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Comment j'ai retrouvé le plaisir de bouger version édité

Comment j'ai retrouvé le plaisir de bouger version édité

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The podcast "Révolution Z" is aimed at women who want to prioritize themselves, live according to their own standards, and be fully authentic. The host, Marie-Lou, shares her personal journey of rediscovering her enjoyment of exercise and questioning her reasons for going to the gym. She realizes that she had been following societal expectations rather than listening to her own desires. She encourages listeners to explore different forms of movement and give themselves permission to change their approach to exercise. It's important to prioritize self-care and be true to oneself. Est-ce que ça t'arrive de ne pas te sentir à ta place, de te sentir perdue ou de vouloir du changement dans ta vie sans trop savoir par où commencer? Si oui, le podcast est pour toi. Bienvenue sur le podcast Révolution Z, moi c'est Marie-Lou et je m'adresse aux femmes de ma génération qui veulent se mettre en priorité, bâtir leur vie selon leurs propres standards et à être pleinement. Tout ça dans le but d'assumer leur vraie couleur pour mener une vie à la hauteur de qui elles sont vraiment. Je suis tannée de voir des femmes s'empêcher d'être elles-mêmes par peur de sortir du corps imposé. Chaque épisode te permettra d'approfondir ton introspection et ta transformation intérieure vers une version de toi plus consciente et épanouie. On va jaser Mindset, Self-Care et Développement personnel dans le but de révéler la vraie toi et de mettre ton bien-être en priorité. Es-tu prête à créer des réels changements dans ta vie? Ça commence à l'intérieur de toi, ici et maintenant. Venez tous! Allô! J'espère que tu vas bien. Aujourd'hui, j'ai vraiment hâte de te parler de tout ce sujet-là parce que je suis vraiment là-dedans présentement. C'est vraiment quelque chose que je vis au quotidien, que je suis vraiment en train de retrouver un peu mon plaisir dans mon entraînement. J'avais envie de te partager un petit peu mes réflexions des derniers mois. Parce que dans les derniers mois, j'ai vraiment été dans un cheminement personnel de reconnecter avec mon plaisir de l'entraînement. Parce que j'avais vraiment perdu l'envie de m'entraîner, de bouger. Je ne le faisais pas pour les bonnes raisons. J'ai envie de te partager un petit peu ce qu'a été mon cheminement là-dedans, quelles questions que je me suis posées, qu'est-ce que j'ai appris dans tout ça. C'est assez simple, je te partage tout ça. Tu t'en prends et tu t'en laisses. Si ça colle à toi, tant mieux. Si ça te passe, si ça te permet d'avoir des réflexions, de faire une introspection sur toi, tant mieux. Mais sinon, c'est le thème de la maman que tu t'entraînes, tant mieux. Je te mets en contexte. Moi je suis dans le domaine du bien-être. Les gens avec qui je travaille s'entraînent pas mal tous au gym. Comme dans un gym, j'ai l'écono-fitness, tout ça. Je ne me suis pas posé de questions. Moi aussi, je m'entraînais dans un gym. Je ne me suis jamais vraiment demandé pourquoi je faisais ça. Je ne me suis jamais vraiment demandé si j'aimais ça dans le fond. Je faisais juste le faire, sans me questionner. Sans me demander si c'était vraiment pour moi. J'ai toujours été quelqu'un d'assez sportif. J'ai fait de la gymnastique toute ma jeunesse. J'ai fait du cheer tout mon secondaire et cégep. Ça a toujours été comme ça mes sports. Quand je fais un sport, j'adore mon sport. Je le garde longtemps. Quand j'ai arrêté le cheer collégial, j'ai juste commencé à m'entraîner plus sérieusement et demeurer assidue au gym. Sans trop me poser de questions. C'est comme, dernièrement, j'étais très up and down avec mes propres résultats. Avec ma constance au gym. Avec ma discipline. On dit tout le temps, discipline, motivation, c'est important d'être discipliné. No matter what, tu vas au gym. Ce n'est tellement pas des affaires qui me passent. Je ne sais pas pourquoi, c'est des pages dans ce style-là que je suivais. C'est comme si je m'étais auto-brainwashed à cause de toutes les pages que je suivais. Je me comparais beaucoup. Souvent, dans l'environnement qu'on est, on ne se pose pas trop de questions. On fait un peu comme les gens autour de nous. On est comme, elle, elle le sait, je vais le faire. Des fois, c'est un peu inconscient. Mon cheminement, ça l'a vraiment été, il y a un mois et demi, deux mois, une amie m'a dit, Marie, ça n'a tellement pas l'air de tenter de t'entraîner. Ça ne te tente pas d'essayer d'autres choses. Je t'ai dit, gros flash dans ma tête, grosse illumination, je peux faire d'autres choses. Je peux faire d'autres choses. Sérieux, je ne m'étais jamais posé la question. Peut-être que ce n'est juste pas pour moi. Peut-être que je suis juste due d'essayer quelque chose de nouveau. Ça a été le deuxième déclencheur. Le premier déclencheur, ça a été une amie que j'ai croisée quand je suis arrivée au gym. Elle m'a dit, j'étais comme, quel plan as-tu? Dans le fond, on a des plans d'entraînement pour le travail, pour nos clients, pour nos coachs, tout ça. Moi, j'ai suivi un plan parce qu'on était en train de faire un plan. On en a de toutes sortes. Mon amie m'a juste dit, pour le moment, je ne suis pas de plan. Je ne le sens pas. Je vais un peu au feeling. Ça me satisfait. J'étais comme, il n'y a pas de problème. Je me rappelle que cette journée-là pour aller au gym, c'était un rouge. J'étais comme, oh my God, ça va être pénible. Je n'ai même pas le goût de faire les exercices qui sont sur mon plan. Je ne t'indique pas en erreur, c'est vraiment malade de suivre un plan. Tu es quelqu'un qui a besoin d'encadrement. Tu es quelqu'un qui a des objectifs plus fixes. Ça y est, un plan, c'est incroyable pour la progression et tout. Moi, où que j'étais rendue dans mon féminin, j'en ai suivi des plans, j'ai adoré, j'ai eu des résultats incroyables, mais où que j'étais rendue dans ma vie, c'est comme si ce n'était plus ça que j'avais besoin. Je n'ai pas été capable d'être à l'écoute de ce questionnement-là en moi que j'avais. J'avais pas de plaisir. On dirait que j'essayais de trouver le problème en moi alors que ce n'était pas moi le problème. Pourquoi que moi, je devais citer aller au gym alors que ça ne me faisait pas sentir bien. Je pouvais juste décider de changer de manière de bouger. Je n'ai pas été capable de faire ce choix-là. Vu que je suis dans ce domaine-là de santé-bien-être, on dirait que je dois montrer que je vais au gym. C'est important. C'est la seule façon que je peux m'entraîner. C'est tellement pas mon discours avec mes clients. C'est tellement le discours que j'avais avec moi-même. Je ne sais pas pourquoi qu'on souffre, qu'on se donne cette pression-là. C'est tellement lourd. Je ne sais pas pourquoi que je m'infligeais ça pendant si longtemps. La deuxième fois que j'ai eu une conversation avec une amie et qu'elle m'a dit que c'était tellement pas le fun. Ça ne te tente pas de faire du yoga. J'ai fait il y a deux ans. Juste avant d'ouvrir mon comptoir santé, en pleine ouverture de mon commerce, je me suis dit pourquoi pas faire une formation professionnelle de yoga. Je ne fais pas les affaires moitié. Je suis tout le temps occupée. J'ai fait ma formation professionnelle de yoga. J'ai toujours trippé sur le yoga. Il y a toujours quelque chose qui m'a accroché de ça. C'était vraiment intense. Avec l'ouverture du check-bar, j'ai vraiment décroché du yoga. J'ai eu une méga écoeurantite. J'étais écoeurée. J'ai monté dans ma tête un scénario préconçu. Ton yoga, tu dois le faire d'une certaine façon. J'étais très en mode imposteur. Je suis qui moi en tant que prof? Qu'est-ce que j'ai apporté de mieux que les autres? Un peu le même principe que quand j'ai lancé mon podcast et dans l'épisode d'intro, je le dis comment je me sentais imposteur. Je me disais ce que j'ai dit plus que les autres. C'est toute une question de confiance en soi. Tranquillement, pas vite, je leur gagne cette confiance. Là, je suis vraiment en train de retourner dedans. Il y a deux ans, quand j'ai ouvert mon check-bar, la journée, c'est vraiment drôle. La semaine que j'avais mon examen professionnel de yoga, c'était la journée de mon ouverture de mon commerce. C'était vraiment intense. C'était vraiment stressant, vraiment intense. J'ai chuté dans le bain ride après. J'ai complètement délaissé ma pratique de yoga. J'ai déménagé aussi entre-temps. Je suis vraiment quelqu'un qui a besoin d'être confortable en ce moment. Vu que je n'avais pas de confiance en moi, je faisais juste comme léviter. Je pense que c'est correct à un certain moment de juste se donner la chance de prendre une pause et de voir nos ressentis. Tu recommenceras, mais tu n'es pas obligé. J'aurais tellement pu me mettre une pression. Je vais t'en parler dans un autre épisode. Je suis au début de l'enregistrement de mes épisodes. C'était ça pendant le mois de décembre avant le lancement. À chaque fois que je dis quelque chose, j'ai des idées. Je vais en parler dans un épisode. J'ai tellement d'idées qui se passent en ce moment. Je vais t'en parler. Je suis vraiment tédé aussi. Fun fact. J'aurais pu me mettre une grosse pression avec le yoga. « Marie-Lou, tu as fait ta formation professionnelle. Va enseigner le yoga. Tu ne vas pas cracher là-dessus. » Non, non, non. J'ai juste fait comme « You know what, ce n'est pas le bon moment. Ce n'est pas le bon timing. » Je pense que ça n'aurait pas été un cadeau de me faire ça. Deux ans plus tard, je me retrouve tranquillement. Je me dis que c'est peut-être le bon timing pour moi de me lancer dans tout ça. Mais je ne m'étais pas pressionnée. Tout ça pour dire que le yoga a toujours été quelque chose qui me parlait. Mais je l'ai vraiment délaissé pour aller au gym, pour me concentrer plus sur mes résultats. J'ai vraiment bâti de la masse musculaire. J'ai eu des bons résultats. Ça m'a vraiment fait du bien. À un certain moment dans ma vie, j'avais besoin de ça. J'avais besoin de le « feeling » au gym. Il y a quelqu'un qui crie de motivation. « Let's go ! » J'avais besoin de ça. Il y a une période de ma vie où j'ai besoin de plus de douceur. Je t'amène à te questionner. Justement, être à l'écoute de ces différentes phases-là. De te donner le droit de changer d'idée. De te donner le droit d'explorer, de changer de manière de fonctionner. Ce n'est pas parce que tu t'es entraînée au gym toute ta vie que tu dois continuer. Ce n'est pas parce que tu fais de la natation depuis X nombre d'années. Là, ça ne te parle plus. Il faut se donner cette permission-là pour nous-mêmes. On ne se la donne pas assez. On dirait qu'on se met dans une boîte. « Je vais au gym, c'est juste au gym. » Mais on peut faire différentes choses. C'est même arrivé à un moment donné, je ne sais pas si je suis rendue trop loin dans mon « overthink it ». C'était à un certain moment que je me suis dit que je ne peux pas aller au gym. Je me disais ça dans ma tête. « Ah non, tu n'as rien à foutre. Je suis la fille au gym des gens. Comment va tellement le monde? Pourquoi moi? » Elle ne sait pas si je me suis entraînée ailleurs ou si j'ai fait d'autres choses. C'est comme si je m'infligeais vraiment un cadre. Si tu t'entraînes au gym, tu dois juste t'entraîner au gym. Si tu t'entraînes à la maison, tu ne peux pas t'entraîner ailleurs. C'est vraiment juste ça que tu dois faire. Je ne sais pas si j'en ai qui sont comme moi. C'est facile de se mettre dans une boîte. C'est tellement pas ça que j'aime. Dès que je me sens dans un cadre, dans une boîte, j'étouffe et je ne me sens pas bien. Je pense que c'est pour ça que je ne me sens pas bien dans tout ça. C'est parce que je m'auto-métais dans cette situation-là. Je pense que c'est important d'en prendre conscience. Quand on n'est plus bien, de juste prendre un peu de recul. Se dire pourquoi tu le fais, pourquoi tu continues à le faire. Est-ce que tu aimes ça? J'ai pris la décision de juste diminuer d'aller au gym. Je n'ai pas envie de nécessairement y aller. Je me disais tout le temps, tu vas y aller 4-5 fois par semaine. Mais pour qui je fais ça? C'est parce que j'étais habituée de voir les gens autour de moi y aller 4-5 fois par semaine. Pourquoi que moi, j'avais ça comme objectif? Ce n'était même pas vraiment ça que je voulais. Mon but en bougeant, c'est juste de faire parler mon corps, d'extérioriser l'énergie que j'ai en moi et m'exprimer d'une certaine façon. C'est pour me faire du bien, pour me garder en santé. Mon but, ce n'est pas de faire une compé fitness. Je me mettais dans la prison comme si j'allais en faire une. Tu peux juste te calmer, s'il te plaît. Ce n'est pas le cas. Enjoy tes entraînements. Tu le fais parce que tu t'aimes. C'est pour rendre service à ton corps, pour te faire du bien. Pour faire du bien à ta tête aussi. Ce n'est pas juste le corps, ce n'est pas juste pour avoir un objectif physique de bouger. C'est censé te faire du bien à ta tête. Moi, c'était rendu que d'aller au gym, j'angoissais de ce que les gens pensaient de moi. Je n'étais plus confortable. J'étouffais. Il y avait tellement de monde des fois. J'angoissais. J'étais comme impossible. Ça m'emportait beaucoup de frustration. Pendant quelques semaines, je suis allée une fois par semaine. Deux fois. L'autre fois, j'étais allée hier. J'ai vraiment pu se connecter avec le yoga. Je me suis donné la chance de changer. De faire confiance à mon intuition. Essayer de nouvelles affaires. Une chose que je veux essayer, c'est du pole dance. De la danse plus énergie féminine. J'ai vraiment envie d'essayer ça. Ce sont des désirs que j'ai. Que je ne rejette pas. Que je ne juge pas. J'ai compris que je me mettais cette pression. De bouger d'une certaine façon. C'est pas vrai. On peut tellement bouger de l'air qu'on veut. L'important, c'est que ça nous fasse bien. Ce n'est pas de ce qu'on a de l'air ou de ce que les gens pensent de nous. C'est nous, ce qu'on veut. Tu peux setter un plan. Je reconnais beaucoup avec la marche. J'ai même essayé de commencer à courir. J'ai des objectifs différents. Je pense que c'est aussi de se permettre de ne pas cadrer. Je te donne un exemple. J'ai toujours haï ça, courir. Je pense que c'est parce que j'étais dans une anxiété de performance. Tu dois performer quand tu cours. Je ne suis pas bonne devant. Je ne cours pas bien. Je n'ai pas de souffle. Je suis full débutante. C'est tellement normal. J'ai causé la course comme quelque chose de dégueulasse. Je n'aimais pas. Tranquillement, j'ai ouvert mon esprit. Il y a une couple de temps, tu as essayé. Tu n'as pas aimé. Ressais donc. Avec un mindset différent. J'ai essayé. Je me suis permis de marcher plus. J'ai essayé de faire des intervalles. J'ai commencé à courir avec mon chum. On a fait ça pendant l'automne. Mon chum était full, encourageant. Mon chum fait du soccer. Il a du cardio à côté. Il était full doux. Il courait au même rythme que moi. Je t'invite à trouver un partenaire qui respecte ton rythme à toi. Tu n'as pas à aller plus vite que ce que ton cheminement est réellement. Fais du fun. C'est tellement important. Je pense qu'à la fin de la journée, le but, c'est que tu te sentes bien. Si tu fais des choix pour les autres ou pour respecter... Si on a des objectifs de temps, je comprends. Je pense que je suis dans une période où j'ai besoin de douceur. Je vais te parler dans 4 mois. Je vais te dire que je suis complètement ailleurs. Là, c'est sûr que j'ai besoin. Je pense que c'est correct. Ce n'est pas mal l'un et l'autre. Si tu es dans ta phase plus disciplinée, tant mieux. Si tu es plus aligné avec toi, tu as le droit d'explorer, de changer. Ce n'est pas parce que tu t'entraînes au gym que tu ne peux pas t'entraîner à la place. Il faut aussi prendre conscience que notre quotidien change, la vie évolue, les circonstances changent. Des fois, on a moins de temps, on a moins d'énergie, peut-être qu'on est plus anxieuse. Il faut agir en harmonie avec nous-mêmes et se permettre de s'écouter. Si tu te sens anxieuse, ça fait encore plus de cris d'anxiété, plus tu vas faire du cardio qui stresse ton corps. Ce n'est peut-être pas tant un cadeau que tu te fais. C'est juste d'être à l'écoute de notre corps, de nos ressentis, de te permettre d'explorer. Explore des nouvelles choses, des nouveaux sports, des nouvelles façons d'essayer des choses. Il y a des choses que j'ai essayées et que je n'ai pas aimées. Je n'aime pas tant ça, m'entraîner à la maison, je me tape sur les nerfs, je n'aime pas ça. C'est correct, il y en a qui adorent ça. Tant mieux, c'est tellement correct. Il n'y a rien qui n'est pas correct. La meilleure façon de bouger, c'est la façon que tu te sens le plus bien et que tu as le plus de plaisir à le faire. Je ne dis pas que c'est tout le temps le fun. Oui, on est fiers, mais à certains bouts, c'est rough. C'est correct, il faut se pousser. C'est juste d'être à l'écoute de nous-mêmes. Il y a une petite chose que j'ai appris cette année que j'avais envie de te partager pour terminer l'épisode. Si tu ne connais pas le human design, je t'invite vraiment à aller voir ta charte de human design. Je suis vraiment pas une provoquée. J'aime beaucoup Tamar Rabisson. Son podcast, c'est Manifestation. C'est elle qui m'a fait découvrir le human design en tant que MD. Je suis MD. Revoir tout ça, c'est vraiment... C'est un peu le même vibe que l'astrologie, mais ça ne va pas t'amener des réponses. Ça ne va pas te révéler quelque chose. Ça va plus confirmer des affaires en toi. Pour moi, connaître mon human design, ça m'a vraiment aidée à reconnecter avec moi. Quand j'ai appris mon human design, je pleurais. Parce que j'étais comme... Je ne suis pas anormale comme je suis moi. C'est ça mon pouvoir. Ça m'a fait réaliser que d'avoir des millions de passions comme j'ai, c'est comme un petit pic MD. J'ai le droit. On dirait que ça... Je ne sais pas, ça fait du bien. On dirait de lire sur ça. Tu iras regarder ça. Si jamais tu peux aller sur Internet, tu as juste besoin de ton ordre de naissance. Ça t'en dit. Tu peux aller suivre des pages sur Instagram. Moi, ça m'a vraiment aidée. Au début, ça a l'air compliqué. Mais je te dis, c'est quand même simple. D'en apprendre un peu plus, ça me permet d'en apprendre un peu plus sur moi aussi. J'ai beaucoup appris sur moi-même. Sur différents choix que je pouvais faire pour être plus alignée avec la personne que je suis. Je t'invite peut-être à approfondir là-dessus. Ça a été une grosse révélation pour moi d'apprendre le human design. J'ai appris qu'il y avait une notion dans le human design qui s'appelait la constance et la discipline. Tu as comme des flèches dans ta charte. Je n'ai pas noté par exemple c'était quoi. Dans un autre épisode, je vais te dire ça. Viens m'écrire si tu veux savoir c'est quoi. Si tu as de la constance et de la discipline dans ta charte, je vais juste te le dire. Tu pourras venir m'écrire. Moi, j'ai découvert que je n'avais aucune discipline et aucune constance. Tu peux avoir les deux, tu peux avoir l'un ou l'autre. Moi, je n'ai aucune. Si tu savais comment ça m'a donné un genre de soulagement. On nous dit toujours d'être discipliné, d'être constant dans notre vie pour réussir et dans l'entraînement. Ce n'est pas faux. C'est vrai que si tu t'entraînes une fois par semaine et que tu as envie d'avoir des résultats fixes, il n'y a peut-être pas de la bonne façon que tu le fais. Je pense être un peu plus à l'écoute de nous, c'est quoi qu'on aime, qu'est-ce qu'on veut, tout ça. Je ne suis pas quelqu'un qui est routinière. Le fait que je n'ai pas de constance dans ma charte m'a permis d'accepter ce fait. Je ne suis pas quelqu'un qui, tous les matins, va faire la même affaire. Je vais prendre mon petit café dans ma chaise et j'écoute un podcast tous les jours à 10 heures. Je fais un peu ce que je veux quand je veux. Je n'ai pas de constance. Des fois, ma routine le matin, je peux la faire. Je l'appelle ma routine self-care. Encore une fois, je me dis qu'il y a des matins que je ne le sens pas et que je le fais juste en après-midi. Il y en a qui se sentent profondément pas bien s'ils sont tout mêlés comme moi. C'est comme ça que j'aime vivre ma vie. De le savoir m'a permis d'être alignée et de faire des choix en fonction de ça et d'accepter ce côté-là de moi qui est peut-être plus décousu ou plus valide et beau. Le fait que je n'avais pas de constance ni de discipline, ça faisait en sorte que j'ai découvert que si on se dit soit organisé, si tu planifies tes entraînements, je me disais qu'il faut que je sois organisée dans la vie. Je vais me dire que le lundi, le mercredi, le vendredi et le samedi, je vais m'entraîner. Je ne vais pas déroger et je vais y aller à 8h à tous les jours. Comme ça va être ma routine pour le moment. Tu me dis ça, j'angoisse. Impossible. Tu me fais stresser, tu vas me crier de la frustration parce que tu vas m'obliger à faire quelque chose que je ne ressens peut-être pas. De savoir que je n'avais pas de discipline ni de constance, c'est vraiment pas que je ne suis pas disciplinée et que je n'ai pas de constance dans la vie. Il y a certaines fois dans ma vie que je n'ai pas le choix et que j'en ai besoin. Dans mon business, je suis super constante et je suis capable de l'être. Je n'ai pas de misère et ça ne m'amène pas de frustration. Mais j'ai compris que pour l'entraînement, c'est moins mauvais. D'accepter ça, je ne me donne pas de journée d'entraînement. Je vais vraiment go with the flow. Je ne me dis pas que je vais au gym aujourd'hui. Je ne me dis pas que je fais de l'yoga aujourd'hui. Je me laisse faire une liste de plusieurs manières de bouger et de choisir selon mes ressentis, la journée même, ce que j'ai vraiment le goût de faire. Je m'organise mes journées. C'est sûr qu'à la fin, il y en a qui peuvent fonctionner de même. Des fois, on n'est pas destiné et on fait juste passer tout droit. Ça dépend des quotidiens. Mon horaire est très lousse. Je peux vraiment organiser et jouer avec mon horaire selon ce que je veux. C'est sûr que ça varie d'une personne à l'autre. Il y a des jours que je fais mon yoga en pleine journée. Il y a d'autres fois que je le fais le soir. Il y a d'autres fois que je le fais en après-midi. Hier, je suis allée au gym. J'ai respecté mon rythme. Aujourd'hui, je fais le ranking comme si c'était mon comeback. Je ne me mets pas de pression. Quand j'ai le goût d'aller au gym, j'y vais. Je ne me mets pas de pression. L'important pour moi présentement, mon focus, c'est vraiment que je bouge et que j'aille du fun et que j'ai l'honneur de bouger et de me sentir bien pour ma santé. Je trouve que c'est important de bouger. Je ne me mets pas de pression. Je ne choisis pas mon entraînement d'avance, ni l'heure, ni la journée. J'y vais vraiment comme un peu go with the flow, mais j'ai quand même un certain cadre dans le sens que je sais combien de fois par semaine je veux bouger. Si je me dis que je veux faire 4 entraînements au moins dans la semaine, je vais gauger mes affaires. Si aujourd'hui, je sais que ça a été une journée de fou et que je n'ai pas filé pantoute pour faire mon yoga, c'est correct. Je vais le faire demain, mais si ça fait 4 jours de suite que je me dis ça, à un moment donné, ça fait quand même longtemps que je suis dans l'entraînement donc je suis capable de me dire que je vais le faire pour moi. Ça va me faire du bien. Je pense que c'est de changer un peu notre vision de l'entraînement. Arrêter de se dire qu'il faut que je le fasse, mais que tu as la possibilité de le faire. Il y a des gens qui ne peuvent même pas marcher ou courir. Toi, tu as cette possibilité-là. Lève-toi parce que ça te tente de le faire, parce que tu as la possibilité de le faire. Ou parce que ça te fait chier, ou parce que tu te sens obligée, ou parce que tu as un certain type de corps à vouloir aller chercher. Je pense qu'il faut vraiment revoir nos priorités. Je pense que ce qui avait fait en sorte que je m'étais perdue beaucoup, c'est que je ne le faisais pas pour les bonnes raisons. J'allais au gym pour avoir un certain idéal de corps que je ne voulais même pas dans le fond. Que je me suis fait prendre par les réseaux sociaux à penser que c'est ce que je voulais. Je pensais que je n'étais vraiment plus là-dedans, mais c'est comme des fois, ça repop dans notre vie. On ne s'en rend pas compte. J'avais beaucoup sur mon mental, sur mon estime. J'avais pris du poids, je ne me sentais vraiment pas bien dans ma peau. Je me disais qu'il faut que je taille au gym. C'est comme ça que tu vas perdre du poids. Tu peux-tu juste revoir pourquoi tu fais les choses de cette façon-là. Quand j'ai réalisé que je le faisais pour ça, j'étais genre... C'est donc bien pas respectueux envers toi-même de faire ça. De t'infliger quelque chose que tu n'aimes pas. De te regarder dans le miroir et te dire que tu n'es pas belle. De struggler ta vie, de t'infliger du stress. Là, tu t'assoies, tu te regardes dans les yeux et tu es honnête avec toi-même. C'est quoi mes objectifs ? Comment je vais me sentir dans mon corps quand je m'entraîne ? Quel type d'entraînement me ferait sentir comme ça ? Comment je peux être plus douce envers moi-même ? Si ce n'est pas ce que tu as besoin, c'est correct. J'avais envie de te partager un peu de mon cheminement dans tout ça parce que j'avais besoin de plus de douceur. Des fois, on associe vraiment l'entraînement à quelque chose de rough et discipline. Pas d'excuses. Mais permets-toi d'explorer des choses. C'est correct. Ramène-toi toujours. Il ne faut pas oublier d'avoir du plaisir. Il y a des jours où ça ne nous tombe pas d'aller nous entraîner. C'est tellement correct. Mais si tes cinq entraînements de la semaine te font chier, revisite la manière dont tu veux le faire. Tu peux peut-être faire deux fois au gym, trois fois à la maison. Tu peux peut-être commencer à... Je ne sais pas moi, faire un peu comme si je dis gym, workout, maison. Ça peut être tellement d'autres choses. Ça peut être de faire du soccer. Ça peut être du basket. En tout cas, je ne vais pas commencer à t'énumérer tous les sports. Moi, c'est le yoga et le gym. C'est ça mon manieur. Tranquillement, la danse, j'aimerais ça commencer à l'intégrer dans ma vie. Je ne sais pas encore trop. Je ne m'y connais vraiment pas. Je n'ai pas trop à recommencer. À suivre. J'avais envie de te partager tout ça aujourd'hui. C'est vraiment mon cheminement que je ressens dernièrement. Que je vis et que j'explore tranquillement. J'avais envie de juste t'enlever un peu de pression. De te questionner. Qu'est-ce que t'aimes? On n'est pas obligé de faire les choses comme qu'on pense qu'on doit les faire. Mais plus parce qu'on aime le faire. Plus parce qu'on décide de le faire. Pas parce qu'on est obligé. Ou parce qu'on se sent obligé. On est libre de faire tout ce qu'on veut. D'être plus consciente. Ça va te permettre vraiment d'être plus épanoui dans ton quotidien. Plus de douceur. N'oublie pas que tu es capable de vraiment plus que ce que tu penses. Je te laisse là-dessus. N'oublie pas de noter le podcast et de partager entre vous. Ça va toujours me faire plaisir. Je vais te mettre le concours dans la prochaine... En tout cas, après ça. Tu vas pouvoir écouter. Il y a un concours. Écoute. Sans être malade. Voilà. Merci de m'avoir écouté. Full love. Si tu veux continuer la conversation, ça me fait toujours plaisir. Tu peux venir m'écouter. Je vais vraiment m'écouter. M'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. Je vais vraiment m'écrire. 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