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parasito revision finale

parasito revision finale

Walaa Elshimy

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Mr. and Mrs. S. have been visiting the pharmacy for several years. They update their prescriptions and are happy to share news with the pharmacist. Sophie, who is pregnant, recently returned from a trip to Cameroon and is feeling unwell. The pharmacist advises her to see a doctor due to the possibility of malaria. The pharmacist also provides information on the appropriate prophylaxis that should have been taken for the trip. They discuss the mechanical means of protection against malaria-carrying mosquitoes, the urgent need for a diagnostic test, and the treatment options available. The conversation then shifts to a different patient, Francois, who is experiencing intense itching and skin lesions. The pharmacist suspects scabies and provides information on the parasite responsible, its characteristics, and treatment options. Finally, the pharmacist discusses another condition called pithyriasis versicolor, its diagnostic methods, causative factors, and treatment options. depuis plusieurs années, M. et Mme S. venirent renouveler leurs ordonnances respectives. Ils sont heureux de vous donner des nouvelles de chacun d'entre eux, d'autant plus qu'ils seront tous réunis pour les fêtes de Noël qui se préparent. Tous seront là sauf Sophie qui est allée rejoindre pour trois mois son mari qui vient de partir en mission pour l'IRD au Cameroun. Et vous savez, elle est d'autant plus heureuse qu'elle est enceinte, vous précise Mme S. Les fêtes passent, une quinzaine de jours plus tard vous voyez rentrer Sophie dans la pharmacie. Elle vous explique que depuis qu'elle est rentrée, elle se sent mal et pense avoir de la fièvre. 1. Connaissant le contexte de cette patiente, la délivrance d'un antipyretique non contre-indiqué chez la femme enceinte vous paraît-elle être le bon réflexe. Sinon, pourquoi ? Non, ce n'est pas le bon réflexe car toute fièvre au retour d'un pays endémique du paludisme doit être considérée comme un paludisme jusqu'à preuve du contraire. Lui conseiller d'aller voir son médecin traitant. 2. Sachant que le Cameroun est un pays de groupe 3, quelle chimioprophylaxie aurait dû être prise pour ce séjour dans son état ? Préciser en les DCI ainsi que le schéma de prise. Atovaquan Proganil 250 mg 100 mg ou un de ces PSG. Prendre à heure fixe pendant le repas. Commencer 24 ou 48 heures avant le départ. Continuer pendant le séjour et pendant une semaine après le retour. Doxycycline 100 mg. Prendre une heure avant le coucher pendant le repas du soir. Commencer la veille du départ. Continuer pendant le séjour et pendant quatre semaines après le retour. Proganil 200 mg par genre en association avec de la chloroquine. Prendre pendant le séjour et pendant quatre semaines après le retour. 3. Quels moyens mécaniques de protection contre le vecteur du paludisme Sophie a-t-elle pu mettre en oeuvre ? Moustiquaires imprégnés d'insecticides, vêtements couvrants et clairs, répulsifs cutanés, tortillons fumigènes. 4. Quel examen biologique doit être effectué en urgence ? Citer les deux techniques de référence. Frottisse mince, goutte épaisse. 5. A quel embranchement appartient ce parasite ? Le parasite Plasmodium falciparum appartient à l'embranchement des Apicomplexa. 6. Citer les deux cycles schizogoniques de P. falciparum chez l'homme. Cycle hépatique, exoétrocytaire, cycle érythrocytaire. 7. Citer l'agent vecteur de Plasmodium sp. Est-il hôte définitif ou hôte intermédiaire du parasite ? Justifiez votre réponse. L'agent vecteur est le moustique Anopheles. Le moustique est le hôte définitif car c'est dans son organisme que se produit la reproduction sexuée du parasite. L'homme est le hôte intermédiaire car il héberge les formes asexuées du parasite. 8. Expliquez par une courbe que vous annoterez l'évolution au cours du temps d'une fièvre due à Plasmodium falciparum. Fièvre intermittente, pic de fièvre tous les 48 heures, fièvre tierce maligne due à la libération des mérosoïdes et des déchets toxiques dans le sang lors de la lise des globules rouges. 9. Comparativement à d'autres espèces de Plasmodium, il n'est jamais observé au cours du cycle de P. falciparum d'accès de reviviscence. Pourquoi ? Quelle en est la conséquence au niveau clinique ? Falciparum ne forme pas d'hypnozoïdes. Les formes dormantes responsables des rechutes. Conséquences cliniques. Absence de rechutes tardives mais des accès plus graves peuvent survenir en raison de la multiplication rapide du parasite dans les globules rouges. 10. Qu'appelle-t-on accès pernicieux ou neuropaludisme ? Quelle en est la cause ? Citez les symptômes cliniques principaux au cours de son évolution. Accès pernicieux, forme grave du paludisme, souvent causé par P. falciparum, caractérisé par la séquestration des globules rouges infectées dans les capillaires cérébraux. Symptômes. C'est pas les sévères. Confusion, convulsion, coma et parfois décès. 11. Qu'appelle-t-on traitement de réserve ? Dans quel cas peut-il être absorbé ? Traitement de réserve. Médicament antipaludique pris en automédication lorsque le patient développe des symptômes de paludisme et n'a pas accès à une assistance médicale dans les 12 heures. Utilisé en cas d'urgence lorsque le diagnostic et le traitement par un professionnel de santé ne sont pas immédiatement disponibles. 12. Citez en DCI les principauses antipaludiques utilisables chez l'adulte pour le traitement du paludisme non compliqué d'importation à paix. Falciparum, en précisant pour chacun d'eux la ligne de traitement. Artéméther lumefantrine, première ligne. Artenimol piperacine, première ligne. Atovacone proguanil, deuxième ligne. Méfloquine, quinine, en cas d'échec des traitements de première et deuxième ligne. 13. Dans quel cas un pharmacien peut-il délivrer un antipaludique sur ordonnance médicale ? Dossier clinique 2, cas clinique. François est âgé de 37 ans. Il est inconsolable depuis la disparition brutale de sa femme. Il n'arrive plus à faire face aux obligations de la vie et se retrouve depuis un an sans domicile fixe. Il se plaint de pruries intenses en continu qui l'empêchent de dormir. À l'examen clinique, vous observez des lésions prurigineux. Dossier clinique 1, cas clinique. Vous êtes dans votre officine et vous voyez comme chaque mois depuis plusieurs années, monsieur et madame S venir renouveler leur... ... Dossier clinique 2, cas clinique. François est âgé de 37 ans. Il est inconsolable depuis la disparition brutale de sa femme. Il n'arrive plus à faire face aux obligations de la vie et se retrouve depuis un an sans domicile fixe. Il se plaint de pruries intenses en continu qui l'empêchent de dormir. À l'examen clinique, vous observez des lésions prurigineuses et vésiculeuses, surtout au niveau des membres supérieurs. Espaces interdigitaux palmaires, poignets et coudes. Vous suspectez une gale commune de l'adulte. Dossier clinique 1, cas clinique. Quelle est la dénomination latine binominale de l'agent parasitaire responsable de la gale? Sarcoptès cavier. 2, citez l'embranchement et l'ordre de ce parasite. Embranchement, arthropode, ordre, arachnide. 3, quel type de population est plus fréquemment infectée par ce parasite? Population vivant en collectivité, foyer, maison de retraite, prison, etc. Population sans domicile fixe. 4, citez le seul réservoir de ce parasite. L'homme est le seul réservoir. 5, comment François a-t-il pu se contaminer? Par contact direct avec une personne infectée, par contact indirect avec des textiles infectés, draps, vêtements. 6, de quoi se nourrit le parasite? Le parasite est lymphophage, se nourrit de la lymphe. 7, décrivez succinctement le parasite adulte mâle. Taille, 100 à 300 mètre. Corps ovaleur, 4 paires de pattes. Patte antérieure avec ventouse, patte postérieure avec soie sur une seule paire de pattes. 8, citez 3 antiparasitaires, des séries pouvant être prescrits à François. Perméthrine, Ivermectine, Benzylbenzoate. 9, quel prophylaxe doit être conseillé? Laver la litterie et les vêtements à 60°C. Utiliser des produits comme Apar pour les textiles non lavables. Traiter l'entourage en même temps pour éviter les réinfestations. Mais avant de sortir du cabinet médical, François montre à Julien une petite boîte transparente dans laquelle il a capturé quatre bestioles de 2 à 3 centimètres de long, de couleur sombre. A l'observation, elles ont 6 pattes de longueur identique, sans ailes et sont aplaties dorsaux ventralement. Qu'en pensez-vous docteur? Je les ai récupérées dans les plaintes et les enfractuosités du foyer qui est une vieille bâtisse. Ce n'est pas des puces? 10, comment s'appelle la structure au niveau du premier segment thoracique? La tête. 11, pensez-vous qu'il s'agisse de puces? Si ce n'est pas le cas, justifiez votre réponse et citez le nom français de l'agent responsable ainsi que sa dénomination latine binominale. De quoi se nourrissent ces animaux? Non, ce ne sont pas des puces. Les puces sont aplaties latéralement, tandis que les punaises de lit sont aplaties dorsaux ventralement. Nom français, punaises de lit. Dénomination latine binominale, cimex lectularius. Ces animaux sont hématophages, se nourrissent de sang. 12, à quel embranchement cet animal appartient-il? Embranchement arthropode. 13, pourquoi suite à des piqûres, les boutons n'apparaissent-ils que le matin? Les boutons apparaissent le matin en raison de la réaction allergique retardée à la salive injectée par les punaises de lit lors de leurs piqûres nocturnes. 14, que préconisez-vous comme traitement pour se débarrasser de cette nuisance au niveau d'un habitat? Utilisez des insecticides et pesticides spécifiques pour les punaises de lit. Inspectez et nettoyez minutieusement les lieux infestés, en particulier les infractuosités des murs, les matelas, les sommiers et les meubles. Aspirez les zones infestées et jetez immédiatement le sac de l'aspirateur. Vérifiez et traitez les valises et les vêtements après un voyage pour éviter de ramener des punaises de lit à domicile. Easis versicolor. Q1, quelle est la dénomination latine binominale de l'agent responsable du pithyriasis versicolor? Malassezia furfure. Quel test est utilisé pour le diagnostic du pithyriasis versicolor? Scotch cutané avec ruban de cellophane adhésif transparente, ensuite collé sur une lame. 3, quels éléments sont mis en évidence lors de l'examen direct après coloration au bleu de méthylène? Levure et filaments mycéliens. Q4, quelles sont les observations caractéristiques du pithyriasis versicolor? Noms dits, informations non spécifiées dans le document. 5, quel agent pathogène est responsable du pithyriasis versicolor? Malassezia. 6, quels sont les facteurs favorisant le développement de malassezia furfure? Peau grasse, chaleur, sudation, humidité. Quel traitement recommandez-vous pour le pithyriasis versicolor? Ketoconazole, sulfure de selenium. Q8, pourquoi malassezia furfure est-elle toujours présente sur la peau? C'est une levure commensale de la peau. Un déséquilibre, par exemple exposition au soleil, peut provoquer l'infection. Q9, quels conseils donneriez-vous pour éviter les récidives de pithyriasis versicolor? Faire une cure prophylactique au ketoconazole avant les périodes d'exposition au soleil. Question relative au plasmodium. Q1, donnez les durées de traitement prophylactique pour chaque combinaison suivante de médicaments antipaludiques. Chloroquine, 100 mg per jour, pendant le séjour et 4 semaines après. Chloroquine plus proguanil, pendant le séjour et 4 semaines après. Atovacone, proguanil, pendant le séjour et 1 semaine après. Méfloquine, 10 jours avant le départ, pendant le séjour et 3 semaines après. Doxycycline, pendant le séjour et 4 semaines après. Q2, quels autres conseils prophylactiques donneriez-vous à un voyageur? Porter des vêtements couvrants, clairs et imprégnés d'insecticides. Dormir sous une moustiquaire imprégnée d'insecticides la nuit. Utiliser des répulsifs cutanés sur les parties découvertes du corps. Employer des tortillons fumigènes ou des diffuseurs d'insecticides pour éloigner les moustiques. Question sur Ascaris lombriquoide. Q1, quelle est la classification taxonomique d'Ascaris lombriquoide? Nematelmente, nématode. Ascaris lombriquoide. Q2, décrivez le dimorphisme sexuel d'Ascaris lombriquoide. Mâle plus petit avec extrémité postérieure recourbée en crosse. Femelle plus grande, non segmentée, gonocorrique, pseudo-coelomique, croissant par mue successive, possédant un télécomplet, une bouche à trois lèvres chitineuse et une cuticule épaisse. Q3, comment se fait la transmission d'Ascaris lombriquoide? Ingestion d'oeufs liés au péril fécal, eau ou nourriture souillée. Oeufs à double coque brune, coque externe mamelonnée, muriforme et non embryonnée à la ponte. Q4, y a-t-il auto-infestation chez Ascaris lombriquoide? Pas d'auto-infestation puisque l'oeuf n'est pas embryonnée à la ponte et met plusieurs semaines à le devenir. Q5, quels sont les symptômes de la phase de migration larvaire? Syndrome de Loeffler, toux, dyspnée, opacité pulmonaire, hyper-éosinophilie. Q6, quel traitement recommandez-vous pour Ascaris lombriquoide? Albendazole ou flubendazole, traitement à recommencer 20 jours après, en raison de la migration parasitaire. Dossier n°4. Q1, quelle est la dénomination latine binominale de l'agent responsable de la gale, Sarcoptes scabiei? Q2, quelle population est plus fréquemment infectée par ce parasite? Population vivant en communauté. Q3, quelle est la spécificité d'hôte de Sarcoptes scabiei? Ne provoque la gale que chez l'homme. Q4, comment se transmet Sarcoptes scabiei? Par contact direct, parasite très contagieux. Q5, quels sont les signes cliniques de la gale? Prurie très prononcée à dominance nocturne, apparition du sillon scabieux dans la couche cornée de l'épiderme. Q6, de quoi se nourrit Sarcoptes scabiei? Se nourrit de lymphe. Q7, décrivez la morphologie de Sarcoptes scabiei. Taille de 100 à 300 mm, corps ovalaire muni de quatre paires de pattes. Patte antérieure avec ventouse, patte postérieure avec soie-soie sur une seule paire. Q8, quel traitement recommandez-vous pour la gale? Ivermectine, benzylbenzoate, permetrine. Si tu souhaites plus de détails ou des précisions supplémentaires, fais-moi savoir. Dossier n°5, piteriasis versicolore. Q4, quelles sont les observations caractéristiques du piteriasis versicolore? Le piteriasis versicolore se manifeste par des tâches dépigmentées ou hyperpigmentées qui sont souvent localisées sur le tronc, le cou, les bras et parfois le visage. Ces tâches peuvent être légèrement scameuses et ne sont généralement pas prurigineuses. Question relative au plasmodium. Q1, donnez les... Il semble qu'il reste quelques parties des dossiers cliniques désannales que je n'ai pas encore corrigées. Je vais continuer la correction en m'assurant de couvrir toutes les questions restantes. Voici la suite. Dossier clinique 3, monsieur I, 35 ans, agriculteur, vient consulter pour des lésions inflammatoires des plis qui siègent au niveau des orteils avec prurie. Il suit une corticothérapie prolongée pour traiter une polyarthrite rhumatoïde. Q1, à quel type de lésions pensez-vous? Quel prélèvement faut-il effectuer? Le tableau amène à la présomption de intertrigodermatophytique, pied d'athlète. Il faut effectuer un prélèvement de squam au niveau des lésions. Quel examen biologique proposez-vous? Examen direct après éclaircissement à la potasse pour observer les filaments mycéliens. Culture sur milieu de sabouraux avec actidion à 25 degrés pendant deux semaines. Observation macroscopique et microscopique des cultures. Q3, quel est le traitement à proposer? Topique antifongique, imidazolé, clotrimazole, myconazole ou cyclopiroxolamine. En cas d'échec après deux mois, un traitement antifongique systémique peut être ajouté. Griseofulvine ou terbinaphine. Quelles sont les mesures préventives à lui évoquer? Séchage des pieds après lavage. Éviter les contacts avec le sol souillé par des espèces zoophiles telluriques. Limiter l'utilisation de corticoïdes. Porter des chaussures aérées et éviter les chaussures trop fermées. Dossier clinique 4. Mr. Day, 45 ans, est rentré il y a trois semaines d'un séjour de deux mois en Angola, Afrique subsaharienne. Il présente une fièvre apparue il y a trois jours, accompagnée de céphalées. Le patient ne se plaint de rien d'autre et son examen clinique est sans anomalies, hormis la fièvre à 38,5 degrés. Q1, quelle parasitose devez-vous évoquer en priorité? Justifiez votre réponse. La parasitose à évoquer en priorité est le paludisme en raison du séjour en zone endémique et des symptômes fièvres et céphalées. Compatible avec un accès de primo-invasion palustre. Q2, quels examens biologiques doivent être réalisés? Frottis sanguins, goutte épaisse, test de diagnostic rapide, PCR, biologie moléculaire si nécessaire. Q3, quel est le nom, genre et espèce du parasite qui va être identifié? Plasmodium falciparum en raison de la localisation géographique où il est prédominant. Q4, quelle sera la prise en charge thérapeutique? Arteméter luméfantrine ou arténimol piperacine, première intention. Atobaquone proguanil en deuxième intention. Surveillance clinique et biologique régulière pour évaluer l'efficacité du traitement et surveiller les éventuelles complications. Q5, quel conseil aurait dû être donné à Mr. D avant son départ pour lui éviter de contracter cette parasitose? Protection personnelle antibactérielle et AV, utilisation de moustiquaires imprégnés d'insecticides, portée des vêtements couvrants et imprégnés, application de répulsifs sur les zones cutanées découvertes, chimioprophylaxie appropriée en fonction de la région, de la saison, de la durée du séjour et du type d'hébergement. Q6, un traitement prophylactique contre cette parasitose était-il indiqué pour le séjour de Mr. D? Justifiez votre réponse. Oui, un traitement prophylactique était indiqué car Mr. D revenait d'un séjour en Angola, une zone endémique où la chimioprophylaxie est recommandée pour prévenir le paludisme. Dossier clinique, 5 Thomas, 3 ans, domicilié dans les environs de Nice, est hospitalisé pour une fièvre irrégulière évoluant depuis deux mois, ne cédant pas à un traitement antibiotique avec asthénie. Il est pâle et l'examen clinique décèle une splénomégalie et une hépatomégalie. Sa température est à 38 degrés. Il n'a pas d'antécédents particuliers. Q1, quels sont les éléments cliniques en faveur de cette parasitose? Fièvre irrégulière, pâleur, anémie, splénomégalie, hépatomégalie, asthénie. Q2, quels sont les éléments biologiques en faveur de cette parasitose? Anémie, thrombopénie, neutropénie, syndrome inflammatoire, pancytopénie. Q3, quels sont les arguments épidémiologiques qui ont orienté vers la Leishmaniose? Foyer méditerranéen, réservoir à chiens, présence en France, Pyrénées orientales, les Cévennes, Provence-Côte d'Azur, Corse. Q4, donnez le nom de genre et d'espèce du parasite. Précisez sa position taxonomique et rappelez le cycle évolutif. Genre et espèce, Leishmania infantum, embranchement, sarcomastigophore, zoomastigophora. Cycle évolutif, transmission par le phlébotome, développement des formes promastigotes dans l'insecte, transmission à l'hôte mammifère où les promastigotes se transforment en amastigotes dans les macrophages. Quels sont les examens biologiques à mettre en oeuvre pour confirmer le diagnostic? Mise en évidence des formes amastigotes au microscope après coloration au MGG du frottise médulaire. Culture sur milieu spécialisé, milieu NNN pour observer les formes promastigotes. PCR pour détecter le matériel génétique du parasite. Examen sérologique IFI ELISA pour détecter les anticorps circulants. Test de diagnostic rapide utilisant l'antigène RK39. Technique de détection antigénique urinaire, CATEX. Q6. En dehors des enfants, quels sont les patients à risque? Immunodéprimés, comme les patients atteints de VIH SIDA. Q7. Actuellement, comment traiter cet enfant? Amphothéricine B liposomale, ambisome. QCM. Q1. Parmi les parasitoses suivantes, quelles sont celles qui sont considérées comme opportunistes chez les patients atteints par le VIH? Toxoplasmose, candidose, cryptococose. Q2. Parmi les propositions suivantes, laquelle est-elle s'applique à la giardiose? Elle est liée au péril fécal. Elle se manifeste par un syndrome dysentérique. Q3. Parmi les éléments suivants, quels sont ceux qui constituent le kyste hidatique? La membrane cuticulaire, les vésicules phyexogènes, le liquide hidatique. Q4. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s'appliquent à l'ascaris femelle adulte? Extrémité caudale effilée et droite, appareil buccal muni de trois lèvres. Q5. Parmi les médicaments suivants, indiquez ceux qui sont utilisés dans le traitement de l'oxyrose. Albindazole, flubindazole. Cela devrait couvrir l'ensemble des questions des annales. Si tu as besoin de plus de détails ou d'autres clarifications, n'hésite pas à demander. Q6. Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux qui sont utilisés dans le traitement de l'oxyrose? Q7. Parmi les médicaments suivants, indiquez ceux qui sont utilisés dans le traitement de l'oxyrose. Q8. Parmi les médicaments suivants, indiquez ceux qui sont utilisés dans le traitement de l'oxyrose. Q1. Une femme de 40 ans consulte pour des démangeaisons vaginales accompagnées de pertes blanches épaisses. A l'examen, vous constatez une inflammation de la muqueuse vaginale. A. Quelle est la pathologie suspectée? Candidose vaginale. B. Quels sont les facteurs favorisant cette infection? Facteurs hormonaux. Grossesse. Contraception orale. Diabète. Antibiothérapie prolongée. Immunodépression. Hygiène intime excessive. Vêtements serrés. C. Quels examens diagnostiques proposez-vous? Prélèvement des pertes vaginales pour un examen direct et une culture sur milieu de sabourons. D. Quels traitements recommandez-vous? Traitement local par antifongiques isolés. Crème, ovules, par exemple clotrimazole ou myconazole. En cas de récidive, un traitement systémique par fluconazole peut être envisagé. K clinique. Un homme de 35 ans se présente avec des tâches hypopigmentées sur le tronc et les épaules. Il mentionne que ces tâches sont plus visibles en été. A. Quelle est la mycose suspectée? Piteriasis versicolor. B. Quels facteurs favorisent cette infection? Peau grasse. Chaleur. Humidité. Sudation excessive. Prédisposition génétique. C. Quels examens diagnostiques proposez-vous? Examen à la lumière de Wood. Fluorescence jaune verdâtre. Prélèvement de squam pour examen direct après coloration au bleu de méthylène. Culture sur milieu de sabourons. D. Quels traitements recommandez-vous? Kétoconazole en solution moussante ou crème. Cyclopyrroxolamine pour les lésions étendues. En cas de récidive fréquente, fluconazole perros pendant 10 jours. Parasitologie 3. Cas clinique. Un homme de 50 ans revient d'un séjour en Afrique subsaharienne. Il présente des douleurs abdominales, des diarrhées sanglantes et une perte de poids significative. A. Quelle parasitose suspectez-vous? Amibiase due à entamoeba histolytica. B. Quels examens biologiques confirmeraient le diagnostic? Examen des selles pour identifier les kystes et trophozoïdes d'entamoeba histolytica. Sérologie amibienne. Colonoscopie avec biopsie en cas de suspicion de formes invasives. C. Quel traitement recommandez-vous? Metronidazole suivi de paromomicine pour éliminer les kystes dans l'intestin. 4. Cas clinique. Une femme de 25 ans présente des démangeaisons intenses au niveau du cuir chevelu et des petits insectes visibles dans ses cheveux. A. Quelle est la parasitose suspectée? Pédiculose du cuir chevelu due à Pediculus humanus capitis. B. Quel traitement recommandez-vous? Traitement topique avec des pédiculicides comme la permetrine, le malathion ou les dimethicones. C. Quelles mesures complémentaires conseillez-vous pour éviter la réinfestation? Laver les vêtements, les draps et les serviettes à haute température. Désinfecter les brosses et les peignes. Vérifier et traiter les membres de la famille. Systémique. Grisez au fulgurant. Systémique. Grisez au fulgurant. Systémique. Grisez au fulgurant. Approfondissement du programme en parasitologie et mycologie. Parasitologie. Paludisme, malaria, agents pathogènes et falciparum responsables des formes graves de paludisme. Plasmodium vivax et plasmodium ovale, connus pour leur rechute due aux hypnozoïdes dans le foie. Plasmodium malaria, responsable de la fièvre carte cycle de 72 heures. Plasmodium nolsi, paludisme zoonotique, moins fréquent chez l'homme. Transmission par les piqûres de moustiques femelles du genre Anopheles. Cycle de vie. Cycle hépatique. Les sporozoïdes injectés par le moustique infectent les hépatocytes et se développent en mérosoïdes. Cycle érythrocitaire. Les mérosoïdes infectent les globules rouges causant leur lise et la libération de nouveaux mérosoïdes. Cycle sexué. Les gamétocytes sont ingérés par un moustique lors d'une piqûre où il se développe en sporozoïdes dans l'intestin du moustique. Clinique. Primo-invasion. Fièvre brutale, frisson, céphalée, myalgie. Fièvre périodique. Accès fébrile régulier lié à la lise des globules rouges. Neuropaludisme. Forme grave caractérisée par des troubles neurologiques, convulsions, comas, souvent dû à péphalcy par homme. Diagnostique. Clinique. Fièvre, frisson, sueur, splénomégalie. Splénomégalie. Biologique. Frottis sanguins minces et gouttes épaises pour identifier les formes parasitaires. Test de diagnostic rapide TDR pour la détection des antigènes de plasmodium. PCR pour une confirmation précise. Traitement. Paludisme non compliqué. Arthéméter l'huméphantrine. Arthénimol piperacine. Atovacone proguénile. Paludisme grave. Arthesinathèphe suivi d'un traitement oral dès que possible. Prévention. Chimioprophylaxie. Atovacone proguénile. Doxycycline. Méfloquine. Choix en fonction de la région d'endémie. Mesures de protection. Utilisation de moustiquaires imprégnés d'insecticides, vêtements longs et imprégnés, répulsifs cutanés, tortillons fumigènes. Leishmaniose. Agent pathogène. Leishmania donovani. L. infantum. Leishmaniose viscérale. L. tropica. L. major. Leishmaniose cutanée. L. brasiliensis. Leishmaniose cutanée aux muqueuses. Transmission par les piqûres de phlébotome. Mouche des sables. Cycle de vie. Les promastigotes injectés par le phlébotome infectent les macrophages et se transforment en amastigotes. Les amastigotes se multiplient dans les cellules du système réticulo-endothélial. Formes cliniques. Leishmaniose cutanée. Ulcère cutanée chronique. Leishmaniose cutanée aux muqueuses. Lésion destructrice des muqueuses nasales et oropharyngées. Leishmaniose viscérale. Fièvre irrégulière. Anémie. Splénomégalie. Hepatomégalie. Cachexie. Diagnostic. Leishmaniose cutanée. Frottisse. Culture. PCR des prélèvements de lésions. Leishmaniose viscérale. Fonction médulaire. PCR. Scérologie. IFI. ELISA. Traitement. Leishmaniose cutanée. Antimonier pentavalent. Cryothérapie. Amphothéricine B liposomale. Leishmaniose viscérale. Amphothéricine B liposomale multiposine. Nématode. Ascaris lombriquoide. Transmission. Ingestion d'œufs embryonnés présents dans les aliments ou l'eau contaminée. Cycle de vie. Les œufs éclosent dans l'intestin. Les larves migrant vers les poumons par la circulation sanguine sont avalées et retournent dans l'intestin où elles deviennent adultes. Clinique. Syndrome de low flare. Toux. Dyspnée. Opacité pulmonaire. Douleur abdominale. Occlusion intestinale. Diagnostic. Examen des selles pour identifier les œufs. Radiographie en cas de complication. Traitement. Albandazole. Mévandazole. Oxyure. Enterobius vermicularis. Transmission. Ingestion d'œufs. Auto-infestation par grattage de la région anale. Cycle de vie. Les œufs éclosent dans l'intestin. Les larves migrant vers la région péri-anale pour pondre. Clinique. Prurie anale. Trouble du sommeil. Diagnostic. Test de gramme. Cellophane adhésive sur la région anale. Traitement. Albandazole. Flubendazole. Anguillulose. Strongyloides stercoralis. Transmission. Pénétration cutanée des larves filariformes présentes dans le sol. Cycle de vie. Larves migrants par voie sanguine vers les poumons sont avalées et se développent dans l'intestin. Clinique. Éruption cutanée. Syndrome de low flare. Douleur abdominale. Diarrhée chronique. Diagnostic. Examen des selles. Méthode de Bayermann. PCR. Traitement. Ivermectine. Albandazole. Cestodes. Tenia. Tenia saginata. Tenia solium. Transmission. Ingestion de viande de bœuf ou de porc mal cuite contenant des larves. Cysticerc. Cycle de vie. Les larves se développent en vers adulte dans l'intestin. Les proglottis contenant les œufs sont excrétés dans les selles. Clinique. Asymptomatique. Douleur abdominale. Prurie anale. Diagnostic. Examen des selles pour identifier les proglottis ou les œufs. Traitement. Praziquantel. Niclosamide. Trématode. Fasciola hepatica. Grande douve du foie. Transmission. Ingestion de végétation aquatique contaminée. Cresson. Cycle de vie. Les métaphercaires ingérés migrent envers le foie et se développent en douves adultes dans les canaux biliaires. Clinique. Fièvre. Douleur abdominale. Hepatomégalie. Ictère. Diagnostic. Examen des selles pour détecter les œufs. Sérologie. Échographie hépatique. Traitement. Triclavandazole. Mycologie. Candidose. Agent pathogène. Candida albicans et autres espèces de candida. Forme clinique. Candidose cutanée. Intertrigodéplyse. Érythème fessier du nourrisson. Candidose muqueuse. Candidose orale muguée. Candidose vaginale. Diagnostic. Examen direct des prélèvements. Culture sur milieu de sabouraux. Approfondissement du programme en parasitologie et mycologie. Parasitologie. Paludisme. Malaria. Agent pathogène. Plasmodium falciparum, responsable des formes graves de paludisme. Plasmodium vivax et plasmodium ovale, connus pour leur rechute due aux hypnozoïdes dans le foie. Plasmodium malariae, responsable de la fièvre carte. Cycle de 62 heures. Plasmodium nolci, paludisme zoonotique, moins fréquent chez l'homme. Transmission, par les piqûres de moustiques femelles du genre Anopheles. Cycle de vie. Cycle hépatique. Les sporozoïdes injectés par le moustique infectent les hépatocytes et se développent en mérozoïdes. Cycle érythrocytaire. Les mérozoïdes infectent les globules rouges, causant leur lise et la libération de nouveaux mérozoïdes. Cycle sexué. Les gamétocytes sont ingérés par un moustique lors d'une piqûre, où ils se développent en sporozoïdes dans l'intestin du moustique. Clinique. Primo-invasion. Fièvre brutale, frisson, céphalée, myalgie. Fièvre périodique. Accès fébrile régulier lié à la lise des globules rouges. Neuropaludisme. Forme grave caractérisée par des troubles neurologiques, convulsions, comas, souvent dû à P. falciparum. Diagnostique. Clinique. Fièvre, frisson, sueur, splénomégalie. Biologique. Frottis sanguins minces et gouttes épaisses pour identifier les formes parasitaires. Test de diagnostic rapide TDR pour la détection des antigènes de plasmodium. PCR pour une confirmation précise. Traitement. Paludisme non compliqué. Arthéméthère luméphantrine, arthénimol piperacine, atovacone proguenil. Paludisme grave. Arthesunate F suivi d'un traitement oral dès que possible. Prévention. Chimio-prophylaxie, atovacone proguenil, doxycycline, méfloquine, choix en fonction de la région d'endémie. Mesures de protection. Utilisation de moustiquaires imprégnés d'insecticides, vêtements longs et imprégnés, répulsifs cutanés, tortillons fumigènes. Leishmaniose, agent pathogène, leishmania donovani, L-infantum, leishmaniose viscérale, L-tropica, L-major, leishmaniose cutanée, L-brasiliensis, leishmaniose cutanée aux muqueuses. Transmission par les piqûres de phlébotome, mouches des sables. Cycle de vie. Les promastigotes injectés par le phlébotome infectent les macrophages et se transforment en amastigotes. Les amastigotes se multiplient dans les cellules du système réticulo-endothélial. Formes cliniques. Leishmaniose cutanée, ulcère cutanée chronique, leishmaniose cutanée aux muqueuses, lésions destructrices des muqueuses nasales et oropharyngées. Leishmaniose viscérale, fièvre irrégulière, anémie, splenomégalie, hépatomégalie, cachexie. Diagnostic. Leishmaniose cutanée, frottisse, culture, PCR des prélèvements de lésions. Leishmaniose viscérale, ponction médulaire, PCR, sérologie, IFI, ELISA. Traitement. Leishmaniose cutanée, antimonier, pentavalent, cryothérapie, amphotericine B-liposomale. Leishmaniose viscérale, amphotericine B-liposomale, myltéphosine. Nématode. Ascaris lombriquoide. Transmission. Ingestion d'oeufs embryonnés présents dans les aliments ou l'eau contaminée. Cycle de vie. Les oeufs éclosent dans l'intestin, les larves migrant vers les poumons par la circulation sanguine sont avalées et retournent dans l'intestin où elles deviennent adultes. Clinique. Syndrome de Loeffler. Toux, dyspnée, opacité pulmonaire, douleur abdominale, occlusion intestinale. Diagnostique. Examen des selles pour identifier les oeufs, radiographie en cas de complication. Traitement. Albandazole, mévandazole, oxyure, anterobius vermicularis. Transmission. Ingestion d'oeufs, auto-infestation par grattage de la région anal. Cycle de vie. Les oeufs éclosent dans l'intestin, les larves migrant vers la région périanale pour pondre. Clinique. Prurianale, trouble du sommeil. Diagnostique. Test de graham, cellophane adhésive sur la région anal. Traitement. Albandazole, flubendazole, anguillulose, strontguillouès, stercoralis. Transmission. Pénétration cutanée des larves filariformes présentes dans le sol. Cycle de vie. Larves migrants par voie sanguine vers les poumons sont avalées et se développent dans l'intestin. Clinique. Éruption cutanée, syndrome de Loeffler, douleurs abdominales, diarrhée chronique. Diagnostique. Examen des selles, méthode de Baehrmann, PCR. Traitement. Ivermectine, albandazole. Cestode, tegna, tegna saginata. Transmission. Ingestion de viande de bœuf ou de porc mal cuite contenant des larves, cysticerc. Cycle de vie. Les larves se développent en vers adulte dans l'intestin, les proglothyses contenant les œufs sont excrétées dans les selles. Clinique. Asymptomatique, douleurs abdominales, prurianale. Diagnostique. Examen des selles pour identifier les proglothyses ou les œufs. Traitement. Praziquantel, niclosamide. Trématode. Fasciola hepatica, grande douve du foie. Transmission. Ingestion de végétation aquatique contaminée, cresson. Cycle de vie. Les métacercières ingérées migrent vers le foie et se développent en douves adultes dans les canaux biliaires. Clinique. Fièvre, douleurs abdominales, hépatomégalie, ictère. Diagnostique. Examen des selles pour détecter les œufs, sérologie, échographie hépatique. Traitement. Triclabandazole. Mycandidose. Agent pathogène, candidat albicans et autres espèces de candidats. Forme clinique. Candidose cutanée, tertrigodéply, érythème fessier du nourrisson. Candidose muqueuse, candidose orale, muguet, candidose vaginale. Diagnostique. Examen direct des prélèvements, culture sur milieu de sabouraux. Traitement. Topique, antifongique, clotrimazole, myconazole. Systémique. Fluconazole, ytraconazole pour les formes récurrentes ou sévères. Dermatophytose. Agent pathogène, trichophytone, microsporum, épidermophytone. Forme clinique. Peigne. Infection des cheveux et du cuir chevelu. Intertrigo. Infection des plis cutanés. Onychomycose. Infection des ongles. Diagnostique. Examen direct après prélèvement de squam, culture sur milieu de sabouraux. Traitement. Topique, antifongique, clotrimazole, terbinafine. Systémique. Grisé. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Dermatophytose. Détail du programme en parasitologie et mycologie. Paludisme. Malaria. Importance de la prévention, des traitements antipaludiques et de la surveillance des voyageurs revenant de zones endémiques. Agents pathogènes et caractéristiques distinctives. Plasmodium falciparum. Fièvre irrégulière. Forme grave avec possibilité de neuropaludisme. Comun. Convulsion. Plasmodium vivax et p-ovale. Fièvre tertiaire. Tous les 48 heures. Rechute due aux hypnozoïdes hépatiques. Plasmodium malaria. Fièvre carte. Tous les 62 heures. Plasmodium nolsi. Fièvre quotidienne. Zoonose. Peut être confondu avec p-malaria. Point d'orientation clinique. Fièvre périodique. Suspecter le paludisme si la fièvre suit un cycle régulier. Retour de voyage dans une zone endémique. Toujours envisager le paludisme chez un patient fébrile de retour d'une zone endémique. Manifestation clinique. Fièvre, frisson, sueur, céphalée, myalgie, splénomégalie. Signes de gravité. Altération de la conscience. Convulsion. Hémoglobine urique. Urine noire. Insuffisance rénale aiguë. Diagnostic. Test de diagnostic rapide. Détection des antigènes spécifiques de plasmodium. Frottisse mince et goutte épaisse. Identification des parasites et détermination de l'espèce. PCR. Pour confirmation et identification précise de l'espèce. Traitement non compliqué. Arthéméthère luméphantrine. Arthénimol piperacine. Atovacone proguanil. Grave. Artésunate A. Suivi d'un traitement oral dès que possible. Prévention. Chimioprophylaxie. Atovacone proguanil. Doxycycline mefloquine. Mesures de protection. Moustiquaire imprégné. Répulsif cutané. Vêtements longs. Leishmaniose. Compréhension des différentes formes cliniques, des méthodes de diagnostic et des traitements disponibles. Formes cliniques. Leishmaniose cutanée. Ulcère cutanée indolore. Leishmaniose cutanée aux muqueuses. Lésion destructrice des muqueuses nasales et oropharyngées. Leishmaniose viscérale. Fièvre irrégulière. Anémie. Splénomégalie. Hepatomégalie. Cachexie. Point d'orientation clinique. Ulcère cutanée persistant. Suspectez une leishmaniose cutanée chez un patient avec des ulcères chroniques. Lésion muqueuse. Pensez à la leishmaniose cutanée aux muqueuses chez les patients avec des antécédents de leishmaniose cutanée. Fièvre. Splénomégalie. Anémie. Envisagez la leishmaniose viscérale chez les patients venant de zones endémiques. Diagnostic. Cutanée. Frottisse. Culture. PCR des prélèvements de lésions. Viscérale. Fonction médulaire. PCR. Scérologie. IFI. ELISA. Traitement. Cutanée. Antimonier pentavalent. Cryothérapie. Amphothéricine. B-liposomale. Viscérale. Amphothéricine. B-liposomale. Miltéphosine. Nématode et cestode. Connaissance des cycles de vie, des manifestations cliniques, des diagnostics et des traitements spécifiques. Nématode. Ascaris lombricoide. Cycle de vie. Ingestion d'oeufs. Migration des larves vers les poumons. Retour à l'intestin. Clinique. Toux. Syndrome de Loffler. Toux. Dyspnée. Opacité pulmonaire. Douleur abdominale. Diagnostic. Examen des selles. Observation des oeufs. Traitement. Albandazole. Mébandazole. Oxyure. Enterobius vermicularis. Cycle de vie. Ingestion d'oeufs. Migration des larves vers la région périanale pour pondre. Clinique. Prurianale. Trouble du sommeil. Diagnostic. Test de Graham. Cellophane adhésive sur la région anal. Traitement. Albandazole. Flubendazole. Anguillulose. Strongyloïdes tercoralis. Cycle de vie. Pénétration cutanée. Migration vers les poumons. Retour à l'intestin. Clinique. Éruption cutanée. Syndrome de Loffler. Douleurs abdominales. Diarrhée chronique. Diagnostic. Examen des selles. Méthode de Berman PCR. Traitement. Ivermectine. Albandazole. Cestode. Ténia. Ténia saginata. Ténia solium. Cycle de vie. Ingestion de viande de bœuf ou de porc mal cuite contenant des larves. Cysticerque. Clinique. Asymptomatique. Douleurs abdominales. Prurianale. Diagnostic. Examen des selles. Observation des proglottis ou des œufs. Traitement. Praziquantel. Niclosamide. Crématode. Identification des symptômes, des méthodes diagnostiques et des traitements appropriés. Fasciola hepatica. Grande douce du foie. Cycle de vie. Ingestion de végétation aquatique contaminée. Cresson. Clinique. Fièvre. Douleurs abdominales. Hepatomégalie. Ictère. Diagnostic. Examen des selles pour détecter des œufs. Sérologie. Échographie hépatique. Traitement. Triclavandazole. Mycose. Gestion des infections cutanées et muqueuses causées par des champignons avec des stratégies de traitement et de prévention adaptées. Candidose. Agent pathogène. Candida albicans et autres espèces de Candida. Formes cliniques. Candidose cutanée intertrigo. Candidose muqueuse. Orale vaginale. Point d'orientation clinique. Démangeaisons vaginales et pertes blanches. Suspecter une candidose vaginale. Plaques blanches en bouche. Indiquer une candidose orale. Diagnostic. Examen direct des prélèvements. Culture sur milieu de sabouraux. Traitement. Topique. Clotrimazole. Myconazole. Systémique. Fluconazole pour les formes récurrentes ou sévères. Dermatophytose. Agent pathogène. Trichophytone. Microsporum. Epidermophytone. Formes cliniques. Teigne. Cheveux et cuir chevelu. Intertrigo. Pli cutané. Onychomycose. Ongles. Point d'orientation clinique. Lésion érythémateuse prurigineuse dans les plis. Suspecter une dermatophytose intertrigo. Plaques d'alopécie sur le cuir chevelu. Indiquer une teigne. Diagnostique. Examen direct après prélèvement de squam. Culture sur milieu de sabouraux. Traitement. Topique. Clotrimazole. Terbinafine. Systémique. Grise et ophulbine. Terbinafine pour les infections étendues ou réfractaires. Pitériasis versicolor. Agent pathogène. Malassésia furfure. Clinique. Tâches dépigmentées ou hyperpigmentées sur le tronc. Les épaules. Point d'orientation clinique. Tâches non prurigineuses sur le tronc. Indiquer un pitériasis versicolor. Diagnostique. Examen direct. Levure et filaments courts. Lumière de wood. Fluorescence jaune verdâtre. Scotch test cutané. Traitement. Topique. Kétoconazole. Il semble que nous avons couvert les principales infections parasitaires et fongiques présentes dans le programme. Voici un récapitulatif. Voici un récapitulatif des points abordés et des quelques détails supplémentaires à considérer. Infections parasitaires. Nématode. Ascaris lombriquoide. Transmission par ingestion d'oeufs dans de l'eau ou des aliments contaminés. Symptômes. Toux. Syndrome de l'offleur. Douleurs abdominales. Diagnostique. Examen des selles. Traitement. Albendazole. Mébandazole. Oxyure anterobius vermicularis. Transmission par ingestion d'oeufs. Souvent par auto-infestation. Symptômes. Prurianale. Trouble du sommeil. Diagnostique. Test de Graham. Traitement. Albendazole. Flubendazole. Anguillulose. Transmission par pénétration cutanée de larves. Symptômes. Éruption cutanée. Douleurs abdominales. Diarrhée chronique. Diagnostique. Examen des selles. Méthode de Berman. Traitement. Ivermectine. Albendazole. Cestode. Ténias. Ténias aginata. Ténias solium. Transmission par ingestion de viande contaminée. Symptômes. Asymptomatique. Douleurs abdominales. Diagnostique. Examen des selles. Traitement. Prasicantel. Niclosamide. Trématode. Faciola hepatica. Grande douve du foie. Transmission par ingestion de végétation aquatique contaminée. Symptômes. Fièvre. Douleurs abdominales. Hépatome galie. Ictère. Diagnostique. Examen des selles. Sérologie. Traitement. Infection fongique. Candidose. Candida albicans et autres espèces de candida. Formes. Candidose. Cutanée. Intertrigo. Muqueuse. Orale. Vaginale. Symptômes. Démangeaison. Plaque blanche. Érythème. Diagnostique. Examen direct des prélèvements. Culture. Traitement. Clotrimazole. Myconazole. Topique. Fluconazole. Systémique. Dermatophytose. Trichophytone. Microsporum. Mycomycose. Symptômes. Lésion érythémateuse. Plaque d'alopécie. Ongles épais. Diagnostique. Examen direct. Culture. Traitement. Clotrimazole. Terbinafine. Topique. Griseofulvine. Systémique. Piteriasis versicolore. Malassésia furfure. Symptômes. Tache dépigmentée ou hyperpigmentée sur le tronc. Diagnostique. Examen direct. Lumière de Wood. Scotch Test. Traitement. Kétoconazole. Topique. Fluconazole. Systémique. Approfondissement supplémentaire. Cryptosporidiose et giardiose. Cryptosporidium. Transmission par ingestion d'eau au cyste dans l'eau contaminée. Symptômes. Diarrhée aqueuse. Douleur abdominale. Diagnostique. Examen des sels. Coloration de zirnelcène modifiée. Traitement. Nitazoxanide. Giardia lamblia. Transmission par ingestion de kyste dans l'eau contaminée. Symptômes. Diarrhée. Malabsorption. Perte de poids. Diagnostique. Examen des sels. Kyste et trophozoïdes. Traitement. Metronidazole. Tinidazole. Résumé et point d'orientation clinique. Origines géographiques. Toujours envisager des maladies spécifiques à la région d'où revient le patient. EGZN. Paludisme en Afrique subsaharienne. Leishmaniose en Méditerranée. Symptômes spécifiques. Fièvre périodique. Suspect le paludisme. Fièvre irrégulière avec splénomégalie. Envisager la leishmaniose viscérale. Prurianal nocturne. Envisager les oxyures. Ulcère cutanée chronique. Suspecter la leishmaniose cutanée. Plaques dépigmentées. Envisager le pitiriasis versicolore. Douleur abdominale et diarrhée. Pensez à l'amibiase, giardiose ou anguillulose. Ce programme exige une approche intégrée de la prévention, du diagnostic et du traitement pour gérer efficacement les infections parasitaires et fongiques. La prévention, l'identification précise des symptômes, le choix approprié des tests diagnostiques et l'application correcte des traitements sont essentiels pour la prise en charge optimale des patients. Cas cliniques typiques pour l'examen en parasitologie et mycologie. Cas clinique 1. Paludisme. Un homme de 35 ans revient d'un voyage en Afrique de l'Ouest. Il présente une fièvre irrégulière depuis 3 jours accompagnée de céphalées, de myalgies et de frissons. Question. A. Quelle est la parasitose suspectée? B. Quels examens biologiques proposez-vous pour confirmer le diagnostic? C. Quels sont les signes de gravité à surveiller chez ce patient? D. Quel traitement recommandez-vous pour un cas non compliqué? Réponse. A. Paludisme, plasmodium falciparum. B. Frottisse mince, goutte épaisse, test de diagnostic rapide, TDR. C. Altération de la conscience, convulsion, anémie sévère, insuffisance rénale. D. Arthéméthère luméphantrine ou arthénimole piperacine. Cas clinique 2. Leishmaniose. Un garçon de 8 ans vivant dans le sud de la France présente une fièvre irrégulière, une pâleur, une asthénie et une splénomégalie à l'examen clinique. Question. A. Quelle est la parasitose suspectée? B. Quels examens biologiques confirmeraient le diagnostic? C. Quel est le traitement de première intention pour cette parasitose? Réponse. A. Leishmaniose viscérale, Leishmania infantum. B. Ponction médulaire, PCR, sérologie IFI, ELISA, test de diagnostic rapide, RK39. C. Amphothéricine B liposomale. Cas clinique 3. Amibiase. Une femme de 40 ans revient d'un séjour en Amérique centrale. Elle souffre de douleurs abdominales, de diarrhées sanglantes et d'une perte de poids significative. Question. A. Quelle est la parasitose suspectée? B. Quels examens biologiques proposez-vous pour confirmer le diagnostic? C. Quel traitement recommandez-vous? Réponse. A. Amibiase, Antamoeba histolytica. B. Examen de sel pour kyste et trophozoite, sérologie amibienne, colonoscopie avec biopsie. C. Examen d'azole suivi de paromomicine. Cas clinique 4. Ascaridiose. Un enfant de 6 ans présente une toux persistante, des douleurs abdominales et des épisodes de diarrhées. Les parents mentionnent qu'il joue souvent dans le jardin sans se laver les mains avant de manger. Question. A. Quelle est la parasitose suspectée? B. Quels examens biologiques proposez-vous pour confirmer le diagnostic? C. Quel traitement recommandez-vous? Réponse. A. Ascaridiose, Ascaris lumbricoide. B. Examen de sel pour identifier les oeufs. C. Albandazole, mébandazole. Cas clinique 5. Candidose vaginale. Une femme de 30 ans consulte pour des démangeaisons vaginales, des brûlures à la mixtion et des pertes vaginales épaisses et blanchâtres. Question. A. Quelle est la pathologie suspectée? B. Quels facteurs favorisants peuvent être présents chez cette patiente? C. Quels examens proposez-vous pour confirmer le diagnostic? D. Quel traitement recommandez-vous? Réponse. A. Candidose vaginale. B. Grossesse, antibiotérapie récente, diabète, immunodépression. C. Examen direct des pertes vaginales, culture sur milieu de sabouraux. D. Antifongiques topiques, clotrimazole, myconazole, fluconazole orale en cas de récidive. Cas clinique 6. Phytiriasis versicolore. Un jeune homme de 25 ans présente des taches hypopigmentées sur le tronc et les épaules, particulièrement visibles après une exposition au soleil. Question. A. Quelle est la mycose suspectée? B. Quels sont les facteurs favorisant cette infection? C. Quels examens proposez-vous pour confirmer le diagnostic? D. Quel traitement recommandez-vous? Réponse. A. Phytiriasis versicolore. B. Beaux grasses, chaleur, humidité, sudation excessive. C. Examen direct des squam, lumière de wood, scotch test cutanée. D. Ketoconazole en crème ou en shampoing, cyclopyroxolamine, fluconazole en cas de récidive. Cas clinique 7. Galles. Un homme de 50 ans sans domicile fixe consulte pour un prurie intense nocturne, surtout entre les doigts et sur les poignets. A l'examen, vous observez des sillons scabieux et des vésicules. Question. A. Quelle est la pathologie suspectée? B. Comment confirmez-vous le diagnostic? C. Quel traitement proposez-vous? Réponse. A. Galles. Sarcoptèse scabiée. B. Observation directe des sillons scabieux, prélèvement cutané pour examen microscopique. C. Perméthrine 5% en crème, ivermectine orale. Cas clinique 8. Anguillulose. Un homme de 45 ans revient d'un voyage en Asie du Sud-Est. Il présente des douleurs abdominales, une éruption cutanée sur les jambes et des épisodes de diarrhée. Question. A. Quelle est la parasitose suspectée? B. Quels examens proposez-vous pour confirmer le diagnostic? C. Quel traitement recommandez-vous? Réponse. A. Anguillulose. Strongyloides tercoralis. B. Examen des selles. Méthode de Bayermann PCR. C. Ivermectine albendazole. Stratégie de diagnostic et traitement. Ces cas cliniques couvrent une gamme de parasites et de champignons typiques des examens, avec éléments spécifiques permettant de les différencier. Fièvre périodique. Indique le paludisme. Fièvre irrégulière avec splénomégalie. Suspectée la leishmaniose viscérale. Ulcère cutanée chronique. Indiquée une leishmaniose cutanée. Toux persistante et douleur abdominale. Envisagée l'ascaridiose. Cas clinique typique pour l'examen en parasitologie et mycologie. Cas clinique 1. Paludisme. Un homme de 35 ans revient d'un voyage en Afrique de l'Ouest. Il présente une fièvre irrégulière depuis trois jours, accompagnée de cépalées, de myalgies et de frissons. Question. A. Quelle est la parasitose suspectée? B. Quels examens biologiques proposez-vous pour confirmer le diagnostic? C. Quels sont les signes de gravité à surveiller chez ce patient? D. Quel traitement recommandez-vous pour un cas non compliqué? Réponse. A. Plasmodium falciparum. B. Frottisse mince. Goutte épaisse. Test de diagnostic GDR. C. Altération de la conscience. Compulsion. Anémie sévère. Insuffisance rénale. D. Arthéméthère luméfantrine ou arthénimol pipéracine. Cas clinique 2. Leishmaniose. Un garçon de 8 ans vivant dans le sud de...

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