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marilou lavoie perron

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The podcast "Révolution Z" is aimed at women who want to prioritize themselves and live according to their own standards. The host, Marie-Lou, believes that the first step in creating change in life is to change the way we talk to ourselves. She encourages listeners to be respectful and compassionate towards themselves, as this sets the tone for how others treat us. Marie-Lou shares personal anecdotes and emphasizes the importance of celebrating small victories and being kind to oneself. She believes that by changing our internal language, we can define the person we want to be and create the life we desire. Est-ce que ça t'arrive de ne pas te sentir à ta place, de te sentir perdue ou de vouloir du changement dans ta vie sans trop savoir par où commencer? Si oui, le podcast est pour toi. Bienvenue sur le podcast Révolution Z, moi c'est Marie-Lou et je m'adresse aux femmes de ma génération qui veulent se mettre en priorité, bâtir leur vie selon leurs propres standards et à être pleinement. Tout ça dans le but d'assumer leur vraie couleur pour mener une vie à la hauteur de qui elles sont vraiment. Je suis tannée de voir des femmes s'empêcher d'être elles-mêmes par peur de sortir du corps imposé. Chaque épisode te permettra d'approfondir ton introspection et ta transformation intérieure vers une version de toi plus consciente et épanouie. On va jaser Mindset, Self-Care et Développement personnel dans le but de révéler la vraie toi et de mettre ton bien-être en priorité. Es-tu prête à créer des réels changements dans ta vie? Ça commence à l'intérieur de toi, ici et maintenant. Bonne échec! Allô! J'espère que tu vas bien. Je suis vraiment contente de te retrouver. Ça faisait un petit peu que je n'avais pas enregistré. Là, je ne sais pas si... Je pense que je ne parle pas fort. Mais c'est parce que si tu n'as pas suivi dans les dernières semaines, dans les derniers jours, parce que ça fait juste une semaine et demie, j'ai un nouveau petit chien et là il dort. Fait que j'en profite parce que c'est l'enfer sinon. Fait que j'en profite pour enregistrer. Ça ne va pas être un épisode super long, je crois. J'avais envie de te parler du langage interne parce que je suis témoin, beaucoup trop souvent, de femmes qui se manquent de respect dans la manière dont elles se parlent. Ce n'est pas rare que j'entende des femmes s'insulter, se rabaisser, dire qu'elles sont « don't neither » ou « perdue ». Honnêtement, je suis là-dedans comme on n'est pas parfait. Je pense qu'il y a toujours moyen de s'améliorer et ça ne sera jamais parfait. Mais je pense que c'est important de prendre conscience et que le premier pas vers un changement dans ta vie, ça apporte de toi, ça apporte de la manière dont tu te parles. Parce que comment tu veux créer un changement dans ta vie si tu te manques de respect, que tu ne te parles pas bien. Il n'y a absolument rien qui va changer parce que tu ne sauras même pas ta valeur, tu ne sauras même pas savoir ce que tu mérites, ce que tu vaux. C'est vraiment comme le premier pas selon moi à changer et à prendre conscience. Je sais que ça remonte de loin ces affaires-là. J'ai l'impression que c'est un peu comme, on entend nos amis dire, nos amis quand on est plus jeunes, quand je suis au comptoir, j'en ai des étudiantes qui viennent et qui se parlent entre eux, et mes oreilles saignent, ils se parlent et ils sont comme « c'est des connes » et je suis comme « bonjour » Je me rappelle qu'on parlait tous d'eux-mêmes quand on était plus jeunes. C'est terrible, c'est terrible parler comme ça, non seulement à nos amis, mais à nous-mêmes. On est la seule personne avec qui on va habiter toute notre vie, qu'on va endurer toute notre vie. Ça ferait le fun qu'elle se soit agréable ce voyage-là en toi. De devenir beaucoup plus respectueuse envers la personne que tu es, parce que tu mérites du respect, tu mérites de choisir, de te parler comme il faut, et d'arrêter d'endurer les gens qui ne te parlent pas bien. La majorité du temps, quand on ne se parle pas bien, ça fait en sorte que les gens ne nous parlent pas bien, parce que nous, on ne s'accorde même pas de respect. Ça fait que les gens, ils voient ça. Ça fait qu'on attire des gens qui ne nous respectent pas. J'avais envie de juste partager un petit peu des petites anecdotes que j'ai vécues, des trucs comme ça, et des trucs sur comment « switch » ton langage interne. Si on se fait toujours dire qu'on est X, Y, Z dans notre vie, c'est comme si on va finir par le croire. On se l'est tellement faite répéter longtemps, qu'on était gênée, qu'on n'était pas bonne en maths, qu'on n'était… nous, on n'est pas faite pour… C'est pour moi n'importe quoi. Il y a des gens qui se permettent de dire des affaires sur nous, qui pensent nous connaître, et je trouve ça terrible parce que ça nous met dans une « bolt ». Ça fait en sorte qu'on pense que c'est ça la vérité, alors que ce n'est pas du tout. Il faut arrêter de donner ce droit-là aux gens, de nous catégoriser dans quelque chose. Souvent, ça commence à l'adolescence ou l'enfance. Ça, c'est des choses qu'on ne peut pas contrôler et qui sont ancrées en nous maintenant. Malheureusement, il faut se défaire de ces croyances-là, parce qu'on pense vraiment des fois qu'on n'est pas bonne, ou qu'on n'est pas assez intelligente pour aller faire telle affaire, ou qu'on est trop intense, ou quoi que ce soit, mais tu es toi et c'est ça ta force. Je veux qu'on commence à révéler la vraie personne qu'on est, parce qu'on est toutes des femmes extraordinaires, uniques à notre façon, on n'a pas à se taire, on n'a pas à parler moins fort, on n'a pas à être moins intense, on n'a pas à être moins rêveuse. On a toute la capacité de créer la vie qu'on désire avoir, qu'on désire vivre. Je pense vraiment que ça commence avec notre langage interne, parce que si nous-mêmes, on ne se parle pas bien, la vie autour va juste réfléter de la manière dont on se parle. C'est juste de mettre ses limites aussi par rapport aux gens et de nous-mêmes. Je pense que du moment que tu vas faire un changement dans ta vie à toi, l'extérieur va se réfléter. Si toi, tu ne te laisses plus de te manquer de respect, que tu cesses de te parler avec violence parfois, ou avec manque de compassion, on est tellement durs envers nous-mêmes, je m'étais l'impression, juste hier, j'écrivais dans mon journal, j'ai un nouveau cahier de journaling pour Noël, ça faisait depuis 2017 que j'avais mon cahier de journaling, ça faisait 6 ans que j'écrivais dedans. J'ai comme clos mon journal, j'avais demandé un nouveau cahier de journal avec mon amie, la même amie que j'avais acheté mon cahier en 2017. En tout cas, je trouvais ça super significatif. Dans mon cahier de journaling, j'ai commencé à écrire, aujourd'hui, je n'ai pas été super productive. Puis là, je me suis rendu compte de ce que j'étais en train d'écrire. J'étais comme, mais voyons donc, ce n'est pas vrai que je n'ai pas été productive, j'ai peut-être coché ma to-do list. Comme on a tendance à toujours se rabaisser, à ne pas célébrer nos petites victoires, à jamais voir nos bons coups, nos bons côtés, c'est toujours facile de tourner plus vers le négatif, d'être dure envers nous-mêmes et de se mettre tellement de pression. Après ça, j'ai vraiment changé et j'ai écrit, ben non, c'était vrai, je ne sais pas pourquoi je dis ça, je suis vraiment dure envers moi-même, dans le fond, j'ai tout accompli ce que j'avais à faire dans ma journée, je suis vraiment fière de moi. Même si je n'avais pas tout accompli ce que j'avais à faire, j'ai still fait des choses pour moi, puis je suis fière d'avoir passé à travers cette journée-là. Il faut être capable de voir ces victoires-là au quotidien, puis c'est tellement dur, on dirait qu'on est tellement entouré de négativité, de jugement autour de nous, que ça devient comme naturel, c'est comme rendu seul à la réalité de tous, de se manquer de rester, d'être dur envers nous-mêmes, de se mettre de la pression, mais on pourrait tous être des humains heureux et en paix avec nous-mêmes, qui s'aiment, puis nos relations seraient tellement plus saines, tellement plus belles, tellement plus positives, tellement plus vraies, puis beaucoup moins lourdes, puis la relation avec les autres, mais aussi envers nous-mêmes. Je pense que ça commence vraiment par là, puis tu peux littéralement définir la personne que tu veux être. Ne laisse pas personne te faire croire que tu es ci ou ça. C'est ça, comme je te disais au début, j'ai l'impression qu'on s'est tellement fait répéter souvent. Moi, quand je suis au secondaire, il y a un micro qui m'a appelé Mahabou. À la base, c'est drôle, mais j'étais tellement, tellement gênée au secondaire que j'avais l'air bête. On pensait que je voulais arracher la tête à tout le monde, tellement que je ne mettais jamais de sourire dans ma face, parce que j'avais tout le temps peur de révéler qui j'étais. J'avais toujours peur de dire quoi que ce soit ou qu'on me fasse juger, ou qu'on me juge, puis ça, je le cachais bien quand même, mais je faisais ma piste. Je faisais comme s'il n'y avait rien qui m'atteignait et que j'étais trop… Aujourd'hui, je suis capable d'avoir pas de regret. Ça fait longtemps, ça fait six ans. Ça fait quand même un petit bout que j'évolue là-dessus, mais je le sais que j'étais tellement gênée et qu'on m'a tellement répétée que j'avais l'air bête, que j'avais l'air bête, que moi, je n'étais pas sociable, que moi, Marie-Lou, elle n'aime pas le monde. C'est drôle, on dirait que je te parle de ça, mais ça me rend comme émotive parce que, mon Dieu, ce n'était pas prévu. Parce que je n'avais pas prévu de te parler de ça. C'est bizarre, ça m'est comme venu en tête. J'ai l'impression qu'on se fait tellement mettre dans des boîtes dans notre vie, puis ça ne devrait pas. Je suis vraiment quelqu'un qui aime les gens, qui aime me connecter. Je m'essaie à croire longtemps que ce n'était pas vrai. Je manquais tellement d'opportunités. J'ai tellement manqué d'amitié. J'ai manqué des opportunités. Je ne regrette rien, c'est mon cheminement, c'est correct. Mais c'est important de ne pas laisser autant de pouvoir aux gens. C'est fou comment ça a un impact sur notre vie. J'ai cru longtemps que je n'étais pas une bonne personne, que je devais plus sourire. Je me demandais si je pouvais être moi. C'est tout. C'est pareil pour toi. Je parle au moi, mais je m'adresse à toi. Le changement, tu peux le créer à partir de toi-même. J'ai envie de te faire un exercice. Juste de te poser la question. J'aimerais ça que tu te décrives. J'aimerais ça que tu décrives la personne que tu aimerais être. Tu vas peut-être voir que ce n'est pas la même personne. Peut-être que tu vas voir qu'il y a des ressemblances. Peut-être que tu vas voir qu'il y a des choses à travailler. Mais peut-être que celle que tu as décrié comme étant toi-même aujourd'hui, ce n'est pas une perception qui te fait une perception qui est... En fait, c'est la perception des autres peut-être. J'aimerais ça que tu en fasses prendre conscience. Moi, quand on me demande de me décrire, on a tout le temps de la misère à se lancer des fleurs et à se complimenter. On est toujours capable de voir plus nos défauts que nos qualités. C'est difficile. Je t'invite vraiment à te poser la question c'est quoi mes qualités? Comment je suis dans la vie? Pas basé sur des commentaires que tu as eus. C'est correct d'avoir des idées trop actives des gens. De demander des fois aussi. Demandez à des gens de confiance. Que vous aimez, que vous sachiez que ces gens-là ont des bonnes intentions, qu'ils sont bienveillants envers vous-même. Parce que c'est facile de se laisser critiquer ou se faire mettre des idées dans la tête par des gens qui ne sont pas bienveillants. Il faut changer ça. Je ne veux pas que tu laisses personne te faire croire que tu es d'une certaine façon. Si toi tu n'es pas d'accord, c'est correct. Ce n'est pas un fait ce que les gens te disent. À partir d'aujourd'hui, j'aimerais que tu apprennes à te connaître. Savoir comment tu es. D'essayer de casser cet effet-là de je suis comme ça parce que tout le monde dit que je suis comme ça. Mais non, ce n'est pas vrai. Tu peux définir c'est qui que tu es. Ça, ça porte de notre langage interne. La manière que tu te parles, la manière que tu te traites. C'est vraiment de développer ta capacité à te reprendre quand il y a des choses comme ça qui arrivent. Si, pas rapport, il y a une situation, tu as oublié quelque chose. Moi, je suis vraiment quelqu'un de distraite dans la vie. C'est correct. Pour de vrai, à un moment donné, j'en rie et j'arrête de me taper sur la tête pour ça. J'oublie plein d'affaires. Ça, c'est probablement parce que je suis très tête en l'air. J'ai beaucoup de projets. Je suis passionnée. On m'a déjà fait croire que c'était bad d'oublier tout. Je ne peux pas oublier ma mémoire. Je suis distraite. Je me trouve des trucs. Je suis plus organisée. Mais ce n'est pas vrai que c'est bad. Ce côté-là, je ne m'en fais plus avec ça. Ce n'est pas quelque chose que je me décris. Juste de remarquer. Je m'en arrête avec ça. Je ne sais pas pourquoi j'ai dévié de même. En tout cas, juste de développer ta capacité à te reprendre. Mettons que moi, je suis distraite. J'ai oublié. J'essaie pour moi de faire quelque chose pour mon job. J'ai oublié de poster de quoi. J'ai oublié d'écrire à quelqu'un. Ça m'arrive des fois. Au lieu de me dire que c'était menaçant. Tu as oublié encore. Ça t'arrive tout le temps. D'être négatif. J'ai de la misère à m'auto-insulter. On dirait que je suis malaisée de faire ça présentement. Je ne vais pas aller trop deep. Mais j'ai déjà entendu des femmes qui ne savaient pas ce que je disais. Juste d'entendre des mots de même, ça m'irrite. De développer ta capacité à te remarquer que tu te parles de même. À être plus consciente. Moi, quand ça m'arrive, je me reprends. Je suis comme, non. Les filles au chèque-bord, quand ça arrive, je leur dis direct. Je suis comme, ne te parles pas comme ça. Je pense qu'il faut développer ce réflexe-là. De se reprendre. Je ne veux pas me parler de même. Je ne mérite pas ça. Tu le switches. Tu te parles avec plus de douceur et d'amour. Je voulais te parler. Je me sers des petites notes. Je vais te parler de l'affirmation positive. Je ne veux pas embarquer dans un débat de positivité toxique. Je ne te dis pas de toujours être positive. Je te dis juste d'être plus empathique. D'avoir plus de compassion, d'amour. Parce que c'est tellement facile de se manquer de respect. Je ne te dis pas que quand tout va mal, tu te dis la vie est belle. Ce n'est pas ça. C'est avec un autre sujet de podcast. Je vais te parler d'émotions. J'ai hâte de faire un épisode là-dessus. Je ne vais pas embarquer là-dedans. Je veux juste te parler d'affirmations. De switch tout le temps tes pensées. Avec des affirmations positives que toi-même t'as créées. Tu peux t'inspirer sur Pinterest. Pour les créer. J'aimerais que tu fasses l'exercice de créer tes propres affirmations personnalisées. Parce que tu vas les filer beaucoup plus. Je ne sais pas comment expliquer. Ils vont vraiment plus résonner et vibrer fort en toi. Que si tu fais juste lire quelque chose pour lire quelque chose. Dans le fond, tu es tellement habitué de t'avoir fait dire que tu es d'une telle façon. Ou tu es tellement habitué de te répéter les mêmes affaires négatives. Que c'est rendu que ton cerveau te croit. Je vais te donner un exemple. Je travaille dans le domaine du BNS. J'aide les gens à se remettre en forme. A avoir des meilleures habitudes de vie. Ça m'arrive régulièrement que les gens me disent. Oui, mais j'ai peur de lâcher. J'ai peur de ne pas continuer. Par manque de motivation. En fait, c'est un manque de discipline. Parce que ton cerveau est conditionné au fait que tu lâches tout le temps. Il ne te croit pas. Quand tu lui dis. Oui, je vais me remettre en forme. Cette fois-ci, c'est la bonne. Il ne te croit même pas. Il va falloir que tu le reconditionnes. Que tu redéfinisses. Qu'est-ce que tu veux vraiment. Que tu reformules c'est quoi que tu veux. Dans ton cerveau. Pour que ton cerveau te croit. Que tu veux te remettre en forme. Que tu as fait plus que deux semaines. Pas quitte. Là, on est très dans ça. Le présentement avec les résolutions. Au début d'année. Je ne sais pas quand est-ce que tu m'écoutes. Présentement, on est le 29 décembre. Quand tu vas écouter ça, on va être en début janvier. Je lance le podcast le 4 janvier. Je ne dis pas que tu vas l'écouter le 4 janvier. Bref. Peu importe quand dans l'année. On s'en fout. Peu importe quand est-ce. Il y a tout le temps des périodes. Début d'année. Début de l'été. C'est tout le temps des moments propices. Que les gens veulent se remettre en forme. Ils veulent des résultats rapides. Ça fait que tu ne le fais pas pour les bonnes raisons. Tu lâches rapidement. Ton cerveau te croit. Il croit ce que tu fais. C'est comme si à chaque fois que tu quittes, tu te répètes ça. Je suis une failure. Je quitte après deux semaines tout le temps. Ça ne vaut même pas la peine. Parce que je sais que je vais quitter. J'entends que ça va demain des fois. Tu te manques de respect. Tu n'es pas capable de tenir parole envers toi-même. Comment ça se fait qu'on est capable de tenir parole quand on doit quelque chose à quelqu'un. Mais qu'envers nous-mêmes, on n'est même pas capable. C'est fou. Ça, ça n'a pas de bon sens. Il faut arrêter de faire ça. Souvent, c'est parce qu'on se met des objectifs qui ne sont pas alignés avec nous-mêmes. On ne se met même pas des objectifs qui sont vraiment réalistes. Parce que souvent, on veut aller trop vite. On n'est pas patient. L'important, c'est que tu le fasses pour toi. Et que tu aimes le processus au complet. Pas que tu ailles perdu 20 livres en deux semaines. Mon point avec ça, c'est que tu dois recontenir ton cerveau avec des nouvelles croyances. Avec des nouvelles actions. Si de plus en plus tu le fais, de plus en plus toi, tu vas croire que tu es capable de le faire. Ça va faire en sorte que ton cerveau va se reconditionner tranquillement. Ça ne va pas deux jours. Il faut que tu sois patiente. Il faut que tu le fasses over and over. Les affirmations, je trouve que c'est une belle façon de le faire. C'est sûr qu'il y a des actions qui doivent se faire. Il n'y a pas des miracles qui vont arriver parce que tu vas lire des affirmations. Il faut que ce soit intentionnel. Mais, je te donne un exemple. Dans le fond, en gros, je vais commencer par le commençant. Des affirmations positives, à quoi ça sert? C'est vraiment à ça. Tu reconditionnes ton cerveau à des choses que tu veux. Fait que, je t'invite à justement retrouver ta liste de la personne que tu veux être ou la faire. Comment elle est cette personne-là? Est-ce qu'elle est patiente? Est-ce qu'elle est heureuse? Est-ce qu'elle est belle? Est-ce qu'elle est respecteuse? Est-ce qu'elle s'aime? Plein de choses comme ça. Est-ce qu'elle est abondante? À partir de ça, au moment où tu veux, au moment où tu sais qui tu veux être, comment tu veux agir, suis-tu ça? Toutes tes croyances limitantes, toutes tes phrases un peu moins belles que tu te répètes dans ta tête, tes idées qui sont plus négatives de toi, on a tout le temps ça, cette voix dans notre tête qui est un peu négative. C'est notre égo qui est comme, non, non, non, fais pas ça. Ou genre, tu vas te planter. Comme on aime un petit peu cette voix-là. Mais elle est là. Puis on ne la contrôle pas tout le temps, mais il faut la laisser de côté. Puis souvent, juste décris ce que tu te répètes dans ta tête. Écris-le juste une fois, OK? On ne veut pas trop y penser. Mais décris dans un cahier. Mettons, j'ai peur, genre je veux me remettre en forme, je veux m'aimer, mais j'ai peur de lâcher après deux semaines. Je vais te donner un exemple sur la remise en forme. Ça peut être sur n'importe quoi. J'ai peur de manquer d'argent, j'ai peur de me faire laisser, j'ai peur de ne pas réussir mon examen, whatever, OK? Je ne m'aime pas, je ne me trouve pas belle, genre whatever. T'as des choses comme ça qui ne sont pas nice, switch-les. Fait que crée-toi des affirmations en transformant complètement ce mot-là, bien cette phrase-là. Fait que ici, justement, je reprends ma première phrase qui est, j'ai peur de lâcher, je veux me remettre en forme, mais j'ai tendance à lâcher après deux semaines. Bien, tu te refais une phrase, puis tu te dis, je me respecte assez pour ne pas, non, pas un négatif. Une fois que tu n'as pas la négation. OK, on va recommencer. Tu pourrais formuler ça, genre aime-moi la syntaxe, c'est terrible. Je fais de mon mieux, mais, OK, fait que mettons, je me choisis, je me respecte assez pour continuer de prendre soin de moi, puis comme apprécier mon processus, même si ça prend plus de temps. Tu sais, genre je veux, whatever. Ou genre je m'aime, tout simplement. Tu sais, genre mettons, tu trouves que tu ne t'aimes pas, whatever. Je m'aime, je m'accorde du temps parce que je me respecte, je m'aime. En tout cas, tu peux aller voir sur Pinterest, OK. Genre, je n'ai pas mes affirmations, bon, moi, je pourrais t'en nommer une couple, j'ai les sur mon site. Attends, je m'en ai écrit une couple, puis tu sais, ce n'est pas grand chose, mais c'est vraiment quelque chose que j'aime faire. Puis tu sais, ce n'est pas le genre de chose que, genre, OK, tu fais une fois, puis genre, c'est réglé. Comme, il faut répéter pour que ton cerveau, comme, il assimile ça. Il y a des affaires aussi de genre, tu peux aller voir le Joe Dispenza, genre sur YouTube, il y a comme des trucs de hypnose dans le sommeil, genre ça recontaine ton cerveau. Tu peux aller voir des affirmations sur YouTube, genre pendant la nuit, tu mets ça, puis ton cerveau, il les entend. Genre, en tout cas, je trouve ça malade, ces affaires-là. Je ne suis pas une pro, je te parle de ça, je te pète ça, mais tu pourrais t'informer là-dessus, je sais que ça existe. Fait que tu sais, OK. Maintenant, je m'étais faite une petite liste d'affirmations, fait que je me fais confiance, je crois en mes capacités, je sais que je suis en train de grandir. Je suis belle, je m'aime et je suis fière de moi. Je travaille sur mes objectifs pour être la femme épanouie que je mérite d'être. Me prioriser, m'aider à prendre soin des gens qui m'entourent. Tu sais, c'est vraiment de reconditionner ton cerveau à ce que tu veux. Comme, ce n'est pas vrai que genre, tu sais, c'est d'identifier tes croyances limitantes, puis ça, je ferais voir le podcast là-dessus. Si tu veux, OK, oui, tu pourrais me le dire, si jamais tu veux que je fasse un podcast là-dessus, genre les croyances limitantes, puis comment reconditionner ton cerveau à ça, ça pourrait être nice. Tu sais, je me choisis tous les jours. Tu sais, si tu manques de temps, puis tu es comme moi, je n'ai jamais le temps pour moi, non, non, non, bien comme, j'ai du temps pour moi, je prends le temps. Genre, tu sais, c'est juste des petites phrases que, tranquillement, pas vite, ton cerveau va comme faire, OK, genre, tout ce que je crois, ce n'est pas la réalité, puis comme, je mérite de m'aimer. Je mérite de me donner du respect. Puis ça, ça commence avec la manière que tu te parles, puis les affirmations, je trouve que c'est un bel outil. Tu sais, moi, je m'essaie d'écrire une liste dans mon cahier, puis mon cahier est ouvert sur ma table de chevet tout le temps, puis je les lis matin et soir. C'est sûr que des fois, je les manque, là, je ne les fais pas tous les jours, je ne suis pas parfaite, mais je trouve que c'est vraiment important de le faire. Fait que, tu sais, si tu as tendance à oublier, tu sais, tu te mets des gosses, tu les mets dans ton tiroir, tu les retrouves un an plus tard, comme, ce n'est pas ça le but, OK. Tu veux créer des changements dans ta vie, fais les actions pour. Fait que, tu pourrais écrire ça dans un cahier, puis le mettre sur ta table de salon, ta table de cuisine, sur ton bureau, puis à chaque, comme, tu sais, tu pourrais mettre un timer même pour le faire, à chaque trou dans ton ordre de dîner, ou genre, en tout cas, tu as compris le principe, là, tu sais, je pense que tu le fais un peu quand tu veux, mais de le faire en répétition, puis instantanément, là, ça nous met dans un bon mood, on se sent comme plus confiantes, pour de vrai. Moi, je vois vraiment une différence, puis ça me fait vraiment du bien à chaque fois. Fait que, c'est pas mal ça, je pense, que j'avais envie de te dire aujourd'hui, tu sais, tu es capable de tellement plus que ce que tu penses, puis ça, c'est une phrase que j'aime répéter tout le temps, parce que c'est vrai, puis souvent, on se limite beaucoup, puis je pense que notre langage, nos pensées, peuvent vraiment créer notre réalité, puis ça part avec nous-mêmes, tu sais, fait ce travail-là, puis je t'ai dit que tu vas voir une grosse différence dans ton quotidien. Tu sais, si tu remarques que personne te respecte, que personne, tu sais, les gens, ils disent des choses de toi, mais toi, qu'est-ce que tu dis de toi-même? Il suffit de redéfinir qui tu es, puis qui tu veux être, puis de ne pas laisser les gens piler dessus, tu sais. Moi, on m'a souvent répété, là, comme, moi, mais, genre, t'es jeune, là, comme, t'as rien à m'en prendre. Hum, ok. Genre, à quel point que c'est pas vrai, puis ça, c'est quelque chose que je m'étais mis en tête, tu sais. À chaque fois que j'embarque sur un sujet, je suis comme, « Ah, faut que je fasse un épisode là-dessus! » Je vais faire un épisode là-dessus, by the way. Genre, l'âge, là, c'est pas une limite. Je vais faire ça, parce que je m'adresse au Gen Z, mais pas juste au Gen Z, là, je sais qu'il y a sûrement des gens qui sont pas Gen Z, qui m'écoutent, puis je veux qu'on brise cette barrière-là de l'âge, mais bref. Je vais finir ça, là, parce que là, je m'enligne sur des nouveaux sujets que je veux aborder plus en profondeur dans d'autres podcasts, ça fait que je veux pas les dire en surface, mais c'est ça. Fait que, je t'invite à faire ta liste d'affirmations, puis, oh my god, j'aimerais tellement ça que tu me l'envoies. Si tu veux l'en faire, puis me l'envoyer, je trouverais ça vraiment utile. Fait que, c'est ça. Si t'as des questions ou que tu veux qu'on continue la conversation, ou qu'on aille en plus en profondeur, viens m'écrire sur Instagram, ça va me faire plaisir. Puis, reste là, parce que on est encore, en fait, si on est dans la première semaine du lancement, j'ai un concours vraiment insane que je fais pour ton support, pour te remercier, etc. Fait que, reste là, parce que j'annonce ça à l'instant. Fait qu'un gros merci de ton écoute, full love, puis on se jase dans un prochain épisode. Bye bye! Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org Bonne chance, je t'en prie d'amour, on se voit dans un autre épisode.

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