Details
Nothing to say, yet
Details
Nothing to say, yet
Comment
Nothing to say, yet
The podcast "Révolution Z" is aimed at women who want to prioritize themselves, build their lives according to their own standards, and be fully themselves. The host, Marie-Lou, wants to help women embrace their true selves and live fulfilling lives. She discusses topics such as mindset, self-care, and personal development to promote self-discovery and well-being. Marie-Lou emphasizes the importance of taking care of oneself and not neglecting one's own needs. She encourages listeners to prioritize self-care and make positive changes in their lives. Est-ce que ça t'arrive de ne pas te sentir à ta place, de te sentir perdue ou de vouloir du changement dans ta vie sans trop savoir par où commencer? Si oui, le podcast est pour toi. Bienvenue sur le podcast Révolution Z, moi c'est Marie-Lou et je m'adresse aux femmes de ma génération qui veulent se mettre en priorité, bâtir leur vie selon leurs propres standards et à être pleinement. Tout ça dans le but d'assumer leur vraie couleur pour mener une vie à la hauteur de qui elles sont vraiment. Je suis tannée de voir des femmes s'empêcher d'être elles-mêmes par peur de sortir du corps imposé. Chaque épisode te permettra d'approfondir ton introspection et ta transformation intérieure vers une version de toi plus consciente et épanouie. On va jaser Mindset, Self-Care et Développement personnel dans le but de révéler la vraie toi et de mettre ton bien-être en priorité. Es-tu prête à créer des réels changements dans ta vie? Ça commence à l'intérieur de toi, ici et maintenant. Bonne échec! Allô! Ah, je suis vraiment contente d'enregistrer aujourd'hui. Je suis vraiment dans la minute, il est vraiment tard et techniquement, l'épisode sort demain. J'enregistre ça, il est 9h le soir et le délai est demain, classique moi. Aujourd'hui, je vais te parler d'un sujet et avant ça, je voulais te parler de quelque chose. Tout d'abord, le sujet d'aujourd'hui, ça va être comment intégrer le Self-Care à ta vie, à ton quotidien. Parce que je suis comme tannée de voir autant les femmes dans ma vie, ma famille, mes clientes qui ont donc de la misère à prendre du temps pour elles. Ça vient me faire feu. J'avais envie de t'en parler et de te donner mes trucs aujourd'hui. Qu'est-ce que je voulais dire? Aujourd'hui, j'en ai parlé en story. Il y a comme un côté de moi qui s'est encore mis dans un conditionnement. Dans les premiers épisodes, j'en ai beaucoup parlé que je m'infligeais beaucoup de faire. Je me mettais beaucoup de pression de faire comme tout le monde. Je ne sais pas trop, par rapport au podcast, on dirait que je voulais faire ça d'une certaine façon, je voulais faire ça de la bonne façon. Mais au final, la bonne façon, c'est la manière que je me sens bien de la faire. On dirait que j'ai pris de l'habitude et là, c'est revenu. C'est comme un constant travail que je dois faire. Je pense que ça, on le vit tous dans n'importe quelle histoire de notre vie. C'est constamment de prendre conscience qu'on retombe dans un conditionnement et d'essayer de passer par-dessus. Mon conditionnement, c'est vraiment qu'on dirait que je me comporte et que je veux bien faire les choses. J'essaie de les faire comme les autres, mais ce n'est pas nécessairement de la manière que j'ai envie de faire. Ça fait que ça fait en sorte que je bloque ma créativité parce que j'overthink. L'affaire, c'est que, tu vois, je suis dans la minute. J'enregistre l'épisode, on est mercredi soir et ça sort jeudi. Je suis full stressée. Moi, ça me fait full content d'enregistrer ce live. C'est là que j'essaye et c'est correct. Je vais toujours respecter le délai de jeudi, mais peu importe quand. L'affaire, c'est que j'écoutais d'autres podcasts. J'entendais du monde dire que les études sont toutes planifiées à l'avance. La saison 1 est bientôt terminée. J'ai planifié cette épisode-là telle date. On dirait que ça m'a toute stressée d'entendre ça. On m'a demandé si ça veut dire que si je fais ça, il faut que je planifie. Je suis très go with the flow dans la vie. Je pense que tu as appris à le voir dans mes épisodes. Si tu as écouté les autres épisodes, j'y vais avec mon gut feeling. J'ai l'honneur de planifier un épisode. Je vais souvent sur le coup de ce que je sens. C'est optimal pour moi et c'est ce que j'aime. Présentement, c'est ce que je ressens qui est bien. C'est ça mon but avec le podcast. Pour le moment, c'est ça que j'ai envie de faire. Si mon but avec le podcast change éventuellement avec le temps, parce que c'est ce que j'ai dit dans ma story, ce qui est cool, c'est que tu vas me voir évoluer. Dans le podcast, tu vas vraiment me voir changer. On va évoluer ensemble avec le podcast. C'est ça que je trouve le fun. Pour le moment, je ne veux pas me mettre de pression. Planifier ou quoi, c'est ça. J'ai une liste de sujets. Je vais faire ce que j'ai envie de faire. À tous les jeudis, il va y avoir un épisode. Honnêtement, une semaine c'est long. On dirait que je perds le beat. J'ai envie d'enregistrer plus régulièrement pour te livrer un peu plus de contenu. Il va sûrement y avoir des épisodes bonus de temps en temps. J'avais juste envie de te partager un peu comment je me sens ces temps-ci et de te dire que je vais aller plus au feeling. Je pense que c'est là-dedans que je me sens le mieux et que mon contenu est le meilleur aussi et que je me sens le plus à l'aise. Sur ce, je commence l'épisode d'aujourd'hui. Merci d'être là. Je suis super contente. Honnêtement, c'est un moment à toi aujourd'hui qui va beaucoup t'aider, je crois. On a tendance à beaucoup négliger notre temps self-care. Quand je demande à mes clients « Est-ce que tu prends le temps de prendre du temps pour toi ? » Il y en a qui me répondent qu'ils ne savent même pas c'est quoi ça veut dire. Il y en a qui me disent que je ne sais même pas c'est quoi que j'aime. Il y en a qui sont mamans, qui ont passé leurs enfants avant eux-mêmes. Il y en a qui sont étudiantes, qui n'ont pas de temps parce qu'ils travaillent et sont étudiantes en même temps. Il y en a qui, c'est le train-train du quotidien. On n'a jamais vraiment pris le soin de soi. On ne sait pas vraiment montrer ça, comment c'est important. Ça prend le bord un peu. L'affaire avec ça, c'est que souvent, ce qui est difficile, c'est qu'on se rend à un point où ça devient un peu un « Tu n'as pas le choix de prendre soin de toi, sinon tu vas péter aux frettes. » Je veux t'éviter de te rendre là. Je suis comme tannée de voir des femmes qui se rendent à bout, qui ne prennent pas soin d'eux, pas soin d'elles, puis qui s'oublient pendant des années, des années, des années. Puis là, qu'elles se réveillent à un moment donné et qui sont comme « Ok, j'ai passé à côté de quelque chose. » Je suis malheureuse, ça fait des années. Moi, mon but, c'est d'amener une petite douceur, de te faire prendre conscience de comment c'est important que tu prennes soin de toi. Parce que tu devrais avant tout être ta priorité numéro un. Ce que j'aime beaucoup dire, c'est imagine que tu es le personnage principal de ton propre film. Ta vie, c'est ton film. Imagine que tu regardes le personnage principal qui n'ose pas sortir de sa zone de confort, qui passe à côté des opportunités parce qu'elle a peur, qui est un « people pleaser », qui ne prend pas soin d'elle, qui ne bouge pas, qui ne mange pas bien. Tu vas regarder ça, c'est vrai que c'est « uncommon ». « Prends soin de toi. » Je pense qu'il faut être capable de se le dire à nous-mêmes. Souvent, c'est qu'on est un peu dans le déni, puis on se pose toutes les questions, puis on vit de notre côté. L'affaire, c'est qu'on vit dans l'inconscience. Constamment, on n'est pas dans la pleine conscience de « Ok, ici, maintenant, je suis consciente de ce que je fais, de mes actions, puis mon but, c'est vraiment de me sentir bien. » Non, c'est comme « Ok, mes troubles de dos, c'est ça, over and over. » C'est comme ça que la société nous montre. Je veux qu'on sorte de ça. Je veux qu'on soit capable de « Hey, ce n'est pas parce que tu travailles, ça va se devenir une famille, que tu es obligé de se négliger. » À la base, ce que j'aimerais t'inviter à comprendre, c'est que de prendre soin de toi, c'est optimal, non seulement pour toi, mais pour les gens autour de toi, pour les gens qui t'entourent. Souvent, on passe nos proches avant nous. On passe nos enfants. « Tu sais, là, je ne suis pas maman, je ne veux pas avancer là-dessus. On m'enverra, je ne peux pas me dire, tu n'es pas maman, tu ne peux pas comprendre. » « Of course, je ne peux pas comprendre. » Mais, je pense qu'il y a un moyen toujours de… Tu sais, l'affaire, c'est que le self-care, on voit ça tellement comme quelque chose de gros. Je veux te faire réaliser que ce n'est pas obligé d'être énorme. Je vais t'expliquer un peu, comme self-care, la définition, c'est vraiment comme de faire des activités, soit physiques, soit mentales, relaxation, whatever, qui te fait sentir bien en toi, dans ta tête, dans ton corps. Puis, souvent, l'affaire, c'est ça. Tu sais, la vie, elle va vite. On est tellement dans une société rapide, dans une société qui prône la productivité, le faire, l'action constant, comme genre « hustle », puis tout, puis on ne lâche pas, puis « go work hard », non, non, non, que c'est… On oublie de se prioriser. Puis, on dirait que… Ça, c'est un peu comme une perte de temps. Non, non, je n'ai pas d'autres renseignements, comme j'ai d'autres choses à faire. Il y a la routine. Non, non, non, il y a ça, il y a ça. On a tout le temps des excuses. Il y a tout le temps meilleures excuses que de prendre soin de nous, parce que nous, on se néglige. Nous, on ne s'accorde pas autant d'importance que les gens autour de nous qu'on aime. Mais, est-ce que tu réalises à quel point que c'est dégueulasse de ne pas s'accorder autant d'amour envers soi, autant se mettre de côté, autant se négliger, autant s'oublier, à quel point c'est triste, puis qu'il y a comme… C'est toi, là, ta priorité numéro un. Tu es la seule personne avec qui tu vas être pour le reste de ta vie. Peux-tu t'accorder un peu de respect et un peu de temps, toi? Souvent, l'affaire qui fait qu'on ne prend pas soin de nous, c'est ça, c'est qu'on voit ça, gros. On est comme, hé bien là, j'ai pas le temps. J'ai pas le temps, j'ai pas le temps, j'ai pas le temps. On se donne toujours cette excuse-là. Mais dans le fond, c'est comme, oui, on est tous 24 heures dans une journée, mais il y en a qui prennent le temps. C'est ça, la différence. C'est quoi ta décision? Est-ce que toi, tu veux le prendre le temps ou tu veux continuer à vivre ta vie puis te prendre soin de toi puis te rendre à un point que… Là, c'est critique, là. Il va falloir que tu prennes soin de toi. Sinon, tu vas tomber en burnout, tu vas tomber malade, tu vas être malheureuse. Comme, on ne se rend pas compte du temps. On pousse tellement notre limite loin puis on dirait qu'on ne voit pas les signaux. Je pense que c'est là qu'il est important que si tu intègres le self-care au quotidien, ça va vraiment faire en sorte que tu vas pouvoir un peu prévenir ça puis devenir beaucoup plus consciente de toi-même, de tes ressentis, de comment tu te sens puis ça va tout changer sur ton état d'être. J'ai pris des notes. Je vais te partager mes actions self-care, entre guillemets, que j'aime le plus, qui me vont le plus de bien. Puis là, je ne te les partage pas pour que tu les fasses toutes. Je te les partage juste pour t'aider, peut-être t'inspirer à toi les faire ou les adapter à tes goûts, à toi. Dans le fond, l'affaire c'est que dans n'importe quel cas, peu importe c'est quoi ta vie, peu importe c'est quoi ta situation, c'est pertinent pour toi de prendre soin de toi. L'affaire c'est qu'on se néglige tellement puis on se dit oui, oui plus tard. Tout le monde est plus important que nous-mêmes. L'affaire avec ça c'est que est-ce que tu veux vraiment le prendre à un point que tu n'es plus capable de donner autant qu'avant parce que tu n'es plus capable. Je parle autant physiquement que mentalement. Si tu ne prends plus soin de toi, ta santé va dégringoler. Ça va être tellement négatif ce que je dis, mais c'est juste parce que des fois, il faut se shaker pour réaliser comment c'est important. Tu en as une vie. C'est important que tu la vives pleinement puis que tu en prennes conscience que c'est un cadeau puis que tu n'es pas là pour passer à côté puis donner ton énergie à tout le monde sauf à toi-même. Puis l'affaire c'est que tu ne veux pas rendre un certain âge puis être capable de courir avec tes enfants. Tu ne veux pas te rendre tellement déconnecté puis ne plus être capable d'écouter personne parce que toi, tu es trop... En tout cas, peut-être que tu ne vas plus te sentir bien au quotidien. Je pense que la limite est qu'à un moment donné, il faut être capable de l'avoir. Puis moi, je pense qu'il y a tous des moments, je ne te dis pas qu'il faut que tu te sentes toujours bien. Il y a toujours des moments. C'est des « up and down ». La vie, c'est comme des montagnes russes puis ce n'est pas l'innéant puis c'est correct. C'est ça la vie. Ça fait partie de ça. Mais ça va vraiment être ta capacité à naviguer les situations dans ta vie. Puis qu'est-ce qui va t'aider à naviguer ça, ces différentes situations-là, ces difficultés-là, l'apprentissage, ça va être d'intégrer des actions self-care qui te font sentir bien parce que ça va t'aider à passer par-dessus. Ça va t'aider à avoir un meilleur mindset, avoir une meilleure santé physique, à passer par-dessus les épreuves. Je pense que le plus tôt que tu le fais, le plus tôt que tu vas te sentir bien. J'aimerais juste te poser la question, c'est jusqu'à quand que tu vas attendre ? Qu'est-ce que ça te prend pour te faire réaliser que tu es importante ? Parce que oui, tu es importante. Puis oui, tu mérites de t'aimer. Tu mérites de prendre soin de toi. Tu mérites de vivre une vie qui est heureuse, qui est bien. Tu mérites d'être sereine. Tu mérites d'être en santé. Tu mérites d'être pleinement consciente puis de projeter ta vie au maximum. Puis des fois, ça, on ne le réalise pas. On pense que les gens autour de nous, ils méritent plus, que nous, ça ne nous arrivera pas. Que nous, notre rôle, c'est d'aider tout le monde, de se piquer un peu partout. Mais imagine comment c'est optimal que toi, tu te sentes bien. Que toi, tu t'aimes. Que toi, tu prennes soin de ton corps. Que toi, tu sois dans la bonne humeur, dans la gratitude. Comment ton énergie va impacter positivement les autres autour de toi. L'énergie, ce n'est pas quelque chose qui se voit, mais c'est quelque chose qui se ressent. Si tu ne te sens pas bien, que tu es malheureuse, que tu te gruges par en dedans, si tu n'es pas capable de suivre physiquement, tout ça, c'est des choses que ton entourage va ressentir. Tu ne le penses pas parce que tu te mets un masque, mais ça se ressent. Il va falloir, à un moment donné, que tu prennes la responsabilité de dire, « Ok, je dois prendre soin de moi, il n'y a personne qui va se faire à ma place. » C'est beau, tu prends soin de tout le monde, mais tu as le droit de prendre soin de toi aussi. Puis, on pense qu'intégrer le self-care à sa vie, on est comme là, j'ai juste 24 heures, ça me prendrait 48 heures une journée, je travaille, il y a les enfants, il y a le ci, il y a le ça, je travaille. Oui, mais c'est une question de priorité. Je pense que quand tu regardes ton horaire à la fin de la journée, oui, il y a des bouts qu'on est plus occupés, il y a des bouts que ça n'a pas d'allure, mais je pense que, dans notre vie, oui, il va y avoir des bouts plus occupés, mais tu ne vas pas vivre toute ta vie de même. Il faut que tu sois capable de prendre un peu de recul pour savoir ce que tu fais réellement de tes journées. Est-ce que, mettons, il y a des heures que tu perds à scroller sur ton téléphone? Est-ce qu'il y a du temps que tu perds à regarder des séries Netflix over et over et que tu fais juste écouter et négliger ton sommeil parce que tu veux toujours passer à la prochaine et puis, c'est tout. Est-ce que tu veux toujours passer à la prochaine épisode? C'est juste important de... Tu sais, sur ton horaire de dîner, qu'est-ce que tu fais? Est-ce qu'au lieu de faire quelque chose pour toi, tu es sur ton sel ou tu perds ton temps, tu niaises un peu? Ça passe vite, le temps. Mais à la fin de la journée, on se dit qu'on n'a pas de temps, mais qu'est-ce que tu fais réellement de ton temps? Est-ce que tu perds? 24 heures, c'est fucking long. Comme, ok, mettons que tu veux 8 heures de semaine. Bien, 24 moins 8. Après ça, tu travailles. Je ne sais pas si ça dépend. Tu sais, si tu es dans un 9 à 5, si tu es ta propre boss, ça va dépendre, évidemment, pour ton travail. Mais comme il en reste beaucoup des heures. Mettons, 8-8, ça fait que 16. Ça fait que, techniquement, il en reste 8. Yo, quick maths. Il resterait 8 heures de lousse dans ta journée. Puis, justement, je sais qu'on a toutes des saisons différentes, c'est correct. Mais comme, 8 heures, ça veut dire que 8 heures de plus, comme, peut-être que c'est moins. Mais même si c'était 4, puis même si c'était 2, puis même si c'était 1, on a tous un 5 minutes d'over dans notre journée pour prendre soin de nous. On a tous un 10 minutes, un 15 minutes, un 30 minutes. Comme, mettons là que c'était 30 minutes. C'est déjà 30 minutes de plus. Ça fait que là, c'est juste ta perception, comment tu le vois, comment tu l'apportes. Tu sais, au lieu de te mettre des limitations tout le temps et te dire, non, non, je n'ai pas le temps, bla, bla, bla, comme, non, oui, tu as le temps. C'est juste, c'est pas une priorité pour toi, on dirait. Mais ça devrait l'être. Parce que si tu savais comment que ça ferait du bien au quotidien de prendre soin de toi, puis d'intégrer le self-care. Je vais te partager les petites actions que moi je fais au quotidien, ok? Puis c'est toutes des affaires que ça peut prendre 5 minutes. C'est-tu pas beau, ça? Tout d'abord, dans le fond, je vais t'expliquer un petit peu comme, il y en a que je vais survoler, puis j'en ai déjà parlé dans d'autres épisodes. Je vais t'en profondir un peu plus. La première, c'est le journaling. Le journaling, comment je l'intègre dans ma vie? Je n'en fais pas tous les jours, ok? Comme, j'y vais un peu au besoin, mais des fois, il y a des fois que je n'ai pas le goût, puis je sais que, tu sais, ça c'est mon ego, qui parle, puis qui est comme, non, non, t'en as pas besoin, tu vas bien. Puis finalement, je commence à écrire, puis je brûle ma vie. Fait que, tu sais, des fois, il y a quelqu'un qui nous protège, qui est comme, non, non, t'es une femme forte, t'es capable, toi t'es capable d'en prendre, pas besoin. Pleurer, c'est quoi? Ça fait des années que je n'ai pas pleuré, ça fait des années que je n'ai pas, je ne me suis pas regardée dans le miroir, je ne me suis pas dit que j'étais belle, mais non, je suis bien, comme, je suis capable d'en prendre, je suis correcte. Ça fait des années que tu te négliges, mais non, mais je suis correcte. Tu peux-tu arrêter de mettre un masque, comment tu te sens réellement? Je ne te dis pas de replonger dans tes bobos tout d'un coup, comme on a tous, toutes, tous des bobos, puis comme, il faut juste être capable de les assumer et de faire comme, ok, écoute, là, j'ai envie d'être ma priorité, j'ai envie d'être à l'écoute de moi-même et de comment je me sens. Je vais arrêter de le nier, je vais arrêter de dire que, genre, de faire semblant que tout va bien pour tout le monde, puis je vais juste comme prendre du sang pour moi, un peu plus. Ça va se ressentir automatiquement, comme, c'est sûr que, autour de toi, ton énergie, il y a quelque chose qui va changer. Puis, ce n'est pas quelque chose nécessairement qui se voit, mais c'est quelque chose comme qui se ressent. Puis, le journaling, ce que je trouve intéressant, pour que, ok, si tu ne connais pas le journaling, puis, mieux, si tu connais ça, peut-être que, comme là, je vais l'expliquer, tu vas le voir d'une autre façon. Moi, à chaque fois que quelqu'un l'explique, comme, écriture intuitive, tu te laisses aller sur papier. Fait que, puis, des fois, ça peut être inconfortable parce qu'on a de l'ampleur à mettre des mots sur ce qu'on ressent. Fait qu'on se met beaucoup de pression, fait qu'on est comme, bien, je ne le sais pas, je ne le sais pas, je ne le sais pas. Un conseil que je peux te dire, moi, mon premier cahier de journaling, je l'ai eu en 2017. Ça fait 6 ans. Même, 7 ans. En tout cas, ça dépend à quel âge, en tout cas, ça dépend à quel âge, 2024, whatever. Fait que, puis, je viens juste de le changer. Fait que, j'ai eu mon cahier, mon premier cahier pendant 6 ans, qui était gros là. Fait que, 6 ans de ma vie dans mon cahier. Genre, je ne sais pas si tu sais comment c'est précieux et beau l'évolution qu'il y a dans ce cahier-là, mais, genre, c'est fucking malade. Puis, je te conseille vraiment de faire ça parce que, ça aide tellement à voir puis, ça aide tellement à lire les pages, les dernières pages. Puis, quelque part, oh my god, comme je suis, tu sais, bébé Marie-Lou, comme je suis partie de là, puis là, check aujourd'hui. Puis, tu sais, je vais lire, là, j'ai mon nouveau cahier justement que j'ai reçu à Noël. Puis, j'ai commencé, puis tu sais, il va se rendre, c'est exactement le même quasiment que l'autre d'avant. Il y a le même format, fait qu'il va probablement me dire encore un autre 6 ans. Mais, t'imagines-tu comment les petits souhaits qui peuvent arriver. Puis, juste ça, ça va être grâce au self-care, grâce au moment que tu t'accordes, grâce à être à l'écoute de tes émotions, à l'écoute de toi-même, de te prioriser un peu plus, de te reconnaître, de te respecter puis de t'aimer. Le journaling, moi, ce que je fais, en gros, c'est très, très intuitif mon affaire. Fait que, écoute, c'est vraiment comme un moment à moi. Fait que, je ne fais pas ça, mais, tu sais, c'est comme un moment à moi. Donc, j'étais choquée de ce qui se passe. Qu'est-ce que je disais? Ouais, ok. Le journaling, dans le fond, souvent, je m'allume une chandelle. Je me mets dans du linge super confortable puis j'ouvre mon cahier, je prends un crayon. Je choisis une couleur qui me fait du bien, que je feel. Puis, je commence à écrire. J'écris la date, tout d'abord, parce que j'aime ça voir la date. Puis, je, je commence à écrire. Puis, tu sais quoi? Des fois, je ne sais pas quoi écrire. Je ne sais pas comment je me sens, mais je sais que j'ai besoin d'évacuer quelque chose en moi. Fait que, souvent, ce que je fais, c'est que je me dis, je dis allô, comme je dis allô à l'univers ou toi, tu sais, tu peux, whatever, en quoi tu crois. Puis, je dis coucou et, tu sais, aujourd'hui, je me sens, bla, bla, ou, je peux dire, allô, je ne sais pas trop comment je me sens. Puis, je le dis. Fait que, le fait de le dire, c'est comme, ok, j'accepte que je ne sais pas comment. Puis, là, tranquillement, pas vite, tu sais, j'écris un peu n'importe quoi. Tu sais, tu peux vraiment passer du cocarde comme c'est toi, il y a juste toi qui va lire ce journal-là. Fait que, arrête de te mettre l'impression de comme bien écrire, tout ça. Hé, moi, des fois, je skippe des lignes, de skip une page, de skip deux pages, fais-le. Si tu, feel de barbouiller partout, fais-le. Si tu, on s'en, on s'en fout des fautes. On s'en fout si tu skippes des mots. Hé, moi, des fois, je finis même pas mon mot. Tellement que, genre, mes idées vont vite, comme, j'écris genre, ah oui, j'ai fait, non, non, non, mais comme, je n'ai même pas mis de, de S à C, genre, je fais juste comme, pour de vrai, on s'en fout, c'est vraiment bien, ah, il faut que je sorte mes poubelles tantôt. Hum, ah, aujourd'hui, c'est passé ça dans ma vie, ah, puis hier, bla, bla, bla, puis comme, c'est juste, ça ne fait pas sens, mais comme, ça te permet de, genre, ressortir tout ce que tu as, tu sais, que tu ressens. Puis des fois, il y a des situations que, que j'ai sur le coeur, que, de le verbaliser, c'est plus difficile, mais, de le mettre sur écrit, ou des fois, il y a plein d'affaires que, ça me fait prendre conscience, quand je l'écris, puis, souvent, là, hum, après avoir fait du journaling, je comprends tellement plus, comment je me sens, fait que, ça me fait vraiment du bien, puis, honnêtement, j'ai déjà parlé à des gens qui m'ont, qui m'ont dit, je ne suis pas capable, moi, ça ne me fait pas du bien, puis c'est correct. Tu as le droit, il y a d'autres techniques qui existent, hum, mais c'est pas parce que, la première fois que tu l'as essayé, que tu n'as pas aimé ça, que, tu dois arrêter, tu sais, comme des fois, parce que, si tu n'as pas écouté mon épisode, oh my god, c'est lequel l'épisode, les pratiques que je fais pour, hum, hum, en tout cas, cet épisode-là, là, hum, les pratiques que je fais pour, hum, je vais aller chercher, je vais te le dire après, hum, j'allais expliquer, comment que je faisais, dans cet épisode-là, pour me parler, puis tout, puis, hum, tu sais, écouter, ok, je ne vais pas le réécouter, je ne vais pas le redire live, mais, ça a vraiment changé ma vie, hum, ok, les pratiques que j'ai appliquées dans ma vie, pour me retrouver, dans cet épisode-là, je explique, comment que je me parle dans le miroir, comment que je me, je me fais une genre de thérapie avec moi-même, c'est un peu comme, un journaling, mais verbal, fait que, le journaling, c'est vraiment, tu es dans un journal, tu l'écris, des fois, je feel plus de me parler dans le miroir, des fois, comme, en vrai, je ne me sens pas connectée avec moi-même, fait que, de l'écrire, ça me fait du bien, puis, j'arrive à finir, tout ce que je ressens sur mon papier, hum, fait que, le journaling, c'est un peu ça, honnêtement, tu n'es pas obligé de finir quoi que ce soit, tu n'es pas obligé d'avoir une conclusion, de quoi que ce soit, juste comme, de déverser, tu sais, tu peux, tu peux te lâcher lousse, là, tu peux dire ce que tu veux, en autant que ça te fasse du bien, puis, si tu n'es plus capable de ta collègue, qui te fait chier, tu peux l'écrire dans ton journal, ça va tout juste te faire du bien, puis, t'as enlevé de la frustration, puis, tu sais, je ne veux pas que ce soit un cahier de négatifs, non plus, tu sais, je pense que c'est important de trouver des solutions, fait que, moi, souvent, qu'est-ce qui ne me fait pas du bien, bien, je suis capable de, me dire après ça, ok, quelles solutions je pourrais apporter à ça, comme, quel, quel action je pourrais faire dans ma vie, pour me sentir mieux, tu sais, souvent, je suis comme, hé, aujourd'hui, genre, pas tant de bonne journée, j'ai été vraiment pas productive, bla, bla, bla, puis, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est,