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In this podcast episode, Pati and Pitcha discuss the challenges that can arise in a couple when they have their first child. They share their own experiences and emphasize the importance of preparation and realistic expectations. They talk about the impact of having a baby on daily routines and the couple's relationship. They also mention factors such as the age of the parents and whether the child was planned or unexpected. They highlight the need for open communication and involvement from both partners to maintain a healthy relationship amidst the changes. They acknowledge the societal pressure to portray only the positive aspects of parenthood and stress the importance of being aware of the challenges and seeking support. They mention that men may have different perspectives on parenting and suggest inviting male guests to discuss their experiences. Overall, they emphasize the need for couples to adapt and find balance in their new roles as parents. Hello, bienvenue dans le podcast Réalité Amoureuse, moi c'est Pati et moi c'est Pitcha. Dans ce podcast, on va parler des différents problématiques qu'il peut y avoir dans un couple. Étant donné que c'est un sujet qui peut toucher tout le monde, on a trouvé intéressant de partager des expériences des uns et des autres afin de pouvoir aider les personnes qui nous écoutent. Dans ce podcast, nous allons également inviter différents profils qui partageront avec nous leurs expériences. On vous donne aussi la possibilité de participer, d'interagir avec nous par le biais de nos différents réseaux. N'hésitez pas à poser vos questions, à nous donner des suggestions, voire même à nous partager vos expériences. C'est parti pour un nouvel épisode. Du coup, aujourd'hui, Pati, on va parler de l'arrivée du premier enfant dans le couple, le choc de l'arrivée du premier enfant dans le couple. C'est un sujet qui peut être très, très pertinent. Oui. En fait, ce qui est aussi important de savoir, c'est qu'on a toutes les deux vécu ce moment-là. Donc, du coup, on va aussi un peu parler de notre expérience et de la réalité que l'arrivée du premier bébé en chambre. C'est ça. Pour commencer le sujet, moi, je pense qu'il aurait été important déjà de parler de la projection de l'idéalisation de ses premiers enfants sans savoir en réalité le choc que ça peut être. J'utilise intentionnellement ce mot-là, choc, parce que ça peut vraiment être comme une bombe dans le couple. Ce mignon petit être peut réellement perturber le couple, va réellement perturber le couple parce que ça va perturber tout votre quotidien, vos habitudes. Et quand on n'est pas préparé, encore une fois, c'est une histoire de préparation. Oui. On revient toujours là-dessus. C'est une histoire de préparation. On n'est vraiment pas préparé à la vie, à la réalité de la vie de couple. Oui, parce qu'en fait, quand tu gardes tes nièces, tes neveux, tes cousins, c'est pas la même chose quand c'est ton enfant. Moi, je pense que c'est ça aussi. On se dit que bon, ça va, j'ai déjà gardé un tel toute la journée, deux jours, ça va. Mais je pense que le plus dur, c'est quand tu as un petit bébé de un mois et tu l'as 24 heures sur 24. Après, ça, c'est vrai, oui. Il y a aussi l'autre côté de l'âge à laquelle on a l'enfant. Oui. Il y a plusieurs paramètres, je pense, qui rentrent en compte. Il y a l'âge. Il y a le fait, est-ce que l'enfant a été désiré ou est-ce que l'enfant est arrivé un peu de manière, entre guillemets, avec des grosses guillemets, inattendue. Une surprise, quoi. Oui, un peu, un bébé surprise. Et pareil, est-ce qu'il a été désiré et eu de manière, de façon très rapide ou est-ce qu'il a été désiré et a mis beaucoup, beaucoup de temps à arriver ? Il y a tout ça qui va rentrer en compte. Et il y a aussi toute la projection que la société nous fait. En fait, on dirait que quand tu vas avoir un enfant, ça va être trop beau, la grossesse va trop bien se passer et je serai trop belle et ceci et cela et on sera trop mignon et mon mari sera super présent. Et la réalité, la réalité est parfois tout autre. Oui, c'est vrai. La réalité est parfois tout autre. Et en fait, nous, on a jugé important de parler de ce sujet parce qu'en fait, on s'est rendu compte que pour toutes les personnes qui ont eu des enfants, en tout cas une grande majorité, elles n'étaient pas prêtes, elles ne s'attendaient pas à ça. Oui, mais c'est parce qu'on ne nous dit pas et j'avais demandé à, je ne sais plus qui, une tante. Elle m'a dit, je leur ai dit, mais pourquoi vous n'avez rien dit ? Parce que c'est compliqué comme ça. J'ai dit, c'est pour ne pas vous décourager. Je ne sais pas si ça découragerait réellement parce que… On peut le vivre. Oui, il faut le vivre. Et dans tous les cas, le bénéfice est tellement important et tellement génial, on va dire, au final, malgré tout, que c'est pour ça qu'on fait un deuxième enfant, c'est pour ça qu'on en fait un troisième même, pour certains. Oui, en fait, ça dépend. Là, je pense que c'est ton avis. Je ne dis pas que je ne partage pas ton avis, mais il y a des hommes, il n'y a pas de bénéfice parce qu'il y a en gros… Non, mais je suppose, je suppose, je ne suis pas dans la… Je dis par rapport à ce que je vois. Il y en a, c'est sûr, ils vont être contents, etc. Mais ils vont pas… Enfin, ils vont aussi ce qu'ils perdent. C'est-à-dire qu'il n'y aura plus… Enfin, ce ne sera plus un monde à deux, quoi. Je ne sais pas si tu vois… Oui, mais c'est le but en même temps de se mettre en couple et de fournir un poignet. Et de fournir une famille, oui. Mais on ne mesure pas l'impact que ça va avoir. On a envie d'être une famille, etc. Mais au final, on ne sera plus un couple. En tout cas, moins dans le sens où on va moins se retrouver. On sera tous les deux fatigués, en fait. On va au travail, on revient, on va dormir. D'où l'importance, encore une fois, de la préparation. Il y a qu'on s'était préparé et qu'on avait pris conscience de l'importance, de l'impact que cet enfant aura. Et qu'on s'organise de manière à pouvoir prendre soin de cet enfant et lui donner tout l'amour qu'il faut. Garder le couple, oui, au centre des priorités. Pas vraiment au centre, mais en deuxième priorité. Je ne sais pas si c'est au centre ou deuxième priorité. On invitera des hommes pour nous parler de ça. Parce que je pense qu'ils n'ont pas forcément les mêmes avis. Ce serait intéressant de faire venir un homme qui nous parlera de ça. Mais oui, s'organiser autrement. Franchement, s'organiser autrement. Et savoir que ce n'est pas facile, forcément. Parce que malheureusement, encore une fois, aujourd'hui, on vit dans une vie où les gens ne montrent que les bons côtés. On revient aux réseaux sociaux, en fait. Les réseaux sociaux, même la famille. Quand tu vois quelqu'un avec son enfant, il ne te montre pas ses côtés durs. C'est compliqué quand mon enfant est malade. Tu auras juste l'impression que la personne est heureuse. Son enfant, le bien-être de son enfant. En général, l'être humain ne montre que les bons côtés. Oui, il faut qu'on ait conscience de ça. Il faut réellement qu'on ait conscience de ça. Ce qu'on nous montre, c'est que là, il y a les bons côtés. C'est que la belle vitrine. Il y a un long travail derrière. Mais du coup, on ne peut même pas t'anticiper. Sauf si quelqu'un nous dit et nous prépare. Sauf si quelqu'un nous dit... Sauf si quelqu'un veut se poser des questions et se dire qu'en gros, je suppose... J'ai jamais eu d'enfant. Je vois que les autres sont gros. Mais je suppose que ça doit être difficile. Non, si les gens disaient réellement la vérité... Moi, je dis la vérité. Ça aiderait beaucoup les autres. Ça aiderait énormément. Moi, franchement, j'ai la vérité. Quand on me dit... Je me souviens, une fois, au bureau, il y a une fille qui me demandait... On parlait de l'organisation des enfants, etc. Elle me disait qu'elle espère que son conjoint fera ci, fera ça. Moi aussi, j'espérais qu'il fasse ci, qu'il fasse ça. Mais au final, je me suis rendue compte que dans un couple, on est une équipe. Et donc, du coup, il y a des choses que l'un va mieux faire que l'autre. Je me suis concentrée sur ça. C'est ce que je lui disais. Il ne faut pas avoir une attente que lui va faire ça. Il ne va pas faire de la manière dont tu veux qu'il le fasse. Surtout nous, les femmes, on a beaucoup d'attentes. On lance des petits messages subliminaux. Mais il ne peut pas faire de la même manière. Soit tu le fais et tu le laisses faire ce pour quoi il est bon. Et toi, tu gardes ta tâche. Il faut un bon équilibre dans le couple pour que chacun puisse faire ce qu'il fait de mieux. Et ce dans quoi il se sent à l'aise. Les femmes, on aime donner une tâche à l'homme qu'il n'a pas envie de faire ou dans laquelle il ne se sent pas à l'aise. Mais les hommes aussi, ils doivent un peu plus s'impliquer. Parce que c'est facile de dire je ne me réveille pas à la nuit parce que tu as l'aide donc l'enfant n'a pas besoin de moi. Qu'est-ce que je peux faire? Il faut le changer de la couche. Il a juste besoin de présence. Il a l'esprit dans les bras. Après, je pense que ce n'est pas tous les hommes. Mais la majorité, oui. Notre génération, c'est compliqué. C'est vraiment compliqué. Parce qu'on se rend compte en entendant tous les témoignages qu'on constate rejoindre. Oui, on vit. On vit tous les mêmes expériences à différents niveaux et pareil, on les interprète de différentes manières. Selon l'éducation qu'on a eu, selon le vécu qu'on a eu, on n'aura pas la même lecture de l'histoire qu'on vit. Du coup, les personnes vont l'interpréter de différentes manières. Globalement, on vit un peu la même chose. Les hommes dorment, et la femme se réveille, prend son enfant, s'en occupe et après elle est énervée. Et après, elle va se demander pourquoi elle s'est énervée. Après, je pense que nous aussi, je ne dis pas qu'ils ne sont pas concernés ou qu'ils n'ont pas peur qu'il arrive quelque chose mais quand ton enfant vient de naître, tu as un peu peur et sur tes gardes ou tes sens, ils sont décuplés. Je pense qu'on ne dort pas vraiment à points fermés, mais eux, oui. Non, on ne dort pas à points fermés, comme tu dis, mais il y a aussi cette histoire, on a déjà fait une émission sur ça, sur la préparation, la femme est quand même préparée à s'occuper de son enfant. On le martèle sans cesse qu'il faudrait qu'elle s'occupe de son enfant et elle le sait qu'elle devra s'occuper de son enfant. Sauf que là, on est contre-hôte à notre réalité d'Africain mais dans un pays occidental où la plupart des femmes travaillent même si elles ne travaillent pas, elles ont beaucoup de tâches à faire. Elles s'occupent de beaucoup de choses dans la maison donc elles sont faciliées. Donc, ça suppose que l'homme s'implique un peu plus. Parce que sinon, ça va en pâtir sur la relation. Ça va en pâtir forcément sur la relation et l'homme ne comprend pas quand la femme lui dit j'attends de toi que tu fasses ceci, parce que lui, il n'a pas été préparé à cela. Lui, son côté masculin, lui dit qu'on va lui ramener de l'argent à la maison. Oui. Mais je pense qu'il y a aussi un autre paramètre à prendre en compte c'est que les hommes ont vu leur mère faire mais ils n'ont pas vraiment exprimé la difficulté en fait. J'ai l'impression que la femme africaine va beaucoup supporter. Je ne sais pas si... On a l'impression que c'est facile quand tu les regardes. Je ne vois pas la souffrance. Non, parce qu'en même temps, notre maman, elle n'avait pas les mêmes occupations que nous. Elle était préparée à s'occuper des enfants. Donc, il y en a qui ne travaillent pas. Il y en a qui travaillent mais elles n'ont pas, je pense, autant de distractions que nous. Oui. Elles n'ont pas les mêmes distractions que nous. Elles sont vraiment focus sur l'enfant et elles ont été habituées et elles ont appris à prendre sur elles. Du coup, c'est ça que les hommes y voient. Ils ne comprennent pas pourquoi tu n'arrives pas. Pas que tu n'arrives pas, mais pourquoi tu te plains ? Je me plains parce que je suis fatiguée. Oui. Ils comprennent que je suis fatiguée. Oui, mais s'ils ont été témoins de leur maman ou de leur tante qui l'a fait s'embrancher, pourquoi tu t'embranches ? C'est pas le truc que je veux dire. Moi, c'est mon interprétation personnelle. C'est ma vérité entre guillemets. C'est complètement faux pour une autre personne. Mais moi, j'ai l'impression que c'est ça. C'est que il y a d'autres personnes qui l'ont fait avant toi. Donc, elles ont toutes réussi. Si on part de ce constat-là, on peut aussi dire très bien qu'on les aide. Pourquoi tu veux que je travaille ? Moi, aujourd'hui, oui. Il y a des changements qui ont été faits dans la société. On a d'autres trucs de réalité. Donc, il faut savoir connaître la nouvelle réalité. Je pense qu'il faut s'adapter à cette nouvelle réalité-là. Et communiquer aussi. Encore une fois. Mais c'est vraiment la base. On devrait tous se former à bien communiquer avec les autres en général, pas que forcément en relation de couple, mais avec ses collègues, ses amis, sa famille, etc. Encore une fois, je pense que dans ce podcast, on va beaucoup parler de communication réellement parce que c'est souvent le maître mot. Communiquer, exprimer ses attentes, exprimer ses difficultés. Parce qu'il y a des femmes qui ont aussi l'impression qu'elles ne font pas bien, qu'elles ne sont pas assez bien, surtout à l'époque du premier enfant et surtout des fois avec nos mamans africaines qui vont te dire « Pourquoi tu ne fais pas ça comme ça ? Moi, je ne faisais pas comme ça. » Et du coup, toi, tu te sens un petit peu « nul ». Tu te dis « Pourquoi je n'y arrive pas ? » Et ça crée de la frustration en tant que femme. Et ça existe vraiment le baby-blues. La dépression postpartum. C'est ça. Et dans la communauté, bien sûr, ce n'est pas possible. Tu n'as pas le droit. Mais aussi, je pense que c'est parce que avant, c'est les mamans qui s'occupaient. Tu viens d'accoucher, on te fait des massages tranquille, on s'occupe de ton bébé. Mais ici, c'est au bout de... On passait des quelques semaines et les gens vont retourner à leur activité. On ne vit pas tous dans la même maison. On est toute seule, petite famille chez toi. Donc du coup, à un moment donné, tu dois te débrouiller toute seule. Et c'est là où tu vois que tu rencontres les difficultés petit à petit, etc. Et tu tombes dans la dépression. Et les hommes, il faudrait aider un peu plus pour essayer d'éviter d'en arriver là. Parce que c'est vrai que les hommes, on a l'impression qu'ils souffrent énormément de l'arrivée du premier enfant. Parce que ce n'était pas à ça qu'ils étaient préparés. Ce n'était pas la réalité qu'ils imaginaient. Mais il faut qu'ils comprennent aussi que la femme, elle-même, elle souffre énormément. Oui. Et encore une fois, c'est la communication. Si on communiquait et chacun exprime à l'autre ses attentes, ses difficultés qu'il rencontre, peut-être qu'on pourrait chacun se mettre à la place de l'autre et comprendre l'autre. Du coup, adapter un peu son comportement. Je pense que les hommes, ce qu'ils souffrent du coup, c'est qu'on n'a plus leur temps, entre guillemets. Il y a beaucoup ça. Depuis que l'enfant est là, je ne sais plus quoi. C'est plus de ça qu'ils souffrent, je pense. Donc on s'occupe un peu moins d'eux, etc. Mais il faut qu'ils comprennent, ça c'est mon interprétation, que si ils mettent un peu plus la main à la pâte, on sera 50% bébé, 50% partenaire. Mais si on est 100% bébé déjà, on n'a plus de temps, en fait. Et c'est aussi important de penser à soi parce qu'on s'oublie pendant cette période, nous, en tant que mère. Oui, c'est très important parce que je pense que les femmes aussi, on se plaint beaucoup mais en réalité, on ne fait plus de nous-mêmes une priorité. Et ça, je pense que c'est les séquelles de notre éducation un peu africaine qui va nous dire il faut s'occuper de ton mari, il faut s'occuper de tes enfants. Mais on ne dit jamais qu'il faut s'occuper de toi-même, en fait. Être égoïste avec toi-même et prendre du temps pour toi. C'est vrai, c'est vrai. La femme, elle en souffre, en fait. Elle a l'impression d'être partagée pour tout le monde mais elle n'a jamais réellement son temps à elle. Du coup, l'arrivée de ce premier enfant peut vraiment être une casseur dans le couple. Oui. Ça peut être une casseur dans le couple. Donc, moi, je pense que c'est vraiment un sujet qu'il faudra qu'on reprenne. On va inviter un homme, une femme, pas forcément un couple, des personnes qui sont en couple tous les deux. Mais qui nous parle de leur expérience de la grossesse, la première grossesse de leur femme ou de leur conjointe et le vécu. Comment ils ont vécu toute la grossesse, l'arrivée du bébé et les mois qui ont suivi. Je pense que c'est vraiment bien d'avoir ça. Oui, ça sera vraiment bien et je pense que ça, c'est un sujet qui pourra vraiment aider les futures générations de parents à anticiper. À beaucoup se préparer à l'arrivée de ce bébé, à ce bouleversement qu'on pense que positif mais qui va aussi apporter son autre problème. Son autre problème et le défi. Donc, voilà. Le petit podcast du jour. On a fait un petit peu le tour de la question. Dites-nous, vous, votre expérience. Oui, dans les commentaires. On posera la question sur notre page Instagram. Dites-nous si vous avez déjà vécu l'arrivée d'un premier enfant, homme ou femme et on partagera dans le prochain podcast un peu vos retours, vos expériences. J'ai envie de dire, même les personnes qui n'ont pas encore d'enfant et qui sont en couple, dites-nous si vous en parlez déjà, de l'arrivée de cet enfant. Dites-nous si vous envisagez les difficultés que vous pourriez rencontrer. Dites-nous où vous ne voyez que des côtés positifs. Juste, pour revenir là-dessus. Moi, ma première fille vivait il y a 25 ans. Pour moi, j'étais prête. J'étais vraiment prête et tout. Je voulais, etc. La réalité est plutôt autre, mais j'ai l'impression que les jeunes d'aujourd'hui, quand tu poses la question à des personnes de 25 ans, c'est mort. Ce n'est pas maintenant du tout. Les enfants, ce sera plus tard. Je pense qu'ils ont confiance quand même que le poids que ça engendrera, l'arrivée d'un enfant, le manque de liberté, entre guillemets. Pour moi, ça ne veut pas forcément dire qu'ils ont conscience du poids. C'est juste que, pour l'instant, ils n'ont pas envie de se prendre la tête. Je parle de conscience par rapport à l'impact que ça aura sur la vie de couple. D'accord. Voilà notre petite contribution à cette question. N'hésitez pas à partager le podcast. À nous suivre sur Instagram si vous ne nous suivez pas encore. On se dit à vendredi prochain. Merci de nous avoir écoutés. A vendredi. Bye. Sous-titrage ST' 501

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