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Achetez ce livre de Henry d. THOREAU... Pourquoi travailler... pour l argent ?
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La vie sans principe de Henri David Thoreau, la vie sans principe de Henri David Thoreau, publiĂ© dans Le mot et le reste. Alors quatriĂšme de couverture. Ce serait merveilleux de voir une fois l'humanitĂ© s'adonner au loisir. Rien ne prime que le travail, encore le travail, toujours le travail. Dans La vie sans principe, Thoreau critique les fondements d'une sociĂ©tĂ© qui, trop exclusivement centrĂ©e sur le nĂ©goce, l'industrie et l'agriculture, oublie les fins d'une existence pleinement humaine et sacrifie la spiritualitĂ© Ă l'argent. Chercher Ă Ă©lever sa vie, l'enrichir au contact de la nature et rĂ©sister Ă l'emprise de la sociĂ©tĂ©, tel est l'appel dictĂ© par l'amĂ©ricain dissident. Henri David Thoreau est mort en 1862, donc avant la commune de Paris. Il est mort de la tuberculose aux Etats-Unis Ă Concorde, donc le 6 mai 1862. Je vais partager un extrait, achetez ce livre, il coĂ»te 3 euros. La vie sans principe Il n'y a pas trĂšs longtemps, j'assistais Ă une confĂ©rence dans un lycĂ©um. J'ai eu l'impression que l'orateur avait choisi un thĂšme qui lui Ă©tait trop Ă©tranger et donc il ne rĂ©ussissait pas Ă m'intĂ©resser autant qu'il l'aurait dĂ». Il dĂ©crivait les choses qu'il ne portait pas dans son cĆur, ni mĂȘme Ă proximitĂ© de celui-ci, mais plutĂŽt dans ses extrĂ©mitĂ©s et en surface. En ce sens, sa confĂ©rence n'avait aucune pensĂ©e vraiment centrale ou centralisatrice. J'aurais prĂ©fĂ©rĂ© qu'il parle de ses expĂ©riences les plus personnelles, comme le fait le poĂšte. Le plus grand compliment que j'ai jamais reçu a Ă©tĂ© le jour oĂč quelqu'un m'a demandĂ© ce que je pensais et a prĂȘtĂ© grande attention Ă ma rĂ©ponse. Je suis surpris aussi, aussi bien gravi lorsque ceci se produit. Cette personne fait de moi un usage prĂ©cieux, comme si elle connaissait bien l'instrument. D'ordinaire, si les gens s'adressent Ă moi, c'est seulement pour savoir le nombre d'acres que fait leur propriĂ©tĂ©, puisque je suis arpenteur, ou tout au plus, la nouvelle fut-il dont je me suis encombrĂ© l'esprit. Il ne sait jamais d'extrĂȘme substance. Il se contente de la coquille. Un homme un jour est venu de fort loin pour me demander de faire une confĂ©rence sur l'esclavage. En m'entretenant avec lui, cependant, je me suis rendu compte que lui et sa clique prĂ©voyaient de s'arroger les sept-huitiĂšmes de la confĂ©rence, tandis que je n'en aurais pour ma part qu'un huitiĂšme. J'ai donc dĂ©clinĂ© l'invitation. Je pars du principe que lorsqu'on m'invite Ă faire une confĂ©rence quelque part, et j'ai quelques expĂ©riences en la matiĂšre, c'est parce qu'on a envie d'entendre ce que je pense sur un sujet en particulier, mĂȘme si je suis le plus grand imbĂ©cile du pays, et non pas pour que je ne dise que des choses agrĂ©ables ou qui fassent l'unanimitĂ© de l'auditoire. Et en consĂ©quence, je dĂ©cide de leur donner une bonne dose de moi-mĂȘme. Ils m'ont contactĂ© et se sont engagĂ©s Ă me payer. Je suis donc bien dĂ©cidĂ© Ă leur imposer ma personne, du sait je les remplir d'un ennui sans prĂ©cĂ©dent. Je voudrais donc maintenant m'adresser Ă vous dans les mĂȘmes termes, mes chers lecteurs. Puisque vous ĂȘtes mes lecteurs et que je ne suis pas un trĂšs grand voyageur, je ne vais pas vous parler de gens qui sont Ă des milliers et des milliers d'ici. Je vais vous entretenir, du mieux que je pourrais, de sujets qui vous sont familiers. Comme le temps qui m'est impartiĂ© court, je laisserai de cĂŽtĂ© toute flatterie et ne retiendrai que la critique. ConsidĂ©rons la maniĂšre dont nous menons notre vie. Ce monde est le lieu des affaires, de l'agitation perpĂ©tuelle. Presque toutes les nuits, je suis rĂ©veillĂ© par le allaitement de la locomotive. Cela interrompt mes rĂȘves. On n'observe pas le Shabbat. Ce serait merveilleux de voir une fois l'humanitĂ© s'adonner aux loisirs. Rien d'autre ne prime que le travail, encore le travail, toujours le travail. Je ne peux pas facilement acheter un cahier avec des pages blanches pour y consigner mes pensĂ©es. Le papier est gĂ©nĂ©ralement rĂ©glĂ© en vue de pouvoir y inscrire dollars et centimes. Un Irlandais qui me voyait prendre des notes dans les champs en a conclu sans hĂ©sitation que j'Ă©tais en train de calculer mes gages. Si on avait jetĂ© un homme par la fenĂȘtre quand il Ă©tait tout petit et qu'il en soit sorti infirme pour la vie ou que les Indiens l'aient effrayĂ© au point de lui faire perdre la raison, le plus grand regret qu'on aurait, c'est qu'ainsi handicapĂ©, il ne soit plus apte au travail. Je pense qu'il n'y a rien, pas mĂȘme le crime, qui soit plus opposĂ© Ă la poĂ©sie, Ă la philosophie, que dis-je, Ă la vie elle-mĂȘme, que ce commerce incessant. Il y a dans les faubourgs de la ville un homme grossier et bruyant, un amasseur d'argent, qui projette d'Ă©difier un mur de soutĂšnement sous la colline qui borde son prĂȘt. Les autoritĂ©s lui ont mis cette idĂ©e en tĂȘte pour l'empĂȘcher de faire des bĂȘtises et il aimerait que je passe trois semaines Ă l'aider Ă pelleter la terre lĂ -bas. Le rĂ©sultat sera sans doute qu'il amassera encore un peu plus d'argent pour laisser Ă ses hĂ©ritiers qui le dĂ©penseront inconsidĂ©rablement. Si j'accepte, la plupart des gens me loueront pour mon ardeur au travail et mon zĂšle, mais si je choisis de me consacrer Ă certaines tĂąches qui me sont beaucoup plus profitables, mĂȘme si elles ne me rapportent qu'un argent, ils seront en plein Ă ne voir en moi qu'un paresseux. NĂ©anmoins, comme je n'ai nul besoin que ma vie soit rĂ©glĂ©e par la police du travail absurde et que je ne vois rien d'absolument louable dans l'entreprise de cet individu, pas plus que dans les actions de notre propre gouvernement ou des pays Ă©trangers, mĂȘme si cela les amuse, je prĂ©fĂšre, quant Ă moi, achever mon Ă©ducation dans une autre sorte d'Ă©cole. Si un homme passe la moitiĂ© de ses journĂ©es Ă marcher dans les bois parce qu'il les aime, il est en danger d'ĂȘtre pris pour un fainĂ©ant, mais s'il passe toute sa journĂ©e Ă spĂ©culer, Ă raser les bois, Ă rendre la terre chauve avant l'heure, on le considĂšre avec estime comme un citoyen industrieux et entreprenant. On croirait qu'une Ăźle ne s'intĂ©resse Ă ses forĂȘts que pour les abattre. On croirait qu'une Ăźle ne s'intĂ©resse Ă ses forĂȘts que pour les abattre. On croirait qu'une Ăźle ne s'intĂ©resse pas Ă ses forĂȘts que pour les abattre, mais s'il passe toute sa journĂ©e Ă marcher dans les bois parce qu'il les aime, il est en danger d'ĂȘtre pris pour un fainĂ©ant, mais s'il passe toute sa journĂ©e Ă spĂ©culer, Ă raser les bois, Ă rendre la terre chauve avant l'heure, on le considĂšre avec estime comme un citoyen industrieux et entreprenant. On croirait qu'une Ăźle ne s'intĂ©resse pas Ă ses forĂȘts que pour les abattre, mais s'il passe toute sa journĂ©e Ă marcher dans les bois parce qu'il les aime, il est en danger d'ĂȘtre pris pour un fainĂ©ant, mais s'il passe toute sa journĂ©e Ă spĂ©culer, Ă raser les bois, Ă rendre la terre chauve avant l'heure, on le considĂšre avec estime comme un citoyen industrieux et entreprenant. C'est de la musique russe qu'on chante, Rastafari, on chante, pour que personne ne prenne ma place, c'est mon vibration, c'est ma vie. Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, R Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, Rastafari, R Afrika Family Rastafari Family Rastafari Family Rastafari Family Rastafari Family Rastafari Family