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100 ans de parcours Viktorya Muradyan

100 ans de parcours Viktorya Muradyan

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The transcription is about the Armenian community in Belgium and their contributions to strengthening their community. It features an interview with Victoria Mouradian, a specialist in political science and European institutions. She discusses her background, her work in Brussels, and the opportunities she has had to address Armenian issues. The discussion also touches on the relationship between Armenia and the European Union. La communauté des Arméniens de Belgique à 100 ans, qui sont les gens qui vivent à nos côtés ? Quels sont leurs métiers et comment contribuent-ils à renforcer leur communauté ? A la pause du centenaire, Armine Harayan et Nicolas Tadician vont faire la découverte des parcours de toutes ces personnes. Ce sont nos invités eux-mêmes qui choisissent les invités de l'émission suivante. Ecoutez l'émission 100 ans de parcours arménien en Belgique sur la radio Belgarhaï tous les mardis et vendredis à 18h30. Aujourd'hui nous avons le grand plaisir d'accueillir quelqu'un qui est originaire de Yélévan et qui habite à Bruxelles, qui est spécialisé dans le domaine des sciences politiques des institutions européennes, j'ai nommé Victoria Mouradian. Nous allons commencer par vous raconter à qui vous êtes et d'où venez-vous. Je suis de Yélévan, je suis de l'armée arménienne, je n'ai pas beaucoup de connaissances, parce que je n'ai pas vu mon grand-père et je ne me souviens pas du nom de ma tante. J'ai l'impression qu'il y a plus d'une décennie que je n'ai pas été intéressée par mon grand-père. Mais aujourd'hui, je me rapproche beaucoup de mon grand-père. Mon grand-père est de Aparan et vient de la ville de Getahovit, dans la province de Tavush. Je pense que c'est peut-être la plus chaleureuse chose pour moi, quand on me dit qu'on va à la ville, c'est à Getahovit. Chaque année, je me demande à quel point on doit y aller. C'est différent d'un endroit à l'autre, la nature est différente. En ce moment, je travaille à Bruxelles, en tant qu'investisseur de l'Assemblée libéral-démocrate du Parlement européen, et en tant qu'administrateur général de l'Assemblée européenne, j'ai été coordonnée par l'Assemblée européenne au cours des dernières années. J'ai aussi été coordonnée par l'Assemblée carabino-africaine et l'Arménie. Mais cette année, j'ai été coordonnée par un plus grand nombre d'administrateurs européens. Si on peut faire un pas en arrière, explique-nous comment tu es arrivée à Bruxelles, comment tu as pris la décision de venir à Bruxelles, qu'est-ce qui t'a attirée ici et comment s'est passée la transition ? Je suis arrivée à Bruxelles en tant qu'administrateur général de l'Assemblée européenne. Mais ensuite, la COVID-19 est arrivée et tout s'est déroulé. J'ai reçu de grandes critiques professionnelles. J'ai compris que l'année allait être meilleure, j'ai appris de plus en plus de travail, j'ai fait des choix et je suis restée à Paris, ce qui était très difficile. Heureusement, j'ai reçu un soutien de l'Université de Paris cette année, qui m'a donné l'opportunité de changer de quartier dans le domaine de l'intermédiaire et de l'administration. C'est ainsi que j'ai reçu ce soutien et j'ai décidé de rester à Bruxelles. Si nous retournons à la question du travail, depuis quand as-tu eu l'opportunité, grâce à ce travail, d'adresser les questions d'Arménie, des questions concernant l'Arménie, ou de les présenter ? En termes d'opportunités personnelles, dans le domaine de l'intermédiaire, je parle souvent de l'Arménie, de notre culture, de notre histoire, de l'Amazigh, du Parajanov, du Polonais, mais dans ce domaine, c'est bien sûr plus facile de présenter le pays d'où tu viens. Mais bien sûr, comme Bruxelles est le centre, j'ai eu l'opportunité de participer aux événements, non seulement en ligne, mais aussi, par exemple, dans le Parlement, à des rencontres de différentes comités, de voir des gens qui travaillent sur les thèmes arméniens. J'ai eu l'opportunité d'entendre ce qu'ils pensent de leur situation et de leurs propositions pour nous. Mais peut-être... J'ai aussi eu l'opportunité de m'approcher, de demander, peut-être d'expliquer ce que j'ai fait, parce que c'est plus difficile pour les médias d'entendre, l'information est contraire, c'est plus difficile pour les gens d'entendre. Mais le secteur principal dans lequel travaille l'Arménie, l'Arménie en présence, n'est rien. C'était l'année dernière le correspondant européen qui m'a donné l'opportunité d'accueillir des membres de l'équipe et d'apporter des informations objectives à l'Europe, parce qu'il y a un grand déficit entre Bruxelles et d'autres pays en termes d'informations objectives On a oublié de prévenir nos auditeurs que l'émission d'aujourd'hui se ferait principalement en arménien, mais la seule composante de français ce sont mes questions aujourd'hui. Alors, la question suivante concerne les institutions européennes. Comme tu le disais, comme tu l'expliquais, tu es au cœur même des institutions européennes. Est-ce qu'il n'y a pas d'institutions européennes qui sont présentes au collège de Bruges ? Donc tu es la bonne personne à qui poser la question suivante qui est, quel est le destin de l'Arménie en Europe ? Est-ce qu'un jour l'Arménie rejoindra l'Union Européenne ? Est-ce qu'elle devrait rejoindre l'Union Européenne ? C'est quoi l'Europe pour l'Arménie ? L'Europe, on parle l'institutionnelle, pas le continent, l'Union Européenne et le reste. La réponse à cette question n'est pas très objective pour moi car je travaille en ce moment pour l'Union Européenne et je représente l'Arménie non pas en tant que députée, bien sûr, mais la première question que je dois... Je pense qu'à ce moment-là, si je n'ai pas parlé, il y aura un peu d'inquiétude. Ce n'est pas une première question pour moi, mais il y a toujours des possibilités pour améliorer, mais nous avons des questions plus importantes. Tout d'abord, notre société ne sait pas ce qu'elle veut. Si nous prenons par exemple les scéptiques européens et les experts de l'Arménie, je pense que nous avons la réponse. Par exemple, les États-Unis ne sont pas totalement occupés par la Russie, mais ils continuent d'avoir confiance en l'Union Européenne. Nous n'avons pas encore ce niveau d'inquiétude, nos adversaires, nos collègues sont en train d'être détruits. Deuxièmement, il y a une différence entre l'Union Européenne et l'Arménie. L'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne et l'Arménie n'est pas contre l'Union Européenne մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է մենք պետք է հասարակությունը դեռ պատրաշ չէ անդամագրվելու Եվրոմիությանը, անդամապես մտատելու է դուղությամբ, որ տեղից պետք է սկսել, ոնձ պետք է անել, որպիսի պատրաստել հասարակությանը այդ արցին։ Կրծություն, կրծություն, կրծություն, դպրոց, առաջին հերթին պետք է վերացնել ամբարտավանությունը, որը շատ շատ էրս ունենք, որը դա մեր դպութց հետ մեզ թրված, որ մենք ամենա լավնենք, մենք ամենա ճիշտն ու մենք հասկանալ, ու սովորել, ու տեսնել, որ մենք շատ լավնենք վնականապար, շատ շատ լավնենք սասատերից, բայց երբեք չենք կարոսել, որ մենք ամենա լավնենք, միշտ աջելու տեղ ունենք, սովելու տեղ լինենք, ու երկու մանգով պետք է սովորենք գարծիքով լինել ավելի համեստ, ու լսել ավելի շատ, լսել ու սովորել, ոչ թե միայն խոսել և պարտադրել մեր պահանջները, մեր արժեքները, և լինել շատ համար, համար մեր, ոչ թե հանձնվել կեսից վա ճանապարկեցը, լինել համար մինչևպես չգնալ. Այ ոնձ որ մենք տեստում ենք, որ հատ երկրներ, մեր նմ անպոկր երկրներ համարորեն գնում են դեպի իրենց ծանկացաս տեսլականը, մենք էլ պետք է պես անենք, բայց տեսնում են, որ նույցք Հայաստանում, եվոր գնում ե ամենակարևորն են։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայնքային կյանքին, արդյոք Վիստորյակ ես համար կարևոր է ունենալ համայնքային կարութներ սպյորքում։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայնքային են։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ Բերադարնակ մի քիչ մեր համայն։ www.feyyaz.tv

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