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Patrick, a soldier, writes a letter to his wife, Catherine. He expresses his concern that he may not survive the upcoming battle and describes the difficult conditions in the trenches - hunger, thirst, filth, and a nauseating smell. He mentions the presence of corpses, rats, and the added torment of the cold. Patrick regrets not being able to see Catherine and expresses his hope that their unborn child will not suffer like he has. He asks Catherine to tell their future son that he had a great father who fought for France. Patrick ends the letter by telling Catherine to keep moving forward after his death. In response, Catherine reassures Patrick that she and their unborn child are doing well in the city. She tells him that the women have taken on various tasks to support the country, such as working in the fields and factories. Catherine stays at home because she is pregnant and misses Patrick deeply. She spends her days thinking about him and is horrified by the conditions he describe Mère Catherine, j'ai décrit ces quelques mots, si par malheur je ne reviens pas vivant de cette bataille. Demain, nous sortirons des tranchées en laissant les quartiers indiens pour aller voir si on peut nous éliminer de gauche. Malheureusement, je suis très pressé que je ne sortirai pas vivant de cette bataille. Cependant, en ce moment, je meurs de faim, de soif et les tranchées sont sales et une odeur nauséabonde pendent. La respiration m'est difficile. Ici, la vie est dure. L'odeur des cadavres règne, les rats nous envahissent, le froid se rajoute à ses supplices. Et en plus de cela, deux de mes amis sont morts en se battant sur le front. Quelle peine j'éprouve à l'idée de ne plus te voir. J'ai appris que tu étais enceinte. J'espère que mon futur enfant ne va pas subir de telles souffrances. Quand tu liras cette lettre, il ne serait plus de ce monde, donc dis à mon futur fils qu'il a eu un père formidable qui s'est battu pour la France. Et j'espère qu'à ma mort, tu iras toujours de l'avant. Je t'aime, Catherine. Tendrement, ton cher époux. Mon cher Patrick, ici, à la ville, on va bien. Moi et ton futur enfant. Je te dirais que tu es un excellent soldat français. A la ville, les femmes ont pris le relais sur les travaux. Nous travaillons dans les plantations de blé et d'autres pour vos nourrir. Aussi, nous travaillons dans les usines pour vous fabriquer des armes, des munitions et pour garder l'économie du pays. Moi, je reste à la maison car je suis enceinte. Je m'ennuie sans toi. Je passe la journée allongée sur le lit en pensant à toi. Je suis horrifiée par les conditions de vie au tranché. Cela doit être dur pour toi. Je suis désolée que tes amis soient morts sur le front. Mais j'espère que tu vas bien et que tu ne péreras pas dans cette bataille. Malgré les situations, reste fort et courageux. Je t'aime. Catherine t'a bien aimé.