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In this episode, the speaker discusses the fear of success, a topic that is rarely talked about. She shares her own experiences and challenges with this fear, explaining how it can lead to self-sabotage. The speaker encourages listeners to question their beliefs and associations with success, and offers tools to overcome fear and embrace success. She emphasizes that everyone deserves success and should believe in their own potential. Allo, allo, j'espère que tu vas bien. Je suis vraiment contente aujourd'hui de te retrouver dans cet 20e épisode. Oh my god, on est en avril pis ça fait officiellement 3 mois complet que le podcast est sorti. C'est fou, on a quasiment 2000 téléchargements. Je suis vraiment contente et j'ai pas promote autant que j'aurais voulu mais j'ai vraiment de grandes attentes pour l'avenir du podcast. Fait que déjà j'ai vraiment comme des belles conversations. Fait qu'hésite pas à venir m'écrire, à commenter les épisodes, à me donner une note sans que toi c'est ça aussi qui me permette de me faire connaître pis c'est ça. Donc sans plus attendre, le sujet de cette semaine, j'avais pas prévu vraiment de parler de ça. En fait, c'est que je trouve que c'est un sujet qui peut, qui est très vulnérable pour moi pis on dirait que je me sens pas nécessairement connectée à ce sujet-là présentement. Fait qu'on dirait que je savais pas comment j'allais livrer ma conversation dans ce podcast-là, ma conversation avec moi-même. Je savais pas comment ça allait sortir parce que des fois si je suis plus émotive, je trouve qu'on ressent mieux un peu mon message. Mais en même temps, avec un pas de recul, ça peut être intéressant aussi de voir comme les réflexions que j'ai eues par rapport à ce sujet-là dans les derniers mois et tout. Donc, aujourd'hui on va parler de peur du succès. Ouais, parce que je trouve qu'on n'en parle jamais. Jamais, jamais que j'ai entendu ça. Pis sur un sujet que j'ai demandé dans mes stories, qu'est-ce que vous aimeriez. Souvent, je fais ça là. Fait que si j'en ai un sur Instagram, c'est vraiment là que je suis la plus active par rapport au podcast, que je le promote, que je fais des sondages pour vous inclure un petit peu dans le contenu. Pis il y a beaucoup, beaucoup, il y a eu beaucoup de votes pour ce sujet-là. Donc, je crois que c'est quelque chose qui vous intéresse. Pis je trouve que c'est un sujet qui n'est pas assez parlé. Genre, je pense que la peur de l'échec, justement, c'est quelque chose qui est courant et parlé. Que moi, j'ai peur d'échouer, j'ai peur de ne pas réussir. Mais la peur du succès, on dirait que c'est un peu ironique en même temps. Fait que c'est pour ça que je veux un peu comme démystifier ce sujet-là, pis te partager un petit peu mon parcours avec cette peur-là que j'ai, que j'avais et que j'ai probablement encore aujourd'hui un petit peu, qui va peut-être jamais partir, mais que j'ai confiance que je vais être capable de mieux gérer. Pis peut-être que tu vas être capable de relate aussi à ce que je dis, pour en ressortir un peu plus éclairé sur comment tu te sens par rapport à ça. Pis mon but en fait, c'est de te donner un peu des outils pour te questionner, pis pour après ça, comme enlever certains blocages qu'on a. Fait qu'en fait, comment que j'ai compris, c'est qu'il y a quelques mois, cet épisode-là va être hyper relié à mon épisode sur l'auto-sabotage. Je me rappelle plus c'est la combien d'épisodes, mais tu regarderas. J'ai un épisode qui s'appelle « Mon parcours avec l'auto-sabotage ». C'est hyper relié, selon moi. Je vais glisser sûrement quelques petites choses semblables à ce que j'ai dit dans cet épisode-là. Mais dans le fond, en genre février 2023, j'ai eu un genre de grosse expansion dans ma business. Pis ça a vraiment continué de moi en moi et tout. Pis j'ai comme, je me suis littéralement auto-sabotée dans ma manière d'agir. J'ai genre « shut down ». J'ai comme tout lâché on dirait. Ben j'ai pas lâché là, mais j'ai comme, je travaillais plus. On dirait que j'ai vraiment, il y a de quoi que c'est déconnecté en moi. Suivant ça, j'ai vraiment, j'ai perdu tous mes repères on dirait. Parce que c'est quelque chose que j'avais jamais expérimenté. Un genre de succès financier comme ça. J'avais jamais eu un aussi gros revenu. J'avais jamais eu un, je ne sais pas, autant comme d'abondance d'un coup. Pis contrairement à ce qu'on peut penser, ça fait fucking peur de réussir. Comme autant que c'est vraiment, je veux dire, on veut tout réussir dans la vie. Comme c'est, je veux dire, le succès c'est tellement propre à chacun. Mais en même temps, on a toute une vision du succès et on veut réussir dans ce qu'on entreprend. On ne fait rien pour comme tout perdre ou genre vivre un échec évidemment. Mais quand il est question de l'affaire avec ce que j'ai réalisé. C'est que je me suis rendu compte que si j'ai eu un échec, de toute façon, je sais dans quoi je retourne. Fait que si ça ne marche pas, je vais être capable de me démerder. Pis je vais être capable, c'est comme, comment je peux expliquer ça? C'est comme pas de l'inconnu, pas de tout perdre parce que ça n'a pas rapport. Ce n'est pas comme ça que je veux communiquer. C'est comme si, ok, ma situation me tombe maintenant. Soit que j'essaye et que j'échoue. Fait que je retourne dans ma situation actuelle. Soit que j'essaye et que je réussis et que je change complètement de réalité. Ça peut être dans n'importe quoi. Ça peut être dans tes études, ça peut être dans ta business, ça peut être dans ta remise en forme, ça peut être dans n'importe quel autre sujet, une relation amoureuse. Pis si ça réussit, ça fait peur parce que c'est de l'inconnu. Fait que tu n'as pas de contrôle. Tu ne sais pas comment tu vas être. Tu ne sais pas les situations que tu vas avoir à gérer. Pis souvent, c'est beaucoup plus facile de rester dans notre confort pis dans notre situation actuelle. Fait que là vient aussi un peu l'autosabotage. Je ne vais pas élaborer sur ce sujet-là, mais c'est relié vraiment, vraiment. Pis le fait que ça fasse peur de réussir, on dirait que personnellement, quand je l'ai vécu, ça m'a vraiment rentré dedans parce que c'est juste ça que je demande de réussir. Je demande de... Je veux accomplir mes rêves. J'ai des rêves, j'ai des grandes aspirations. Pis c'est juste ça que je demande. Pis là maintenant que je l'ai, j'ai fucking peur. Pis je ne sais pas comment déaler avec ça. On dirait que des fois, quand tu es là-dedans, tu minimises un peu. On dirait qu'inconsciemment, tu ne fais pas autant que ce que tu devrais parce qu'au cas où tu as du succès, au cas où tu réussisses, c'est comme je te disais au début, c'est fucking ironique. On dirait que de me l'avouer, pis de faire comme what the fuck, tu as peur du succès, c'est juste ça que tu demandes depuis le début. De quoi tu te plains? C'est rough comme réalisation parce que c'est comme si dans ta tête, tu ne pouvais pas avoir plus. C'est tellement basé sur nos croyances, sur ce qu'on a vécu dans notre vie. Je n'ai pas eu d'autres réalités niveau travail. J'étais en train de bâtir ma vie. J'ai commencé ma business, j'étais bébé jeune adulte. Pour moi, je commence ma vie comme ça. Je n'ai pas de modèle. Ce n'est pas comme quelqu'un qui a... On a tous des standards dans la vie. Si toi, tu as un job, tu te lances en affaires ou tu fais d'autres choses, tu as un certain standard. C'est vraiment par rapport aux finances que je parle. C'est comme si tu avais quelque chose à préférer. Tu es capable de dire que tu l'as déjà vécu. Tu es capable de le refaire. Quand j'ai commencé ma business, j'avais 19 ans. Je n'avais pas d'expérience avec ça. C'est vraiment moi qui ai créé mes standards. C'est là que je veux te poser des questions d'introspection pour te faire comprendre tes croyances derrière ça. C'est tout relié par rapport à ça. Si tu as peur du succès, c'est probablement parce que non seulement tu as peur de l'inconnu. Peut-être que tu as de la misère à lâcher prise. Peut-être que tu ne te fais pas assez confiance. De te poser la question, le succès pour toi, c'est quoi que ça veut dire ? On voit tellement de choses. On voit tellement de gens réussis. On voit des gens qui sont en business. On voit des gens qui ont des 9 à 5 ultra-successeux. On a des gens qui ont des familles, qui ont leurs enfants qui réussissent super bien. On a toutes sortes de modèles. Pour chaque personne, c'est différent. Chaque personne nous inspire différemment. Moi, je pourrais avoir un idéal, une image dans ma tête du succès qui est complètement différente de la tienne. C'est pour ça que c'est important de se poser la question. Si ton image du succès, elle est négative. Si toi, toute ta vie, tu as vu des gens qui réussissaient en guillemets, mais qui n'étaient pas gentils, qui profitaient des gens, qui se donnaient n'importe quoi avec leur argent, et que toi, ce n'est pas dans tes valeurs, peut-être que toi justement, tu as associé le succès à quelque chose de négatif. Ça te fait peur. Tu ne veux pas devenir une personne comme ça. Peu importe. Ça se peut des fois qu'on fasse des associations qui sont basées sur nos croyances. C'est pour ça que c'est hyper important de reconditionner notre cerveau. C'est quoi mes réelles croyances par rapport à ça? Comment je pourrais faire pour les changer? Comment je pourrais faire pour élever un peu mes standards pour avoir du succès et l'assumer pleinement parce qu'on le mérite tout? Plus je dis ça, je ne vais pas te dire pour moi c'est quoi le succès nécessairement parce que je ne veux pas qu'on se comporte ou quoi que ce soit parce que ça se peut que pour toi, ce soit complètement différent. Mais pour toi, qu'est-ce que ça veut dire? Après ça, je te demanderais d'associer, de peut-être te demander est-ce qu'il y a eu des situations peut-être que tu t'es déjà auto-saboté ou qu'il y a eu des comportements qui auraient pu être différents pour favoriser justement ce succès-là. Puis là, j'aimerais ça que tu fasses un peu ce travail-là parce que je ne veux pas c'est de voir sa valeur derrière ça. C'est de se permettre de faire comme je mérite d'avoir du succès, je mérite de réussir dans ma vie, je mérite d'accomplir mes rêves, je mérite d'absolument tout. C'est notre droit de naissance. Comme on est tous des humains, puis l'important c'est juste qu'on voit notre potentiel derrière ça. Il n'y a pas quelqu'un qui a plus, qui le mérite plus que toi ou quoi que ce soit. Comme on est entre guillemets, je sais que non, mais dans le sens avec les classes sociales et tout, mais on est tous égaux. On a tous le pouvoir de choisir notre futur puis d'avoir des hautes attentes pour avoir notre vie, puis c'est correct. Si tu es la première, mettons, millionnaire de ta famille, tu as le droit. Ce n'est pas parce que, mettons, ta famille a été, là je suis vraiment dans les extrêmes, mais mettons que ta famille elle a été dans la pauvreté toute ta vie, mais ce n'est pas parce qu'eux l'ont été que toi, tu sais, je veux dire, c'est ton destin, comme tu peux le choisir. Puis justement, comme si tu as eu des modèles négatifs de succès, tu as le goût de rester pauvre et généreux, mettons. Comme là, c'est de réidentifier c'est quoi ta vision du succès, c'est quoi tes valeurs, puis d'associer les deux parce que les deux peuvent venir ensemble, ça c'est toi qui le définis. Puis de réaliser ça, de faire comme, comme tout ce temps, dans le fond, ce n'est pas la vie qui était contre moi, ce n'est pas que je n'étais pas assez bonne, ce n'est pas ça, ce n'est pas ça, c'est moi. Tu sais, comme souvent, on est notre pire ennemi, c'est nous qui nous bloquons, nous-mêmes, avec nos blocages mentaux, nos blocages, nos pensées qui nous bloquent. C'est que de débloquer ça, puis de dire comme, hey, mais peu importe ce que tu veux, tu peux l'atteindre. Puis de redéfinir qu'est-ce que tu veux, que ce soit clair, que tu sois capable de t'asseoir avec toi-même, de faire comme, hey, tu pensais que moi, quand je me suis dit genre, oh ouais, Mario, tu as peur du succès, comme pensais que, c'était genre confortable pour moi de me dire ça, c'était vraiment confortable, on dirait que j'ai vraiment ressenti, on dirait que j'étais comme, oh my god, comment, comment je vais me sortir de ça, comment est-ce qu'on fait, mais je pense vraiment qu'il y a juste d'en prendre conscience, tout d'abord, c'est vraiment quelque chose qui est gros, parce qu'après ça, tu peux changer tes actions, puis arrêter justement d'être dans l'autosabotage, puis arrêter de jouer petit. Parce que comme, clairement, si tu n'écoutes ici, c'est parce que tu as des aspirations plus grandes, que tu veux sortir de l'eau, que tu veux grandir en tant que personne, déjà ça, c'est beaucoup plus que ce que la majorité des gens font, comme les gens, ils ne font pas ça de la croissance personnelle, puis toi, oui, tu as comme good job, puis si tu as un intérêt à grandir, à être une meilleure personne, à comme sortir un peu des standards, mais je ne vois pas pourquoi tu ne pourrais pas réussir, parce que tu es ouvert à grandir, tu es ouvert à avoir plus, c'est juste de s'ouvrir à l'abondance, des fois, on voit juste le négatif, j'ai l'impression, c'est tellement facile en fait, de voir que le négatif, comme combien de fois dans ma journée, je rencontre des gens, puis que la seule chose, c'est comme, ah le trafic, ah si, ah j'ai resté plus tard à ma job, ah non, mais comme, focus donc sur les belles choses, sur l'abondance qu'il y a autour de toi, et lève un peu ton énergie, ton sentiment de gratitude, puis plus tu vas ressentir ça, plus tu vas attirer cette abondance-là, ce succès-là, entre guillemets, puis il s'agit juste de, je pense, être capable de faire le point avec toi-même, de comme, ok, tu sais, au fil du temps que ça évolue, puis de ne pas t'auto-saboter à la dernière minute, puis de prendre confiance en toi, puis plus tu vas le faire, plus tu vas être outillé, tu sais, puis c'est comme, c'est un cheminement, c'est un peu sur la tête pour autant, d'avoir fait l'auto-sabotage ou quoi que ce soit, je pense que de le réaliser, c'est quelque chose de vraiment gros, puis, mettons, personnellement, quand j'ai réalisé ça, j'étais vraiment fâchée, après moi-même, parce que, je me dis que, depuis le début que j'ai start ma business, c'est ça que j'ai toujours voulu, puis là, je me suis, je me suis comme trahie en vrai, puis c'est tough de l'avouer, mais c'est des réalités qui sont là, puis tu sais, on dirait qu'on voit toujours ça tout beau, puis j'ai envie de te le partager, parce que ça se peut que tu ressentes ça, puis je trouve qu'on, c'est la réalité de beaucoup de personnes ici, puis c'est correct de le dire, c'est correct de faire comme, ok, là ça, c'est quelque chose que je dis, je ne veux plus ça, comment je pourrais faire pour, changer mes croyances par rapport à ça, changer mon comportement, qu'est-ce que j'aurais pu faire mieux, pour être capable de t'améliorer, sans pour autant te taper sur la tête, mais en étant capable de te « cheer up », de te célébrer, de bien t'entourer, puis de prendre responsabilité, puis de dire, ok, là, j'ai peur, parce que, dans le fond, la peur, ce n'est pas quelque chose qui est « bad », on dirait qu'on associe souvent la peur, à quelque chose de super négatif, mais, la peur, j'avais lu dans « Penser comme un moine », que c'est, dans le fond, c'est un signe, d'une nouvelle opportunité, donc dis-toi que, si tu as peur, bien, c'est une nouvelle opportunité, qui se présente à toi, donc, si justement, tu as peur de succès, puis tu dis, oh my god, mais imagine si je réussis, genre, what if que, ça marche, what if que, genre, tu changes ta vie, what if que, que, c'est incroyable, puis que, comme tu ne pensais jamais créer quelque chose d'aussi beau, mais tu le sais, tu sais, puis, souvent, ça se peut qu'on, tu sais, combien de fois, mettons, que je vois, il y a des gens qui m'approchent, je dis, oui, Marie-Lou, je veux faire un revenu supplémentaire, puis que, ces gens-là, me disent, qu'ils ont, mettons, d'échouer, mais qu'il ne peut rien arriver, là, il ne peut littéralement rien arriver, tu ne peux rien perdre, tu peux, comme, il ne peut rien se passer, puis, finalement, il quitte, genre, il abandonne, ça, moi, ce que je retiens de ça, c'est comme si, on n'était pas capable de voir plus grand pour notre vie, de se permettre de persévérer et continuer, comme, pourquoi tu veux faire quelque chose comme, pourquoi tu lâches, pourquoi tu as peur, comme, au moment où, ça commence à marcher, parce que, ça nous sort d'un temps d'inconfort, puis c'est fucking challengeant, puis, c'est beau à la fois, parce que, ça fait en sorte que tu grandis, mais il y en a qui ne sont pas capables de soutenir ça, mais, ça ne sera pas facile de grandir, ça ne sera pas facile à avoir du succès, autant que, comme, choose your heart, c'est comme, autant que, c'est fucking difficile, mais, autant que, c'est difficile de vivre du succès, parce que, ça vient plein, avec plein d'autres skills à apprendre, plein d'autres responsabilités, plein d'autres choses, avoir à vivre, la nouveauté, d'autres problèmes, parce que, ce n'est pas comme, il n'y a pas plus de problème, quand tu viens à un certain succès, dans n'importe quelle sphère de ta vie, il s'agit juste de, de te permettre de voir que, comme, tu es capable, puis, c'est beau de se l'avouer, puis c'est beau de grandir, puis, c'est ton cheminement à toi, personne ne peut te l'enlever, fait, prends-en conscience, puis, sors-toi de ça, pour la prochaine, comme, la prochaine expansion dans ta vie, le prochain momentum, le prochain, hum, genre, bonus que tu as, genre, augmentation de postes dans ta job, la prochaine, le prochain, genre, je ne sais pas moi, le marathon que tu vas courir, là, c'est comme des grosses affaires, mais ça va être des petites, petites victoires, le prochain copain que tu vas te faire, qui va être la bonne personne pour toi, bien, c'est des belles choses, ce n'est pas, c'est de enlever l'association, hum, dans le fond, c'est d'être capable de réaliser que, tu n'es pas là, juste pour vivre de l'échec, tu n'es pas là, juste pour vivre des choses, mais, des choses négatives, des choses bad, puis, ce n'est pas vrai qu'à chaque fois, souvent, quand on a peur du succès, c'est parce que, on a peur de perdre, cette, cette affaire-là, comme moi, personnellement, ce que je me suis rendu compte avec du recul, c'est que, dès que, mon revenu a monté, dès que, j'avais plus d'abondance, dès que, je pouvais, faire ci, faire ça, automatiquement, ma tête s'est dit, mais, c'est trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop, 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