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The speaker discusses the importance of keeping one's word and the lack of trustworthiness in society. They give personal examples of people who made promises but did not follow through, emphasizing the negative consequences of not keeping one's word. The speaker highlights the significance of having a reliable and trustworthy word, drawing from biblical references. They express frustration with the current lack of trustworthiness in people and stress the importance of maintaining integrity in one's word. J'ai parlé justement d'un domaine sur lequel on ne parle jamais et qui est extrêmement important. Personne n'ose y toucher et pourtant Dieu sait que c'est important. Dieu sait que c'est important. Nous parlons des chrétiens Inch'Allah et des chrétiens me voici. C'est pas les mâles. Vous savez pas ce que c'est que les chrétiens Inch'Allah ? C'est les chrétiens Dieu va faire. Dieu va faire. Non mais Dieu va faire. Il faut que tu te prêtes parce que tu vas regretter ton frère. Dieu va faire. Non mais il faut que tu te trouves un travail. Dieu va faire. Je vais commencer par une blague. Ça se passe dans une église. Puis il y a la fille du pasteur qui vient dire à son papa. Papa, j'ai une grande nouvelle à te annoncer. Je me suis fiancée. Je veux me marier. Il prend son ravi. Quand il a ce fait, il lui présente. Puis elle arrive avec le prétendant un jour à la maison. Et puis le papa, un bon papa qui est un papa normal, il demande aux gens. Qu'est-ce que tu veux faire dans la vie ? Je ne sais pas encore mais Dieu va faire. Mais quand tu vas faire vivre notre vie ? Je ne sais pas encore mais Dieu va faire. Mais tu vas la faire vivre où ? Je ne sais pas mais Dieu va faire. Et puis il continue comme ça. Tu vas faire comment manger ? Dieu va faire. Et puis au bout de 20 minutes que ça dure comme ça. Il va à la cuisine. Il va voir sa femme et il dit. Je crois qu'il me prend pour Dieu. Voilà. Ce que j'appelle les chrétiennes qui parlent à les chrétiennes. Me voici. Alléluia. Hier, vous vous souvenez que je vous ai parlé de la légèreté des vœux. Et à quel point dans la Bible, au contraire, c'est quelque chose. C'est une parole sacrée. Et j'en ai parlé. Pourquoi ? Parce qu'on va tous, à partir de demain, se faire obliger d'aller se donner nos bons vœux un peu à droite, à gauche. Et puis souvent, c'est des vœux auxquels on ne croit pas. Alors que dans la parole de Dieu, c'est extrêmement sérieux et solide. C'est quelque chose de sacré. Au point, je vous ai cité, à travers la parole, des tas de cas où on voit même les conséquences extrêmement bénéfiques quand les gens sont fidèles. Ce qui veut dire que quand ils ne le sont pas, dans leurs vœux, eh bien, ils ne reçoivent aucune de ces récompenses qu'on a vues. Justement, elle nous parlait tout à l'heure de Anne. J'ai oublié encore ton prénom. Huguette. Huguette. Vous parlez de Anne. Et j'avais cité Anne qui avait fait un vœu à l'éternel. Elle qui attendait depuis des années, des années, des années à la souffrance à l'enfant. Et Dieu l'avait rendue stérile pour qu'elle soit amenée à faire un vœu et consacrer cet enfant à l'éternel. Et c'était très dur. Premier né, elle est obligée de le donner. Ce qui ressemblait exactement, et je l'ai dit, à Isaac. On en a parlé tout à l'heure. Je l'avais dit à Abraham. Si le Seigneur vous dit, va me le mettre maintenant sur mon origen. Ah, va mon origen. Non, non, non, non. J'attendais trop longtemps. Michel, surtout que le premier né doit porter le nom, la famille, l'héritage. C'est lui qui représente toute la suite. Oui, en plus, oui, en plus. Et donc, elle a dû le donner. Et elle l'a donné. Et c'était Samuel. Et Dieu voulait. Et après, elle a eu plein d'autres enfants. Plein d'autres enfants. Sa honte a été enlevée. Il s'est retrouvé, au contraire, avec plein d'autres enfants. Et en plus, avec la fierté d'avoir, comme premier né, un des plus grands prophètes d'Israël. Alléluia. Amen. Et personne ne la croyait, ni son mari, ni le sacré professeur Elie. Mais je vais vous parler ce soir d'un autre sujet qui est, parce que c'est aussi, je dirais, un désastre, non seulement social, non seulement économique, non seulement civilisational, mais même dans l'Église. C'est qu'il n'y a plus de parole. Les gens n'ont plus de parole. La parole est devenue plégianine. Elle n'a plus de fondement. Et j'ai dit, j'ai dit, mais manque-moi des exemples dans la parole. C'est pour ça que j'étais embêtée, parce que je ne trouvais pas des trucs. Un coup, j'ai dit, mais on a un exemple géant. On n'a même pas besoin d'y rajouter. Jésus est la parole de Dieu. Elle soutient le monde. Elle soutient toute chose. Ça veut dire que la parole est d'une importance capitale. On peut mesurer la valeur de quelqu'un à sa parole. Et je vous assure que je dis ça du haut de mes 80 et quelques pour vous dire que dans la vie, on se souvient toujours des gens qui ont de la parole, qui n'ont qu'une parole, et des gens qui sont sans parole. Et on peut compter sur les premiers, mais on ne peut pas compter sur les secondes. Et les secondes ne bâtissent jamais rien. Des pays entiers sont ravagés parce que les gens n'ont aucune parole. La civilisation est basée sur les gens qui ont de la parole. Et dans toutes les civilisations du monde, vous retrouvez des gens de parole. Et c'est presque toujours eux qui vont porter les gens, qui vont créer, qui vont bâtir. Ils ont une parole qu'on peut compter dessus. Je crois que la plupart d'entre nous pourrais donner des exemples. Moi, je vais parler de petites choses comme ça qui me sont arrivées. Mais je vais parler d'une un peu bizarre. J'habitais Évry à l'époque. Et puis, j'étais tout le temps par monts, par vaux, pour aller en Afrique, pour aller en Asie, non, pas en Asie, pardon, pour aller aux États-Unis, pour aller en Canada. Et je passais mon temps à courir depuis Évry dans les trains pour attraper mes avions, mes trains, etc. Et évidemment, la plupart du temps, avec mes grosses valises en plus, parce que je partais pour 3 semaines ou 4 semaines, j'étais content d'avoir quelqu'un qui pouvait me la porter. Et je me souviens, j'avais quelqu'un qui était chrétien, qui était dans les hommes d'affaires du plan évangile, qui habitait aussi à Évry. Mais chaque fois qu'il me disait, Michel, quand j'appelais, je lui disais, est-ce que tu peux me prendre tel jour, telle heure et m'amener même à la gare du coin, ou à l'aéroport, ceci, s'il me disait, si je lui dis 8h, 7h, à moins une, il était là. Mais quel repos sympa ! Et puis, pendant qu'on n'a pas à s'être préoccupé de ça, eh bien, on peut faire ce que le Seigneur nous donne à faire. Mais si on est là, en train de se tourmenter en disant, est-ce qu'il va être là, est-ce qu'il va pas être là, qu'est-ce qu'il faut que j'envisage comme solution de rechange, ou alors il va falloir que je trouve un taxi, etc. Je veux dire, c'est un cadeau, quelqu'un qui a une parole. Et puis, un jour, je me souviens, il n'était pas là, il ne pouvait pas m'amener à la gare, et il y avait deux chrétiennes que je connaissais, qui faisaient partie de la même église que moi, et puis je leur dis, je cherche quelqu'un qui puisse m'amener à la gare demain, et toutes les deux me disent, oui, oui, mais on va t'amener à la gare. Bon, la première, elle a oublié de se réveiller, et la deuxième, elle s'est réveillée avec une heure et demie de retard, moi j'étais en train d'attendre, à la gare de Ritz-Fort-Rangers, je me souviens encore, en train d'attendre, je vois passer un prince, parce que je ne pouvais pas porter mes falices. Et à la fin, elle a fallu que je prenne, alors, je préfère ne pas vous raconter, parce qu'en plus, j'avais pris un turette, qui tombait sur mes pieds, et j'ai dû m'arrêter en chemin, j'ai essayé d'aller, il n'y en avait pas, et puis après, je suis arrivé à la gare de Lyon, dans un état absolument affreux, j'ai rencontré deux païens qui étaient là, je leur ai dit, voilà ce qui m'arrive, s'il vous plaît, au sein de la toile, je suis tombé, pas sur des chrétiens, je suis tombé sur deux employés de la gare, parce que j'étais arrivé à l'autre bout, j'avais pris le premier ascenseur possible, et puis ils m'ont dit, allez-y, et puis je lui ai montré à une minute, mais vous vous rendez compte de quelle fatigue j'avais, avant de partir ? Qu'est-ce que vous voulez ? Ces personnes qui m'avaient promis d'être là, qui n'ont pas suivi leurs paroles, plus jamais, plus jamais, plus jamais, je n'ai fait quoi que ce soit avec elles, je n'ai plus compté sur elles, mais où elles en sont aujourd'hui ? Ce sont des personnes, on les retrouve dix ans plus tard, elles n'ont pas avancé, on ne sont pas fiables, si notre parole n'est pas fiable, nous ne sommes pas fiables, et Dieu ne nous conférera rien, je ne vais pas être sévère ce soir, je ne vais pas faire un bon message, je vais juste être efficace, c'est quelque chose, si vous saviez à quel point c'est important que notre parole soit oui, ou soit non, comme j'ai cité le verset hier soir et l'ai dit deux fois, Jésus l'a dit, et Jacques l'a répété, que notre parole soit oui, oui, que notre parole soit non, non, tout le reste vient du malin, parce que tout le reste donne une crèche à Satan pour amener la confusion, pour amener la désillusion, pour amener la déception, pour amener du problème, quelquefois, qui n'aurait jamais dû exister, tout simplement parce qu'on a des personnes Je dis ça parce qu'aujourd'hui ça devient très dur de trouver des gens qui ont une parole sur laquelle on peut se, vraiment s'appuyer, se confier, et vous disent, je suis là à 4 heures, ils sont là à 4 heures, waouh, qu'est-ce que c'est reposant, qu'est-ce que c'est reposant, on leur dit, c'est quelque chose, éventuellement je ferai témoigner Dominique parce qu'il a dû en connaître dans tous les sens avec ça, Dominique, il a organisé la marche pour Jésus pendant combien d'années qu'il a fait ça ? 15 ans, donc c'était des normes d'organisation, et bien c'était pas, déjà à l'époque ça commençait, les gens, parce que quand j'étais jeune, la parole c'était la parole, c'était quelque chose, on considérait qu'une parole qu'on avait dite était sacrée, sinon on était des menteurs, point final, on était des menteurs, c'était la vérité, quand on dit à quelqu'un, je suis là à 18 heures, tu peux compter sur moi, c'est Jésus, et puis qu'à 20 heures on n'est pas là, je suis désolé, mais quelque part, on est des menteurs, on est des parjus, les gens ont compté sur vous, et puis ils sont là, et puis ils sont en train d'attendre, et moi je vous raconterai ce qui m'est arrivé en Afrique avec des trucs comme ça, je me suis arraché les cheveux, et pourtant je sais que j'aime l'Afrique et les Africains, et que j'aime beaucoup de pays Africains, j'y suis allé beaucoup, beaucoup, beaucoup, mais qu'est-ce que j'ai pu m'arracher les cheveux, parce que quand je vous parlais de Inch'Allah, bon, il y a les prétendants, Inch'Allah, Dieu va faire de toutes les couleurs, je veux dire, c'est la base même de la civilisation, c'est si les bases sont solides, tout peut être bâti de suite, si les bases ne sont pas solides, on ne peut rien bâtir, on est tout le temps en train de flotter entre deux eaux, peut-être bien que oui, peut-être bien que là, il ne sera pas là, bon, on est en Normandie, alors ok, peut-être bien que oui, peut-être bien que non, ok, mais ça ne fonctionne pas avec les bases, quand on veut bâtir quelque chose, quand on veut penser à quelque chose, même des relations, attendez, vous avez, vous aimez, je parle femme, parce qu'il y a un marge juridique de femme, vous aimez un homme, mais vraiment, mais vraiment, vous l'aimez, vous l'aimez, c'est mieux, vous avez prié pendant 15 ans, c'est mieux, c'est qu'il me demande un mariage, et puis un jour, vous dites, tu ne veux pas, peut-être bien que oui, peut-être bien que non, non, mais écoute, bon, on va se marier, alors on va se marier le 7 juin, de l'année prochaine, ouais, ouais, je te jure, je suis là le 7 juin, le 7 juin, il n'est pas là, il dit, écoute, je suis désolée, mais j'avais autre chose à faire, je suis arrivé que le 9 juin, bon, je prends des exemples comme ça, mais c'est comme ça partout, dans la relation, dans la parole, c'est extrêmement important, alors, un jour, je demandais au Seigneur, je dis, ne voyez aucun jugement, parce que ça, c'est la même chose maintenant, dans nos pays, j'ai demandé au Seigneur, mais pourquoi, il y a tellement de problèmes, de famine, en Afrique, alors qu'ils ont des richesses extraordinaires, il y a des pays qui sont, il y a des pays pauvres, mais il y a des pays qui sont, ils ont des richesses en sous-sol incroyable, j'allais beaucoup au Congo, il y a des richesses incroyables, et puis, dans plein d'autres pays, partout le monde, etc., je dis, mais Seigneur, pourquoi, qu'est-ce qui ne va pas, qu'est-ce qui ne va pas, pourquoi, qu'est-ce qui se passe, et je crie à Dieu, pendant un bon bout de temps, et puis, le Seigneur a commencé à parler de fatalisme, et ça va avec, fatalisme, j'ai dit, Seigneur, qu'est-ce qu'il y a dans le fatalisme, ben, fatalisme, c'est, ben, on verra, si Dieu veut bien, Inch'Allah, et puis, flottement, alors, c'est le monde comme ça, mais moi, j'avais déjà, ça fait 40 ans, 50 ans que j'allais en Afrique, j'avais bien vu, que les fondements même de la société étaient disloqués, mais là-bas, il n'y a pas d'heure, il n'y a pas d'heure, mais pas d'heure, quand on dit, je suis là à 3 heures, et puis qu'on arrive à 18 heures, ben, il y a un petit problème, on a menti, on a fait attendre l'autre, et faire attendre l'autre, c'est le mépriser, ça veut dire que l'autre ne sait rien du tout, c'est une façon de le mépriser, de le faire attendre, et puis, comme ce n'est pas rentré dans la coutume, ben, la coutume, elle peut être totalement sorcière, à la base, je n'ai rien écrit, alors, ça tombe bien, non, mais, c'est vraiment un sujet qui me plaît, parce que je l'ai vécu de très près, j'ai vu les dégâts que cela faisait, qu'il n'y ait plus de parole, et je disais, heureusement, à l'époque, je disais, heureusement, chez nous, on peut se fier à eux, leurs oui et oui, leurs non et non, et puis, c'était vraiment considéré comme quelque chose, une trahison, un manque grave, que de ne pas te dire une parole, aujourd'hui, tout le monde s'en fout, donc, toutes les civilisations sont en train de s'écrouler, aussi, en grande partie, à cause de ça, et il y a, c'est dans un mot, je crois, il est écrit, la vérité a disparu de la place publique, aujourd'hui, la vérité a disparu de la place publique, tout le monde dit n'importe quoi, on ne peut plus se fier à la parole de personne, même pas des médecins, même pas des juges, d'ailleurs, à moi, je parle des juges, même pas de qui que ce soit, ça devient extrêmement difficile, j'aurais pu faire témoigner toute personne ici, mais je ne pense pas qu'elle voudrait me témoigner, mais même dans les services sociaux, dans les services, tous les services régaliens, aujourd'hui, dans nos pays, il n'y a plus de parole, il n'y a plus de truc, on ne peut plus compter sur les gens, mais tout est en train de se déliter à cause de ça, les gens n'ont plus de sens de la parole, la parole nous engage, Jésus, il est la parole, il s'engage, il s'est engagé, et il a dit, me voici, elle est arrivée, dans le monde, pour faire ce que Dieu lui a commandé de faire, et il a fait, heureusement pour nous, sinon ce n'est pas là, d'accord ? Donc, nous avons un exemple, un exemple de la parole, de Jésus qui est la parole, mais de gens qui ont une parole, qui ont une parole, on a parlé des vœux hier, on va prendre les 30 peut-être, je vais déjà prendre Galacte 3,15, mes frères, parce que ça m'a inspiré quelque chose, je ne vous parle pas de ça, mes frères, prenons un exemple de la vie ordinaire, lorsqu'un homme a rédigé son testament en bonne et due forme, personne ne peut l'annuler, ou y ajouter quoi que ce soit, vous savez que c'est à peu près ce qui nous était dit pour les vœux hier, on s'engage dans quelque chose, c'est pas nous qui ne pouvons nous dégager en disant, bon finalement, au bon moment j'ai autre chose à faire, non, on ne peut être dégagé que par l'autre, parce que l'engagement, c'est une alliance, si je serai là, c'est une alliance, l'autre compte sur vous, l'autre compte sur vous, si on dit qu'on vient aider quelqu'un à faire quelque chose, ça personne ne va compter sur vous, si vous ne venez pas, désillusion, trahison, moi je viens d'être ruché, scolié par quelqu'un, il promettait tout le temps sans jamais t'y retenir, et bien si j'avais appliqué ce principe et que quelqu'un qui fait ça n'est pas quelqu'un sur qui on peut compter, et bien jamais je n'aurais pas eu les problèmes que j'ai eu après, d'accord, j'aurais dû le faire, j'aurais dû avoir tout de suite, waouh, sa parole ne vaut rien, si sa parole ne vaut rien, l'homme ne vaut rien, ça paraît dur les paroles, mais ça veut dire que tant que notre parole ne vaut rien, heureusement que Dieu peut nous changer, si notre parole ne vaut rien, c'est que nous ne valons rien, Dieu ne peut pas nous utiliser, Dieu ne peut pas nous utiliser, moi je l'ai dit hier, que je crois, j'ai même la conviction, que si le Seigneur m'a appelé dans un ministère, c'est parce que depuis que j'étais toute petite, même complètement païenne, je me serais fait couper en morceaux, plutôt que de ne pas tenir une parole où je m'étais engagé, je veux dire, c'était comme ça, si je prends un rendez-vous, j'arrive une minute avant, je n'arrive jamais en retard, parce que ça fait partie du respect de l'autre, non seulement du respect, mais au-delà du respect, c'est que si la personne compte sur vous et qu'on n'est pas là, on lui fait du mal, on lui fait du mal, et si vos enfants en vous voient ne voient pas avoir une parole, j'ai parlé du Père Noël hier, parce que c'était encore un truc, il y en a qui rient maintenant, mais quand les enfants tout d'un coup découvrent que leurs parents leur ont menti, et bien après, s'ils veulent un jour leur parler de Jésus, ils vont se demander, le Père Noël, il n'existe pas, Jésus, est-ce qu'il existe vraiment, est-ce que ce n'est pas encore un crack ? Je veux dire que il y a quelque chose qui a été brisé, alors que c'est la confiance dans leurs propres parents. Ça n'a l'air de rien, mais c'est terrible, c'est vraiment très très important. Alors je reprends ça, c'est comme à rédiger un testament, personne ne peut l'annuler ou y ajouter quoi que ce soit. On devrait considérer nos propres paroles comme ça. On ne peut pas annuler notre parole, ni y ajouter quelque chose que ce soit, sans notre autorisation. Ok, parce que c'est nous qui l'avons dit, et que nous devons, les personnes à qui nous l'avons dit, peuvent se filer à ces paroles d'une manière absolument parfaite, est-ce qu'on est oui ou non des disciples de Christ ? Est-ce que Jésus ne faisait pas ce qu'il disait ? Si nous askerons à devenir comme Christ, les petits Christ, c'est ce que veut dire les chrétiens, les disciples, ça veut dire que notre parole doit être très forte et c'est ce qui nous différenciera parce qu'il y a beaucoup de gens dans le monde qui ont plus de paroles que les chrétiens, ça je l'ai dit hier, mais il faudrait peut-être que ça change. Et vous tous qui êtes ici, j'ai vraiment à cœur de vous dire mais quelle importance que la parole, même si vous dites bonjour, c'est un mot, vous allez dire bonjour à quelqu'un, mais vous lui souhaitez une bonne journée. Mais si dans votre cœur vous pensez avoir vu qu'elle passe un sale jardin, vous êtes un menteur. On dit c'est une formule de politesse. Non. Nos paroles ont du poids. Nos paroles ont du poids. Vaut mieux aller parler à la personne en lui disant écoute, je suis désolé, ou l'éviter, mais lui dire bonjour, c'est une hypocrisie. Hypocrisie. Ah, je tiquais un peu là. Tu déranges un tout petit peu là? Non, mais on ne rattrape jamais ses paroles. C'est ce qui est très vrai d'ailleurs. Mais oui, on peut dire des paroles qu'on ne rattrape jamais, et ça c'est bien vrai aussi, et que les paroles ne restent pas sans effet. Vous savez, il y a un proverbe satanique qui dit les écrits restent, mais la parole s'envole. Mais non, les paroles ne s'envolent pas du tout. Les paroles, elles ont un impact dans les lieux célestes, et combien d'entre nous, moi qui fais des évidences depuis des années, puisque je les ai vues, ont été impactées par des paroles dites avec légèreté par leurs parents. Ma pauvre fille, tu réussiras jamais. Malédiction. Malédiction. Et des malédictions qui peuvent perdurer toute la vie. J'en ai brisé des choses comme ça. Des pères, ah, quelqu'un ne vaut rien, ça veut dire que tu ne vaux rien. Si je suis le père qui ne vaut rien, c'est que moi-même je ne vaux rien. Et quant à l'enfant, très souvent après on les voit un peu hiérarchiques. Alors on a vu tout à l'heure que les personnes qui sont avancées, il y avait un rapport entre les deux. C'est pour ça que je l'ai fait, parce que c'est tellement important. Par exemple, en Genèse 49, il y a Joseph qui dit, non c'est Isaac, Isaac qui bénit ses enfants, qui dit, la bénédiction de ton père est plus grande que la bénédiction du père de ton père et jusqu'au corps du colis éternel. C'est-à-dire que de manière affinée. C'est-à-dire que la bénédiction d'un père, bénédiction ça veut dire dire du bien. C'est dire des choses qui vont engendrer quelque chose dans le spirituel qui va se traduire dans l'univers matériel. Donc les bénédictions d'un père sont extrêmement importantes. Donc il y a beaucoup de personnes ici qui n'ont jamais été bénies par leur père, qui ont eu des paroles au mieux, des paroles qui étaient douteuses ou pas de paroles du tout et qui n'ont jamais connu la bénédiction de leur père. Il y a comme un grand manque dans leur vie, grand manque. Bénédiction des pères extrêmement puissante et vous voyez tous les patriarches qui ont béni leurs enfants et quand justement Zerachar Moudi vit une forme de malédiction sur deux de ses enfants, il a fallu Moïse pour redresser la malédiction d'un des enfants, celui de Lévi, 400 ans plus tard. Pas rien quand même. Pas rien. Quand il parle de ce qui a beaucoup d'impact, là je prends quelque chose de particulier mais nos paroles, comprenez que nos paroles ont un effet énorme. Donc si nos paroles ne valent rien, comment Dieu peut-il nous confier des choses importantes? Pas possible. Nous devons avoir conscience que nos paroles ont une mission. C'est pour ça que le Seigneur dit quand vous priez, ne multipliez pas les paroles vaines comme le font les païens. Ah les païens prient? Ben oui, ils prient tout le temps. Ils prient leur bonne étoile, ils prient des morts, ils prient n'importe quoi, mais ils prient. Et ils prononcent des paroles, ce sont des formes de prière mais à Satan. Alors ne multipliez pas, il vaut mieux avoir peu de paroles, mais qu'elles soient des paroles de paix, d'égalité et surtout des paroles de vérité, des paroles qui nous engagent. Alors on va continuer un petit peu. J'ai parlé, on a parlé un tout petit peu d'hier, donc je ne vais pas revenir, au mariage. Aujourd'hui regardez le nombre de mariages qui sonnent, qu'est-ce que la parole qui a été donnée, un serment devant témoin, etc. Qu'est-ce qui paye les pots cassés? Les enfants. Il y a autant de divorces dans les églises que dans le monde. Il y a quelque chose qui ne va plus dans l'église. J'ai dit hier, il peut y avoir des cas où vraiment, Dieu n'est pas contre le divorce. Il a divorcé une humaine. Vous savez qui tu as divorcé? Dithraël. Amen. Il y a les lettres de divorce que j'ai donné à votre mère. Mais il est divorcé. Il y a des fois où Jésus a dit, celui qui divorce, pour adultère. Pour adultère il a le droit. On va prendre Ruth. Ruth est un personnage. Les abonnés avaient une malédiction perpétuelle sur eux. Parce qu'ils n'étaient pas venus au devant de leurs frères avec du pain, etc. Mais donc il y avait eu une malédiction très lourde. Mais Dieu fait toujours des exceptions. Merci Seigneur. Pour Ruth. Et on connait l'histoire de Ruth. Je ne vais pas reprendre toute l'histoire de Ruth. Mais je vais prendre quand même la parole qu'elle dit à un moment donné. Donc c'est en Ruth 1. Où tu mourras, je mourrai. Et j'y serai enterré. Que l'Eternel me traite dans toute sa rigueur. S'il y a autre chose que la mort, viens à me séparer de toi. Vous voyez la puissance de cette parole ? Elle l'a fait. Elle l'a exécuté. Et bien elle est compte parmi les ancêtres de Jésus. Et nous nous souvenons comment se termine sa vie que de bénédiction. A la fin de sa vie. Amen. Alors. On va voir l'exemple d'une parole maintenue. Quelqu'un peut me jeter la bouteille d'eau ? Ce serait sympa. Merci. Elle est là. Oh, il y a une vieille. Ok. Alors. Euh. Nous connaissons Pierre. Bien sûr. Et nous savons très bien que pendant la scène. Ah, Jésus. Jamais. Je ne te trahirai jamais. Jamais. Jamais. Je ne ferai jamais ça. Non. Mais tu peux demander. Je mourrai. Tout se disait d'homme d'ailleurs. Peu après, ce qui était là. Alors c'est en Matthieu. Je lis ça en Matthieu. 26, 73, 75. Peu après, ce qui était là, c'était approché. Il y a certainement qu'il y a aussi de ces gens-là. Donc là, ça se passe dans la cour. Après l'arrivée. Le lendemain même de ces paroles. Il y a certainement qu'il y a aussi de ces gens-là. Car ton langage te fait reconnaître. Alors, il se mit à faire à des imprécations et à jurer. Waouh. Qu'est-ce que Jésus avait dit ? Avant que le corps qui chantait trois fois, tu me rediras. Je ne connais pas cet homme. Aussitôt, le coq chanta. Et Pierre se souvient de la parole que Jésus avait dite. Avant que le coq chante, tu me rediras trois fois. Et d'un sorti, il pleura amèrement. Ce qui est très intéressant, c'est ce qui se passe après. Parce que Pierre, il se sent totalement indigne. Il était celui qui était toujours dire, moi je ferai ça, moi je pleure, le plus grand, machin, etc. Puis tout d'un coup, Jésus avait dit Satan vous a réclamés pour vous cribler comme du froment. Comment est-ce qu'il les a criblés, Satan ? Justement comme ça. Jésus n'a pas prié pour qu'ils ne soient pas criblés comme du froment. Il a prié pour que leur foi n'était pas le poids. Très différent. Et quand Pierre se retrouve comme ça, il comprend que tout ce qu'il a cru de lui ne valait rien du tout. Parce que tout simplement, sa parole ne valait rien. Il avait juré qu'il ne ferait jamais ça. Et puis tout d'un coup, il s'aperçoit que finalement il a été le dernier des derniers des derniers qui l'a trahi Jésus, etc. Ce que je trouve très intéressant, j'ai vu ça dans un article, c'est que on connaît la suite. Pierre, quand Jésus fait sa pêche miraculeuse, Pierre va s'approcher et puis il est peu d'eau, il est peu d'eau. Il va se dire, oh là là, je l'ai trahi, j'ai trahi Jésus, je l'ai renié, j'ai lancé des imprécations, disons que je ne le connaissais pas, je me mentis. Comment il va m'accueillir ? Mais comment il va m'accueillir ? Mais il revient. Il a du courage. Il a du courage. Jésus n'a pas eu le courage. Il a du courage. Et puis, il sait quand même, il sait déjà qu'auprès de Dieu se trouve le pardon. Et donc, il revient. Mais il emmène très large. Et on sait pourquoi Jésus va lui poser trois fois la même question. Pierre m'a mentu. Et là, Pierre ne répond pas, oui Jésus, je t'aime. Terminé. Il dit, Jésus, tu sais, toi tu sais, moi je ne sais plus rien de moi, toi tu sais, tu sais que je t'aime. Et il ne prend pas le mot agapé, qui est l'amour parfait, qui est l'amour divin, il prend le mot filier, qui veut dire, c'est mon amour amical, affectif, émotionnel, de mon propre coeur, ce n'est pas l'amour que tu attendais de moi. J'ai démontré que je n'avais pas cet amour. Et Jésus va recommencer. Et puis, chaque fois qu'il dit, tu sais, c'est-à-dire qu'il reconnait que sa parole n'a rien valide. Et il dit, tu sais que je t'aime. Toi, toi tu le sais, Jésus. Toi tu sais. Et Jésus va dire, bénévole, bénévole. Et à la fin, Jésus ne dit plus Pierre m'aime-tu, en utilisant le mot agapé, il dit, Pierre m'aime-tu en utilisant le mot filier. Et Pierre va répondre, et là, il est tout triste. Parce qu'il se rend compte qu'il n'était pas digne de ça. Mais, nous savons ce qu'il va se passer après, en fait, il est complètement pardonné par Jésus, mais le Seigneur va le transformer. Il va complètement le transformer. Quand, à la fin de compte, il ne va plus jamais être le même homme. D'accord ? Donc, je vous dis ça parce que on a un exemple de quelqu'un qui était, je dirais, qui se voyait lui-même comme absolument indigne de servir le Seigneur tout simplement parce qu'il l'avait renié, rejeté, etc. Mais Dieu connaît ce cœur au-delà de nous-mêmes et il l'a ramené. Et il a eu quand même le courage d'aller jusqu'à Jésus, parce qu'il savait quand même qu'il n'y avait que là, que j'ai trouvé la vérité. N'oublions pas que c'était lui, Pierre, qui est en Jean VI, oui, Jean VI, c'est-à-dire tous les disciples qui Jésus leur disent « Ah, mais sa parole, ils ne sont pas supportables, c'est grave ! » Et Jésus leur dit « Et vous, vous ne voulez pas y aller aussi ? » Je tourne vers les Douze. Et c'était en Jean VI, 70, non, 66, enfin peu importe, où Pierre dit « Tu as les paroles de la vie. Ayons tes paroles de la vie. Ayons tes paroles de la vie. Des paroles qui sont des paroles de vérité. Tes paroles de vérité sont des paroles de la vie. Quand ce sont des paroles, quand votre parole est solide comme un roc, les gens peuvent compter sur toi. Dans tout ce qu'on fait, ça va être un échafaudage solide. C'est-à-dire que les gens, on va devenir des rochers pour les autres, parce que Jésus est notre rocher. Jésus est la vérité. C'est pour ça que on peut s'appuyer dessus. On sait que c'est du solide. On sait que ce qu'il a dit est la vérité. Eh bien, notre parole doit être la vérité. Tout le temps. Tout le temps. Tout le temps. Quelquefois. Amen. On va continuer un petit peu. Je pourrais parler des prophéties, aussi. Dans le même créneau, parce que c'est un très gros morceau, mais je vais en parler quand même un tout petit peu. C'est terrible les gens qui croient dire des bonnes paroles et qui sont des paroles qui viennent de leur chair et qui n'ont pas du tout des paroles de Dieu et qui disent que c'est un prophétie. Je veux juste vous raconter encore une petite histoire, aussi. Parce que, bon, en 30 ans de ministère, évidemment, j'ai vécu beaucoup de choses et puis on en prend tout le temps avec le Seigneur. Tout le temps. Je ne sais plus ce que je voulais dire. Oui, mais je sais que je voulais raconter une histoire, mais je ne sais plus. Oui, prophétie. Un jour, j'étais dans une église en Suisse et qu'il y avait une femme qui avait un cancer qui était là. C'est une petite église qui est sympathique, etc. Et puis, je commence à entendre tout le monde qui va prier pour cette femme qui a fait un cancer. Et les gens commençaient à dire « Mais, Dieu le monde, qu'elle va guérir. Oui, on demande de l'échoir. On proclame la guérison sur elle. Mais, Dieu... » Et puis les parents viennent me voir et puis me disent « Ben, on nous dit tout le temps que qu'elle va guérir. » Eh bien, moi, j'avais... J'étais pas bien. J'étais pas bien. J'entendais ça. Tout le monde prophétisait « Oui, elle va guérir. Elle va guérir. On a la foi qu'elle va guérir. » J'étais pas bien. J'étais pas bien. Pas bien parce que, tout simplement, je ressens quand il y a l'énergie qui est là et puis je sentais qu'il y avait quelque chose qui tournait par en haut. Et donc, je reviens, peut-être un an après, la personne en question était morte et le passeur m'a dit « Eh bien, toute la famille a perdu la foi. » Ben oui. Mais c'est ça les fausses prophéties. C'est ça les fausses prophéties. Il y a une autre chose aussi en matière de prophéties. Je vais en parler un petit peu. C'est quelque chose qui est biblique. Moi, j'ai mis longtemps à comprendre, mais je vais le partager avec vous. C'est quand notre cœur désire tellement quelque chose qu'on va chercher partout les prophéties qui nous confirment que cela va se produire. On en a l'exemple de Balaam. Je reviendrai après. Mais je l'ai vécu. C'est ce qui m'a amené à beaucoup essayer de comprendre ce qui se passait et qu'est-ce qui se produisait. Et nous le voyons, je ne me souviens plus le passage exactement, je pense que c'est en chronique, où il y a où il y a le roi Acap qui est allé chercher le roi Israël, Jezaphat, pour l'aider dans une guerre. Et Jezaphat, qui sent qu'il n'est pas du tout sûr que la guerre vienne de Dieu, elle dit « Est-ce que tu aurais des prophètes ? » Et moi, c'est un passage que j'aime beaucoup. Si quelqu'un veut me redonner Non, non, ce n'est pas dans Michée. Non, c'est dans le prophète Michée. Ah, les prophètes Michée. Acap ne sort pas moins de 400 vrais prophètes. Je dis bien « vrais prophètes » puisque tous les faux prophètes de base avaient été décimés par Elis. 400 vrais prophètes qui viennent dire « Oui, Acap, tu peux monter un ramas, tu auras la victoire. » Waouh ! Qui dit mieux ? 400 vrais prophètes qui disent au roi « Oui, Acap, tu peux monter un ramas, tu auras la victoire. » Et Josaphat, il est là Ouh ! De Gronigui XVIII ? Oui, c'est ça. Ah oui, parce que XIX, c'est G.U. C'est bon. Eh bien, c'est Josaphat qui a une super victoire. Et donc, il est là et puis 400 et puis Josaphat, il dit « Ouais, 400 prophètes, on dit ça, mais tu n'en aurais pas un autre par hasard ? » Et là, c'est une des phrases les plus drôles de la Bible, je trouve. Personnellement, elle me fait rire là. Acap dit « Oui, j'en ai bien un autre, c'est Michel, mais je le déteste. Il ne me dit jamais rien de ce que je veux entendre. » Je trouve ça très, très drôle. Et puis, Josaphat dit « Fais-le venir, fais-le venir. Michel arrive là. Oui, tu peux monter un ramon, tu auras la victoire. Et là, Acap « Arrête, mais dis-moi la vérité ! » La phrase, elle est extraordinaire. Tu l'as là, sous les yeux ? Vas-y, viens. Tu vas me dire la vérité, vous zut ! Ce n'est pas zut, à changer de vocabulaire. « Quand il fut arrivé vers le roi, celui qui lui dit « Vous allez attaquer Ramothangala, ou dois-je y renoncer ? » Il répondit « Montez-y. Vous connaîtrez le succès et ils seront livrés entre vos mains. » Verset 15. Le roi lui dit « Combien de fois me faudra-t-il te faire jurer de ne me dire que la vérité au nom de l'éternel ? » Arrête-toi ! Alors, c'est vraiment un passage extraordinaire pour nous faire comprendre ce qui se produit en réalité. D'abord, Acap, il sait, au fond de lui, que l'ambition ne vient pas de Dieu et que c'est uniquement pour sa petite glorieuse personnelle qu'il a envie de faire ça. Il le sait. Il le sait. Il le sait que ça ne vient pas de Dieu. N'oublions pas qu'il est oint quand il a le Saint-Esprit, tout comme Joseph. D'accord ? Il est oint. Et puis, juste après, il y a Méchère qui dit « Voilà ce qui se passe dans le ciel. » Et il explique. C'est une révélation extraordinaire qui, moi, m'a beaucoup fait comprendre ce qui pouvait se passer, malheureusement, avec les prophéties, les paroles des prophètes qui ne viennent pas de Dieu. Il me dit parce que, très souvent, la personne qui les entend est aussi responsable que le prophète qui ne dit pas la vérité. Il dit, il nous transporte dans le ciel. Il voit ce qui se passe dans le ciel. Il voit Dieu avec son conseil qui est là en train de dire « Regardez mon serviteur. » Oui, c'est son serviteur. Il veut absolument monter à la ramote. Quelqu'un d'entre vous a une idée ? Moi, j'aime beaucoup la petite scène qui se passe dans le ciel. Et puis, il est écrit « Un esprit de mensonge va se présenter devant les certaines et dit « Je serai un esprit de mensonge dans la bouche de tous les prophètes. » Donc, les 400 vrais prophètes, plus Michel, ça fait 420. C'est là que Michel raconte, il le voit. Et donc, qu'est-ce qui se passe en réalité ? C'est que quand on veut absolument entendre une prophétie qui ne vient pas de Dieu, mais qui nous confirme dans quelque chose qu'on a envie d'entendre. Eh bien, le Seigneur peut dire à un démon « Eh bien, va, va te mettre dans la bouche des prophètes et qu'ils lisent ce que la personne a envie d'entendre. » Ah ! Ça veut dire que quand on va chercher les prophéties et qu'on va absolument entendre quelque chose, on ne veut pas de la vérité. On veut entendre ce qui nous chatouille les oreilles, comme il était écrit en 2 Timothée 4, car il y en aura beaucoup qui feront ça dans les derniers temps. Ils viendront parce qu'ils se donneront. Ils se donneront. Une foule de docteurs qui leur chatouilleront agréablement les oreilles. Ça veut dire qu'on veut entendre ce que notre oreille a envie d'entendre. On ne veut pas de la vérité. Et là, donc, ça nous est très bien expliqué. Voilà ce qui se passe. Ah ! Il veut le mensonge ? Je lui envoie le mensonge. Et ça rejoint 2 Thessaloniciens, 2, qu'on va lire. Je l'ai mis quelque part, mais je ne sais pas où. Quelqu'un veut le lire ? À partir de... Je vais le chercher, ça sera plus vite fait. Tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, t Tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, tchouk, t ceux qui n'ont pas reçu l'amour de la vérité soient condamnés, mais qui ont pris part à l'uniquité, soient condamnés. Donc vous voyez, c'est Dieu lui-même. Quand on n'a pas l'amour de la vérité, et quand on ne pratique pas la vérité, vous voyez un petit peu ce qui se passe. Dieu peut envoyer des démons, c'est lui qui va les envoyer en Dieu. Il ne veut pas de la vérité, mais il ne veut entendre que ce qu'il a envie d'entendre, et bien voilà ce qui se passe. Vous comprenez un petit peu le drame, le drame. Et nous savons ce que Michel a appris à Diacat. Si tu vas à Ramoth, il va dire, si tu montes à Ramoth, voilà ce qui va t'arriver, tu périras. Il monte à Ramoth, et il perd. Voilà, il n'a pas eu l'amour de la vérité, et bien Dieu lui a envoyé une puissance d'égarement, il lui a envoyé une puissance de mensonge. Nous s'exposons même des vrais prophètes à dire des fausses prophéties, quand notre cœur n'a pas l'amour de la vérité. Vous comprenez ce que je veux dire ? Et aujourd'hui, je peux vous assurer que la chose qui manque le plus, c'est l'amour de la vérité. Le mensonge déferle partout, partout. Les médias, les gouvernements, je ne veux pas le citer, du mensonge partout, mais dans l'Église aussi, dans l'Église aussi. On ne dit pas la vérité, pour ne pas se croiser. On ne parle plus des mensonges, on ne parle plus du péché, on ne parle plus de la trahison, on ne parle plus de tout ça. On ne fait plus que des discours lénifiants. Mais tout va bien, grâce au Seigneur, mais tout va bien, ne t'inquiète pas. Un des premiers messages qui m'a profondément choqué, pourtant j'étais dans une Église considérée comme la meilleure peut-être d'Europe. C'est vrai, à l'époque. Et j'entends un passeur, qui d'ailleurs après a été convaincu de péché, et de péché grave, qui fait un appel en disant, est-ce qu'il y en a ici qui ne sont pas sûrs de leur salut ? Puis qu'il va faire un appel pour amener les gens au salut. Plein, il y avait beaucoup de monde dans cette Église, plein de monde se laisse. Il dit, venez, venez, venez devant. Alors les gens avancent. Il dit, je vais prier pour que vous élayiez la conviction que vous avez le salut. J'étais là, j'avais peut-être un mois de conversion ou quelque chose comme ça. Un malaise ! Mais il dit, mais alors, s'ils n'ont pas la conviction qu'ils sont dans le salut, c'est peut-être parce qu'ils sont perdus, qu'ils ne sont pas encore rentrés du tout dans le salut. Et puis, Dieu sait que j'ai pu voir après combien de gens, on leur a fait croire qu'ils étaient sauvés alors qu'ils ne l'étaient pas. Si je demandais simplement ici, combien de personnes dans celles qui sont allées longtemps dans des Églises, parce qu'il y a beaucoup ici qui ne sont même plus dans aucune Église, mais combien sont allées dans des Églises où on leur a dit qu'ils étaient sauvés sans même vérifier qu'ils l'étaient et regarder les fruits. Il n'y en a aucun à qui c'est arrivé ? Ça veut dire que vous êtes jeunes. Parce que moi je l'ai entendu très souvent à l'époque. La parole de l'Éternel me fut adressée en ces mots. C'est Zacharie 8.17. Fils de l'homme, prophétise contre les prophètes d'Israël qui prophétisent et dis à ceux qui profondissent selon leur propre cœur. Écoutez la parole de l'Éternel. Ainsi parle le Seigneur de l'Éternel. Malheur aux prophètes insensés qui suivent leur propre esprit, qui ne voient rien et qui doivent rien. Donc, malheur, quand Dieu dit malheur, c'est malheur. Amen. En fait, la parole est très sévère. Quelquefois, elle parle de ceux qui ont connu Christ. Qui ont connu Christ et puis, par amour de l'argent, ont suivi toute personne. Et regardez ce qui est écrit en 2 Pierre 2.17.19. Car chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui. D'accord ? C'est une parole très sévère. Elle s'adresse par rapport à ceux qui ont renié la foi. Ils ont renié la foi simplement par amour de l'argent. Mais ils n'ont pas renié la foi comme ça. Ils ne se sont pas réveillés en matin en disant non, aujourd'hui j'ai éduqué. Simplement petit à petit, ils se sont déplacés et ils sont allés dans une autre direction. Alors qu'ils avaient été sauvés. D'accord ? Bon. Donc je pourrais faire un message entier dessus. Parce qu'il y en a des messages et des messages qui ont été faits. Sur soi-disant, quelque chose que vous avez peut-être entendu aussi. Mais tu es sauvé, tu l'as reproduit une fois pour toutes. Il n'y a plus de problème, tu peux faire n'importe quoi. On ne vous dit pas tu peux faire n'importe quoi. Et puis, on voit plein de gens qui se perdent comme ça. Parce qu'ils ont reçu des faux enseignements. Tout à l'heure, j'ai reçu une vision. Je ne l'ai pas donnée mais je vais la donner maintenant. Je voyais des anges avec des trompettes. Et ils étaient vraiment à l'aiguille. Mais vraiment, tous ensemble, sauvés ensemble. Est-ce que vous savez que le septième saut contient les sept trompettes et que la septième trompette contient les sept oeufs. Donc les sept trompettes en réalité, sautent ensemble. Mais je voyais pourtant une trompette qui s'arrêtait, une trompette qui s'arrêtait, qui s'abaissait comme ça. Il y avait sept trompettes. J'en vois quatre qui étaient déjà abaissées. Et je ne comprenais pas. Et puis tout d'un coup, j'ai dit mais on est dans des temps extrêmement courts. On est dans des temps très très courts. Et maintenant, on ne peut plus jouer. J'ai souvent entendu cette expression, mais elle devient de plus en plus forte. Et je ne peux vous dire qu'une des choses sur lesquelles vous êtes le plus jugé, c'est sur votre parole. Non seulement par Dieu, mais à l'intérieur de l'église et par les païens. Un chrétien qui n'a pas de parole, qui ne tient pas sa parole, qui n'a pas de parole, un chrétien qui n'a pas de parole, qui ne tient pas sa parole, même simplement parce qu'il est toujours en retard, il est un contre-témoignage terrible. Un chrétien qui n'a qu'une parole est un véritable témoignage. Même sans parler, on peut dire celui-là il est chrétien, c'est quelqu'un de solide, on peut compter dessus, il n'y a pas de problème. Il y a des chrétiens, c'est ce que j'appelle « me voici » par rapport au chrétien « Inch'Allah » parce que le chrétien « Inch'Allah » mais Dieu fera, tu feras, tu feras, puis on est là, puis rien n'est important, ce n'est pas grave, on arrive en retard, on dit quelque chose, mais ce n'est pas grave, rien n'est grave, machin, mais Dieu est trois fois ça. Les chrétiens « me voici » c'est évidemment, je prends l'exemple d'Esaïe à qui Dieu, j'ai parlé hier soir de nettoyer tous les pieds, la bouche, et toutes les paroles mauvaises qu'il pouvait avoir dit, tout prophète qu'il était, il dit je suis un homme dont les lèvres sont sales et j'habite au milieu d'un peuple dont les lèvres sont sales, ça veut dire qu'on dit souvent des mensonges, sans même s'en rendre compte ou des exagérations, pardon, pardon, aide-moi, aide-moi, aide-moi, aide-moi, aide-moi, aide-moi, je veux se dire que ma parole soit comme un cristal transparent, comme du feu, ou comme quelque chose qui ne doit pas bouger, je dois être fidèle à ma parole, sinon comment je peux faire croire, je peux faire croire aux gens qu'on peut se fier totalement à ta parole, si ma propre parole ne vaut rien ? J'ai rien dit de ce que j'avais écrit, elle est contente ça, elle dit Amen, Amen, mais je vais quand même parler de l'engagement, j'en ai parlé un peu hier, mais je vais quand même le reparler ici, parce que toutes les paroles de ta bouche nous engagent, Proverbe 6, 2, si tu es enlacé par les paroles de ta bouche, si tu es pris par les paroles de ta bouche, fais donc ceci mon fils, dégage-toi, puisque tu es tombé au pouvoir de ton prochain, tu as dit quelque chose qui est au pouvoir de la personne à qui tu as promis quelque chose, va, prosterne-toi, fais des instants auprès de lui, ne donne ni sommeil à tes yeux, ni assouplissement à tes paupières, dégage-toi comme la gazelle de la main du chasseur, comme l'oiseau du filet de l'oiseur, vous vous rendez compte un petit peu de la pointe des paroles ? Filet, on est enfermé, on est prisonnier, pour se dégager, il faut aller demander à ceux à qui on a promis quelque chose, ou devant qui on s'est engagé, c'est lui qui doit nous libérer, on ne peut pas nous libérer nous-mêmes, on ne peut pas, oh, je me dégage de ce que j'ai dit, je coupe les liens, je n'ai pas dit ça, tu vas demander à ton voisin à qui tu as dit ça, s'il est d'accord pour se dégager, s'il est d'accord, c'est très bien, prosterne-toi devant lui, ça veut dire qu'il faut vraiment insister quelques fois et puis réparer, Isaiah 55, 11 Ancien est-il de ma parole qui sort de ma bouche, elle ne retourne pas à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins, donc Dieu dit ça par rapport à sa parole, elle a un effet, la parole c'est Jésus, si nous sommes un peuple prophétique, qui parlons de la parole de Dieu, et bien, nos paroles ne reviendront pas sans effet, mais nos paroles nées aux mauvaises, nos paroles légères, nos paroles de mensonge, nos paroles de trahison, elles ne reviendront pas non plus sans effet, parce que le diable va s'en servir pour faire des divisions, pour faire des blessures, pour faire des tas de choses, des petits cas, ok ? On va continuer. Je vais prendre, là on parle des paroles de l'éternel, Jésus est 23-14, voici je m'en vais maintenant par le chemin de toute la terre, reconnaissez de tout votre coeur et de toute votre âme, qu'aucune de toutes les bonnes paroles prononcées sur vous par l'éternel votre Dieu, n'ait resté sans effet, toutes se sont accomplies pour vous, aucune n'est restée sans effet. Amen. ... C'était le verset que j'essayais tout à l'heure, c'est en jeunesse 49, c'est jeunesse 49-26, les bénédictions de ton Père, c'est là-dessus, les bénédictions de mes Pères jusqu'à la fin des collines éternelles, bon, et là on voit toutes les bénédictions qui ont été données, qui ont eu un effet sur des siècles et des millénaires, c'était pourtant des paroles d'hommes, mais, ça peut avoir un effet extraordinaire. Amen. ... Oui, c'est l'insulte, je vais m'arrêter là. J'étais un petit peu désordre, c'est pas grave, je voulais juste souligner que nous avons, nous sommes dans un temps très difficile parce que nous sommes environnés de mensonges, les médias font que des mensonges, les hommes politiques n'arrêtent pas de mentir, honnêtement, j'ai jamais vu ça, j'ai vraiment vu la décadence de la parole dans les soixante, quatre-vingt, soixante-dix dernières années en tout cas, j'ai vu vraiment la décadence de la parole, j'ai vu la manière de la balance, la parole est devenue complètement comme ça, et même quand je suis arrivé dans l'église il y a trente ans, il y avait déjà quand même quelque chose de beaucoup plus solide dans les paroles, tu es d'accord ? Tu es d'accord ? Est-ce que tu aurais quelque chose que tu voudrais partager sur ce sujet ? Viens, tu vas le faire. Dominique, comme je lui ai dit, il a fait beaucoup d'organisations et beaucoup de choses, et déjà qu'il a dû vivre des choses par rapport à ça, Philippe, tu peux lui donner ça marche ? Une, deux. Non ? Ça veut dire ? Merci. C'était simplement aussi pour faire un rappel par rapport à Inch'Allah et à ce que ça veut dire réellement et par rapport à notre rapport au temps et au retard et à la parole donnée également. Il y a un beau parallèle avec la mythologie grecque, donc c'est très vieux, mais c'est simplement pour qu'on se souvienne de comment c'est important notre rapport au temps et par rapport au rendez-vous qu'on s'est donné et par rapport à notre capacité à pouvoir être là au bon moment de notre vie, à pouvoir être là au bon moment. Donc il y a toute une mode tout à l'instant, toute une période où les passages ont beaucoup poussé sur le kairos et le chronos. Vous connaissez, vous connaissez tous. Donc le kairos, vous savez que c'est le moment opportun, c'est l'occasion de Dieu, c'est le moment qu'il faut choisir afin de pouvoir saisir sa destinée. Et le moment favorable, exactement, c'est ça le kairos. Et il y a le chronos. Le chronos, vous savez ce que c'est ? C'est le temps. C'est le temps qui passe. Et le temps a été créé par Dieu. Le temps, c'est Dieu a créé le temps, pourquoi ? Pour empêcher que le mal ait une finitude, pour que le mal s'arrête. Et quand l'homme a été créé, le temps a été créé en même temps, quand l'homme est sorti de l'édèle, et c'est l'homme qui a vu que son temps était fini. Et c'est pour ça qu'il y a eu ce rapport au temps qui est tellement important. Parce que, c'est un rapport qui est tellement précis. Alors que pour le diable, il fait tout pour le nouveau diable. Dans tout ce qu'on fait. Et chronos, qui était vraiment un démon, un dieu absolument abominable et qui mangeait tous ses enfants, il était marié avec une déesse. Il était marié avec une déesse. Il était marié avec une déesse. Et à chaque fois qu'ils avaient des enfants, il y avait une déesse qui avait des enfants. Et à chaque fois qu'ils avaient des enfants, elle se délectait de ce que chronos mangeait les enfants. Ses enfants. Et parce que elle savait que tous ces enfants-là n'atteindraient pas leur destinée. Et cette déesse a eu son parallèle dans les civilisations méditerranéennes du sud de la Méditerranée. Il y avait les grecs au nord de la Méditerranée. Il y avait toutes les civilisations dont ils étaient suisses. Les arabes, les berberes, etc. Il y avait les arabes, les berberes, etc. Et c'est eux qui ont inventé ce concept de Dieu si Dieu veut, quand Dieu voudra. C'est absolument étonnant parce que les musulmans l'ont repris en disant il va. Et donc, le fait de notre rapport au temps, le fait de si on ne respecte pas le temps, si on ne respecte pas la parole donnée, eh ben, ça fait qu'on s'associe avec cette doctrine, cette fausse pensée, cette fausse conviction, par rapport à cet initial-là. Et donc, tout l'important c'est de considérer qu'on a vraiment besoin de... de... quand on se dit neuf, quand on se donne une occasion, quand on se fait un choix, quand on prend une décision, de le tenir. Et, bon, pour la quantité que je te donne, vous savez, on a... on a eu beaucoup d'aboutissements, beaucoup de... vraiment, des moments absolument exceptionnels. Mais, à chaque fois, je me suis rendu compte qu'on ne peut pas vraiment s'appuyer sur les hommes, en termes de temps. Parce que les gens sont... les personnes sont assez légères. Et, quand Dieu dit, en termes de balance, en termes de justice, en termes de respect, je t'ai trouvé trop léger, c'est aussi par rapport à notre rapport avec le temps. Et, c'est aussi par rapport à notre rapport avec le temps. Et, bon, on a eu, dans toutes les organisations qu'on a pu réaliser, dans ce qu'on continue maintenant, vous savez, qu'on vend des avions. Curieusement, là, les gens sont à l'heure. Enfin, pas tout le monde. Il y en a plusieurs qui l'ont raté. Mais, quand il y a vraiment une urgence qui les concerne, eux, là, on a beaucoup un souci. Mais par contre, quand c'est pour les autres, il y a un souci. Et, on a, longuement, pendant des années, c'était le gros souci qu'on avait avec les organisations, avec les pasteurs, avec les églises, avec les membres également, avec les équipiers. C'était de, quand on dit, on s'organise, on fait quelque chose, bon, qui prend ça et tu viens à tel jour, à quelle heure et on fait ça à tel moment et on se repose sur les personnes. Et, bon, Michel a été, lui aussi, le gros problème c'est qu'il y a une balance sur laquelle on s'appuie et, qui ne savent pas faire, qui le prennent très légèrement, et bien, il y a une balance. Et tout ce qu'on fait, tout ce qu'on dit, tous nos engagements, tous nos voeux, tous nos voeux, tous nos voeux, et bien, ils sont pesés. Et c'est ça qui nous permet d'avoir de la lourdeur, d'avoir une position, d'avoir une autorité sur les temps et les circonstances. Et, c'est ça qui nous permet d'avoir de la lourdeur, d'avoir une position, d'avoir une autorité sur les temps. Oui. Je voudrais juste raconter par rapport à ce que dit mon épouse, c'est qu'à un moment donné, il avait eu l'opportunité d'avoir la garde républicaine, vous savez, les chevaux qui marchent comme ça, là, tous ensemble. Et puis, quand on a lu ça, on s'est dit, mais ça ne va pas du tout aller avec tout le désordre qu'il y a. Je veux dire, tous les ans, il y avait un tel désordre au milieu des humains, quoi, finalement. Oui, je sais pas, je vous parlais de la marche pour Jésus, là. Oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui. Mais en fait, ça me fait vraiment penser à ça. Les chevaux étaient tellement rigoureux, cadencés, précis. Et nous, on avait beau tous les ans dire, il faut faire ce qu'il faut faire dans tout le monde, on faisait comme il avait envie de faire. Donc, on s'est dit, souvent, en réflexion, oui, mais il faut laisser le Saint-Esprit agir. Mais le Saint-Esprit, c'est un, nous avons un Dieu tort. Et ne croyez pas que le Saint-Esprit agit que lorsqu'on est complètement dans le désordre. En fait, il agit beaucoup mieux quand les choses sont solides. Vous savez, j'ai, je suis allé beaucoup d'églises dans l'église, des centaines et des centaines et des centaines pendant, pendant des années. Et puis, j'arrivais souvent dans des églises mixtes où il y avait français africain ou suisse africain. Et j'étais toujours stupéfaite du fait que on voyait tous les français ou tous les suisses arriver à l'heure. Et puis, trois heures après, on commençait à voir, d'ailleurs, l'église commençait à changer de couleur à partir de 11 heures du matin. Et je disais, mais ils ne savent pas ce qui manque. Ils ne savent pas ce qui manque. Parce que moi, je savais que dès la première minute, Dieu avait été là, qu'il avait des guérisons. Il manquait des guérisons. Il manquait des enseignements quelquefois extrêmement précieux. Il manquait des paroles pour lesquelles ils auraient dû avoir. Pourquoi ? Et puis, je dis, mais pourtant, quand ils doivent obéir à leur patron terrestre, ils sont à l'heure. Ne croyez pas que le Saint-Esprit soit d'accord avec ça. Il n'est pas du tout d'accord avec le désordre. Nous avons le temps. Et lui qui a créé le temps, il sait pourquoi il a créé le temps. Et Dieu l'a dit, il a créé vraiment le temps pour nous et pour que nous soyons disciplinés. Dans le discipliné, il y a discipline. Et ça fait partie de la discipline. Et là, on parle du temps, mais on a parlé de paroles, on a parlé d'être fiable, d'être fiable. Comme c'est précieux, les gens, c'est précieux d'être fiable, d'être fiable, d'être fiable, d'être fiable, d'être fiable. Les gens, fiable. Si vous ne savez pas faire quelque chose, ne dites pas que vous allez le faire, parce qu'on va compter sur vous. Et puis, ça va s'écouler. Mais quand on a des gens fiables, comme c'est reposant, vous ne pouvez pas savoir à quel point c'est reposant. Et moi, je vois un délitement de la parole des chrétiens. J'ai dit, où est-ce qu'on va ? Bon, on le sait, on le sait, l'écrasement est en train de se faire. Les gens ne croient plus. Il n'y a plus, je ne sais plus ce que c'est. De vrais chrétiens, je voudrais savoir combien il y en a en France maintenant. En tout cas, ce n'est plus un pays qui est dit chrétien. Il est considéré comme un des pays les plus païens de la Terre. Mais oui, mais oui. Ah oui, plus païen, je parle païen. Je ne parle pas des pays musulmans ou des pays hindouistes ou des pays comme ça. Je parle païen, c'est-à-dire des gens qui ne croient plus en Dieu. Nous avons un des pays que je voudrais savoir si vous le voulez bien. Si vous le voulez bien, c'est qu'on puisse prendre des engagements avec le Seigneur. Mais prendre des engagements avec le Seigneur, pas des engagements qu'on ne peut pas tenir. Le problème, c'est peut-être tout simplement des prières. Seigneur, aide-moi. Aide-moi à être quelqu'un de fiable. Parce que si je suis fiable pour les hommes, c'est que je suis aussi fiable pour toi et qui va pouvoir me confier des grandes choses. Vous avez envie de servir Dieu. Vous avez envie de devenir des gens inutiles, de devenir des gens utiles. Soyez fidèles dans les petites choses, dit le Seigneur, et je vous confierai des grandes choses. Apprends-moi, Seigneur, à être fidèle. Apprends-moi à être, je ne vais prendre pas le mot fidèle, je vais prendre le mot fiable sur vous. Fiable. Ceux qui ont envie, vraiment, on va se les prier pour ça. Priez, priez, priez jusqu'à ce que vous voyez les changements. Priez, priez, continuez à prier. Parce que Dieu a besoin de vous. Mais il ne pourra pas vous dire que si vous devenez des gens fiables, que les hommes aussi peuvent, à qui ils peuvent se fier, à qui ils peuvent confier des responsabilités, à qui ils peuvent confier des tâches, sur qui ils peuvent s'appuyer pour faire des choses. Parce que si on n'a personne de fiable autour de soi, on fait des choses et si on n'a personne de fiable autour de soi, on ne fait rien. On ne peut rien faire tout seul. Rien faire. On a besoin de gens fiables autour de nous. Je pense que si je demandais à la Gérente si ce n'est pas quelque chose de très utile, je pourrais demander à n'importe qui qui est dans des services régaliens au niveau de l'État, des écoles, dans la médecine, on a une femme médecin avec nous, est-ce qu'elle ne le voit pas autour d'elle ça ? Elle est là ? Oui, elle est là. Est-ce que ce n'est pas vrai ce que je dis ? Parce qu'elle est dans des services de hiérarchie. Sois palliatif. Pardon ? Les familles ne tiennent pas leurs engagements. Est-ce que ce n'est pas une douleur épouvantable pour les malades ? Non, vous avez envie vous pouvez venir les emmener ici. Ben oui, c'est partout, partout, on souffre de ça, de gens qui n'ont plus de parole. Alors vous voyez par rapport même à des mourants, parce que ce sont des mourants, les familles promettent de venir, de ne pas venir, ou de venir les aider ou n'importe quoi, ils ne sont pas là. Ils ne tiennent pas leurs paroles. C'est terrible, c'est terrible parce que il n'y a pas de meilleur moyen que de faire croire qu'il n'y a pas de Dieu. Il ne faut pas être fiable, il ne faut pas être fiable. Qui a envie de prier pour pour ceux qui ont envie de devenir des gens fiables ? Et on peut tous on peut tous supplier Dieu de devenir totalement, je veux dire, totalement. Mais certains un peu plus que d'autres parce qu'ils n'ont pas l'étude élevée dans cette image de l'importance d'être des gens fiables et d'être des gens de paroles lourdes. Des gens, oui, ils appellent ça des gens lourds, des gens solides. Et croyez-moi que les chefs d'entreprise souffrent de ne pas avoir ça. Dans tous les services régaliens, c'est une catastrophe des gens fiables, des gens fiables. Qui a envie de devenir quelqu'un fiable, sur qui Dieu peut s'appuyer ? Moi, et bien on va le demander à Dieu. Qui a envie de prier pour ça ? Tu prends ? Oui, parce que toi, tu es en plus très concerné, oui. Tu voulais dire quelque chose ? Non, je voulais prier, mais il y a quelqu'un qui marche. Ah, oui, oui, je suis d'accord parce qu'il est organisateur et qu'il n'arrête pas d'apporter effectivement sa prière. Père, tu nous as parlé ce soir de fiabilité, de fidélité, de justice, de constance, de consistance, de bénissandise, de parole. Seigneur, si on monte aujourd'hui dans la balance, nous sommes autant qu'on désire, que ce soit le coeur devant les âmes, à tes yeux, on est le meilleur. Père, je te demande, au nom de tous ceux qui sont ici ce soir, viens renverser la terre afteresse qui nous rend peu fiables. Viens détruire, Seigneur, en nous les routes, les murs, les maisons qui s'effritent, Seigneur, qui ne tiennent pas la route. Toutes nos habitudes, Seigneur, qui nous font dévier toutes les portes, Seigneur, qui sont des portes de sang, des mensonges, d'exagération. Demande le courage, Seigneur, simplement d'inventer les situations. Père, apprends-nous la discipline, la discipline du coeur, Seigneur, celle qui se pratique avec ton amour. Viens, Seigneur, mettre un mort à notre bouche. Père, je t'en supplie, je t'en supplie, Seigneur, ne nous laisse pas, oh Dieu, ne nous laisse pas à l'arrêtage de l'incertitude, de la variabilité, des... peut-être, on verra bien. Si Dieu veut, Seigneur, aide-nous à reprendre notre compétence, de pas tenir de confier des choses que tu nous as confiées. Apprends-nous la rigueur, l'amour, Seigneur, des choses bien faites. Parce que, Seigneur, mets devant nos yeux, à chaque fois qu'on fait quelque chose, Seigneur, tout ce que vous faites, faites-le comme pour le Seigneur. Amen. Oui, Seigneur, c'est aussi important. Seigneur, qu'on soit au travail, qu'on soit en train de dire bonjour, en train de jouer, avec nos enfants, de faire de la musique, de se balader, Seigneur, qu'on sache, qu'on prenne conscience, Seigneur, de faire ces choses-là, pour toi, pour ton honneur, pour ta gloire, pour ton royaume, et non pour les hommes, non pour nous-mêmes, Seigneur, mais pour toi, parce qu'on t'appartient, parce que c'est un vœu qu'on a fait, Seigneur, de te donner notre vie et tout ce qu'elle produit, Seigneur, tout t'appartient. Seigneur, je te demande pardon pour toutes les fois où on a été trop léger, où notre parole a été trop légère, on n'a pas été consistent, ni constant, ni discipliné, ni obéissant. Apprends, mon Seigneur, à utiliser cette impression, la seule valeur, Seigneur, que tu nous as donnée sur cette terre. C'est 24 heures par jour que tu donnes à chaque homme tous les jours de sa vie. Tu nous donnes 24 heures, Seigneur. Apprends-nous d'être des bons bénéficiaires, d'être fiables, d'être fidèles avec ton amour, Seigneur, pas un amour volatil, mais un amour, Seigneur, qui est lourd, lourd, dense, qui tient la force, qui tient l'arbre, Seigneur, qui tient le vent, qui tient la tempête. Apprends-nous, Seigneur, à être des navires qui tiennent à la tempête. Parce que, Seigneur, tu as dit que le jour arrive, la nuit vient, et le jour arrive, Seigneur. Et dans cette nuit qui arrive, fais de nous des hommes fiables, des hommes fidèles, qui ne bronchent pas les lumières qui entiennent du vent. Amen. Amen. Qui tiennent la route, Seigneur, quand il y a la tempête. Seigneur, je te réjouis le souffle de nos vies et chaque seconde, Seigneur, de nos vies. Au nom de tous, Seigneur, ici, et maintenant, Seigneur, je te donne l'autorisation de nous corriger, de nous reprendre, pour nous empêcher de gaspiller du temps, de nous engager dans des choses que tu ne veux pas, Seigneur, de nous engager sur des domaines où on n'est pas encore fiables, Seigneur. Et apprends-nous la fiabilité. Mais à côté de nous, Seigneur, des frères et des sœurs plus intransigeants que Satan, plus exigeants, Seigneur, que Satan par rapport à nos problèmes, parce que lui, il connaît nos problèmes et il les utilise. Seigneur, mets à côté de nous des frères qui voient ces problèmes, Seigneur, et qui nous amènent à la sanctification. Mais ne laisse pas trop de ci, Seigneur, avec nos problèmes, avec notre manque de fiabilité. C'est un cœur et une autre prière aussi, parce que je sais qu'il y a parmi vous des gens qui ont des responsabilités soit dans leur travail civil, soit dans parce que ce sont des gens qui ont l'esprit d'entreprise, soit parce qu'ils ont de très grandes responsabilités ou des responsabilités de pauvres là où ils sont, parce que toutes ces personnes, sauf les manques de fiabilité des gens maintenant, ou bien sûr dans l'Église, parce que c'est la même chose. Je parle de l'Église qui est très grande. Et Seigneur, moi je te prie que tous ces gens-là, ceux qui sont concernés, levez la main, qui aiment prendre des responsabilités, qui aiment créer, qui ont des responsabilités et je sais qu'il y en a plusieurs. Dieu veut qu'on veuille prendre des responsabilités, il veut qu'on ait l'esprit d'initiative, il veut qu'on soit des personnes qui soient des modèles, des modèles parce que Dieu est créateur, il veut qu'on soit des créateurs, on a des responsabilités et il veut qu'on ait des responsabilités, il ne veut pas faire de nous des histoires, il veut qu'on ait des responsabilités, il veut qu'on se soit des gens debout, et des créateurs et des gens Eh bien, Seigneur, qu'ils puissent faire ce qu'ils ont à faire en vivant autour de des gens fiables, des gens fiables, parce que c'est bien ce qui manque le plus aujourd'hui, ce sont les gens fiables sur lesquels on peut s'appuyer, sur lesquels on peut s'appuyer. Tu veux le prier ? Moi, je reçois la bénédiction qui est en train de venir. C'est ce que tu voulais pas dire ? Non, j'ai juste levé la main pour recevoir... Ah, pardon, d'accord, ok. Oui. Bien, bien, bien. J'aimerais juste prier parce que la parole dit que le Seigneur, c'est le psaume 138-2, qu'il a placé sa parole au-dessus de sa rénommée. Donc, Dieu a placé sa parole au-dessus de sa rénommée. Il est tenu par sa parole. Il est garant, il s'est porté garant de sa parole. Et nous, en fait, ça va plus loin d'être légit, c'est carrément de la désobéissance parce que nous, on va obéir la parole, on va imiter Christ. Et lui qui imitait tout ce que le Père faisait, lui le faisait. Et si Dieu, il a placé sa parole au-dessus de sa rénommée, alors notre parole à nous, elle est où ? Est-ce qu'elle est par terre ou elle est au-dessus de nous ? Est-ce que nous, on est garant de notre parole ? Donc, est-ce qu'on est garant de notre parole ? Je ne sais pas. Je ne sais pas si on est vraiment garant de notre parole. Et nous, on est vraiment cette race, ce peuple élu qui doit vraiment faire la différence parce que c'est à cause de la parole qui est non tenue qu'il y a tellement des foyers brisés, des vies brisées. Et je crois que s'il y en a à cœur ces versets de psaume si on les obéit, parce qu'il est question des obéissances. Voilà ce que j'avais à cœur. Amen. Amen. Alléluia. Il nous reste, disons, une petite demi-heure. Est-ce que, Jude, tu as à cœur de prier pour quelque chose ou pas ? Oui. D'accord. Amen. Vous voyez, Jude, il est fiable. Amen. Ça fait des années Ça fait 15 ans que je peux m'appuyer sur lui. Je peux vous assurer que c'est... Il n'y a pas que sur lui, mais je peux m'assurer que quelle... Quelle grâce c'est de pouvoir s'appuyer sur des personnes qui ont vu devenir de plus en plus fiables. Et donc, qui ont reçu de plus en plus d'options géniales. Parce que ça va ensemble. Amen.