ai voyé un texte dans l'Épître aux Romains qui nous dit « Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c'est en sa mort que nous avons été baptisés. Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que comme Christ est ressuscité des morts par la gloire de Dieu, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. Pour pouvoir passer de la famille d'en bas à la famille d'en haut, il va falloir que je meure à la famille d'en bas et que je ressuscite dans la famille de Jésus-Christ. Je ne peux pas jouer sur les deux tableaux. C'est ou l'un ou l'autre. Il va falloir que je choisisse à quel ancêtre je veux appartenir, en sachant maintenant que Adam numéro 1 m'emmène à la mort et que Adam numéro 2 m'emmène à la vie. Et c'est ici que Dieu me dit je vais te donner un choix à faire de la même nature que celui de Adam et Ève au pied de l'arbre. Même choix. Mais ce choix c'est toi qui va le faire. On va voir si tu vas faire mieux qu'Adam. Je peux donc choisir à quelle famille j'appartiens, en mourant à la famille naturelle d'Adam et en ressuscitant dans la famille surnaturelle de Jésus, par la foi dans notre Seigneur. Ce texte d'Alephite Rogala est extrêmement touchant si on le lit comme il faut. Car vous êtes tous fils de Dieu, par la foi en Jésus-Christ. Vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Quand on parle du Fils de Dieu, on parle de qui ? On parle de Jésus. Mais ce n'est pas de Jésus dont il est question dans ce texte. Vous êtes tous fils de Dieu, par la foi en Jésus. Autrement dit, à partir du moment où, baptisés en Jésus-Christ, on a accepté d'être revêtus du caractère de Jésus, Dieu ne nous regarde plus comme on est, il nous regarde de la même manière qu'il regarde le Fils de Dieu Jésus à notre place. Waouh ! C'est drôle, n'est-ce pas ? Dieu me regarde, moi pécheur, de la même manière qu'il regarde Jésus. Mais c'est extraordinaire ! Les mots nous manquent pour expliquer cet amour de Dieu qui fait ça pour nous. Et c'est ce qu'on disait tout à l'heure, on est cachés en Jésus-Christ. Et Dieu nous regarde comme si on était des fils et des filles de Dieu. C'est cette expérience qu'on appelle l'expérience de la nouvelle naissance. Si je dois mourir dans la famille naturelle, il faut que je vive une nouvelle naissance pour arriver dans la nouvelle famille. Et cette expérience de la nouvelle naissance, ce n'est pas un coup de foudre émotif qui un jour va me tomber dessus, qui va me faire sentir des choses bizarres partout. Et après ça, je vais dire, j'ai été converti tel jour à telle heure. Pas sûr ! Parce que dans les Écritures, la nouvelle naissance n'est pas un coup de foudre, c'est un processus. Un processus dont le baptême va être l'expression à la fin. Qu'est-ce que c'est que ce processus ? Numéro un, la repentance. La repentance, c'est de reconnaître que je suis pécheur qui ne mérite pas la vie éternelle. Notez une chose, c'est que la repentance n'est pas le regret d'une faute qu'on a commise. Je vais vous donner deux exemples, deux scénarios. Scénario numéro un. Il y a un petit garçon qui va à l'école, et à l'école, ses amis lui donnent des bonbons, ils ont toujours un sac plein de bonbons, et ils lui donnent des bonbons que je n'en ai jamais. Alors il se dit, il faut que je puisse m'en servir des bonbons quand même. Et il réfléchit, il se dit, si je prends une pièce de deux dollars, dans le porte-nez à maman, elle ne verra pas. On prend une pièce, on l'achète au petit magasin avant d'aller à l'école, on l'achète dans un sac de bonbons, et il est devenu le gars populaire parce qu'il donne des bonbons à tout le monde. Quelques jours après, sa maman lui dit, dis donc, est-ce que tu as pris l'argent dans mon porte-monnaie ? Ah maman, maman, je ne le saurai plus, je ne le saurai plus, maman, je ne le saurai plus. Scénario numéro deux. Un petit garçon qui va à l'école, ses copains ont tous un sac de bonbons, lui, il n'en a pas, et il se dit, si je prends une pièce dans le porte-monnaie à maman, elle ne verra pas. Il va prendre une pièce dans le porte-monnaie à maman, il s'arrête au petit magasin, il achète un petit sac de bonbons, et il est de nouveau un garçon populaire parce qu'il a des bonbons à donner. Le soir, il rentre à la maison, il dit, il a un cœur bizarre, et puis ça ne va pas, il dit, et alors il est allé se coucher, il dit, maman, oui, qu'est-ce qu'il y a ? Maman, qu'est-ce qu'il y a mon garçon ? Maman, j'ai pris une pièce dans ton porte-monnaie. Où est ma repentance ? Scénario numéro deux. Et on a les deux aspects de la repentance avec Judas, qui ne se repent pas mais qui va se rependre, et Pierre, il dit le texte, il pleura clairement. La repentance n'est pas un acte mauvais que l'on regrette. La repentance, c'est regretter le mal qu'on a fait à quelqu'un par l'acte en question. C'est-à-dire que c'est encore une fois quelque chose de relationnel. Parce que tant que je regrette les mauvaises actions que j'ai commises, je n'ai pas rétabli la relation qui a été brisée par ça. Donc quand on parle de repentance, on reconnaît qu'on est un pécheur, mais on se reconnaît par le même chemin que ce que nous sommes à exiger, demander, que Jésus meure sur la croix à notre place. Et on reconnaît que notre vie fait du tort à Dieu. Premier pas, la repentance. Deuxième pas, la confession. La confession, c'est être capable, et ça va avec, de dire la vérité en ce qui nous concerne. Si je ne suis pas capable de dire la vérité en ce qui me concerne, je n'ai pas encore véritablement vécu ce qu'est la confession. Est-ce que je suis capable de dire la vérité à propos de moi ? Numéro 3, la conversion. Cette fois-ci, c'est accepter de changer de vie et abandonner ce que je sais être mal. Il n'est pas question de dire, ah, mais je vais être baptisé, je vais accepter Jésus, et c'est parfait, je suis dans le train qui va au ciel, boum ! Non, non. Parce que Dieu ne veut pas simplement me sauver, Dieu veut aussi me transformer. Dieu ne va pas prendre le risque d'emmener dans le royaume des cieux des citoyens qui vont refaire le même problème qu'il y a eu au départ. Par conséquent, tous ceux qui vont rentrer dans le royaume des cieux seront des citoyens transformés, et qui seront passés par une expérience telle que cet amour de Dieu les aura transformés, changés, et qu'il n'y aura pas un qui va recommencer le problème qui est à l'origine de tout ce que nous vivons aujourd'hui. Pas un. Donc être sauvé, c'est une chose, être transformé dans notre caractère, c'est une autre chose. Et ce que le Seigneur voudrait, c'est que nous puissions être transformés dans notre caractère. Et lorsqu'on est transformé dans notre caractère, et là je vais un petit peu au-delà de moi-même, c'est parce qu'on est transformé dans notre caractère qu'on pèche de moins en moins, qu'on commet de moins en moins de péchés. Et c'est la raison pour laquelle je dois me concentrer sur cette relation avec Dieu, pour que le problème des péchés prenne soin de l'humain. Ertriem, pas dans cette démarche de la nouvelle naissance, accepter le baptême comme signe de mon alliance avec Jésus et de ma volonté de changer de vie par sa force. Le baptême n'est pas la nouvelle naissance. Le baptême est l'expression publique, le signe d'une expérience que j'ai vécue avec Dieu et qui me conduit à en vivre une image représentative de cette mort à moi-même et de cette résurrection dans la nouvelle vie. C'est donc tout un processus. Ce n'est pas une émotion extraordinaire qui va me faire changer dans mon cœur en un rien de temps. C'est un processus que je suis invité à vivre et qui consiste en réalité à reconstruire la relation qui a été brisée par ce qui s'appelle le péché. Alors où est-ce qu'on en est ici ? On était là tout à l'heure. Je me demandais comment est-ce que je vais faire pour passer de cette famille à l'autre par le baptême, c'est-à-dire toute l'expérience de la nouvelle naissance qui va venir et qui aboutit au baptême. Seulement voilà, quand je lis cette expérience-là, je suis en train de faire un court-circuit, c'est-à-dire que je court-circuite ce développement qui m'amène à la mort et moi je passe, pouf, à la vie. Et je loue le Seigneur pour la grâce qu'il me fait de passer à côté de la mort. Mais, mais, ah là il y a des indications qu'on a faites, c'est la justification, le pardon, le texte. Seulement voilà, mais cette solution qui est gratuite pour moi n'est pas gratuite pour Dieu. Elle a coûté cher à Dieu. Elle a coûté la vie et la mort à Jésus. Et nous pensons généralement au sacrifice de Jésus, on pensera à la croix, ce qui est jugé. Mais le sacrifice n'a pas commencé à la croix, le sacrifice a commencé lorsque Jésus a accepté de devenir un humain, Dieu qui accepte de devenir un humain dans une carcasse après 4000 ans de dégénérescence, humiliation inimaginable, déjà pour commencer, le sacrifice a commencé là. Et il s'est continué jusqu'à ce que nous le mettions à mort comme un bandit. C'est un sacrifice qui a coûté cher à Dieu. Alors nous sommes dans ce dessin. Mais moi qui ai court-circuité cette histoire de la mort ici, et qui suis passé à côté parce que je suis mort à cette famille et j'ai ressuscité ici, en réalité, la mort a été prise par Jésus à ma place. Parce que Jésus avait beau expliquer à ses disciples je vais mourir, je vais ressusciter, mais quand il était sur la croix, dans une situation où il a vu la séparation définitive avec son Père, mon Père, pourquoi m'as-tu abandonné ? Pour la première fois de l'histoire de toute l'éternité, le lien entre le Père et le Fils a explosé. Pour que je puisse avoir l'avis qu'il a pris ma mort. C'est la solution que le Seigneur apporte au problème du péché. De sorte que je puisse être regardé par Dieu comme si je n'avais jamais péché. Mais il y a un deuxième problème. Le problème des péchés. Comment on va faire avec les péchés ? Ce texte dans un texte hallucien met la barre tellement haute que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entier. Et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps soient conservés irréprochables lors de l'avènement de notre Seigneur Jésus, celui qui nous a appelés fidèles et c'est Lui qui le fera. Mes amis, irréprochables. Alors, notez bien entendu que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps il n'est pas ici question de la fabrication de l'être humain qui est fabriqué de deux éléments seulement. Il est question ici des différentes dimensions dans lesquelles l'être s'exprime. Et le texte nous dit, il n'est pas question de la création, il est question de la sanctification. Où ça c'est encore un mot compliqué. Il est très facile de comprendre. Changer, sanctification par transformation. Le Seigneur ne veut pas seulement nous sauver, il veut aussi nous transformer au point que dans tous les domaines de notre être, la partie spirituelle, la partie mentale, la partie physique et aussi la partie sociale, nous soyons irréprochables. Moi, je ne peux pas faire ça. C'est pour ça qu'il ne faut jamais lire ce texte verset 23 sans lire le verset 24. Celui qui nous a appelés est fidèle et c'est Lui qui le fera. Dans le livre d'Ézéchiel, nous avons le même enseignement. Et notez bien une chose. Le texte des Thessaloniciens est dans le Nouveau Testament. Vous allez me dire, oui, bon ça c'est le Nouveau Testament. Mais dans l'Ancien Testament, on a exactement la même chose. Il n'y a pas un plan du salut pour les gens avant Jésus et un plan du salut pour les gens après Jésus. Il n'y a pas un plan du salut pour les Juifs et un pour les Canadiens. Il y a le plan du salut pour l'humanité. Car Dieu a tant aimé le monde. Ézéchiel chapitre 36, regardez bien. On pourrait prendre toute une heure pour analyser ce texte. Il est dit, je mettrai en vous mon esprit et je vous rendrai ainsi capables d'obéir à mes lois, d'observer et de pratiquer les règles que je vous ai prescrites. Dans l'Ancien Testament, Dieu a dit, vous ne serez pas plus capables d'observer mes lois avant Jésus qu'après. Le seul moyen par lequel vous serez capables d'observer mes lois et de vivre de manière en harmonie avec la façon dont on vivra dans l'éternité, c'est parce que je vais vous donner mon esprit. Recevez mon esprit. Si vous n'en voulez pas, débrouillez-vous. Mais vous ne pourrez pas y arriver. Autrement dit, le remède pour le problème numéro deux se trouve ici. Dieu a promis de nous donner son esprit pour que nous soyons capables d'avancer. Et remarquez, l'obéissance au commandement de Dieu n'est possible que par l'action du Saint-Esprit en nous. J'obéis au commandement de Dieu parce qu'il m'a sauvé d'abord. Pas pour être sauvé. Parce que si j'obéis pour être sauvé, je retombe dans le clan des pharisiens contre lesquels Jésus s'est constamment buté pendant tout le temps de sa vie. Mais si j'obéis au commandement parce que j'ai été sauvé, j'ai été sauvé et je n'ai plus rien à faire pour être sauvé. Je suis sauvé. Et je reprends constamment cette illustration. Je n'aime pas faire la vaisselle. Et quand ma femme était là, je faisais la vaisselle. Pas pour que la vaisselle soit propre, parce que moi la vaisselle ce n'est pas mon affaire. Mais je faisais la vaisselle parce que je voulais être avec ma femme et lui dire à quel point je la soutenais dans sa tâche. Mais si je ne faisais pas la vaisselle, j'étais quand même son mari. Le fait de laver la vaisselle avec elle n'a pas fait que je sois son mari. C'est parce que j'étais son mari et parce qu'elle était ma femme que j'ai décidé de faire la vaisselle. Dans un tout autre état d'esprit. Bon ça c'est une illustration pour les messieurs. Mais je pense que vous pouvez tous comprendre ce que je veux dire. J'obéis au commandement de Dieu parce que je suis sauvé. Comment est-ce que je peux ? Parce que j'ai été baptisé au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit et que le Seigneur m'a promis de donner son esprit pour que je sois capable de veillir avec sa force à lui. Parce que la mienne n'y arriverait pas. C'est notre réponse en découvrant l'immense amour de Jésus qui nous offre d'être sauvés par son sacrifice. La transformation de ma vie est nécessaire pour être prêt au retour de Jésus. La transformation de mon caractère s'appelle la sanctification. La transformation de mon caractère. Et mon caractère transformé me met dans une situation où j'aurai de moins en moins l'attirance vers les péchés. Mon Épître aux Hébreux, il est dit rechercher la paix avec tous et la sanctification. Sans laquelle personne ne verra le Seigneur. Et je vous disais en commençant, on a deux problèmes. Il nous faudra prendre la solution à l'un et à l'autre. Pas d'économie en prenant l'un ou l'autre. La sanctification sans laquelle personne ne verra le Seigneur. Sans laquelle personne ne verra le Seigneur. Ce que Dieu dit, c'est votre sanctification. Parce que Dieu voudrait voir en nous les fruits de l'Esprit qu'il a promis de nous donner. Je suis le Saint, vous êtes les saints. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruits. Car sans moi vous ne pouvez rien faire. Sous-entendu de bon. Il y a des valeurs qui tiennent debout. Vous allez faire ça vous-même. Mais finalement, vous allez retomber dans ce cas-là de je fais ça pour être sauvé. Vous ne pouvez rien faire. Demeurer en moi. C'est l'image que je reprenais tout à l'heure. Le péché c'est cette relation cassée. Et si je veux résoudre le problème du péché, il faut que je reconstruise la relation. Le plus gros travail que nous avons à faire, ce n'est pas de lutter contre le péché. C'est de lutter contre tout ce que le monde et l'ennemi mettent sur notre chemin pour ne pas reconstruire, solidifier, entretenir, développer, fortifier cette relation que Seigneur nous invite à recréer avec nous. Le monde dans lequel on est, l'ennemi va faire tout pour qu'on ne puisse pas reconstruire cette relation. Qu'on n'ait pas le temps pour prier. Qu'on n'ait pas le temps pour lire sa parole. Qu'on n'ait pas le temps pour méditer. Qu'on n'ait pas le temps de tourner nos pensées vers lui. On va courir à 200 km heure. Faites-en trop. Faites-en à fond. Allez-y. Travaillez pour le Seigneur à fond. De sorte que vous n'ayez plus de temps pour parler au Seigneur de l'homme dans lequel vous êtes engagé. Mais le fruit de l'esprit c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi. Ça c'est l'élimination des péchés dont on parlait tout à l'heure. Alors on a maintenant les deux problèmes résolus. L'un en bas par la justification, le pardon. L'autre en haut par la sanctification, la transformation que Dieu opère en nous. C'est l'oeuvre de toute notre vie. Si ici nous avons besoin de quelque temps pour comprendre comment ça se passe et de vivre cette expérience de la nouvelle naissance, de ce processus qui nous amène à l'engagement en vertu, la sanctification par contre c'est l'oeuvre de toute notre vie. C'est un long cheminement depuis maintenant jusqu'au moment où Jésus revient. Qu'est-ce que je dois faire pour être prêt pour le retour de Jésus ? 1. Accepter Jésus comme mon sauveur et recevoir par la foi la grâce qu'il m'offre gratuitement. Dans l'évangile de Marc, c'est en fait la fin de l'évangile, Jésus leur dit « Allez par tout le monde et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira, qui sera baptisé, sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. » 1. Accepter Jésus comme mon sauveur et recevoir par la foi la grâce qu'il m'offre. 2. Demander à Dieu de demeurer en moi par son esprit et choisir de vivre selon ses principes. Or l'espérance ne trompe pas parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous est donné. Alors aujourd'hui, j'aimerais vous inviter à répondre à cette proposition que le Seigneur vous fait, de faire nous-mêmes le même choix que Adam a fait au pied d'arbre dans le jardin d'Eden, le même choix et avec les mêmes conséquences, la vie ou la mort. Il n'y a pas d'espace gris entre les deux, c'est l'un ou l'autre. Et ce choix nous permet de tenir dans nos mains notre propre destinée. Et nous avons gardé pendant ces derniers jours tout ce qui nous annonce que Jésus revient, que nous sommes arrivés au bout du compte, quand il va revenir on n'en sait rien. Mais une chose est sûre, c'est que le Seigneur vous invite à faire ce choix là avant que ce soit trop tard. On va prier ensemble si vous voulez bien. Notre Dieu, notre Père, nous voulons ce soir te louer, te remercier pour l'immense amour que tu as manifesté envers nous au travers de ce plan de sauvetage dont Jésus est la pire maîtresse. Seigneur, nous te remercions pour Jésus notre sauveur. Nous te remercions pour ce sacrifice immense qu'il a fait pour que nous puissions être sauvés. Et je voudrais Seigneur te remettre toutes ces décisions qui ont été prises ce soir pour que tu puisses sceller ces décisions dans le cœur de ceux qui les ont prises, de sorte que ces décisions soient pour l'éternité. Seigneur, nous te remercions de ce que tu mets à notre disposition encore aujourd'hui, le salut gratuit par la foi en Jésus Christ. Tu voudrais nous inviter à porter ces fruits de l'Esprit, Seigneur, nous t'en prions. Accomplis ta promesse, répands ton esprit dans ceux qui te reçoivent et permets que nous puissions porter ces fruits de l'Esprit dont tu voudrais nous voir porter à ta gloire. Seigneur revient bientôt. Trouve-nous prêt pour ce jour-là. Nous t'en prions au nom de Jésus, notre divin sauveur.

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