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AUDDIO RASSEMBLEMENT_1.mp3

AUDDIO RASSEMBLEMENT_1.mp3

CHAKABA

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The speaker, Issy Akaba, is the director of communication and institutional development at the School of Peacekeeping in Mali. He introduces the RECAFEVEC project, which aims to strengthen the capacity of women to promote peace and inclusive development in Mali. The project is funded by the Norwegian Embassy and implemented by the School of Peacekeeping. The project provides specific training to women beneficiaries and is supported by the ESSEM consultancy firm. The project focuses on areas such as gender-sensitive planning and budgeting, dispute management, and project development. The School of Peacekeeping is a center of excellence for the Economic Community of West African States (ECOWAS) and the African Union, offering various capacity-building programs and research opportunities. The partnership between the School and its partners, including Norway, aims to contribute to peace and development by empowering women. The project has already funded 13 projects, including income-genera L'École de Maintien de la Paix, à l'Une-Blonde-en-Baye de Bamako, ici au Mali, centre d'excellence de la CDAO et de l'Union Africaine. Je suis Issy Akaba, directeur de la communication et de développement institutionnel et expert en charge de la communication autour du projet RECAFEVEC. Vous vous demandez sans doute ce qu'est RECAFEVEC. Je vous invite à travers le Mali à la découverte d'individus passionnés et engagés pour la promotion de la culture de la paix, de la cohésion sociale et d'un développement bénéfique pour le plus grand nombre. Le projet RECAFEVEC, renforcement de capacité des femmes vectrices de changement pour une paix et un développement inclusif au Mali, a été financé grâce au soutien et à l'accompagnement de l'ambassade du Royaume de Norvège, ici au Mali. Notre institution, l'EMP-ABB, a eu la lourde responsabilité de développer, d'élaborer et de conduire les formations spécifiques à l'endroit des bénéficiaires du projet RECAFEVEC. De plus, le cabinet d'appui-conseil ESSEM en énergie, santé et environnement s'est assuré d'accompagner les bénéficiaires sur le terrain afin de vérifier la bonne application des enseignements transmis. Et bien entendu, au cœur de tout cela, nos bénéficiaires, répartis en huit zones d'intervention couvrant la totalité du territoire national. Embarquez avec moi dans ce voyage inspirant à la découverte du Mali contemporain. Bienvenue dans la première partie de notre reportage RECAFEVEC intitulé « Amis Parcours ». L'École de maintien de la paix est un centre international de droit malien. C'est un centre d'excellence de la CDAO et de l'Union africaine qui a pour mission de renforcer les capacités des États membres dans le domaine du soutien à la paix et du maintien à la paix, mais ça a également pour mission de renforcer les capacités de ces États membres dans la compréhension du domaine du maintien de la paix. L'École de maintien de la paix dispose de cela d'une trentaine de modules de renforcement des capacités qui vont de la connaissance fondamentale des opérations de soutien à la paix à la consolidation de la paix en passant par la justice transitionnelle ou la planification et la budgétation sensibles aux genres. L'École dispose également d'un centre qu'on dénomme le Centre d'analyse et de recherche de l'espace sahélo-saharien, CARES, qui délivre trois masters, deux vrais masters et un exécutif master. Il s'agit du master en maintien de la paix, du master en criminalité organisée, terrorisme et coopération pénale internationale et de l'exécutif master en reconstruction de l'État post-conflit. L'École délivre ses masters en collaboration avec des universités partenaires qui sont soit des universités maliennes, soit des universités des pays partenaires de l'École. L'École fonctionne en effet grâce à un partenariat fécond qui est tissé entre les États. Ses partenaires sont classés en deux catégories. Nous avons des partenaires qui sont membres permanents du Conseil d'administration de l'École et des partenaires qui tissent un partenariat ad hoc avec l'École. Et la Norvège fait partie de cette catégorie de partenaires qui a bien voulu travailler avec l'École dans le domaine du renforcement des capacités des femmes victimes de changements pour une paix et un développement inclusif au Mali, dénommé RECAFEVEC. Ce partenariat, l'École a accepté de s'engager là-dedans parce qu'aujourd'hui elle couvre tout le spectre allant de la prévention des conflits à la consolidation de la paix en passant par la gestion des différends, que ce soit la gestion des différents au niveau des communautés, la gestion des différents au niveau étatique ou la gestion des différents au niveau international. Le projet RECAFEVEC aujourd'hui apporte une plus-value au niveau du renforcement des capacités des femmes car il permet d'outiller ces femmes dans les domaines très spécifiques de la planification et de la budgétisation sensible aux genres, mais également dans le domaine de la gestion des différents au sein des communautés, ce qui permet à ces femmes de monter des projets, des projets viables. Et les plus viables de ces projets sont financés en ce temps par le projet RECAFEVEC. Cela permet à ces femmes d'avoir une certaine autonomisation, d'où l'engagement de l'école dans ce projet qui permet en fait de consolider la paix. Enfin, l'école de maintien de la paix est une école ouverte, c'est une école ouverte à tout le monde, à toutes les couches socioprofessionnelles, que vous soyez militaires, que vous soyez policiers, que vous soyez gendarmes, que vous soyez civils, que vous soyez membres de la société civile, que vous soyez religieux, l'école accueille tout le monde à bras d'œuvres, tous ceux qui sont désirés de renforcer leurs capacités dans le domaine de la paix et dans le domaine de la compréhension de l'environnement de la paix. L'école de maintien de la paix est également une école qui est ouverte à tous les partenaires, à tous les partenaires qui veulent investir dans la paix, car la paix est un domaine d'avenir pour nous-mêmes, pour nos enfants et pour la planète toute entière, car la paix touche à tout. Le cabinet ESEN, énergie, santé, environnement, est un cabinet d'appui, conseil stratégique aux institutions qui travaillent dans le développement, donc le gouvernement, les organisations des Nations Unies, mais aussi les organisations de la société civile, a augmenté les opportunités des femmes pour accéder à ce que nous appelons les ressources productives, comme la terre, comme l'énergie, comme l'eau, comme la santé, et depuis 2006 qu'on existe, donc ça fait à peu près 15 ans, nous avons essentiellement appuyé l'agenda du développement au Mali, mais aussi l'agenda Femme, Paix et Sécurité à partir de 2010. De 2021 à nos jours, dans le cadre de l'appui que nous apportons à l'agenda Femme, Paix et Sécurité, à l'agenda du développement de manière globale, le cabinet ESEN a pu mobiliser 4 millions de dollars, environ 2 milliards de francs CFA, avec un effectif personnel d'une dizaine de personnes, à la fois technique et de soutien. Parmi les principaux partenaires avec qui nous avons travaillé, qui nous ont fait confiance, on compte le ministère de la Promotion de la Femme, de l'Enfant et de la Famille au Mali, l'ambassade royale de Norvège au Mali, la MINUSMA, d'autres agences du système des Nations Unies, le CCI du Canada et l'Union Européenne. L'horeca Févec est né et a été mis en oeuvre dans un contexte suffisamment spécifique pour le rappeler ici, puisque c'était au lendemain de la transition politique et donc avec un rétrécissement des appuis techniques et financiers des partenaires, nous on a eu la chance, à travers ce projet, de bénéficier de l'accompagnement de la Norvège, qui a continué son intérêt, qui a maintenu son intérêt par rapport au projet. Et ça a décuplé en fait l'obligation de résultat, l'obligation de réussir. Ceci étant, ce projet schématiquement est mis en place sur deux piliers, un pilier formation des femmes, vectrice de changement, c'est-à-dire que ce sont des femmes qui ont été choisies parce que, sans apport extérieur, elles avaient déjà montré leur capacité à changer, à transformer les choses dans leur communauté. Donc ce sont des femmes leaders éprouvées. Et donc ces femmes ont été accompagnées à travers des formations capacitantes qui renforçaient déjà ce qu'elles avaient. Et à l'issue de ces formations, on a voulu reprendre un besoin qui avait été exprimé pendant plusieurs années, c'est-à-dire de ne pas laisser les femmes, après les formations, attendre des lustres avant de pouvoir appliquer ce qu'elles avaient acquis comme connaissances. Donc le rôle du cabinet SNCF, c'est de faire un trait d'union entre savoir et savoir-faire. Et nous avons eu des moyens qui ont été mis à notre disposition, c'est-à-dire des portefeuilles pour pouvoir donner des subventions à un certain nombre d'organisations de la société civile formées à travers les cours de l'EMP-ABB. Concrètement, nous avons financé déjà 13 projets. D'ici la fin du projet RECAF-EVEC, 16 projets au moins auront vu le jour. Parmi ces projets, il y a quatre types de projets, des projets d'activité génératrice de revenus, que nous avons vus plus novatrices que ce qu'on voit d'habitude parce que nous avons appuyé techniquement et financièrement un nombre très très restreint de femmes qui avaient une qualité de proposition très forte. Nous les avons accompagnées sur des activités qui transformaient, qui ajoutaient de la valeur ajoutée, qui ajoutaient de la valeur, je veux dire, notamment pour du locaux. Donc nous avons des femmes transformatrices d'Ofonio, des femmes qui ont transformé la pâte d'arachide et certaines femmes qui sont dans les filières respectueuses de l'environnement comme celles qui produisent du beurre de carité. Nous avons également un deuxième volet qui consiste à aider les femmes R.S. Donc ce sont des femmes élues, encore une fois, des femmes vectrices de changement parce que pour être élue au Mali, il faut montrer les capacités, on va dire, quand même hors normes parfois. Et donc trois femmes R.S. sur onze femmes, aujourd'hui on en a douze mais à l'époque c'était onze femmes, sont appuyées par le RECAF-EVEC, par le cabinet ESSEN. Nous les appuyons pour qu'elles intègrent dans le PDC, qui est le document maire au niveau de nos conseils communaux, donc le niveau le plus décentralisé du développement. On fait en sorte que les besoins des femmes soient planifiés dès le début et soient pris en compte. Donc le projet a aidé ces trois femmes. Comme exemple, par exemple, la mairesse de Baguineda a appuyé huit villages qui sont dans sa circonscription et elle s'est battue aussi pour que les femmes aient accès à la terre. Donc en ça le projet est, si vous voulez, stratégique parce que l'accès à la terre est une des problématiques de l'autonisation des femmes parce qu'elles n'ont pas généralement accès à la terre. Le troisième volet qui recouvre l'appui technique et financier du cabinet ESSEN, c'est la prévention et la prise en charge des violences basées sur le genre. Et là, nos vectrices de changement, ce sont les forces de défense et de sécurité qui sont des personnes qu'on ne prend pas souvent en compte dans les projets de développement, mais nous on a estimé que comme elles étaient en première ligne, c'est souvent ces femmes, par exemple les femmes soldats, les femmes militaires, qui vont être dans les communautés attaquées ou qui ont été sous administration des groupes terroristes et qui ont malheureusement fait de nombreuses victimes de ce type de violence. Donc ces femmes-là ont été formées encore une fois par l'EMP, notre partenaire, au projet et à la suite nous sommes, ça c'est le volet qui est en œuvre, nous sommes en train de mettre en place des plans d'action dans huit régions du Mali pour permettre à nos forces de défense et de sécurité de s'impliquer de manière concrète, de manière informée à prevenir et à prendre en charge des cas de violences basées sur le genre, y compris les cas de violences sexuelles liées ou non au conflit. En dernier lieu, le dernier volet, c'est l'appui que nous apportons aux femmes aujourd'hui qui sont impliquées dans la paix, la sécurité, la réconciliation au Mali, avec un accent sur les femmes qui siègent dans le comité, dans le comité de suivi de l'accord. Vous savez qu'il y a un accord qui a été signé en 2015, donc ces femmes seront appuyées, formées par l'EMP et ensuite le cabinet ESEN verra le type de projet qui peut apporter dans leur communauté plus de paix, plus de sécurité. Ce projet a été initié par l'école de maintien de la paix à Lund Blondin Bay et le cabinet ESEN sur financement du Royaume de Norvège à travers leur ambassade au Mali pour une durée de trois ans. Il intervient dans sept régions du Mali plus le district de Bamako et ce sont les régions de Ségou, de Sikasso, de Tomboktu, de Gao, de Mopti, de Kulikoro et de Kai plus le district de Bamako, donc ça fait en tout huit zones d'intervention. Et dans chaque région nous intervenons dans cinq communes, notamment des communes urbaines et des communes rurales. Ce projet a comme cible les femmes des mouvements signateurs de l'accord, les femmes élues ou conseillères et les femmes des forces de défense et de sécurité et les femmes de la société civile. L'objectif recherché à travers le projet RECAFEVEC c'est de pouvoir assurer la participation et le leadership efficient de ces femmes que nous avons comme cibles d'intervention du projet afin qu'elles puissent participer très activement et que leur leadership soit très élevé sur les questions de paix, de sécurité et de développement local. Donc à travers cet objectif nous nous sommes dit que pour pouvoir l'atteindre il faut que nous puissions créer dans chaque région d'intervention du projet un noyau de femmes et d'hommes qui seront des vecteurs de changement. Et qu'est-ce que nous entendons par vecteurs de changement ? Ce sont des personnes qui ne vont plus s'asseoir et regarder le processus de développement de leur localité mais qui vont entreprendre des initiatives par leurs propres personnes pour pouvoir impacter le développement social et économique de leur communauté. Et ce sont également des personnes qui vont essayer de faire le contrôle citoyen. Comment se passe la gestion au niveau du mairi ? Quelle est leur contribution dans le cadre du développement de leur localité ? Et ainsi de suite. Toujours dans le cadre de l'atteinte des objectifs de ce projet RECAFEVEC nous avons mis en place un mécanisme de coordination. Nous avons le comité d'orientation stratégique du projet qui renie le premier responsable de l'AMASAD, le premier responsable de l'école de maintien de la paix avec l'équipe projet et la première responsable également du cabinet ESSEM. Le second point en termes de mécanisme de coordination c'est que depuis le démarrage du projet nous avons organisé un atelier de définition de la stratégie d'intervention du projet. Et lors de cet atelier nous avons convié toutes les directions régionales de la promotion de la femme et également les membres du gouvernement pour venir ici avec les membres de la police et de la gendarmerie et de façon globale les forces de défense et de sécurité pour pouvoir définir ensemble la stratégie d'intervention du projet. Et ça c'était une première je dirais au Mali qu'au démarrage que les acteurs locaux notamment les autorités soient impliqués dans la définition de la stratégie d'intervention du projet. Et c'est lors de cet atelier que nous avons défini les critères des personnes qui vont bénéficier de ce projet en tant que cibles, les communes urbaines et communes rurales d'intervention du projet et approfondir également les thématiques de renforcement des capacités et également les besoins en matière d'accompagnement notamment des projets de développement local. Donc cette stratégie en termes de coordination a continué depuis le démarrage du projet jusqu'à aujourd'hui ce qui fait que dans chaque région nous avons deux points focaux notamment un point focal au niveau de la direction régionale de la promotion de la femme, de l'enfant et de la famille et un point focal également au niveau de chaque gouverneur en termes de région d'intervention. Donc ces deux points focaux ont comme tâche de pouvoir nous accompagner dans la mise en œuvre et dans le suivi de toutes les initiatives qui seront entreprises par les bénéficiaires du projet à l'issue des sessions de formation mais également des financements qu'ils vont recevoir en termes d'accompagnement. Nos remerciements vont à l'endroit de l'ambassade de Norvège ici au Mali parce que leur financement à travers ce projet RECAPEVEC est venu à point nommé. La loi 052 avait été votée et cette loi a permis à ce qu'il y ait beaucoup plus de femmes élues dans les localités mais ces femmes avaient besoin d'accompagnement donc il y avait une insuffisance criade en termes de renforcement des capacités. Certaines de ces femmes-là ne connaissaient même pas quel était leur rôle et leur responsabilité en tant qu'élues communales parce qu'elles ont connu leurs droits, elles ont connu également leur responsabilité en tant qu'élues communales et elles prennent au jour le jour des initiatives et des engagements pour booster le développement de leurs localités. Et il en est de même également pour les femmes des forces de défense et de sécurité dans la lutte contre les violences basées sur le genre. Il en est de même également pour les femmes de la société civile. Donc c'est vraiment un remerciement que je fais à l'ambassade de Norvège pour avoir financé ce projet et les sollicite également pour qu'il y ait RECAFEVEC 2 et 3 afin qu'on puisse maintenir cette dynamique d'éveil de conscience et cette dynamique qui permet à ce que les femmes prennent des initiatives dans leur localité, qu'elles ne s'asseyent pas seulement et croiser les doigts en tant qu'élus ou en tant que femmes des mouvements signateurs de l'accord. Le projet a contribué à renforcer nos capacités en tant que femmes libères, à renforcer nos capacités en gestion et mobilisation de fonds, en budgétisation quantique pour les jeunes, en gestion et mobilisation de l'éducation, en gestion et mobilisation de l'éducation, en budgétisation quantique pour les jeunes, en gestion et violence basée sur les jeunes, et même le projet m'a renforcée à pouvoir gérer les conflits, à transformer même les conflits et à être une très bonne législatrice. Chaque jeune est bénéficiaire du projet RECAFEVEC et nous avons bénéficié d'un projet de renforcement des capacités, des activités génératrices de revenus, tout en se passant dans l'usage des placements. Le projet a été une grande opportunité pour nous parce que ça nous a donné accès à l'espoir. L'espoir est permis aujourd'hui, surtout les femmes en situation de décision de placement et les femmes en situation de généralité, comme elles ont été renforcées dans des activités génératrices de revenus et sont même en activité. Mais ce qui m'a le plus marquée, ça c'est l'implication des deux placements. Parce que moi personnellement, c'était des personnes à part entière, et je me disais leur traitement était plus sensible. Mais le projet m'a quand même permis de voir la cohésion entre nous, femmes de la communauté, et ces femmes qui ont été placées. On est devenues des amies actuellement. On va reposer chez Chakir, quand on se voit dans la rue, on se salue. C'est comme si on est devenues une grande famille. On va créer quand même, peut-être un projet d'activité génératrice, mais c'est devenu un projet plus fait, plus de cohésion. C'est pour ça que je pense que le meilleur dans ce projet est que les femmes sont déjà mises en activité génératrice de revenus. Elles commencent à être déjà autonomes. Et en plus de ces bénéficiaires, nous avons un magasin de vente permanent. Et nous avons employé deux employés ensemble. Même après le projet, le projet nous a dit que la durée du projet était une année. Mais notre activité, c'est une activité active. Moi je pense que les 30 femmes qui sont bénéficiaires du projet, c'est les 30 familles qui sont bénéficiaires. Parce que chaque femme est une famille. Et c'est 34 communautés qui sont bénéficiaires. Et je pense que c'est la région de Morty qui sont bénéficiaires du projet. Les 30 bénéficiaires du projet en activité génératrice de revenus étaient répartis selon les piliers, choisis par les femmes elles-mêmes. Et les piliers étaient transformation d'agroalimentaire, prestage et l'agriculture de services, et fabrication de savons liquides et morceaux, coupe-couture et teinture. Et je pense que le nombre était vraiment juste. Parce que c'était non seulement avec les femmes et avec les filles. C'est important d'impliquer les filles dès à bas âge. Parce que ça nous permet de prendre le remède à pied. Et l'intégralité de la femme est quand même représentée. Quand on parle de la femme, c'est la femme et la jeune femme, et la jeune fille. Et les procès bénéficiaires étaient de 12 à 40, 50 quand même parce qu'il y a eu des exceptions. Et venant des sites de déplacés officiels. Et je pense que c'est les gens qui se sont déplacés à cause du conflit. Partout dans le centre et dans le nord. Et dans les communautés à Morty, c'est les femmes qui sont les plus intéressées. Le projet Rucafevec a été très bénéfique pour moi. Car il m'a permis d'apprendre à faire du savon pour la vente. Et ainsi générer des revenus. Ce qui permet de faire face à certains de mes besoins. Je remercie tous les partenaires pour leur accompagnement. Surtout le fait de nous avoir choisis afin que nous puissions bénéficier de cet accompagnement. Ça nous va droit au cœur. Quelqu'un qui aide une femme aide toute une famille. J'espère que d'autres actions vont suivre. Et que le projet ne va pas se limiter à tout ce qui a déjà été fait. Merci beaucoup. Ce projet Rucafevec est une très bonne initiative. Nous qui sommes au niveau de la promotion de la femme, de l'enfant et de la famille. Parce que ça cadre bien avec les priorités et les objectifs de l'état de manière. Oui, tout ce qui est question de protection. Tout ce qui est question d'autonomisation des femmes. Ce sont des priorités de l'état de manière. Et le projet effectivement va dans ce sens. Ça nous permet d'avoir des femmes. Qui ont un certain niveau de relèvement économique dans les différentes communautés. Donc nous remercions vraiment tous les acteurs impliqués dans ce projet. L'AMASAD du Royaume de Norvège comme de l'AVEC 112. Le cabinet ETHEN. L'Ecole des Maintiens de l'Afrique. Les différentes communes sur le moment. Au niveau de la lutte contre les combats. Nous avons 5 communes qui sont situées d'abord contre les combats. Mais nous pensons qu'après certaines dernières étapes dans le projet. Ce sera une nouvelle. On va ouvrir plus de communes. Plus grandes. Qui vont permettre d'obliger les personnes, les femmes. Pour la protéger activement. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Ce projet est venu nous trouver dans une situation de souffrance. Aider nos femmes, c'est nous aider nous tous. Ce projet est très bénéfique et nous souhaitons que cela perdure. Le projet a été un succès et nous l'apprécions grandement. La guerre nous avait contraintes à arrêter nos activités. Mais grâce à ce projet d'embauche, nous nous en sortons. Cela a été très bénéfique pour notre groupe de 52 femmes. En 8 mois, nous avons chacune réalisé un bénéfice de 32 000 francs CFA par participante. Nos remerciements vont aux donateurs et à tous nos partenaires du projet Recafévec. En tant que secrétaire administratif de l'association, nous remercions chaleureusement le projet Recafévec pour son soutien précieux et espérons sa continuité. Nous espérons que le projet Recafévec va perdurer. Je salue les membres du cabinet SN, les habitants de Norvège, l'école de maintien de la paix et le projet Recafévec. Merci infiniment pour votre aide. Bienvenue à Djené. Nous saluons le cabinet SN et la Norvège. Merci au projet Recafévec pour l'espoir et l'amélioration de notre mode de vie, bien qu'il reste encore beaucoup à faire. Les femmes ont énormément souffert de la guerre. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org Le projet Recafévec a été réalisé par la communauté d'Amara.org de la facilitation des activités de formation du projet Recafévec. Rappelez-nous trois éléments majeurs. Le premier, c'est que le projet Recafévec est une initiative développée par l'école de maintien de la paix et mise en œuvre dans sa partie facilitation-renforcement des capacités par l'école de maintien de la paix à travers le financement technique de l'œuvre de Norvège et l'accompagnement technique aussi dans le cadre de la mise en œuvre du projet par le cabinet SN. L'autre élément majeur, c'est que toutes ces capacités, toutes ces activités de formation ont été développées sous la base d'une expression des besoins des communautés elles-mêmes, avec qui nous avons eu des activités à travers des coordinations, des concertations pour savoir quels sont les besoins réels et quelles doivent être les compétences qui seront développées. Et c'est à l'issue de ça que des compétences comme celles relatives après ce développement du projet et la mobilisation du projet ont été identifiées, que la planification et la mobilisation sensibles aux gens ont été des compétences qui ont été identifiées, la planification et la gestion concertée sur les violences basées des gens ont été identifiées et enfin la prévention et la gestion des conflits communautaires ont été identifiées également. Pour ensuite développer ces activités de formation, elles se sont déroulées, articulées autour de huit zones prioritaires et parmi ces zones prioritaires, nous pouvons dénommer la région entre les Kayes, les Kunuku, Sikasso, Mopti, Somotu, Gao et les districts de Bamako. Et la stratégie qui a prévenu aussi dans la facilitation de ces cours et ces activités de formation a obéi à deux principes majeurs. Le premier principe c'est l'appropriation nationale, facilement à travers les langues locales et ensuite à travers aussi une contextualisation de l'ensemble des problématiques. Deuxième élément qu'il faut dire aussi, ça c'est le suivi. Le suivi de ces activités de formation a été un élément majeur, un objectif prioritaire dans le cadre de ce projet, en tout cas pour ce qui concerne l'école de métier de la paix, de manière à ce que les compétences qui ont été acquises par les différents participants puissent être mises en oeuvre automatiquement dès le retour au niveau des communautés à la base à travers les points focaux qui nous font ces activités, qui nous font des remontées ou des contraintes permanentes sur la mise en oeuvre de ces différentes activités. Et à ce jour, nous pouvons avec beaucoup de fierté, beaucoup d'humilité que ces activités de formation ont permis de renforcer les capacités de près de 1360 participants dont près de 70% sont des femmes et à travers 300 experts nationaux qui ont participé à la facilitation, au développement et à l'expertise justement de ces différents groupes. Et nous sommes très fiers en tant que partenaires techniques de mise en oeuvre de ce projet de Cap-Évêque dans sa partie renforcement des capacités et nous pensons que ce projet ne sera qu'une première dans la marche de nos communautés à s'approprier de la problématique locale et à travers aussi une mise en oeuvre de projets clairs, viables et soutenables. Ce projet a renforcé notre unité. Nous travaillons dans la paix, produisant et commercialisant du fonio. Les bénéfices nous permettent de scolariser les enfants et d'aider les familles. Les bénéfices nous permettent d'aider les familles. Les bénéfices nous permettent d'aider les familles. Les bénéfices nous permettent d'aider les familles. Les bénéfices nous permettent de scolariser les enfants et d'aider les nécessiteux tout en soutenant nos maris. Nous aspirons à davantage d'initiatives de ce genre au Mali. Ce projet nous a également formés sur la production de fonio sous différents emballages. Nous avons été formés grâce au projet. Nous produisons du fonio en sac de 50 kg et en sachet de 1 kg, ce qui facilite la commercialisation. Ce projet apporte de nombreux avantages, notamment en matière de salubrité. J'ai bénéficié d'une formation très instructive du projet Recafevec à Sicasso, à l'Institut Jean Bosco, dispensé par le colonel Aliu Bagayogo de l'École de maintien de la paix. Nous avons reçu de l'aide pour transformer le fonio récolté ainsi que du matériel. Nous souhaitons recevoir de l'aide pour construire un local de transformation sur un terrain que nous avons, car le local actuel ne nous appartient pas. Le projet Recafevec a énormément aidé les femmes ici à Kadjolo. Après les formations Recafevec, nous avons mis en place un projet d'initiative pour les femmes qui ont besoin d'aide. Le projet Recafevec a aidé énormément les femmes ici à Kadjolo. Après les formations Recafevec, nous avons mis en place un projet d'initiative pour les femmes qui ont besoin d'aide. Le projet Recafevec a aidé énormément les femmes ici à Kadjolo. Après les formations Recafevec, nous avons mis en place un projet d'initiative pour les femmes ici à Kadjolo. Le groupe de femmes qui dirige cette activité le fait avec intelligence et détermination. La formation leur a été très utile. Grâce à ce projet, nous avons généré de nouveaux emplois et sont maintenant en mesure de produire de la pâte d'arachide de haute qualité. La mairie est régulièrement en contact avec eux, est impliquée et reçoit régulièrement les rapports d'activité de ces femmes. Nous souhaitons que ce projet continue, qu'ils s'inscrivent dans la pérennité et nous remercions infiniment tous les partenaires et acteurs du projet Recafevec. Nous sommes une trentaine de femmes de Kadjolo à avoir bénéficié de cette formation Recafevec ici à Sicasso, puis avons reçu un financement après la mise en place du projet. Nous produisons de la pâte d'arachide que nous commercialisons à un prix abordable, en deçà des prix du marché, afin de rendre nos produits accessibles à tous. Nous avons réuni différents regroupements de femmes pour créer notre association. Nous sommes sept au conseil et plus de trente membres au total. Nous avons acquis de nombreux équipements de production. Grâce à cette activité, nous avons généré de bons revenus et cela a participé positivement à l'activité économique de notre communauté. Nous espérons que cette belle initiative sera étendue à d'autres, pour que le plus grand nombre puisse en bénéficier. Ce projet nous a sortis du chômage. Nous produisons la pâte d'arachide la plus hygiénique de Kadjolo. Nous avons acquis un terrain grâce au soutien de la mairie et souhaitons un accompagnement pour y construire un local, pour mener d'autres activités et aider encore plus de femmes à sortir du chômage. Nous travaillons dans l'entente et la bonne humeur et espérons recevoir davantage d'aide si possible. Nous sommes un regroupement de trois associations oeuvrant dans le même domaine. Nous transformons les amandes de carité en beurres de carité. C'est ainsi que nous avons découvert Recafevec, notre première formation concernant le comportement au sein d'une communauté et la confiance en soi dans le travail. Nous avons travaillé avec plusieurs associations, notre première formation concernant le comportement au sein d'une communauté et la confiance en soi dans le travail. Nous avons beaucoup bénéficié de ce projet, notamment par l'augmentation de notre production et l'acquisition de plus de matériel de travail. Notre requête est la prolongation du projet, plus de matériel et de locaux. Ce projet a permis d'apaiser des conflits et de rassembler les habitants afin qu'ils collaborent ensemble. Autrement dit, au-delà des renforcements de capacités et des sources de revenus supplémentaires qu'il a permis de générer, le projet Récafevec a permis d'améliorer le comportement et la confiance en soi dans le travail. Le projet Récafevec a permis d'améliorer le comportement et la confiance en soi dans le travail. Le projet Récafevec a permis d'améliorer le comportement et la confiance en soi dans le travail. Le projet Récafevec a permis d'améliorer le comportement et la confiance en soi dans le travail. Le projet Récafevec a permis d'améliorer le comportement et la confiance en soi dans le travail. Le projet Récafevec a permis d'améliorer le comportement et la confiance en soi dans le travail. Le projet Récafevec a permis d'améliorer le comportement et la confiance en soi dans le travail. 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Après la formation Récafevec, nous avons créé cette association. Nous avons bénéficié d'un financement et d'un accompagnement technique et matériel de la part du cabinet ESSEN, ce qui nous a permis de produire les articles en cuir que vous voyez. Cela a contribué à générer des bénéfices qui nous ont aidés à scolariser les enfants, à subvenir à nos besoins et à apporter de l'aide à nos frères restés dans notre région. Nous avons participé à des foires dans différentes régions du Mali. L'association compte 50 personnes, dont 49 femmes et un homme. Notre production est passée à un article par personne, à une vingtaine de produits par personne. Nous remercions le cabinet ESSEN pour son encadrement, notamment Fatima Maïga pour son aide. Nous ne cesserons de remercier l'ambassade de Norvège et l'école de maintien de la pêche. Sous-titrage Société Radio-Canada

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