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Armenolobby avec Anna Hovsepyan

Armenolobby avec Anna Hovsepyan

Belga HayBelga Hay

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Anna Hovsepyan, l’Arménolobbyiste du mois de décembre! Aujourd'hui, sur BelgaHay, à 15h et mercredi à 11h. Sur audio.com, spotify et youtube à partir de mercredi. Que faire face au chaos qui se répand aux frontières de l’Europe ? Que peut faire chacun de nous, par exemple, pour une politique européennes qui favorise la survie de l’Arménie et le retour des Arméniens au Karabakh? Aujourd’hui, Armenolobby invite une membre de la Communauté arménienne, qui a eu une idée et qui l’a mise en oeuvre.

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Armène Lobby is a radio show that focuses on politics and media. The host introduces a guest, Anna Hovsepian, a student in political science who has joined the Young MR party. They discuss the importance of political involvement and Anna's recent initiative to foster connections between Armenian and Azerbaijani youth. They held a meeting to discuss the conflict and the Azerbaijani participants expressed their desire to establish relations with Armenian youth. Anna believes it is difficult to establish economic relations between Armenia and Azerbaijan due to their governments' differences. However, she sees value in exchanging ideas and perspectives with Azerbaijani youth. She is not afraid of being manipulated and believes in the importance of dialogue. Armène Lobby, votre émission avec Nicolas Tavitian et ses invités, tous les lundis à 15h et les mercredis à 11h. Retrouvez également tous les numéros d'Armène Lobby en podcast sur l'application Belga High pour smartphone. Pour ce faire, rendez-vous sur Play Store ou Apple Store et téléchargez gratuitement l'application Belga High pour votre téléphone Android ou iPhone. Bonjour et bienvenue sur Armène Lobby, l'émission qui s'intéresse à la politique et aux médias. Aujourd'hui, j'ai le grand plaisir de vous présenter une invitée d'un type nouveau. Nous avons déjà entendu sur Armène Lobby des politiques, des experts et quelques représentants arméniens. Vous vous souviendrez, lors d'une dernière émission, nous avons entendu par exemple Kaspar Karampetian de la Fédération euro-arménienne pour la justice et la démocratie. Mais que peuvent faire quelques représentants associatifs à eux seuls ? L'erreur des Arméniens est souvent, et a été longtemps, de traiter la politique comme une activité symbolique, quelque chose dont on parle mais qu'on ne fait pas vraiment, et en tout cas pas sérieusement. Dans nos sociétés démocratiques, les questions qui nous préoccupent ne peuvent avancer. Elles ne peuvent avancer que si chacun s'y met, que chacun parle à ses représentants politiques, qu'ils ou elles rejoignent un parti et se présentent aux élections. Et voici justement quelqu'un qui agit, Anna Hovsepian, qui est avec nous aujourd'hui, est étudiante en sciences politiques. Elle a rejoint les jeunes MR cette année et elle a pris une initiative tout récemment que je lui ai demandé de venir expliquer sur Belgarraï et je lui ai demandé de parler de ces activités plus généralement. Anna, merci d'avoir accepté notre invitation et bienvenue sur Belgarraï. Merci beaucoup, je vous remercie monsieur Nicolas Tamitian ainsi que la radio Belgarraï pour l'invitation, c'est un honneur pour moi. C'est un plaisir et un honneur pour nous. Anna, tu es étudiante, n'est-ce pas ? Est-ce que je voudrais commencer par parler un tout petit peu de toi avant de passer aux choses sérieuses. Tu as fait des sciences politiques notamment. Parle-nous de ton parcours, de ton parcours d'étudiant et puis de ton projet, de tes ambitions. Alors, je suis diplômée d'un bachelier en droit, donc j'ai étudié le droit à l'hôte école EFEC et maintenant je fais un master en sciences politiques à l'université libre de Bruxelles. A côté de ça, je travaille en temps plein, donc j'essaie de combiner études et vie professionnelle en même temps. Félicitations. Et ton projet, quelles sont tes ambitions pour l'avenir ? Actuellement, je suis également active en politique, donc comme vous l'avez mentionné, j'ai rejoint les Jeunes et Mères, on essaye d'être actif au niveau de la vie politique communale, donc pour mon cas, c'est la commune de Ganseron, on fait des activités au sein de la commune de Ganseron et puis également dans Bruxelles. Extra-formidable, je suis sûr qu'on aura l'occasion d'en parler davantage. Alors, vendredi dernier, je crois que c'était bien vendredi dernier, les Jeunes du MR, donc les Jeunes et Mères ont organisé une petite rencontre informelle autour de la question du nettoyage ethnique qui a eu lieu au Carabas, dans le Haut Carabas. Est-ce que tu peux nous expliquer de quoi il s'agit et comment ça s'est déroulé ? Alors, le but de cet événement, c'était d'organiser un débat autour d'une table, mais pour parler calmement de ce conflit. Donc, il y a eu des personnes issues de la communauté azerbaïdjanaise qui ont été invitées, ainsi que moi, et nous avons eu l'occasion d'échanger à ce sujet. J'ai écouté leur avis, on a également partagé nos avis. Les membres des Jeunes et Mères ont pu poser des questions parce que c'est sûr qu'un conflit géopolitique, c'est toujours assez compliqué à comprendre. Donc, c'est également l'occasion pour les jeunes de comprendre un peu mieux ce conflit. Voilà, nous avons échangé et on a fait connaissance avec la communauté azerbaïdjanaise, les Jeunes azerbaïdjanais, qui également voulaient faire connaissance avec la communauté arménienne de Belgique. Et à ton avis, quel a été le contenu des discussions ? De quoi vous avez parlé de manière plus précise ? Alors, au début, on a remis un peu le contexte sur place, on a un peu expliqué le conflit, et ensuite, la communauté azerbaïdjanaise m'a fait part de leurs envies de créer des relations entre la jeunesse azerbaïdjanaise et la jeunesse arménienne, tout d'abord en Belgique, et puis peut-être viser la jeunesse arménienne en Arménie et la jeunesse azerbaïdjanaise en Azerbaïdjan. Donc, leur but, c'est vraiment de créer des relations entre Arméniens et Azerbaïdjanais, pour ensuite créer également des relations économiques, des relations politiques, dans un bon terme, bien évidemment. Alors, pour être précis, si j'ai bien compris, les participants azerbaïdjanais sont des étudiants d'Azerbaïdjan en Belgique ? Tu parlais d'une communauté azerbaïdjanaise en Belgique, ce ne sont pas des gens de Belgique ? Non, non. Les personnes qui étaient présentes, ce sont des Azerbaïdjanais issus de l'Azerbaïdjan qui travaillent actuellement à Bruxelles. Oui. Et au niveau du contenu de la discussion, alors ? Donc, tu as dit, l'idée, c'est d'établir, ça, c'est leur espoir, d'établir des relations avec les Arméniens, et donc vous avez des perspectives de rencontres ultérieures ? Vous allez donner suite à cette réunion ? Oui. Actuellement, on rentre bientôt dans la période du blocus, donc c'est un peu difficile de mettre en place des événements entre jeunes pour le mois de décembre, mais à partir du mois de février, nous allons peut-être organiser un événement pour tout d'abord échanger entre les Arméniens et les Azerbaïdjanais, pour voir un peu, est-ce qu'on peut donner une suite à ça, et voir un peu les avis également des autres personnes. Oui. Et alors, quel était ton, toi tu as fait une présentation, alors qu'est-ce que tu as, qu'est-ce que tu as dit, quel était ton point de départ dans cette réunion ? Alors, mon point de départ, et comme je l'ai répété maintes fois, selon moi, il est très difficile actuellement de rétablir des relations économiques entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Donc, c'est une bonne initiative d'essayer d'établir des connexions entre la jeunesse, mais à un point national au niveau de l'Arménie et de l'Azerbaïdjan, je pense que c'est impossible. On peut essayer d'organiser des événements pour la jeunesse, mais je sais que c'est un peu compliqué d'établir des relations économiques entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie, donc je ne sais pas si ces événements qu'on va essayer d'organiser avec la jeunesse azerbaïdjanaise va réellement servir à quelque chose. C'est leur but premier, ils prennent des valeurs de l'Europe, ce qui est très bien, mais leur gouvernement ne prône pas les valeurs de l'Europe, donc pour le moment, c'est une peine perdue. Tant que leur gouvernement sera tel qu'il est, c'est une peine perdue malheureusement. Alors, si c'est une peine perdue, à quoi sert d'organiser ce type de rencontres ? C'est toujours important de voir la dynamique de la jeunesse, de pouvoir échanger avec les autres jeunes, même pour notre propre réseau, c'est toujours très intéressant de voir leurs avis. Donc, on peut tout d'abord organiser des événements pour échanger avec eux et puis par la suite, voir ce que ça peut donner. Alors, je voudrais évacuer une question. Donc, tu n'as pas peur d'être. C'était ton initiative, cette réunion. Alors, mon initiative de base était de faire entendre la cause arménienne, donc parler du conflit au Karabakh, de Artsakh et malheureusement, à chaque fois, on reportait. Je voulais faire des vidéos sur les réseaux sociaux, mais on reportait, on reportait et on reportait et au final, on m'a proposé cette occasion d'échanger durant une table ronde avec des jeunes azerbaïdjanais. Donc, de ce que j'ai compris, c'est pour garder une certaine neutralité parce que si je parlerais au nom de l'Arménie, je ne garde pas une certaine neutralité. Donc là, j'ai pris l'occasion et je me suis dit c'est la bonne occasion pour faire entendre notre cause. Oui, alors ce que j'allais dire, j'ai commencé une phrase tout à l'heure en disant tu n'as pas peur, c'est à dire tu n'as pas peur d'être instrumentalisé. Justement, maintenant que le nettoyage ethnique est réalisé, maintenant que l'opinion, non seulement l'opinion publique, mais surtout l'opinion des décideurs européens, s'est retournée contre l'Azerbaïdjan, de servir un peu à blanchir l'Azerbaïdjan, à dire finalement il y a une discussion, on va trouver, on va trouver une porte de sortie. Normalisons la situation. Tu n'as pas peur de ce genre de manipulation? Non, je n'ai pas peur de ce genre de manipulation parce que dès le début, j'avais mon avis que si on a un dictateur qui est au sein du gouvernement, on ne peut pas avoir de relation avec ce gouvernement et mon avis ne change pas. Donc voilà, maintenant, j'acceptais. J'acceptais d'avoir une discussion avec ces jeunes là parce que je comprenais les valeurs qu'ils prenaient et ce sont des valeurs importantes qu'ils avaient et ils disaient la vérité. Ils étaient également contre leur propre gouvernement. Donc, c'était un échange très intéressant qu'on a eu avec ces jeunes là. Tu dis, ils étaient contre leur gouvernement. De quelle manière? Qu'est ce qu'ils ont dit? Sur quel point? Ils ne le cachaient même pas. Ils le disaient ouvertement qu'ils sont contre le gouvernement azerbaïdjanais. Ils savent que c'est une dictature, c'est une dictature qui dure depuis 2003 et même avant. Donc, ils sont au courant que leur gouvernement est une dictature et ils précisaient tout le temps qu'ils ne représentent pas leur gouvernement. Ils sont contre leur gouvernement. Ils sont contre ce qu'ils font aux Arméniens également. Donc, même maintenant, ils sont contre tout cela. Et donc, quelle voie de sortie? Quelle issue? Tu as parlé des relations économiques, mais ça dépend pas de ça. Dépend pas des étudiants en Belgique. Les relations économiques à quelle issue? A quel à quel progrès est ce qu'une initiative en Belgique pourrait contribuer de ce point de vue là? Donc. Avant de recontextualiser les choses, je ne suis pas non plus en faveur de rétablir les relations entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. C'est plutôt leur initiative. Moi, je maintiens mon point de vue que pour moi, ce n'est pas possible. Maintenant, eux, de leur côté, je sais qu'ils essayent d'être actifs au sein des institutions européennes. Ils essayent d'écrire des amendements pour, justement, aller à l'encontre de leur propre gouvernement et lorsqu'ils réussiront à aller à l'encontre de leur propre gouvernement, peut être qu'à ce moment là, on pourra rétablir des relations économiques avec l'Arménie. D'accord, donc c'est à cause de leur positionnement actif, progressiste, y compris par rapport à leur propre gouvernement, qu'ils sont crédibles dans un dialogue avec les Arméniens. Exactement, oui, c'est sûr. Alors, il y avait d'autres gens à la réunion. Pas seulement les étudiants azéries et les étudiants arméniens. Il y avait d'autres participants à la réunion. Comment est ce qu'ils ont réagi? Qui était il? Alors, les jeunes qui étaient présents, ce sont des jeunes membres du jeune émère qui ont eu l'occasion de poser des questions et qui ont dit qu'un conflit comme le conflit du Haut-Karabakh, c'est un conflit qui est assez compliqué à comprendre. On voit souvent des postes sur les réseaux sociaux. On voit des interviews à la télé, mais c'est vrai que les racines de ce conflit sont compliquées à comprendre à chaque fois. Certaines personnes se disent mais pourquoi ça se passe comme ça? Mais pourquoi vous ne pouvez pas tout simplement vivre en paix? Et donc, c'était l'occasion de leur expliquer pourquoi on ne peut pas vivre en paix. Ils ont compris d'un point de vue global. Je pense qu'ils ont compris. En tout cas, je l'espère, mais je suis toujours là pour répondre à leurs questions si jamais ils ont des incompréhensions. Et donc, tu as dit vous allez voir après le blocus pour la suite, pour ce que vous allez voir ensuite. Mais tu as sûrement une petite idée. Qu'est ce que dans quelle direction est ce que toi, tu voudrais que ça aille? Qu'est ce que le parti surtout pourrait faire sur ces questions là? Alors le parti, selon moi, il devrait être un peu plus actif à ce sujet. Il y a certains conflits géopolitiques qui prennent plus de place. Ils font plus de bruit sur certains conflits que sur le conflit du Haut-Karabakh. Je pense que c'est à nous, à la communauté arménienne, de mettre en avant notre cause. Donc, ici, comme je suis de la communauté arménienne, j'essaie de mettre en avant l'Arménie. J'essaie de mettre en avant les problèmes géopolitiques qu'on connaît chez nous. Donc, voilà. Heureusement, on a également des personnes politiques très actives issues de la communauté belge, comme on a cité Michel Demacht, qui, lui, est très active pour la cause arménienne. Et voilà le reste. C'est à nous, à la jeunesse, de faire. On est jeune, on est dynamique, on fait des études, on fait des activités. Donc, c'est à nous d'entreprendre et de mettre en avant notre cause, surtout ici, en Belgique. Oui, on a d'ailleurs entendu Michel Demacht à cette entête au début de l'année. Est-ce que tu es à l'ULB, si je ne me trompe pas, ou il y a l'association Hayasa? Est-ce que tu as l'intention de les impliquer dans ces initiatives? Pour le moment, comme c'est plutôt une initiative de jeunes qui est venue de la jeunesse qui était présente lors de cet événement, c'est plutôt des événements qu'on va organiser entre jeunes. En premier lieu, pour voir donc si j'organise quelque chose, ce sera sûrement avec la jeunesse arménienne, donc les étudiants arméniens de l'université, que ce soit l'Université libre de Bruxelles ou la KUL, tant que ce sont des étudiants et qui sont ouverts pour échanger, pour écouter leur avis et s'instruire de plus à ce sujet. Oui, mais comment s'appelle l'association des étudiants? Naïliane, à l'ULB, c'est Naïliane. Oui, et donc c'était d'eux que je parle, tu vas les impliquer? Pourquoi pas? Je vais leur en parler et après, s'ils sont intéressés, on peut organiser un événement. Pourquoi pas? Pour le moment, on n'a encore rien organisé puisque, comme je l'ai dit, c'est le blocus. On rentre bientôt dans la période de blocus. Donc après, peut être. Pourquoi pas? Est ce que tu penses que le MR est un parti prometteur pour travailler sur les causes arméniennes? D'un point de vue global, oui, parce qu'on a déjà Michel Demacht qui est très, très, très actif pour la cause arménienne et qui met en avant notre cause. Maintenant, le reste, c'est à nous de le mettre en avant. Je suis jeune. Je suis issue de la communauté arménienne. Donc, si je peux mettre en avant notre cause, notre communauté, je vais le faire. Alors, un parti, c'est pas seulement une cause. Si tu es. Je sais que tu n'as pas adhéré au parti en tant que tel. Tu as adhéré aux jeunes et maires. Pourquoi? Pourquoi les jeunes et maires? Plutôt plutôt que les jeunes, les jeunes écologistes et jeunes socialistes, les jeunes, les jeunes engagés, que sais-je? Alors, d'un point de vue global et les valeurs libérales que prône le M.R. me sont très familières et me sont très proches. Donc, le M.R. est le parti dans lequel je me vois le plus. Je m'associe le plus. Pourquoi les jeunes et maires? Les jeunes et maires, c'est un groupe qui est très, très, très actif politiquement parlant, mais pas seulement. On fait des connaissances, on se fait un réseau. On a l'occasion d'apprendre beaucoup de choses. Il y a énormément d'événements qui sont organisés. Par exemple, ce soir, il y a un événement sur le bien-être animal. C'est toujours des sujets très divers, très actuels et qui sont très intéressants. Donc, voilà, je ne regrette pas mon choix. Je ne regrette pas d'avoir intégré les jeunes et maires. J'en apprends tous les jours. J'ai l'occasion de rencontrer beaucoup de monde. Et voilà. Et donc, il y a donc tu tu tu suis ces différents événements et tu es actif sur actif sur d'autres dossiers. Dis moi, donne moi une ou deux autres causes qui te tiennent, qui te tiennent à cœur au MR, des dossiers que tu suis ou qui t'intéressent particulièrement. Comme tu parlais de la cause animale, par exemple. De mon point de vue, c'est pas vraiment des sujets qui sont forcément élaborés au sein du MR, mais les conflits géopolitiques, ce sont des sujets qui m'intéressent énormément, pas que le conflit au Carabar. Mais tous les conflits géopolitiques sont des sujets qui m'intéressent. Les droits des enfants. Je suis très attachée aux droits des enfants. Pour moi, c'est très important de mettre en avant les droits des enfants. Donc, voilà. D'accord. Alors, on va parler. On va parler un petit peu de la suite de l'avenir. Il va y avoir des élections en octobre 2024. Des élections communales. Est ce que tu vas être candidate? Alors oui, je vais être candidate sur la liste communale de Ganseron. Donc pour Ganseron, puisque j'habite à Ganseron. On a déjà commencé notre campagne. On la commence petit à petit. C'est vrai que j'ai une année qui va être très, très, très chargée, comme en journée, je travaille le soir, j'étudie. Faire une campagne très active, c'est un peu compliqué. Mais voilà, je m'accroche et on essaye et on fait de notre mieux. Oui, la campagne, on n'y est pas encore tout à fait. On n'y est pas, mais on se prépare. Je crois qu'on soumet officiellement les candidatures deux mois avant. Quelque chose comme ça. Oui, mais il faut être prêt. Et donc, tu es active dans la locale à Ganseron? J'essaie, j'essaie par rapport à mon programme. J'essaie d'être actif à mon niveau. Voilà. Écoute, on te souhaite en tout cas, bonne chance dans tout ton parcours au jeûne et maire dans la locale à Ganseron, puis surtout aux élections. Mais je suis sûr qu'on aura l'occasion de se reparler d'ici le mois d'octobre. Merci beaucoup. Mais écoute, Anna, merci infiniment pour ton initiative et d'être venu jusqu'à jusqu'à nous à Belgarhaï pour nous en parler. Je suis certain que nos auditeurs se joignent à moi pour te souhaiter bonne chance dans tous tes projets et tous ceux dont tu as parlé aujourd'hui et puis les autres. Et voilà, c'est tout pour cette fois ci, donc pour cette émission. J'espère que notre rencontre avec Anna vous aura intéressé et qu'elle vous aura donné aussi des idées sur ce qu'on peut faire pour faire avancer les choses. Et surtout, j'invite tous ceux qui, comme Anna, ont réalisé des activités de sensibilisation auprès du monde politique ou bien auprès du grand public à me contacter et à venir témoigner eux aussi. Pour la prochaine émission, nous parlerons des activités de la Fédération Wallonie Bruxelles dans les écoles. C'est tout à fait passionnant et je vous attends donc très bientôt sur Belgarhaï. Donc à la prochaine émission. Merci. Armez le lobby, votre émission avec Nicolas Tavitian et ses invités tous les lundis à 15 heures et les mercredis à 11 heures. Retrouvez également tous les numéros d'Armez le Lobby en podcast sur l'application Belgarhaï pour smartphone. Pour ce faire, rendez-vous sur Play Store ou Apple Store et téléchargez gratuitement l'application Belgarhaï pour votre téléphone Android ou iPhone.

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