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peur de déplaireversion éditéé

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marilou lavoie perron

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The podcast "Révolution Z" is aimed at women who want to prioritize themselves and build a life according to their own standards. The host, Marie-Lou, encourages listeners to embrace their true selves and prioritize their well-being. The episode discusses the importance of not living for others and the need to make choices that align with one's own values and desires. It highlights the fear of judgment and the tendency to hide one's true self, but emphasizes the importance of self-acceptance and being authentic. The host shares personal experiences and encourages listeners to embrace their uniqueness and celebrate themselves. The overall message is to prioritize self-assurance and not let the opinions of others define one's worth or choices. Est-ce que ça t'arrive de ne pas te sentir à ta place, de te sentir perdue ou de vouloir du changement dans ta vie sans trop savoir par où commencer? Si oui, le podcast est pour ça. Bienvenue sur le podcast Révolution Z, moi c'est Marie-Lou et je m'adresse aux femmes de ma génération qui veulent se mettre en priorité, bâtir leur vie selon leurs 3 standards et à être pleinement. Tout ça dans le but d'assumer leur vraie couleur pour mener une vie à la hauteur de qui elles sont vraiment. Je suis tanné de voir des femmes s'empêcher d'être elles-mêmes par peur de sortir du cas imposé. Chaque épisode te permettra d'approfondir ton introspection et ta transformation intérieure vers une personne toi plus consciente et épanouie. On va le charger mindset, self-care et développement personnel dans le but de révéler la vraie toi et mettre ton bien-être en priorité. Es-tu prête à créer des réels changements dans ta vie? Ça commence à l'intérieur de toi, ici et maintenant. Bénéfique! Allô! J'espère que tu vas bien. Oh my god! Bienvenue sur le podcast Révolution Z. Je suis tellement énervée. Ça va faire partie des premiers épisodes que tu écoutes en ce moment. Je suis vraiment énervée de te présenter cet épisode-là parce que c'est vraiment un sujet en fait que j'avais hâte de jaser. C'est vraiment quelque chose qu'on vit tous, je crois. C'est impossible de jamais s'assoucier de ce que les autres pensent. J'avais vraiment envie de te partager un petit peu mes réflexions par rapport à ça parce qu'en fait, le nom du podcast, je ne sais même pas encore ce que ça va être, mais l'épisode traite le sujet d'arrêter de vivre pour les autres. Je pense que c'est tellement important de s'en rendre compte le plus tôt possible qu'on fasse ça parce que ça fait beaucoup partie de mon effort. Je vais te partager un petit peu, te mettre en contexte. C'est quoi mon rapport avec tout ça? J'ai toujours, toujours eu peur de déplorer dans ma vie, tout le temps. C'est peut-être un travail que je dois faire sur moi. Je ne sais pas nécessairement d'où ça vient. C'est sûr que ça vient sûrement de mon enfance. Mais honnêtement, je me rappelle qu'au secondaire, je me censurais. J'étais une toute autre personne. Je pense que ça s'est beaucoup transféré en timidité. Je suis quelqu'un qui est quand même assez gêné dans la vie. Quand je suis confortable, que je me sens bien, que je me sens à l'aise, je suis comme quelqu'un d'autre. J'ai de l'humour qui pop de temps en temps. Je m'assume pleinement. Pour de vrai, aujourd'hui c'est vraiment mieux. Je suis vraiment plus assumée. Je suis vraiment quelqu'un qui est super expressive. Je gestuelle beaucoup. Je parle quand même fort. J'aime ça rire. Bref. Je me rappelle qu'au secondaire, j'étais gênée. Next level. Au point que je n'étais même pas capable de regarder personne dans les yeux. Je me rappelle que quand je sortais avec des amis, je n'étais pas moi. Je ne parlais jamais. Les gens étaient comme « oui, tu ne parles pas ». Pour de vrai, je pense que c'est que je cachais mon vrai visage. Je me protégeais. Je ne voulais pas montrer au grand jour. J'ai stacké ma relou. Je ne m'ouvrais pas à personne. Sauf aux gens proches de moi. Il y a des gens qui connaissaient vraiment la vraie ma relou. C'est fou de dire ça parce qu'on est tous des humains uniques. On a tellement de belles personnalités. On a tellement ça en nous qu'on le cache. Je pense que c'est important de le dire. C'est important de le souvenir. C'est important d'en prendre conscience. Pourquoi on se censure comme ça ? Il y en a qui se censurent en ne pas s'aligner avec eux-mêmes. Moi, ça s'est transféré beaucoup en timidité. J'étais gênée tout le temps. Je ne parlais pas. Il y en a qui font semblant d'être quelqu'un qu'ils ne sont pas. J'ai juste envie, avec l'épisode d'aujourd'hui, de te faire prendre conscience. Ça s'applique dans toutes les décisions de notre vie. Faire des choix plus alignés. Ce que je veux dire par aligné, c'est faire des choix qui résonnent avec toi. Qui sortent vraiment de toi. Tu te sens bien par rapport à ça. Tu te sens heureuse. Ce sont des choses qui te font sentir épanouie. Des fois, on s'empêche de dire oui à des opportunités pour ne pas déplaire à d'autres personnes. Ou on n'ose pas dire non à des opportunités qui ne nous parlent pas. On n'a pas envie de dire oui à n'importe quoi. Je me rappelle que pour ne pas déplaire à personne, quand j'étais au secondaire, j'avais deux ou trois amis qui me demandaient de me voir la même soirée. Pour ne pas faire de peine à personne. Pour ne pas, je ne sais pas moi, leur déplaire. Ou même pas. Je leur disais oui aux trois. Tu t'imagines dans quelle situation je me mettais? Je ne me souviens pas que je me mettais dans cette situation. Pour de vrai, aujourd'hui, même encore, j'ai de la misère à le dire non. Je pense que ça fait partie du cheminement. D'apprendre à se choisir. Vivre pour nous-mêmes. Ne s'attendre pas. C'est correct. Pas le droit de dire non. On peut-il se permettre? Il n'y a rien de grave. Il n'y a personne qui ne va plus t'aimer si tu dis non. Sérieux, si quelqu'un ne t'aime plus et n'est pas gentil avec toi parce qu'il t'a dit non. Si tu l'as fait d'une manière respectueuse et que tu as expliqué tes ressentis. Quand on y va dans la vérité, je pense que c'est là que tout peut se dire. C'est important de le communiquer. Moi, je ne communiquais rien. J'étais mal à l'aise de tout. Je pilais sur des oeufs, mais je m'auto-mettais dans des situations comme ça. C'est comme si je m'infligeais ça. Pour de vrai, ça m'est arrivé régulièrement de ne pas m'assumer dans mes choix. De juste avoir envie de m'habiller d'une certaine façon. Et de me changer des millions de fois. Je me rappelle, mes amis pourraient être très témoins de ça. Avant qu'on sorte ou qu'on aille je ne sais pas où. Ça arrive encore des fois. Mon chum me dit, c'est beau que tu t'es changé 4 fois. Je ne le sais pas. C'est comme si je ne m'assumais pas dans mon style vestementaire. Je pense que nos vêtements sont très nous. Ça reflète beaucoup qui on est. C'est tellement important de se sentir bien dans nos vêtements. Comment on est. Ça se transmet beaucoup. Je pense qu'aujourd'hui je le fais juste pour moi. Je veux me trouver belle. C'est important. Même si c'est niaiseux. Je suis allée, non ce n'est pas vrai. Ce n'est pas niaiseux. Je ne veux pas dire ça dans le podcast. On a tendance à dire ça. C'est con. Il n'y a rien qui est niaiseux. Tout est valide. Juste d'apprendre à changer notre langage. Je suis allée dans un galeur récemment. Pour le travail. Je me suis peignée. D'une façon que je ne me peigne jamais. Je m'étais faite des petits lulus. Sur le top de la tête. On me remarque. Quand je suis peignée avec ça. Je ne passe pas inaperçu. J'ai failli me dépeigner. Pour ne pas qu'on me juge. Je me suis regardée dans le miroir. Ça a pris des années avant que je sois capable de faire ça. C'est un cheminement. Je me suis regardée. J'ai fait comme. Tu te trouves belle. Tu as le goût d'aller à ton galeur. Habillée comme ça. Peignée comme ça. J'ai tellement reçu de beaux commentaires. J'adore comment tu es peignée. C'est malade. Tout le monde me disait que j'étais belle. Je pense que c'est ça que je veux te faire réaliser. C'est là que tu t'assumes. Que tu es toi-même. C'est là que les gens voient notre vraie couleur. On se fait voir. Des fois on veut passer inaperçu. Est-ce qu'on peut se célébrer en tant qu'humain. Parce qu'on est incroyable. On a toute notre unité. C'est ça qui est beau. Pourquoi qu'on se cache. Je te donne le défi de t'assumer pleinement. La prochaine fois que tu as un petit doute. Je m'embaille-tu vraiment de moi. Je me peigne-tu vraiment comme ça. Je dis-tu vraiment ça. Oui. Fais-toi confiance. L'important c'est que tu te plaises à toi-même. Avant de plaire à quelqu'un d'autre. C'est tellement important. Je ne sais pas pourquoi. On veut plaire. On vit en société. On est en communauté. C'est tellement normal. On veut plaire. Mais il ne faut pas que ça devienne mal. Il faut qu'on soit capable de se détacher de ça. De ne pas prendre les commentaires pour du cash. De se dire. Elle m'a dit que mes cheveux étaient laid. Je faisais ça. Il ne faut pas remettre en question qui on est parce que les gens nous l'ont dit. Je pense que c'est là le travail qu'il y a à faire. C'est de savoir qui tu es. C'est quoi ta valeur. Une fois que tu vas savoir ta valeur. Que tu vas t'assumer pleinement. Que tu vas savoir c'est quoi tes goûts. C'est quoi que tu n'aimes pas. C'est qui que tu as envie d'avoir dans ta vie. Quel genre de décision que tu as envie de prendre. De quel moment tu as envie de vivre ta vie. Une fois que ça, ça va être clair avec toi-même. Tu vas t'assumer. Le reste, ça va être du surplus. Mais ça ne va pas remettre en doute qui tu es. Je pense que trop longtemps, on vit sans savoir c'est qui qu'on est. On se sent perdu. Honnêtement, je crois profondément qu'on veut toujours avoir des open-ends dans notre vie. Notre cheminement ne sera jamais linéaire. C'est tellement correct. C'est sûr que j'entends un épisode de podcast là-dessus. C'est mon sujet favori. Le fait que notre cheminement n'est jamais en ligne droite vers le haut. Tout beau, tout rose. Ça fait partie de la vie d'avoir des down. Mais je pense que d'entamer ce travail-là sur toi, de te retrouver, de te poser des questions et de t'assumer pleinement, ça va faire en sorte que tu vas laisser beaucoup moins de pouvoir aux gens, de s'incruter dans ta vie de manière pas saine. Tu vas être beaucoup moins impacté par ce qui est autour. Des fois, qu'est-ce que les autres pensent? Qu'est-ce qu'ils disent? On nous touche tellement, on le prend tellement personnel, mais on ne devrait pas. Il n'y a rien qui est personnel. Il n'y a pas une vérité autre que la sienne qui est bonne pour toi. Je pense que on a toutes des vérités différentes. On a toutes des réalités différentes, des croyances différentes. Ce n'est pas parce qu'il y a quelqu'un qui dit que tu ne peux pas t'habiller de même, ou qu'il y a quelqu'un qui dit que ce n'est pas une bonne idée, que c'est vrai. Il faut arrêter d'être shaky et de ne pas s'assumer et de tout remettre en doute parce que quelqu'un nous a dit quelque chose. Comment peux-tu se tenir et se faire confiance? Je me rappelle, oh my god, gros manque de confiance. Je t'ai dit au début du podcast que je ne regardais personne dans les yeux, mais je marchais. J'évitais les regards. Je marchais la tête tellement basse et mon dos était si rond que c'était terrible comment je dégageais le manque de confiance. J'envoie beaucoup d'amour à cette Marlou comme cette version de moi qui est tellement apeurée par le monde et qui veut juste trouver sa place et qui a envie de plaire aux autres. Mais tout ce temps-là, ce que je ne réalisais pas, c'était que je devais me plaire à moi-même avant tout. Souvent, on est comme notre pire ennemi. On se tape sur la tête. On est comme, Colin, comment ça que je ne fit pas? Mais hey, ce n'est pas vrai que tu ne fit pas. Comme ça, c'est ton super pouvoir. C'est ton... C'est la chose qui fait ton unicité et qui est tellement belle qu'on devrait tout affiner nos vraies couleurs. Pour les affiner, il faut les découvrir, ces couleurs-là. Des fois, on ne les connaît pas. Je t'invite à partir à l'aventure un peu de c'est qui que tu es. Tout ça, je pense que ça va être dans le travail de ça. Tu peux faire du journaling. Tu peux commencer à te parler dans le miroir. C'est quand même challengeant. Je vais te faire un autre épisode de podcast, c'est sûr, sur les techniques pour te retrouver. Ça va en faire partie, c'est certain. Bref, tu iras l'écouter pour t'en servir. C'est mes meilleurs trucs. Je t'invite aussi à avoir un peu l'autre côté de la main-d'oeuvre, de te poser la question. On se dit tout le temps, si je fais ça, peut-être que quelqu'un va dire ça. Mais si... On dirait qu'on voit toujours le côté négatif. On se dit tout le temps, imagine si je fais ça, la personne va peut-être pas m'aimer. Ou si je me lance, imagine si ça ne marche pas. On ne s'assume pas, on ne se permet pas d'essayer des nouvelles choses. On reste tellement dans notre confort pour ne pas déplaire à personne, pour ne pas shaker personne, pour ne pas déstabiliser personne autour de nous. On n'est tellement pas habitué de choisir, on n'est tellement pas habitué de s'assumer et de faire des moves qui sont peut-être des fois risqués. Ou d'être dans notre créativité que nos proches, ils ne nous reconnaîtront même pas, ils vont dire qu'est-ce qu'ils en sont. Mais pourquoi est-ce qu'on se dit ça? Pourquoi je considère que notre entourage devrait tellement nous encourager, tellement nous nous supporter sans comme, sans juste d'être dans le respect, puis si, t'as peur. Des fois c'est nous qui se crée ça, mais je pense que plus que tu vas t'assumer, plus que tu vas te choisir, plus que le ménage va se faire tout seul dans ta vie. Il y a les bonnes personnes qui vont rester, les mauvaises vont juste s'en aller. Je sais qu'au début ça fait peur, on ne veut pas déplaire, on ne veut pas que les gens nous aiment pas. Moi c'est comme ma plus grande peur que j'avais, c'était que les gens ne m'aiment pas. Je voulais tellement que tout le monde m'aime, puis que je sache que quelqu'un ne m'aime pas, ça me faisait tellement de peine. Mais au fond là, que ça peut me faire? Je vais vivre ma vie pareil là, comme je ne vais pas m'empêcher d'être quelqu'un que je suis pour vouloir que cette personne le m'aime. Tu sais quand on le verbalise, des fois quand on garde ces pensées là dans notre tête, on dirait qu'on ne réalise pas comment c'est comme grave de faire ça, puis surtout que c'est quand même banal que quelqu'un nous aime pas dans le fond. C'est comme si tu graves tant que ça puis je ne veux pas banaliser rien, mais honnêtement je parle, je dis ça parce que j'ai tellement longtemps ressenti ce feeling là de tristesse, il me manquait quelque chose, comme ça me rentrait dedans, quand je savais que quelqu'un avait dit quelque chose, quoi que ce soit. Puis maintenant là, je suis comme ben tu sais quoi, ce n'est pas ce genre de personnel que j'ai envie d'avoir dans ma vie. Puis c'est tout, puis c'est correct. Ça ne veut pas dire pour autant que cette personne là c'est une mauvaise personne. Moi je n'ai même pas envie de m'avancer là-dessus, je fais juste comme continuer. Qu'est-ce que j'ai à faire? J'ai vraiment comme un entourage aligné avec moi à bâtir. Si tu ne l'as pas déjà, je veux juste te dire que tu n'es pas tout seul. Les bonnes personnes vont arriver à toi. Tu vas manifester les choses dans ta vie en t'assumant pleinement. Des opportunités vont arriver à toi quand tu vas commencer à t'assumer, tu vas capoter. Puis ça, on ne se le donne pas le droit, on a tellement peur, on reste dans la peur, fait qu'on attire ça. Comme on attire, genre, on pense là, je pense vraiment qu'on l'attire, fait qu'arrête de penser au pire, arrête de penser que tu ne réussiras pas, arrête de penser que tu n'es pas correct ou que tu ne peux pas t'assumer, comme non. Retrouve ce pouvoir-là en toi puis imagine si tu es capable, imagine si ça fonctionne. Imagine si tu te retrouves en faisant ce projet-là, en disant oui. Imagine si de t'assumer c'est le premier pas vers une version de toi vraiment plus épanouie. C'est fou l'important d'en prendre conscience que on est notre propre priorité. On est la seule personne avec qui on va vivre toute notre vie. Puis qu'on n'a pas le choix, je veux dire. C'est important qu'on s'aime, qu'on apprenne à se connaître. Puis plus que tu vas te connaître, plus qu'autour de toi, il n'y aura pas de choses qui vont... Tu sais, c'est sûr, genre life happens pour de vrai. Il y a toujours des choses qui vont arriver hors de notre contrôle. Mais je pense que de se bâtir, une vie qui est alignée avec nous, ça va faire en sorte que on va pouvoir avoir plus de ressources. On va être plus aligné avec qui qu'on est. Puis ça va peut-être être moins rough dans des situations difficiles justement parce que tu vas avoir bâti un entourage qui t'appuie pleinement sur qui tu peux compter. Tu vas te sentir confortable chez toi. Toutes les petites choses qui vont faciliter un peu ton processus puis te mettre en confiance. Dans... Pas dans le confort, mais dans ton cocon qui est comme... où tu peux te réfugier dans le fond. Parce que c'est tellement dur de ne pas savoir qui on est. On dirait que on n'est pas maître de qui on est. Mais si tu savais comment que tu as ça en toi, comme tu l'as, ton plein pouvoir, c'est juste qu'il faut que tu le prennes et que tu l'assumes. Puis ça, c'est un jour à la fois tranquillement d'en prendre conscience. Juste d'en prendre conscience. Juste de dire comme ça fait tant d'années que je ne m'assume pas. Que je fais ça, mais que c'est pas vraiment ça que je veux faire. Que je ne peux pas changer de carrière. Tout le monde veut... Qu'est-ce qu'ils vont dire? Qu'est-ce que ça fait? Est-ce qu'on peut arrêter de s'en soucier pour de vrai? Comme moi, je t'invite à... Quand tu as des décisions à prendre, rappelle-toi toujours ton premier. Tu sais, ton comme de premier feeling là, de genre... Good feeling là. Que genre, oh my god, c'est excitant! Oh oui! Puis là, bam! Comme direct, les peurs y embarquent. Comme si j'avais écouté ma voix qui avait peur du jugement, qui avait peur d'échouer, qui avait peur de... des pleurs. Je ne te parlerai pas en ce moment. Je ne te parlerai pas. Ça fait un an que je pense à avoir un podcast. Ça fait deux mois que j'ai commencé le processus. Puis je te jure que j'ai failli choquer. J'ai failli choquer parce que je me dis imagine si je ne suis pas aussi bonne que telle personne. Tu sais, je suis quelqu'un qui écoute beaucoup de podcasts puis je me disais, oh my god, pourquoi, tu sais, je suis qui? Mais là, je me suis parlé. Je me suis dit, hey, tu as ton bagage à toi. Tu as ta réalité, ton expérience, ton savoir, ton vécu et tu as quelque chose à apporter toi aussi. Je te parle à toi, tu as quelque chose à apporter. Assume-toi pleinement. Ça, c'est dans des petits choix au quotidien. Des fois, on fait des choses un peu par conditionnement. On ne se pose pas de questions. Automatiquement, pour ne pas déplaire, on est comme, non, on se protège. Non, je ne veux pas faire ça. Mais pourquoi pas? Puis repose-toi à la question. Si je le fais vraiment pour moi qu'il n'y a aucun risque, que j'ai, admettons que je vais réussir, pas qu'il n'y a aucun risque que je vais réussir, mais c'est pareil, ok, by the way. Genre qu'il n'y a aucun risque, point. Puis qu'il y a comme une genre de on s'en fout si je réussis ou je ne réussis pas, il ne va rien arriver de grave. Peut-être que la réponse serait différente. C'est juste de devenir un peu plus conscient dans son quotidien. C'est super important. De devenir un peu plus alerte aux décisions qu'on prend, aux actions qu'on fait. D'essayer d'assumer un peu plus nos couleurs, de les dévoiler, de s'ouvrir à nous-mêmes, de devenir sa propre meilleure amie. Tranquillement, peu vite, se rendre compte que dans le fond, ça fait partie de la vie de déplorer à certaines personnes. Mais ce n'est juste pas les bonnes personnes pour nous, puis c'est correct. Comme on ne peut pas pleurer à tout le monde. Il y a tellement du moins sur la Terre. Comme si tu penses que tout le monde peut t'aimer. Ben non, il y en a qui ça ne va pas fuiter, puis ce n'est pas grave. Ça ne t'enlève rien. Ça ne t'enlève absolument rien. Puis, tu vas juste développer une vie que tu mérites en étant toi-même. Tu vas juste te sentir beaucoup plus sereine. Tu vas te sentir moins tout le temps comme sur le... Je ne sais pas... Tu es un peu en situation de danger, d'être stressée, que tout le monde nous juge. Il faut vraiment que tu te détaches de ça. Là, c'est comme mon premier épisode. J'ai plein d'idées qui pop. Tout ce que je dis, je vais faire un épisode là-dessus. Je vais faire un épisode là-dessus. Ça s'en vient. Je t'ai dit tout ça, mais je vais te donner mes trucs. Comment passer par-dessus ça? Parce que je sais que ça va pas être dur. Mais tranquillement, pas vite. C'est vraiment un pas à la fin. Des fois, on voit ça tellement gros, on est comme « mais je ne peux pas faire ça ». Oui, tu peux le faire, mais il faut que tu aies ta chance de te choisir, dans le fond. J'ai dit que j'avais posé une question d'introspection à chaque même épisode. Je vais te la poser. En fait, j'aimerais que... J'espère, en tout cas, que le podcast te fait réfléchir, te fait réaliser peut-être certaines choses. Il y a des choses que tu pourrais échanger pour vivre plus en alignement avec toi-même. Je te pose la question dans quelle sphère de ta vie tu penses que tu t'assumes peut-être pas pleinement ou que tu as peur de déplaire. Peut-être que c'est au travail. Peut-être que c'est dans la manière que tu vis ton côté par rapport à tes habitudes. Peut-être que c'est dans tes amitiés, en amour. Peut-être que c'est dans tes projets personnels. Dans ta créativité, dans ta façon de t'habiller. Honnêtement, toutes les sphères, n'importe quelles. Si c'est toutes, ça peut être toutes. Commence par une. Choisis-en une. Comment est-ce que tu peux faire pour t'assumer un peu plus dans cette sphère-là. Commence par une. J'aimerais vraiment ça si tu es capable de peut-être le commenter. Viens m'écrire si tu veux qu'on continue la conversation. Moi, ça me ferait vraiment plaisir. C'est ça. Ça va être tout pour ce premier épisode. Je te souhaite une magnifique journée. Je suis vraiment reconnaissante de ton écoute. Je vais te laisser là-dessus. Bye. Merci d'avoir été là. Je suis tellement reconnaissante de ton écoute. Si tu as apprécié cet épisode, je t'invite à me laisser une petite note et partager dans tes stories. N'oublie pas de t'abonner. Marie Baranda, viens être sur Instagram. Encore une fois, merci d'avoir été là, mais aussi de t'être accordé ce moment-là pour toi d'introspection. Si tu veux aller plus loin dans ta transformation intérieure, viens me jaser sur Instagram. Ça donne par plaisir de t'accompagner vers une version de toi plus épanouie et consciente. À la prochaine. Sous-titrage ST' 501

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