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The speaker discusses the importance of adapting learning methods to the evolving world and integrating digital education. They argue that the French education system needs to better prepare students for the complexities of the 21st century. The speaker also mentions the need to address the challenges of the current job market and emphasizes the value of practical skills. They question why traditional teaching methods are no longer suitable and suggest looking to other countries for inspiration. Additionally, the speaker disagrees with the notion that young people are disinterested in politics and social issues, citing examples of youth mobilization. They argue against denying young people the right to vote and suggest exploring the reasons for their apparent disengagement. The speaker highlights the need for more in-depth analysis and provides examples to support their arguments. Copie de Vandeville Cléo, devant l'onglet numéro 6, expression en ras, niveau terminale. Première annoncée, attention à la prononciation de fundamental. Donc pour vous, les méthodes d'apprentissage ne doivent pas rester, on va dire, au fondamental tel que les maths, littérature, arithmétique, mais s'adapter au monde qui évolue. Il faut intégrer les spécifiques, la résolution de problèmes et l'enseignement aussi du numérique pour préparer les élèves aux complexités du XXIe siècle. Il faut pouvoir les équiper, donc les cryptes. Donc il faut éduquer les élèves pour qu'ils s'adaptent au monde numérique et aux défis d'aujourd'hui. Donc la langue et son français n'a pas de petites erreurs et par contre, ces arguments restent encore trop superficiels. Les enjeux sont assez peu abordés et pris en compte. Quelles sont les difficultés, justement, du marché du travail actuel et pourquoi vous pensez que les méthodes ou les enseignements traditionnels ne sont plus adaptés ? Que recherchent les employeurs dans leurs futurs employés ? Est-ce que, par exemple, la France est plutôt avancée dans ces sujets ou alors on peut s'inspirer d'autres pays ? Vous auriez pu donner beaucoup plus d'arguments et d'exemples divers et variés pour enrichir vos propos. Deuxième énoncé, donc, vous pensez effectivement que les compétences pratiques sont valorisées et sont les priorités des employeurs, donc prioritized, mais il ne faut pas non plus négliger les compétences plus théoriques des diplômes. Vous demandez à votre directeur comment faire en sorte de s'équilibrer, justement, l'acquisition de connaissances théoriques et pratiques chez les jeunes. Donc, là encore, la production est assez brève, compréhensible, mais les enjeux du sujet ne sont pas assez étouffés. Qu'en est-il, justement, des employeurs ? Vous aurez pu trouver des témoignages, par exemple, dans la presse ou dans d'autres types de médias qui prouvent qu'effectivement, ils cherchent des théories plus pratiques, des compétences plus pratiques que la théorie, même si les diplômes restent quand même importants et on le voit pour les grandes écoles, notamment, c'est fondamental. Et qu'en est-il aujourd'hui de la situation ? On voit qu'en France, par exemple, le gouvernement essaie d'instaurer plus de stages, notamment en seconde, au lycée, etc., pour faire plus de données avec le monde du travail. Donc, est-ce que vous pensez que la situation est en train de changer ou pas ? De quel pays la France peut s'inspirer, par exemple ? Qu'en est-il vraiment de la situation aujourd'hui ? Dernière annoncée, on n'est pas d'accord avec le fait que les jeunes soient désintéressés de la politique ou des faits sociaux, car on a vu plusieurs événements qui montrent que les jeunes sont mobilisés. Donc, leur dénier le droit de vote serait leur enlever la possibilité de s'exprimer pour décider de leur futur. Je vais demander à votre interlocuteur pourquoi il pense que les jeunes sont désintéressés et en quoi leur enlever le droit de vote serait une solution. Donc, là encore, les propos sont assez corrects et compréhensibles, mais beaucoup trop superficiels en termes d'alimentation. Est-ce que vous avez des chiffres qui prouvent que les jeunes sont engagés ? En France, c'est un petit peu ambigu, car on voit que, notamment en termes de vote, le taux d'abstention est record chez les jeunes et ne fait qu'augmenter d'élection après élection. Donc, quel est le problème ? Est-ce que c'est une question d'éducation civique à l'école ? Est-ce qu'il faut que les enseignants soient plus mobilisés dès le plus jeune âge et vraiment encouragent les jeunes au processus démocratique ? Qu'est-ce qui ne va pas dans l'homme politique d'aujourd'hui et qui fait que les jeunes ne se reconnaissent pas dans les hommes politiques d'aujourd'hui ? Beaucoup d'issues encore et de problèmes qui ne vont pas revenir en production et qui auraient été intéressants de développer.