Details
Nothing to say, yet
Nothing to say, yet
Québec is regaining strength to hold a second referendum, driven by the arrival of the Nordiques and the rivalry with the Canadiens. The passion and hope brought by hockey surpasses imagination. The battles between the two teams divided families and created intense political and individual battles. The controversial disallowed goal by the Nordiques in 1987 shocked the population and intensified the rivalry. This intense rivalry is unique to Québec because hockey is deeply cherished there. Québec reprend des forces pour tenir un second référendum, quinze ans plus tard, l'arrivée des Canadiens nordiques est une raison pour la reprise du nationalisme au Québec et pourquoi on a retenté de faire un référendum pour se séparer du Canada. Leur rivalité est plus puissante du hockey professionnel au Canada, la réalité surpasse l'imaginaire et vient apporter la passion et de l'espoir aux Québécois. En 1982, les Nordiques attirent une foule record lors du premier affrontement des Nordiques de Québec contre les Canadiens de Montréal dans les séries minatoires. Le partisan québécois qui était intéressant, qui était vraiment, la foule était légendaire, c'était vraiment spectaculaire à aller voir, les pièces étaient pleines, on a vu des batailles, on a vu vraiment plusieurs affrontements. Cette réalité d'une série minatoire s'est poursuivie trois autres fois au total. Cette série avait, selon la vérité des Canadiens de Montréal et des Nordiques de Cible Assorsa, divisé de nombreuses familles québécoises en deux clans, le clan des Nordiques et le clan des Canadiens de Montréal. La bataille du Vendredi Saint, le 20 avril 1984, a vraiment secoué la province. On a vu une grosse bataille sur la glace, mais mettons aussi, c'était une bataille du niveau familial, du niveau bataille politique, une bataille individuelle, comment les personnes s'identifiaient à leur équipe, comment c'était important pour eux autres, l'équipe pour laquelle ils votaient. Le but d'Alain Côté en 1987, qui aurait amené la victoire aux Nordiques de Québec face aux Canadiens de Montréal, a été refusé. On voit par la suite un revirement pour les Canadiens après le refus, qui compte par la suite et qui va gagner le cinquième match contre les Nordiques de Québec. Dans le fond, ce but qui a été refusé par les Nordiques a vraiment choqué la population puisqu'on pensait tout qu'il était bon. J'y honte, mais les partisans des Nordiques ont pensé tout qu'il était bon. C'était vraiment un but qui a traversé la foule parce que c'était le but qui aurait remporté la série et qu'on aurait pu avancer. Mais à cause de son refus et à cause que les Canadiens ont scoré après et ont gagné, on s'est vraiment choqué. Ce n'était pas juste les équipes qui se battayaient, c'était vraiment la population. On voyait vraiment une bataille et c'était intense. Jamais on n'a vu ça dans d'autres équipes d'histoire du sport. C'est vraiment juste au Québec que ça se passait parce que le hockey est vraiment cher pour nous.