Home Page
cover of guerison-madeleine-et-autres
guerison-madeleine-et-autres

guerison-madeleine-et-autres

00:00-19:22

Nothing to say, yet

Voice Overspeechbouncinginsidesmall roomchild speech
29
Plays
0
Shares

Audio hosting, extended storage and much more

AI Mastering

Transcription

Mais avant de commencer, je voudrais prendre un petit témoignage de Madeleine qui veut bien témoigner de ce que tu m'as dit tout à l'heure par rapport à ta liaison. J'ai su ce matin, j'ai reçu une parole de connaissance. Je voyais une personne qui avait mal à l'épaule, puis tout s'est parté du cou tout à fait jusqu'au bout du dos. Bonsoir, donc oui, je m'appelle Madeleine. Je suis arrivée ce matin, Michel ne savait pas ce qui se passait dans mon corps. Moi, j'ai bien compris que l'ennemi m'invactait beaucoup avec des douleurs dans le corps. On est différents les uns des autres. Et donc du coup, par la grâce de Dieu et par l'agression de Dieu, il y a eu des victoires. Je prends pour exemple la lutte basique. Pendant le confinement et autres, toute la douleur de la lutte basique est partie. Je vais dire ici comment je fais. Quand j'ai terminé ma journée de travail à l'extérieur, travail à l'intérieur de toutes sortes de choses et que je me prépare à me coucher, ma douche, pour moi, c'est un méditement. Et quand je viens au bord de mon lit, je commence à rendre mes essais à moi-même. Donc j'applique le son de Jésus sur les foyers de douleurs. Et je remercie le Saint-Esprit de me diriger comme ça. C'est comme ça que la lutte basique a commencé à se résolver tout doucement. Et surtout, il y a une petite trace encore, mais la douleur est partie complètement. Et on sait tous comment l'autre fait. Donc on s'est dit, d'accord, on va gagner là, et puis ici. Je continue de la même manière là. Et donc depuis quelques temps, c'est plutôt, comme Michel a dit, c'est l'épaule à l'avant, mais aussi à l'arrière. Sachant qu'à l'arrière, moi, je ne peux pas marcher. Sachant que je dis que je me sens et que j'applique le son de Jésus. J'ai mal. J'ai toutes les répétitions que le Saint-Esprit me donne à ce moment-là. Nous connaissons tous, ils ont vaincu à cause du son de Jésus et la parole de leur témoignage. Alors, j'ai vaincu à cause du sang, mais toutes les paroles, voici les signes qui suivront, ceux qui n'auront plus à mon nom, ils s'imposent. On les met au malade, c'est vrai. J'impose, on les met au malade. Je rends mon essai à moi-même. Cette nuit, je laisse la nuit aller. La nuit dernière, je l'ai fait. Tu ne veux pas venir chez moi pour mes amis, tu vas... Mais personne ne le savait, donc j'arrive. En plus, j'ai traîné ma petite valise, j'utilise le sac et autres appareils. C'est pas bon. Je suis arrivée, mais j'étais là. C'est dans la joie, c'est dans la louange. Et puis, paf ! Là, à peine, on n'a même pas terminé la louange, c'était ça. L'épaule gauche, je me dis maintenant, qu'est-ce qu'il lui a dit ? Je l'ai donné à ma petite mère. Et puis, ce qui était amusant, c'est qu'au fur et à mesure qu'elle me posait les mains, elle ne savait pas, mais elle allait vraiment à l'endroit des foyers de douleur dans mon corps. Non, mais je voulais être chirurgien quand j'étais petite. À l'endroit où, là, moi, je ne touche pas là. Pourtant, dans ce que je fais avec la conduite du Saint-Exupéry, c'est que je masse vraiment. J'applique sur mon article, j'applique et je reste longtemps. Et je demande au Saint-Exupéry de me conduire. C'est un moment tellement bon. C'est plus que le sauna, c'est plus que tout. J'ai le temps de m'endormir. Mais là, moi, je ne peux pas. Ici, je ne peux pas. Ce matin, le Seigneur a conduit Michel. Elle allait de foyer en foyer. Elle est descendue. Là, oui, je peux encore. Ici, un tout petit peu. Mais là, tout de suite, je ne peux pas. Ici, elle me pose les mains. Et quand elle a fini, j'étais là, encore à genoux, sous la prétence que j'étais encore là. Et je tournais et je faisais tous les mouvements que je faisais avec douleur. Et je viens de penser que je pourrais le faire. Et que j'aurais l'amour. Et que je pourrais le faire. Donc, Dieu est bon. Il nous guérit. Ce matin, ça a été incroyable pour cela. Et ça a été vraiment un super cadeau pour moi ce matin. C'était vraiment un cadeau à mon arrivée. Alors, c'est drôle parce que Max me fait signe comme ça. Il veut témoigner. Et dans mon cœur, je me dis qu'il faut que je fasse témoigner des gens de ce qu'ils ont vécu déjà. Bien qu'on soit, on avait commencé hier soir. Regardez, j'ai plein de mains qui se lèvent. Bon, ça va. Comme ça, déjà, c'est pas grave. Je respecte ça. J'arrête d'y aller. Bien sûr, Seigneur. Vraiment, je bénis Dieu parce que j'étais malade depuis trois jours. J'avais une sciatique à la maison. Je m'assuyais. Jusque là, il n'y avait pas besoin. Oui, je connais. J'en ai eu 8. C'est horrible. Et on est parti de la maison. Je me suis assis. Moi, je ne prends pas de médicaments. Normalement, avec les sciatiques, il n'y a personne qui arrive à arriver. Ah, c'était compliqué. Je me suis assis dans la voiture. J'ai dit, j'y vais. Moi, quand je suis malade, je sors. Je sors. Je me tape là où j'ai mal. Je me tape. Je sors, etc. J'ai eu le conduit. J'ai eu le diabète. J'ai eu la sciatique. J'ai eu la toux. Et j'arrive ici. Moi, je ne pleure jamais. J'arrive ici et il y avait une femme hier soir avec la dame, avec les béquilles. Oui, oui. J'avais toujours mal. Comment ça va, au fait ? Bon, on va continuer. On va continuer. Ne t'inquiète pas. Je t'explique ce qui s'est passé. C'est pas moi qui ai pris la douleur. Pendant que tu es venue et puis elle reparlait avec ses béquilles. Et j'ai dit, mais si c'est t'es guéri, pourquoi tu ne lâches pas les béquilles ? Et j'ai marché avec elle pendant que je faisais agir ma foi et sa foi en même temps. J'ai été guéri instantanément. Ce qu'elle vient avec, c'est qu'elle nous surprend toujours. Alors, il y a quelqu'un d'autre qui a levé la main pour vous faire témoigner. Non, mais écoutez, tant qu'à être dans la prévue, on va être dans la prévue. Alléluia ! Est-ce que quelqu'un peut accueillir les gens ? Comment tu t'appelles ? Je m'appelle Iguette. Iguette, d'accord. Je viens de Strasbourg. Je viens de Strasbourg avec mon mari Éric. Oui, je voudrais vraiment revenir comme Anne. Vous savez, dans la Bible, Anne a laissé aller chez Élie quand elle avait des soucis de stabilité. Elle a prié tellement. Élie, que nous tous nous connaissons dans la Bible, lui a dit, Oui, et puis, lui a dit, « Femme, comme tu parles, que le Seigneur t'entende. » Et quand elle a eu Samuel, elle est revenue. Elle a dit, « Voilà, voici la réponse à mes prières. » Donc, je viens comme Anne ce soir. Amen. Ça fait un an. On était ici l'année dernière, exactement, en descente. Et la première parole qui avait été dite, c'était par toi, Michel. Tu ne te souviens pas, mais moi, je me souviens de toute ma vie. Parce que tu avais dit, « Je vois un bébé. » Pendant qu'on adore, je vois un bébé et tout. Et j'ai pris vraiment cette parole à cœur. Et quand on est sortis, il y a une maman, je ne l'ai plus jamais revue. Je ne sais pas pourquoi elle vient plus. Elle m'a dit, « Quand Michel a parlé du bébé, j'ai pensé à toi. » Je ne sais pas pourquoi. Et il y a une autre dame qui lui a dit, « Non, c'est un bébé civil. » Elle dit, « Non, ce n'est pas un bébé civil. » Elle dit, « Non, c'est un bébé civil. » Donc, on est partis. Effectivement, on est revenus à la Pâques et j'étais enceinte. J'étais très enceinte. Et le Seigneur avait donné une parole aussi en décembre, à part le Frère Jude. Il lui avait dit de me dire que j'avais été déçu par quelqu'un. J'avais été très déçu par quelqu'un. J'étais très déçu par quelqu'un que j'aimais beaucoup, mais que le pardon, j'avais besoin de pardonner. Parce que si je pardonnais, j'allais voir la gloire de Dieu. Et c'était vrai parce que j'avais été déçu par ma mère spirituelle, comme on parle des blessures et tout ça. On se dit pas que c'est maman. Oui. Donc, j'avais été déçu et tout. Le Seigneur dit, « Non, il faut que tu pardonnes. » Donc, il y a aussi la femme de Max, le tanteau Max, qui m'avait dit, « Ah, c'est bien, c'est bien la mère, mais c'est toujours rien. » Il va se balader contre le matin, là. Oui. Donc, un jour, il y a Max. Et puis là, on voit le fruit de ma vie. Bon. Aujourd'hui, le 29 juin, nous avons eu notre petite fille. Pourquoi ? Parce qu'il y a des problèmes ? Pardon ? Parce qu'il y a des problèmes ? Parce qu'il y a notre enfant ? Euh, non. En fait, déjà, j'avais plus de 30 ans. J'avais eu une... Oui. Oui, c'est vrai, mais j'avais été opérée en Afrique, parce que j'avais plein de fibrandes à l'utérus. Ah. Donc, c'est un challenge, en fait. Et puis, quand on se mariait aussi, il y avait eu des attaques par rapport à ça. Donc, vraiment, je tiens qu'il y ait quelqu'un. Je vais étudier. Amen. Amen. Amen. Je vais étudier. Donc, notre petite, elle a eu 6 mois hier. Et je me suis dit, ça va être difficile, mais il faut qu'on retourne là-bas. Parce que je dois témoigner. Je dois encourager quelqu'un qui attend quelque chose de Dieu. Je veux dire, Dieu est fidèle. Il est tellement fidèle. Alors, tu viens de dire quelque chose de très intéressant. Tu viens de dire qu'il y a quelqu'un qui attend quelque chose de Dieu. Alors, levez les doigts, ceux qui n'attendent rien de Dieu. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y. Allez-y.

Listen Next

Other Creators