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The podcast "Révolution Z" is aimed at women who want to prioritize themselves and build their lives according to their own standards. The host, Marie-Lou, discusses mindset, self-care, and personal development to help women embrace their true selves and prioritize their well-being. In this episode, Marie-Lou talks about the pressure we put on ourselves to please others and achieve certain results, and encourages listeners to listen to their own desires and align their actions with their true selves. She shares her own experience of feeling lost and overwhelmed, and emphasizes the importance of taking care of oneself and not rushing the process of self-discovery. Est-ce que ça t'arrive de ne pas te sentir à ta place, de te sentir perdue ou de vouloir du changement dans ta vie sans trop savoir où commencer? Si oui, le podcast est pour toi. Bienvenue sur le podcast Révolution Z, moi c'est Marie-Lou et je m'adresse aux femmes de ma génération qui veulent se mettre en priorité, bâtir leur vie selon leurs propres standards et à être pleinement. Tout ça dans le but d'assumer leur vraie couleur pour mener une vie à la hauteur de qui elles sont vraiment. Je suis tannée de voir des femmes s'empêcher d'être elles-mêmes par peur de sortir du corps imposé. Chaque épisode te permettra d'approfondir ton introspection et ta transformation intérieure vers une version de toi plus consciente et épanouie. On va jaser Mindset, Self-Care et Développement personnel dans le but de révéler la vraie toi et de mettre ton bien-être en priorité. Es-tu prête à créer des réels changements dans ta vie? Ça commence à l'intérieur de toi, ici et maintenant. C'est bénéfique! Allô! J'espère que tu vas bien aujourd'hui. Ça va être un épisode vraiment cosy. Ça fait comme 3-4 fois que je recommence aujourd'hui. Je ne sais pas pourquoi. On dirait que je ne savais pas trop de quoi... On dirait que je savais que j'avais le goût d'enregistrer quelque chose mais je ne savais pas sur quel sujet. J'ai comme une liste d'idées de podcasts que je veux faire, d'épisodes. On dirait qu'il n'y avait rien que je filais. Plus que je commençais un épisode, on dirait que j'étais toute endormie. Plus je parlais, plus on dirait que je m'alignais tranquillement à un sujet que je voulais parler. Comme mon gut me disait, ok oui, tu le files, tu as quelque chose à dire là-dessus aujourd'hui. Puis on dirait que... Je me mettais beaucoup de pression à livrer un certain sujet que là je sens que j'ai besoin d'en parler. Puis c'est drôle parce que mon sujet aujourd'hui va vraiment axer sur ça, la pression qu'on se met. On veut que ça fasse du sens pour tout le monde. Mais au fond, pourquoi? J'ai envie de te faire réfléchir là-dessus. Ça faisait 4 fois que je l'ai enregistré parce que mon ventre n'arrêtait pas de gargouiller. Ça ne le faisait pas. Là, j'espère que c'est la bonne. Je suis en pyjama, sur mon petit fauteuil. Je n'ai pas de truc en soi. Aujourd'hui, ça ne va pas être un épisode structuré. Je te parle de ce que j'ai envie de te parler. On a une conversation ensemble. Pas tellement stressante. J'ai juste envie de te livrer ce que je ressens ces temps-ci. Dernièrement, ce que j'ai ressenti. Tout au long de ma vie, de démystifier ça. Peut-être que ça va t'enlever un genre de culpabilité aussi. En fait, je l'espère. Parce qu'on est tellement conditionné à vouloir plaire, à vouloir avoir l'air de quelque chose. On se met beaucoup de pression à terminer ce qu'on commence. À continuer et ne pas changer de direction. De ne pas se permettre de pivoter. Je trouve ça tellement dommage. Parce qu'on devrait tellement diriger nos décisions. Qu'est-ce qu'on fait au quotidien avec nos ressentis. Souvent, on oublie de considérer ce ressenti-là. On devient un peu comme des robots. On agit par automatisme. On se pose même des questions. On fait juste agir sans intention derrière. Il y en a qui ne se réveilleront jamais. Comme, j'ai pas ça à côté de ma vie. Je fais des affaires que je ne me pose même pas la question si j'aime ça. Je fais juste le faire. Je vais donner des exemples et te mettre en contexte de pourquoi je ressens ça. Depuis le mois d'août, je te dirais que je me sens... J'allais vraiment déouvertement sur mes réseaux sociaux. Je me sens vraiment perdue. On dirait que je ne sais pas trop c'est où que je m'en vais. J'ai vraiment peigné une droppe. Niveau mindset, je ne savais plus où que je m'alignais. Je ne savais plus c'était quoi ma vision. C'est arrivé après une grosse augmentation dans mon travail. On dirait que... En fait, je pense que c'est tout le temps dans ces moments-là. Tu atteins ton objectif. Après ça, tu es comme... Comme c'est juste ça. Je ne suis pas différente. Ma vie n'a pas changé. Oui, ma vie a impacté ma vie. Mais on dirait que je me suis rendue compte que mon objectif ultime, le résultat final, au fond, ce n'était pas ça que je voulais vraiment. Ce n'est pas que ça en fait. Souvent, on se rattache vraiment au résultat. On oublie d'apprécier le processus. Ça fait qu'on se met tellement de pression pour atteindre le résultat qu'on ne se permet même pas de s'écouter. Se permettre juste d'être à l'écoute de ce qu'on veut réellement et de ne pas s'éloigner de notre vision. On dirait qu'on a de la misère à associer des résultats positifs à le plaisir. C'est comme si... Je ne sais pas si tu es comme ça. Je ne sais pas si tu as cette croyance que tu dois travailler fucking dur pour avoir du succès et faire de l'argent. Mais c'est tellement une fausse croyance. C'est sûr que je vais te faire un épisode de podcast sur comment switch tes croyances limitantes. C'est vraiment quelque chose que je vais te parler, mais c'est un sujet aujourd'hui. On dirait qu'on s'auto-limite et qu'on oublie d'avoir du fun dans notre quotidien. J'avais juste envie de te partager mon expérience dans les derniers mois parce que pour la première fois depuis vraiment longtemps, je me suis permise de pivoter, de me ralentir, de me poser plus de questions et d'arrêter d'agir juste pour agir et de commencer à me dire qu'est-ce qui est désaligné avec moi, qu'est-ce qui est aligné avec moi. Quand je parle d'aligné, désaligné, c'est vraiment est-ce que je le feel, est-ce que j'ai le goût de le faire, est-ce que j'aime ça. On dirait que... Ça ne s'est pas fait du jour au lendemain. Ça fait six mois que je restructure ma vie au grand complet. Mes habitudes, mes goûts, comment je m'entraîne, comment je mange, ce que j'aime, comment je travaille, qui je veux impacter dans mon travail, qui que j'aide, comment je veux travailler, comment je veux réfléchir, qu'est-ce que je veux pour ma vie, c'est quoi ma vision, c'est quoi mes rêves. Comme toutes ces bigues, ça a l'air vraiment gros, mais c'est un processus et je n'ai pas fini. Je vais tout le temps évoluer, mais en fait, c'est ça le but de mon épisode, c'est que je veux te faire réaliser qu'il n'y a pas de finalité. C'est un continuel changement et en fait, on est en constante évolution. C'est ça qui est beau et c'est ça que j'ai envie de te faire réaliser, arrête de te mettre de la pression, d'atteindre certains résultats, parce qu'il y a tellement de circonstances dans notre vie. La vie, elle va arriver. Quand on dit life happens, c'est vraiment ça. La vie, elle ne s'arrête pas parce que, je ne sais pas moi, tu as des nice résultats ou tu as une promotion à ta job. Ce n'est pas parce que tu as des résultats, on s'imagine tellement un idéal et ça fait en sorte qu'on s'éloigne de juste enjoyer notre vie comme que nous, on a envie de la vivre. Ça peut être aussi banal que, on dirait qu'on fait des fausses croyances dans notre tête, de terminer ce qu'on commence ou ne pas se permettre de pivoter et tout ça dans le but de plaire à quelqu'un ou de plaire aux autres pour que ça fasse du sens pour les autres. Je trouve qu'on s'éloigne un peu du but de notre vie, comme pourquoi on veut plaire aux autres tant que ça, avant même de se plaire à nous-mêmes. Je veux que tu te poses plus de questions. Pour de vrai, mon but, je ne sais pas si je vais faire des saisons de podcast, mais mon but avec les épisodes présentement, c'est vraiment de te faire prendre conscience. Est-ce que tu es en train de passer à côté de quelque chose ou juste de te mettre trop de pression ou juste de ne pas enjoyer ta vie et de ne pas agir en alignement avec toi-même? Je veux te faire prendre conscience de ça parce que c'est tellement important de juste se permettre d'être. On est tellement dans une société de faire, faire, faire tout le temps, être hyper rapide, aller plus vite que les autres. On veut battre des records. On a beaucoup l'anxiété de performance. Je ne veux pas qu'on s'éloigne. Notre but premier, c'est d'être bien avec nous-mêmes. Je pense vraiment que si tu écoutes le podcast, c'est pour aller chercher cette espèce de paix intérieure. Ça n'arrive pas en claquant des doigts. Ce n'est pas genre, ok, je veux bien me sentir. Bam, je me sens bien. Non, il y a un cheminement. Le cheminement, il n'est pas facile. Mais dans les derniers mois, après le mois d'août, après cette augmentation que j'ai eue, je me suis tellement perdue. Je ne savais tellement pas c'est quoi que je voulais faire. C'est comme si ça allait de pire en pire. On dirait que je ne savais pas. J'étais overwhelmed. J'étais comme, je veux tout faire en même temps. C'est dans mes rêves. Qu'est-ce que je vais faire? On dirait qu'à un moment donné, j'ai eu un déclic. Tu sais quoi? Présentement, tu es en train de vivre cette contraction dans ta vie. Cette phase la plus difficile. Tu ne sais pas où tu t'en vas. Parce que ça va t'amener des réponses éventuellement. Et de ne pas rusher ce processus. De juste te permettre de prendre soin de toi pendant ce temps-là. Parce que la pire affaire que tu peux faire, quand tu es dans des phases comme ça, que tu es perdu ou que tu ne sais pas trop ce que tu t'enlignes, ou que tu ne te sens moins bien, c'est de te mettre de la pression et de te parler mal. Et de vouloir rusher ton processus à toi. On s'oblige tellement à continuer des choses. Rester dans notre métier qu'on n'aime pas tant que ça. Endurer des gens qu'on n'aime pas tant que ça, qui nous font mal sentir bien. Parce que c'est ça qu'on connait. Ce n'est pas parce que tu es amie avec quelqu'un depuis longtemps que vous avez grandi ensemble, que vous avez fait toute votre école ensemble, que tu es obligé de la garder dans ta vie. Si cette personne-là ne te fait pas sentir bien. Tu n'es pas obligé de garder. Prends en considération les circonstances de ta vie. Je pense qu'il y a toujours moyen de faire les choses. Réfléchir et tout. Mais juste de te permettre d'oser voir d'autres opportunités. Des fois on pense qu'on est pris à faire ce travail-là toute notre vie. Mais c'est un choix. Il faut prendre le choix et se permettre d'ouvrir nos horizons. Il y a d'autres choses. Je ne me sens pas bien, mais c'est temporaire. C'est tellement temporaire comment tu te sens. C'est tellement temporaire ce que tu vis. Arrête de te mettre de la pression, parce que ça va s'arranger, ça va se placer. Il faut que tu sois ouverte à changer ta perspective. Peut-être changer des choses dans ta vie pour être mieux. Ça part à l'intérieur de toi. En te priorisant toi. C'est tellement important. On se néglige. On dirait qu'on cherche des solutions à l'extérieur de nous, mais les réponses sont à l'intérieur. En tout cas, on cherche des réponses à l'extérieur, mais les réponses sont à l'intérieur. Il ne faut pas oublier ça. On dirait qu'on a peur à l'intérieur de nous, mais ce travail-là est nécessaire. Toute ma vie, on dirait que je suis vraiment quelqu'un de... Si tu connais le human design, je suis MG, je suis Manifesting Generator. J'aime vraiment beaucoup d'affaires. J'ai appris avec le human design que c'était correct que je ne finisse pas tout ce que je commence. On dirait que ça m'a vraiment amenée à un genre de paix d'esprit, parce qu'on s'est tellement montré que si tu fais ça, tu ne veux pas perdre tous les efforts que tu as faits, il faut continuer. Mais si c'est pur ressenti, si tu ne le fais plus, pourquoi tu continuerais ? Arrête de vouloir que ça fasse du sens pour les autres. Ce n'est pas nécessaire. On s'en fout de ce que les gens pensent. On s'en fout que ça ne fasse pas de sens pour eux. On s'en fout qu'ils ne comprennent pas. L'important, c'est que toi, tu te sens bien. Des fois, c'est nous-même qui se met cette pression sur les épaules. Par exemple, ça peut être aussi banal que de, mettons, tu lis un livre, et il ne te parle plus. Ça fait un mois que tu le lis. Je te donne un exemple de moi. Je pensais que j'étais pensée comme un moine. Ça fait des mois que je lisais ce livre. Mais in and out, je lisais un peu, j'arrêtais. Je me disais qu'il faudrait que je le lise. Parce que le monde me dit qu'il faudrait que je finisse mes livres. On pense qu'il faut finir instantanément. Qu'est-ce qu'on commence ? Mais tu as le droit de faire des pauses. Tu as le droit de te réaligner et de continuer plus tard. On dirait que ça m'a fait réaliser que je pensais comme un moine. Je l'ai lu plus tard, puis c'est tout. J'en ai juste commencé un nouveau, en plein milieu d'où j'étais, d'en penser comme un moine, j'ai commencé un nouveau livre. Un autre qui me parlait plus. Mais des fois, on s'oblige à continuer quelque chose qu'on n'a pas le goût de continuer. Je te parle d'un livre. Ça paraît banal. Mais moi, ça faisait en sorte que je m'empêchais de continuer à lire. On dirait que je ne pouvais pas commencer d'autres choses tant que je n'avais pas fini lui. Mais c'est quoi cette règle ? Qui a inventé ça ? Personne. Il n'y a pas de livre de loi d'un écrite que tu dois terminer tes livres. Quand tu es commenteur, tu fais bien ce que tu veux. Pourquoi on se met autant de pression sur les épaules de tout finir ? Qu'est-ce qu'on commence ? Je vais te partager plusieurs affaires que j'ai faites dans ma vie, que j'ai fait des pivots. C'est temps que je lis beaucoup là-dessus. En tout cas, tu iras t'informer sur ton human design. Je vais faire des fois des références par rapport à ça parce que ça m'a vraiment permis d'apprendre à me connaître aussi là-dedans. Je parle de mon propre cheminement. On est tous uniques. On a toutes notre vie. Tu en prends et tu en laisses. Ce que je disais, c'est que on dirait que c'est un sujet où je vois plein de trucs sur les pivots et que les MGs, s'ils ressentent le besoin de pivoter, ils ont le droit. On dirait que j'étais comme un pivot. On dirait que je ne comprenais pas. Après ça, j'ai réalisé que je pivote en tabarouette dans ma vie. Il y a tellement d'affaires que quand je ne le sens plus, on dirait que j'ai envie de te montrer que il y a plein de pivots que j'ai fait dans ma vie et ça n'a pas ruiné ma vie. Au contraire, ça m'a juste permis de rester alignée avec qui j'étais. Je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui s'obligent et qui ne se permettent pas de faire ces pivots-là dans leur vie parce qu'ils sont pris dans la peur que ça ne fasse pas de sens pour les autres, la peur de l'insécurité. En tout cas, tu comprends. Je comprends tellement ça. Mais ça ne faisait pas de sens que je quitte l'université après une journée parce que je ne le filais vraiment pas et que je me tourne de bord et que je désaie d'ouvrir un commerce de pignons sur rue à Saint-Jérôme. Ça ne faisait pas de sens. Personne ne s'attendait à ça. Même moi, je m'attendais à faire mon bac. Le matin même que j'ai dit à mes parents que ça ne le ferait pas, que je revenais de l'Uni en voyant ma vie, j'avais acheté mes livres. La même journée, j'avais acheté ma pause de train pour aller à Montréal. On dirait que je ne me suis pas posée de questions. J'étais juste comme, je vais le faire parce que c'est ça qu'il faut que je fasse. J'imagine qu'après mon premier cours, j'ai fait comme, oh, aïe aïe aïe. Je ne suis tellement pas à la bonne place. Je ne le sens tellement pas. Je n'ai zéro plaisir présentement. Je me fais juste angoisser. J'ai zéro, zéro, zéro, zéro plaisir. Souvent, je sais que à cause de la pression, ça peut être des parents, ça peut être de l'entourage, ça peut être de la société, ça peut être nous-mêmes aussi qui s'amènent, mais on ne se permet pas de changer d'idée. De comme, t'as le droit de ne pas tout le temps terminer ce que tu commences. J'ai fait un fucking cours. J'ai fait un cours à l'université. Mais je ne l'ai tellement pas fini et je me remercie tellement parce que ce move-là, j'étais vraiment inconfortable de le faire, mais c'est ça qui m'a permis de faire ce que je fais aujourd'hui. Imagine, je ne m'imagine pas être encore à l'université et être malheureuse et revenir à tous les jours en pleurant. Je sais qu'il y en a, que c'est ça leur réalité et je trouve ça tellement triste qu'on s'inflige ça pour notre vie. Comme on n'est pas venu sur la terre pour être malheureux et faire des choses qu'on n'a pas le goût de faire. C'est juste de te faire prendre conscience de faire des choses pour toi. Pas pour les autres. Pense à toi avant tout. On a le droit. Ça peut être aussi comme ça ne faisait pas de sens. J'ai fait une formation professionnelle de yoga pour enseigner le yoga. Je l'avais dit dans un autre épisode. J'ai fait cette formation-là en même temps que l'ouverture de mon chèque-bas. J'étais « overwhelmed » par mille. J'ai gros sentiments d'imposteur en tant que prof de yoga. Après ma formation, je n'ai jamais enseigné de cours. Mais non. Puis comme, you know what, je m'en fous. Je respecte mon rythme. Je sais que si je m'étais rushée à enseigner en pleine ouverture de KMS, que je ne suis pas bien stressée de tout ce qui se passe dans ma vie parce que tout est nouveau, que je ne sais même pas ma propre identité en tant que professeure de yoga. Sérieux, je ne me vois pas faire ça. Je sais que j'aurais capoté. Peut-être que ça aurait fait en sorte que je n'aurais plus jamais enseigné parce que j'aurais tellement eu une mauvaise expérience. Je ne le saurais jamais. Mais comme on a le droit de respirer, on a le droit de faire confiance au timing et juste de y aller à notre rythme. Des fois, on veut faire les choses « bien ». Mais il n'y a rien qui est bien ou pas bien. En fait, je pense que c'est juste toi qui peux déterminer qu'est-ce qui te fait sentir bien, qu'est-ce qui ne te fait pas sentir bien. À ce moment-là, c'est à toi de prendre les bonnes décisions pour toi, pas pour les autres. On a le droit de changer d'idée. Il faut vraiment arrêter de se mettre la pression. Mon épisode sur le gym, je vais te parler de « où » à « présentement ». Grosse restructuration. Je me suis permis de changer, de changer mon message, de changer la manière dont je parlais, de changer mon « mindset ». J'ai mangé une « nigger clack » parce que j'ai eu une grosse « drop » de confiance en moi. J'étais comme « je fais quoi ? » « Je suis qui ? » « J'aime quoi ? » Je me suis laissée un peu bercée dans ces vagues qui étaient plus floues, mais qui m'ont amenée tranquillement vers une vision de moi plus claire. Je me suis permis de me poser juste les bonnes questions sans rechercher ce processus-là. Un jour à la fois, à chaque jour, je disais juste « comment tu veux te sentir aujourd'hui ? » Je me posais quelques questions d'introspection pour clarifier. Aujourd'hui, je me sens comme ça, etc. J'ouvrais mes horizons. Des fois, on est tellement pris dans notre conditionnement qu'on pense que ce qu'on pense, c'est la vérité. Mais la vérité est propre à chacun. Tu peux bâtir ta propre vérité. Avant, ma vérité, c'était que la seule façon que je pouvais avoir des résultats, c'était au gym. Pendant ce cheminement-là, ce pivot de changement intérieur que j'ai vécu dans les 6 derniers mois, j'ai réalisé que ce n'était pas une vérité. C'était quelque chose que je m'imposais et que j'ai le droit de changer. C'est dans toutes les sphères de ta vie. Ton travail, ce n'est pas parce que tu fais le même depuis 10 ans que tu ne peux pas t'en aller. Il y a des conditions, mais comme ça, ça t'appartient de faire des choix, mais tu ne peux pas... Il n'y a rien qui va te faire plus sentir bien que de faire des choix qui, au final, te font sentir bien. Tu comprends? Comme tu ne peux jamais regretter de t'être choisi parce que tu devrais être ta priorité numéro 1. Puis si, à tous les jours, tu t'habilles, tu sors du travail, tu ne te poses pas de questions, tu côtoies du monde de merde, tu n'es juste pas bien, tu chiales, tu n'as pas le temps de prendre soin de toi, tu arrives chez vous, tu es devant la télé, tu ne te poses pas trop de questions, tu te couches. Le lendemain, c'est la même affaire. Il n'y a pas de temps qu'il y ait un petit switch. Même en fait, si tu vas à l'école ou pas, je pense que ça s'applique à n'importe qui. C'est important de devenir conscient. Puis on est trop longtemps inconscient de nos choix, de nos décisions, de les actions qu'on fait. C'est comme on ne s'en rend pas compte. Puis plus que tu vas te rendre compte des choses que tu fais qui ne sont pas alignées avec toi, plus que, tranquillement, pas vite, tu vas voir que ça ne fait pas de sens de vivre de même. Je ne suis même pas heureuse. Je ne suis même pas bien. Puis c'est quoi ta définition d'être heureuse? C'est quoi ta définition d'une vie réussie? Puis ça, encore là, c'est propre à chacun. Ce n'est pas obligé d'être soit millionnaire, mais ça peut. Tu as la capacité pour l'être. Mais des fois, on s'idéalise beaucoup une vie heureuse alors que tu as tout en toi pour être heureuse. Il faut juste que tu t'amènes à faire des choses pour toi et de te prioriser. Des fois, on associe le bonheur à avoir beaucoup d'argent ou à avoir un poste élevé dans notre travail. Je ne sais pas, mais il y a tellement de richesses autour de toi. Comme la richesse dans tes relations, dans des petites affaires. Il fait soleil aujourd'hui, il y a une belle température, quelqu'un t'a payé ton café. C'est des petites affaires à prendre en considération. Il y a d'autres choses. Ouvre un peu ton mindset. Il y a des belles choses qui arrivent. Il y a des bonnes personnes. Présentement, peut-être que je n'ai pas l'entourage de mes rêves. Peut-être que je n'ai pas le travail de mes rêves. Peut-être que je ne me sens pas bien dans mon corps, dans ma tête ou dans ma vie. Ça se peut. Mais tout ça, c'est temporaire. Si tu crées des changements maintenant, dans des petites actions, je ne te dis pas de lâcher ta job. Je ne te dis pas de parler à tes amis, de parler à ta famille. Ce n'est pas ça. Ce n'est pas des méga, si tu le sens, tu penses que c'est un bon moment pour toi, rendu là, ça t'appartient. Mais des petits switch. De juste ne plus donner d'énergie à ceux qui ne le méritent pas. De ne pas chercher à voir les gens qui ne te font pas sentir bien. De peut-être unfollow, sur les réseaux sociaux, les gens qui te créent des mauvaises émotions. Des émotions plus négatives. Ça peut l'aider. De prendre soin de toi, de te mettre en priorité. Au lieu d'aller sur Netflix tous les soirs, va marcher et après va sur Netflix. Pour t'énergiser, t'ouvrir l'esprit, te créer de l'espace. Des fois, c'est juste de ouvrir nos oreillons. De sortir notre bulle, de notre tête, de notre propre mindset fermé. Des fois, on ne s'en rend même pas compte qu'on est sur un pilote automatique, mais sort de ce pilote automatique et devient réveillé. Réveille-toi. Prends conscience de ta vie, parce qu'elle n'a pas besoin de faire de sens pour personne. Elle a juste besoin de faire un sens pour toi. C'est toi qui vas en déterminer son sens. Tu peux faire en sorte d'être bien au quotidien à travers les petits choix que tu fais. C'est aussi une question de mindset. C'est de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. C'est aussi de la perspective que tu vois les choses. 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J'imagine que là, dépendamment de la vie que tu as, il y a peut-être quelque chose que tu es insatisfait et que tu penses à changer ou créer un changement dans ta vie par rapport à ça. Ça peut être tes relations avec ton travail, ton école, ça peut être n'importe quoi. Dans tes habitudes de vie, le bien-être, etc. Comment je me sens quand je fais ça ou quand je suis au travail? Comment je me sens? Si ce n'est pas quelque chose qui te fait sentir bien ou que tu penses qu'il est optimal et que tu pourrais améliorer, pose une intention. Comment tu aimerais te sentir? Parce que ça peut se changer. C'est une intention. Comme si à ton travail, si pour moi, tu ne te sens pas respecté, c'est une intention. Je mets mes limites et je veux me sentir respecté. Je veux me sentir que j'ai ma place et que je vais leur prendre ma place. Ça peut être ton intention. Si tu veux te remettre en forme et que tu ne te sens pas bien dans ton corps et que tu es habitué à te dire que tu lâches tout le temps après deux semaines, tu ne t'arrêtes pas de te dire que c'est ça que tu vas faire. Change ça. C'est quoi ton intention? Je veux y aller au jour le jour et le faire pour me sentir bien. Pas parce que tu veux changer de corps. C'est une mauvaise raison. Si c'est pour ça que tu quittes après deux semaines, c'est parce que tu penses à l'image et tu penses qu'avec ce résultat-là tu vas être heureuse. Mais tu vas être heureuse à travers le cheminement, à travers les petits choix que tu vas faire pour te sentir bien, pour avoir ce résultat-là. Il faut arrêter d'attendre le résultat et de vouloir l'approbation de tout le monde. C'est à l'intérieur de toi que tu vas trouver la douceur, la paix. Arrête de te mettre de la pression, d'être tout le temps parfaite et de faire ce qu'on entend de toi. T'as le droit de choquer le monde avec tes décisions. T'as le droit de switch. Ça veut dire que tu crées des changements dans ta vie. C'est correct. T'as le droit parce que t'es maître de ta vie. Si t'es pas satisfait, c'est juste de te poser la question pourquoi je le fais? Pourquoi je le fais comme ça? Est-ce que t'aimes ça? Si la réponse est non, comment tu préfères pour aimer ça? Des fois, c'est juste de changer notre perception. Comme j'ai dit, moi, normalement, je n'aimais pas ça m'entraîner. Je faisais genre, je suis curieuse, j'haïs ça. Je n'aimais pas ça parce que j'allais au gym. J'ai changé ma méthode. Maintenant, je vais marcher, je vais courir, je vais faire du yoga, je pratique mes handstands, comme c'est full musculaire. Ça me travaille vraiment. Là, je tripe ma vie. J'aime full ça. Parce que je respecte mon fit et j'ai créé un changement. Là, maintenant, j'aime ça. Je me sens bien. Je me sens légère. Je me sens pas anxieuse. Je me sens pas frustrée. C'est des petites affaires, mais on se met dans une boîte, on se met dans une cause. Oh non, il faut que je fasse ça comme ça. Mais non, je travaille là-dedans, il faut que je reste là-dedans. Tu peux te permettre de changer d'idée des fois. Tu peux te permettre de pivoter. Tu as le droit. Fais les choses pour toi. Je t'envoie plein d'amour. J'espère que cet épisode-là va juste te permettre d'arrêter de te sentir coupable, de changer, de ne pas te donner le droit de changer d'idée ou de faire d'autres choses. De te donner un petit boost de confiance. Hey, je suis ma priorité. Je vais créer des changements. Écris-les, les changements que tu veux faire. Fais pas tous les faire en même temps. Commence par une petite chose. Après ça, c'est juste de en faire une autre. Après ça, tu vas te regarder l'année prochaine et tu vas te faire tabarouette. J'ai tellement créé de changements que je me sens mieux. Je te laisse là-dessus. Si tu veux m'écrire ou continuer la conversation, ça va toujours me faire plaisir. Je t'envoie plein d'amour. Si tu as des questions ou si tu veux jaser ton introspection, tout ça, ça va me faire plaisir. Passe une magnifique fin de journée. Prends soin de toi. On se rejase dans un nouvel épisode. Bye-bye. Merci d'avoir été là. Je suis tellement reconnaissante de ton écoute. Si tu as apprécié l'épisode, je t'invite à me laisser une petite note et partager dans tes stories. Au niveau de ta gueule, Marie Varanda, viens être sur Instagram. Encore une fois, merci d'avoir été là, mais aussi de t'être accordé ce moment-là pour toi, d'introspection. Si tu veux aller plus loin dans ta transformation intérieure, viens me jaser sur Instagram. Ça va me faire plaisir de t'accompagner et de faire une version de toi plus épanouie et consciente. À la prochaine.