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The fighting continues along the entire contact line. Azerbaijani armed forces are advancing and targeting civilian infrastructure. The Defense Army of Artsakh is resisting. Yesterday's Azerbaijani attack resulted in 138 injuries, including 29 civilians. There have been 27 fatalities, including one child. The town of Yertsaor was directly targeted, and its residents are completely surrounded. Over 7,000 civilians have been evacuated from certain regions of Artsakh. Azerbaijan is willing to meet with representatives of Artsakh in Evlak, but they demand that all illegal Armenian armed groups, referring to the Artsakh armed forces, surrender their weapons and dissolve the illegal regime. Otherwise, the counterterrorism measures will continue. The Armenian Prime Minister, Nikol Pashinyan, had a phone conversation with French President Emmanuel Macron, who announced an urgent UN Security Council meeting for tomorrow. Pashinyan also spoke with US Secretary of State Antony Blinken about the A Les combats se poursuivent tout au long de la ligne de contact. Les forces armées azerbaïdjanaises poursuivent leur avancement, ciblant entre autres les infrastructures civiles. L'armée de défense du Haut-Karabakh résiste obstinément. Selon les données officielles du Haut-Karabakh, l'attaque azerbaïdjanaise d'hier, 19 septembre, a déjà fait 138 blessés, dont 29 civils. Le nombre de victimes, quant à lui, s'élève à 27, dont un enfant. La commune de Yertsaor, dans la région de Chouchi, comptant environ 150 habitants, a été la cible directe de l'Azerbaïdjan. Selon le défenseur des droits de l'homme de l'Artsakh, Gheram Stepanyan, les habitants sont totalement encerclés. Il note également que plus de 7000 civils ont été évacués de certaines régions du Haut-Karabakh. L'Azerbaïdjan se dit prêt à rencontrer les représentants du Haut-Karabakh à Evlak, selon le bureau du président de l'Azerbaïdjan. Il indique, cependant, pour mettre un terme aux mesures antiterroristes, les groupes armés illégaux arméniens, nous parlons des forces armées du Haut-Karabakh, doivent remettre toutes leurs armes et le régime illégal doit être dissous. Dans le cas contraire, les mesures antiterroristes se poursuivront jusqu'au bout, indique le comité de presse du bureau du président azerbaïdjanais. Le premier ministre arménien, Nikol Pashinyan, a quant à lui eu un entretien téléphonique avec le président français, Emmanuel Macron. Ce dernier informe qu'en raison de la situation, une réunion urgente du conseil de sécurité de l'ONU devra se tenir demain, le 21 septembre. Nikol Pashinyan s'est également entretenu avec le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, au sujet de l'attaque de l'Azerbaïdjan sur le Haut-Karabakh ce mardi 19 septembre. L'attaché de presse du président russe a, lui, déclaré que l'armée russe tentait de relancer les processus politico-diplomatiques. En effet, Andrei Kartapolov, président du comité de défense de la Douma, souligne que les soldats de maintien de la paix de la Fédération de Russie stationnés au Haut-Karabakh ne peuvent pas recourir à l'utilisation d'armes à feu tant que leurs vies ne sont pas en danger. Hier 19 septembre, l'Arménie a fait appel à la Cour européenne des droits de l'homme en demandant l'application d'une mesure provisoire afin d'éviter la perte irréversible des droits de la population civile du Haut-Karabakh suite à l'agression à grande échelle déclenchée par l'Azerbaïdjan. Josep Borrell appelle l'Azerbaïdjan à mettre un terme aux opérations militaires menées à grande échelle depuis le 19 septembre dans les diverses régions du Haut-Karabakh. Le Parlement européen a appelé l'Union européenne à revoir ses relations avec l'Azerbaïdjan et à envisager l'imposition de sanctions. L'ancien secrétaire général de l'OTAN, Anders Fock Rasmussen, a déclaré que la communauté internationale devrait pousser l'Azerbaïdjan à arrêter immédiatement ses opérations militaires. S'il refuse, des sanctions devraient être appliquées, a-t-il précisé. Selon le chancelier allemand Olaf Scholz, le gouvernement de Bakou devrait immédiatement cesser les attaques et revenir à la diplomatie pour trouver une solution pacifique. La Belgique, elle, suit avec inquiétude les événements du Haut-Karabakh. La ministre belge des Affaires étrangères, Adja Labib, appelle à une désescalade et à une solution politique soucieuse du bien-être de la population. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a exprimé son plein soutien à l'Azerbaïdjan depuis la présidence de l'Assemblée générale des Nations Unies. Il a déclaré que la Turquie attend de l'Arménie avant tout l'ouverture du corridor de Zangezour. Après l'information sur l'agression à grande échelle de l'Azerbaïdjan, une action de masse a été lancée près du bâtiment du gouvernement arménien, dont les participants ont demandé aux autorités d'empêcher la guerre qui a éclaté en Artsakh. Les participants à la manifestation exigent la démission du premier ministre de la République d'Arménie, Nikol Pashinyan. Selon eux, c'est seulement dans ce cas qu'il sera possible de sauver le Haut-Karabakh et l'Arménie. Des dizaines de citoyens ont également manifesté pacifiquement devant l'ambassade de la Fédération de Russie en République d'Arménie, appelant à empêcher l'agression militaire à grande échelle de l'Azerbaïdjan, qui a commencé hier 19 septembre. Les participants à l'action ont décidé de maintenir la sortie du bâtiment bloqué jusqu'à ce que leur rendement d'indication soit entendu. L'Organisation de défense des droits humains Freedom House a fermement condamné l'attaque de l'Azerbaïdjan contre la population du Haut-Karabakh, soulignant que toute tentative visant à modifier la situation démographique de la région est illégale et inacceptable. Nous continuerons à suivre l'évolution des événements et vous tiendrons informés sur belgarai.