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In this episode of the Insubmersibles podcast, the host reflects on the habit of recording ideas throughout the week and sharing them with listeners. He values feedback from listeners and mentions that the previous episode on the concept of "Night Sayers" was well-received. The host also introduces the term "Neptunians" to refer to the podcast community, symbolizing their ability to navigate the challenges of entrepreneurship without sinking. The episode focuses on the phrase "quand on veut, on peut" (when there's a will, there's a way) and the importance of having a clear vision in order to achieve success. The host mentions Arnold Schwarzenegger as someone who exemplifies this mindset and discusses Schwarzenegger's three laws of success, particularly the importance of having a vision. Mes petits neptuniens, c'est l'heure de l'épisode 7 d'Insubmersibles, le podcast dans lequel je vous donne la vraie vision de l'entrepreneuriat, celle qui est loin du TikTok millionnaire et qui vous accompagne dans les moments les plus durs. Je suis ravi de cet épisode, j'y prends beaucoup de plaisir, je vous avoue, à faire ce petit épisode. Je le fais tous les vendredis, en tout cas j'essaie de m'y tenir, ça me permet de faire un peu un bilan de la semaine. Et ce que j'adore en fait, c'est que du coup, j'ai pris cette habitude, on parle beaucoup dans l'entreprenariat, une capacité je pense d'un bon entrepreneur, c'est de créer des habitudes et je sens que je me suis créé cette habitude, je commence à prendre les réflexes au cours de ma semaine, de noter des idées que j'ai envie de vous partager, d'avoir cette réflexion un petit peu on-going sur ce concept d'insubmersibilité que je vous partage. Et j'avoue, c'est un peu mon plaisir du vendredi maintenant de vous retrouver entre nous, vous qui me suivez maintenant et que je vous partage une petite dose d'insubmersibilité sous que je commence à avoir vos feedbacks. Je sais que l'épisode 4 sur la partie Night Sayers vous a beaucoup plu et j'avoue que ça fait très plaisir. Du coup, je me suis auto-écouté pour voir ce que vous avez plu sur la manière de formuler etc. ou des anecdotes. J'en prends note, j'en prends note. N'hésitez pas à me faire vos retours, qu'ils soient si négatifs que positifs, c'est important pour moi, ça me permet de savoir ce que vous attendez et de vous proposer encore une fois du contenu de qualité que vous prenez plaisir à écouter chaque semaine, en tout cas, que vous prenez autant de plaisir que moi à écouter, que je prends le plaisir à créer et évidemment qu'on avance ensemble dans cette aventure. Après, j'estime que si vous en êtes à l'épisode 7, c'est que le contenu vous plaît et donc qu'on est entre nous et qu'on peut plus se livrer. Donc, je serais ravi d'écouter vos feedbacks et je les prendrai à cœur pour continuer de vous délivrer des épisodes de qualité. Voilà les amis, alors je vous ai appelé les petits Neptuniens en introduction puisque c'était un des sujets de la semaine dernière, je trouvais que les amis c'était un peu trop familier et que dans le contexte du podcast, c'était de nous trouver un petit nom à nous qui caractérise bien la situation dans laquelle on est et j'en arrivais à la conclusion que le Neptunien était un bon terme pour nous caractériser, je vous le redonne pour ceux qui prennent en cours de route cet épisode et qui n'ont pas écouté l'épisode 6. Neptunien, c'est la définition que Chadipiti m'a donnée et que je trouvais assez inspirante, inspirée par Neptune d'ailleurs, le dieu de la mer, symbolisant la maîtrise des océans et la capacité à ne pas couler. Je pense que ça nous caractérise bien, si vous m'écoutez et que vous appréciez ce podcast, notre capacité à maîtriser l'océan tumultueux de l'entrepreneuriat et surtout notre capacité à ne pas couler, à ne jamais couler, malgré les vagues, malgré les ouragans, malgré tout le tumulte qui peut nous arriver au quotidien, chaque semaine, semaine après semaine, mois après mois dans l'entrepreneuriat, on est là, on est debout, on ne coule pas, on avance et on donne le meilleur de nous-mêmes. Alors pour cet épisode 7, j'ai comme d'hab pris des notes que j'ai envie de vous partager sur la structure de ce podcast, je vous le rappelle, je vous partage globalement une phrase qui me tient à cœur, qui me permet de rester insubmersible dans mon parcours entrepreneurial et donc je vous partage pourquoi j'apprécie cette phrase, comment je m'inspire au quotidien et ce que vous pouvez en tirer derrière. Je vous partage aussi des actualités de mon entreprise Lead Studio, on a pour ambition d'être la référence numéro 1 en génération de prospects B2C sur le web, ça bouge en ce début d'année, on est le 26 janvier, à l'heure où j'enregistre cet épisode, épisode 7, donc il se passe des choses depuis la rentrée, on a eu une rentrée qui était assez intense évidemment, je vous tiendrai au courant de mes réflexions du moment et de l'avancée de Lead Studio. La semaine dernière, qu'est-ce que je vous racontais ? Je vous partageais ce concept de on se crée les problèmes qu'on mérite, un concept qui m'est assez cher et aujourd'hui, j'ai envie de revenir un petit peu en arrière et de passer un petit peu de temps autour d'une phrase qui me tient à cœur, qui est la phrase « quand on veut, on peut ». Je marque un temps d'arrêt avec grand plaisir puisque si vous voulez cette phrase-là, je pense qu'il y en a qui vont rigoler rien qu'au fait que je la prononce puisque je pense que c'est la phrase préférée de mon papa, c'est la phrase entre guillemets que j'ai entendue toute ma jeunesse, bon je me considère encore comme jeune mais disons toute mon enfance, allez, mon père est fan de cette phrase, d'ailleurs petite dédicace à mon papa que j'aime, merci pour ce fameux « quand on veut, on peut » que tu nous as inculqué toute notre vie, j'ai envie de te le dire parce que clairement, je pense qu'on n'en serait pas là, enfin que je n'en serais pas là, je mets « on » parce que je sais que mes deux frères qui vont probablement écouter ce podcast vont aussi rigoler que je fasse un épisode entier sur ce fameux « quand on veut, on peut » mais Dieu sait à quel point cette phrase est importante et je vais y revenir évidemment par la suite, mais du coup, cette fameuse phrase qu'on a entendue toute notre enfance, clairement, elle m'a guidé personnellement dans mon parcours entrepreneurial ou dans toutes les choses que j'ai décidé de mener de front, les bonnes ou les mauvaises, évidemment, et cette phrase, elle a vraiment une signification particulière en tout cas de mon côté que j'ai envie de vous partager aujourd'hui. Alors, « quand on veut, on peut », sur l'idée de regarder la construction de cette phrase, elle est simple mais elle veut dire beaucoup, quand on veut, déjà sur le fameux « on veut vouloir », je pense que déjà, c'est la clé pour devenir insubmersible, en tout cas travailler sur ce côté insubmersible, c'est de savoir ce qu'on veut et c'est beaucoup plus dur qu'on ne le pense. Savoir ce qu'on veut dans la vie, ça va nous emmener très loin et en même temps, ça peut nous emmener très loin mais aussi très bas si on n'est pas capable de bien définir ce qu'on veut ou si on se trompe sur ce qu'on veut vraiment dans la vie. Je pense que c'est un des exercices les plus durs et qui demande clairement une certaine maturité d'esprit, un certain recul, d'être capable de définir ce qu'on veut. Et une fois n'est pas coutume, les amis, je pense qu'il faut qu'on s'inspire au quotidien de personnes qui ont été capables de définir à la perfection ce qu'ils veulent et qui ont ensuite eu des achievements ou une réussite dans la vie qui, en tout cas, nous inspire et nous porte. Donc, pour illustrer ce fameux « qu'est-ce qu'on veut dans la vie et comment ça peut nous impacter », j'ai envie de vous parler encore une fois d'une personne qui me fascine. C'est ce bon vieux Arnold Schwarzenegger. Arnold Schwarzenegger, clairement, c'est une personne, on l'aime ou on ne l'aime pas, mais en tout cas, on ne peut pas dire que c'est quelqu'un qui n'ait pas réussi des choses dans sa vie. J'ai réécouté son interview. Il a fait un speech il y a 4 ou 5 ans que j'avais beaucoup apprécié à l'époque, peut-être 3 ans, où il nous donne les trois lois du succès et il parle beaucoup de sa vie. La loi numéro 3 du succès, j'en ai fait un épisode d'ailleurs à part entière. Et d'ailleurs, je me demandais où ça venait cette intuition que j'avais et je me rends compte que ça venait de Schwarzenegger. Donc, je lui ai piqué l'idée entre guillemets dans mon podcast, mais clairement, tout le mérite le revient. C'est le fameux « ignore the naysayers », qui est d'ailleurs l'épisode que vous avez pour le moment, je crois, préféré. Du coup, ça, c'est la loi numéro 3 du succès de notre cher Schwarzenegger et il y en a deux autres qu'il partage dans sa conférence. La deuxième, et je pense que j'en ferai un épisode à part entière, mais qui est quand même dans la trame d'un submersible en général, et comme le dit notre cher Arnold, « work your ass off », bouge-toi le cul, travaille comme un malade si tu veux réussir. Et ça, je pense que le « work your ass off », j'ai beaucoup de choses à vous dire, mais ce n'est pas l'objet du podcast d'aujourd'hui et j'y reviendrai peut-être dans un épisode ultérieur, ce n'est même pas peut-être, j'y reviendrai à coup sûr, mais ce n'est pas le sujet. Le sujet, c'est l'épisode, enfin, pas l'épisode 1, la loi numéro 1 de Schwarzenegger, à savoir « have a vision », comme dirait notre cher Arnold. « If you don't have a vision, you end up drifting anywhere », pour reprendre l'accent d'Arnold. Je pense que cette histoire de vision qui fait le lien du coup à ce fameux « qu'est-ce qu'on veut », c'est la clé. Si vous n'avez pas une vision de ce que vous voulez faire et de où vous voulez aller, comme le dit bien encore une fois Arnold, finalement vous finissez à tourner en rond et à finir n'importe où. Je ne sais pas pourquoi ça me vient à la tête, mais le fameux Rémi Gaillard qui nous dit « c'est en faisant n'importe quoi qu'on devient n'importe qui ». Je pense que si on n'a pas de vision, on fait clairement n'importe quoi et on devient n'importe qui. Comme vous le voyez, j'ai des références ITRR d'auteurs très connus, une culture générale d'auteurs et de philosophes absolument reconnues. J'aime bien un peu l'auto-dérision entre guillemets. Bref, que nous dit ce cher Arnold ? Il nous dit donc que l'importance de la vision va guider derrière tout ce que tu fais et c'est ce qui va te permettre d'être certain que même dans les moments les plus durs de ta vie, tu as envie d'affronter ces moments les plus durs parce que tu veux absolument réaliser la vision que tu as. Alors, il y a la vision de ce que tu veux accomplir, mais il y a aussi la vision de soi-même. Pour moi, c'est deux choses à part entière. Je pense que pour réussir, la première chose, c'est d'avoir une vision de qui on veut être. Qui tu veux être dans la vie, c'est important. Comment tu te définis et comment tu as envie de te définir justement et qu'est-ce que tu m'en as pour te définir ? Ça peut être se définir comme quelqu'un qui accomplit des projets, se définir comme entrepreneur par exemple. Clairement, quand vous avez une vision de vous-même en vous disant « Ok, j'ai envie d'avoir une équipe de 50 personnes qui travaillent pour moi, j'ai envie de faire vivre 50 personnes grâce à mon projet, j'ai envie d'être cette personne qui est reconnue de manière par ses pairs comme entrepreneur à succès » et de se visualiser dans toutes les actions qu'on mène au quotidien comme cette personne-là, du coup, comment je dois agir, comment je dois m'habiller, comment je dois me comporter au quotidien, comment je dois traiter mes équipes. Voilà, avoir une vision de vous-même. Pareil, d'un point de vue sportif, j'ai envie d'être cette personne qui prend son aile, qui a un physique qui correspond à des attentes que vous pouvez avoir, soit être très musclé, soit très sec, soit je ne sais pas, très endurant, peu importe. Mais donc du coup, c'est important d'avoir cette vision de vous-même, qu'est-ce que vous voulez être ? Pareil, d'un point de vue comportemental, vous voulez être cette personne qui est appréciée de vos pairs, peut-être une personne sur laquelle qui fait preuve de courage, une personne qui est courageuse dans toutes ses actions, qui montre l'exemple. Je ne sais plus où est-ce que je lisais ça cette semaine, mais j'ai discuté sur des discords et il y avait quelqu'un qui disait, je trouve ce qui est très dur en tant qu'entrepreneur, c'est que du coup, moi je veux montrer l'exemple, je veux inspirer mes équipes, mais du coup, ça me demande d'être ultra focus 24-24, c'est dur, mais en même temps, c'est la vision que j'ai envie d'avoir de moi-même. Oui, ben voilà. Ayez ce type de vision de vous-même, qui vous voulez être au quotidien, c'est super important parce que ça va venir porter vos comportements derrière et ça va surtout vous permettre de tout de suite savoir si vous êtes dans le vrai ou pas dans vos actions. Je l'avais évoqué dans un des épisodes précédents du podcast où je vous disais quand au moment du Covid, j'étais parti à Dubaï chez mon frère qui m'a posé cette question. Pourquoi tu vas te casser le cul tous les matins à faire 2 heures de sport à la salle de sport ? Qu'est-ce qui se passe en fait si jamais tu ne vas pas ? C'est juste que la vision que j'ai de moi-même, entre guillemets, personnelle, c'est quelqu'un qui se bouge, entre guillemets, qui ne se fait pas lâche et du coup, ça se traduit par tous mes comportements au quotidien, c'est-à-dire que je fais les choses, je vais au bout des choses et ne pas aller au sport, en fait, ça contrecarre la vision que je peux avoir de moi-même. Donc, c'est très important, posez-vous les amis, je pense, ce week-end ou quand vous allez écouter ce podcast et si peut-être même de par écrit, vous direz c'est quoi la vision que j'ai de moi-même ? Qui je veux être ? Au quotidien, qu'est-ce que j'ai envie d'insuffler autour de moi et quels sont les comportements qui sont alignés avec ça et au contraire, les comportements qui me font dévier de cette vision ? Donc ça, je pense que c'est la vision que vous avez de vous-même, c'est super important et regardez si vos comportements sont alignés à cette vision. Puis derrière, encore une fois, je vous en avais parlé dans les podcasts précédents, soyez critique avec vous-même, regardez-vous la troisième personne et jugez-vous sans biais de, attends, est-ce que le fait que j'ai glandé sur Netflix jusqu'à minuit hier et que j'ai claqué trois heures de sommeil pour regarder une série, est-ce que finalement, c'est en lien avec la vision de l'entrepreneur à succès que j'ai envie d'être ou de la personne qui réussit et qui profite globalement à fond de 24 heures d'une journée pour construire des choses ? Voilà, je pose ça là, à méditer les amis. Donc ça, c'est la vision que vous avez de vous-même, évidemment, elle est intimement liée avec la vision que vous allez avoir pour votre vie. Qui est-ce que vous voulez accomplir au petit ? Et c'est ce que, d'ailleurs, nous impose la réflexion de ce bon vieux Schwarzenegger qui est, c'est quoi votre vision ? Qu'est-ce que vous voulez faire ? Donc, dans cette interview, et je la trouve passionnante et je vous encourage vraiment à l'écouter sans modération, il nous dit, dès le plus jeune âge, globalement, je suis tombé sur un bouquin qui parlait de bodybuilding, de Hercule qui était musclé, qui était aux Etats-Unis, qui était successful, etc., et il a dit, je voulais être ce mec-là, je veux être ce mec-là et je vais tout faire pour être ce mec-là. Je veux partir aux Etats-Unis, je veux être Mister Universe, je veux être riche, je veux être connu, je veux être le meilleur bodybuilder de la planète. Et il avait sa vision, le mec, le mec, il avait sa vision, alors après, elle est alignée ou pas avec ce que vous pensez, etc., on s'en fout, il avait sa vision et ensuite, il a tout fait pour et ça, je trouve que c'est juste exceptionnel et ça fait lien, encore une fois, avec quand on veut, on peut, c'est-à-dire que voilà, il savait ce qu'il voulait Arnold, il s'est bougé le cul, il a trouvé l'argent pour partir aux Etats-Unis, il est parti aux Etats-Unis, il ne connaissait personne, le mec, il avait le pire accent austro-hongrois et il t'explique comment est-ce que dans 24 heures, dans une journée, il allait bosser 8 heures par jour pour gagner son pain, il allait faire 4 heures de muscu par jour, il dormait 6 heures par nuit, etc., il faisait tout pour être Mister Olympia, à l'époque, il n'avait pas d'argent, que l'on ne gagnait pas d'argent, évidemment, dans le bodybuilding, contrairement aujourd'hui parce qu'il n'avait pas les réseaux sociaux, je ne sais quoi, et que du coup, il lui demandait l'aide à ses potes, en bref, le mec, il est un tueur et si vous avez regardé la biographie de Arnold Schwarzenegger, le mec, il s'est juste considéré comme le meilleur bodybuilder de la planète, on va encore dire que je fais des références au bodybuilding, mais je le redis et ça, pour le coup, c'est une intime conviction que j'ai, je pense que tout ce qui est résistance, training, musculation, c'est un sport qui demande tellement de discipline que les valeurs, en tout cas, profondes de ce sport, si vous voulez, détachent sur votre vie derrière, et ce n'est pas étonnant que des mecs comme Arnold Schwarzenegger, qui étaient des monstres de salle de sport entre guillemets, aient réussi comme ils ont réussi, et il y a beaucoup d'entrepreneurs qui se tuent à la salle de sport, qui sont extrêmement successifs par ailleurs, et je pense que tout ça, il y est, bref, je digresse, ça, c'était Arnold, étape 1, ensuite, le mec se dit, ok, bon, bref, je suis bodybuilder n°1, maintenant, j'ai envie, étape 2, d'être un acteur hollywoodien à succès. Et là, il parle un peu de sa vie, tu te rends l'interview, il te dit, c'est là où il aborde la fameuse partie de Naysayers sur laquelle je suis déjà revenu, évidemment, tout le monde se fout de sa gueule, quand il commence à dire ouvertement je veux être un acteur hollywoodien, je veux tourner dans des séries à succès, je veux être le meilleur acteur de l'époque, de mon époque, et tout le monde se fout de sa gueule, mais Arnold, mais t'es dépassé, les gens comme toi, au cinéma, ultra musclé, c'est pas ce que les gens veulent, les gens veulent, ce qu'ils veulent, c'est du alpachino, ils veulent du mafioso 1m70, etc. Et puis regarde-toi, t'as un accent, limite, t'es effrayant, t'as un accent nazi, mais tu seras jamais un acteur reconnu, laisse tomber, il n'y a pas de problème. Et ce qui est trop intéressant, c'est qu'il te dit, il te dit dans l'interview, every time I heard it can't be done, I heard it can be done. Et je trouve ça génial, à chaque fois que j'entends qu'on me dit ça ne peut pas être fait, moi j'interprète comme ça peut être fait, c'est possible, même si on l'a jamais fait avant. Franchement, c'est tellement une logique du succès, ce genre de mentalité, que si vous voulez réussir dans la vie par rapport à vos projets et que vous voulez atteindre votre vision, franchement, ce genre de valeur, même si c'est Arnold qui vous le dit, ça vaut de l'or. C'est vraiment à garder en tête, et clairement, je garde en tête cette phrase, à chaque fois que j'entends ça peut pas être fait, j'entends, ça peut être fait. Bref. Donc, globalement, on connait Arnold, terminator, on peut pas dire qu'il n'est pas réussi d'un point de vue hollywoodien, et puis étape 3, il se dit, maintenant, j'ai envie d'être en politique. Alors, il te dit dans l'interview, globalement, je ne pouvais pas être président des Etats-Unis parce que je ne suis pas né aux Etats-Unis, donc je n'ai pas le droit dans la constitution. Du coup, en fait, le max, le max du max du max, d'un point de vue politique, que je peux faire, c'est d'être gouverneur de la Californie, qui est, il dit qu'il est le cinquième pays le plus productif de la planète. Il faut se dire que la Californie, c'est globalement tout ce qui est Silicon Valley, etc., donc c'est pas un pays, mais clairement, c'est une zone économique, on peut dire, qui drive de la croissance pour ce monde. Et le mec l'a fait, quoi. Le mec l'a fait. Le mec, il a été élu gouverneur de la Californie après avoir été Mister Olympia et une star hollywoodienne. Enfin, c'est tellement what the fuck, quand on y pense, qu'on ne peut qu'être admiratif de ce mec-là, quoi. C'est juste incroyable. Et dans sa loi du succès, Ave a Vision, il s'est dit, voilà, moi je voulais être gouverneur de la Californie. Et les mecs, j'ai tout fait pour l'être. J'ai tout fait pour l'être. J'ai appris tous les codes de la politique, je me suis bougé le cul, j'ai pris toutes les baffes qu'il fallait, j'ai perdu des élections, j'ai été dos au mur et pourtant je me suis relevé et j'ai réussi, les gars. Ça m'a demandé de sacrifier toute ma carrière hollywoodienne, je savais que du coup, je ne pouvais plus faire de films au moment du mandat, que globalement, je n'allais plus gagner d'argent parce que j'allais tout réinvestir dans mes campagnes, mes trucs, machin. Le mec, il a tout donné parce qu'il voulait l'être et que tous les matins, il se levait pour être gouverneur de la Californie et il l'a fait. Franchement, s'il y a bien un mec qui incarne ce fait de quand j'ai une vision et que je suis intimement convaincu que c'est la bonne vision pour moi et que je mets tout en marge, tout en oeuvre pour y arriver, peu importe les obstacles que j'ai, je vais y arriver. Et ça, les amis, mes petits Neptunia encore une fois, je pense que ce sont des bonnes valeurs à garder en tête et que vous ne pouvez être insubmersibles que si vous êtes fondamentalement convaincu de votre vision. Et si vous n'avez pas de vision pour vous-même ou que quand vous y pensez, vous n'avez pas juste envie de tout défoncer, de vous lever le matin et d'envoyer le pâté, c'est que vous n'avez pas la bonne vision. Donc, je vous invite à re-questionner votre vision de vous-même et votre vision pour votre vie et d'en être aussi intimement convaincu qu'Arnold Schwarzenegger. Alors, je reviens du coup à la phrase de mon papa, quand on veut, on peut. Une fois que vous savez ce que vous voulez, il n'y a aucune raison tangible qui vous empêchera de ne pas y arriver. Et le fameux peut, en fait, il va découler de ce que tu veux. Quand tu veux, tu peux. Quand on veut, on peut. C'est la clé du succès. Donc, quand je te dis qu'on peut, ça veut dire que rien n'est impossible, les amis. Rien n'est impossible et que les objectifs que vous fixez, j'en ai déjà parlé longuement dans un des premiers épisodes, on s'en fout de savoir si ça n'a jamais été atteint, etc. Et la meuf qui veut aller sur Mars, bordel, il veut aller sur Mars. Vous, la boîte que vous voulez monter, les millions d'euros de chiffre d'affaires que vous voulez faire, tous les gosses que vous voulez avoir, cette meuf, entre guillemets, ou ce mec-là que vous voyez tous les jours et que vous n'osez pas aborder, vous dites, il est inaccessible. Si c'est vraiment la personne que vous voulez, elle est accessible. Bougez-vous, allez lui parler. Vous êtes largement à la hauteur pour pouvoir lui parler. Pareil, ce défi sportif ou je ne sais quoi, ce que vous voulez accomplir, ce marathon que vous voulez courir, est-ce que c'est vraiment ce que vous voulez ? Est-ce que vous voyez cette vision de vous-même qui arrive sur la ligne d'arrivée, qui a en pleurs de douleur, mais qui arrive au bout de ce challenge ? Ok, c'est vraiment ce que vous voulez, donc vous pouvez le faire. Peu importe ce que les autres disent. Maintenant, il faut mettre l'effort. Et il faut, c'est la loi, je sais que c'est la n°2 et j'y reviendrai dans un épisode encore une fois plus tard, de ce fameux Schwarzenegger. Quand on veut, on peut work yourself et donner tout pour l'avoir. Ça fait écho à une autre phrase qui m'a bien fait marrer quand je l'avais entendu. Je ne sais plus d'ailleurs qui disait ça. Enfin, je ne sais plus où je l'ai entendu et qui disait ça, je sais qui c'est. Il y a un journaliste qui avait demandé à François Mitterrand, comment on fait pour devenir président de la République ? Et Mitterrand avait répondu dans l'air très autant et sûr de lui, écoutez monsieur le journaliste, c'est très simple, pour devenir président de la République, il suffit de vouloir. Alors, dit comme ça, on peut se dire, quel présomptueux ce Mitterrand. Mais en fait, il faut comprendre que c'est tellement dur d'être président de la République. Ça génère tellement de stress, tellement de merde. Enfin, je veux dire, tout le monde vous déteste. Il n'y a pas un président de la République qui n'entre pas à plein la gueule globalement au quotidien. Ça demande tellement de responsabilité que, en fait, à partir du moment où votre vision, c'est de devenir président de la République, il y a tellement peu de personnes qui ont cette vision-là que, comme le dit Mitterrand, peut-être que j'étais le seul à vraiment le vouloir suffisamment, à savoir tout ce que ça impliquait et à avoir suffisamment la conviction que je voulais être président de la République pour me lever le matin et faire tout ce qui est possible pour le devenir. Parce que c'est tellement dur. Je vais tellement chier. Finalement, je pense que si tu le veux vraiment, ben voilà, tu vas le devenir parce que c'est tellement dur que trop peu de personnes sont prêtes à le vouloir suffisamment pour Et je crois que quand on lit la biographie de Sarkozy, c'est pareil. Enfin, bref, juste que vous compreniez encore une fois l'état d'esprit dans lequel ces mecs-là sont, c'est qu'ils ont cette vision d'eux-mêmes, ils ont cette vision de ce qu'ils veulent accomplir aussi fou soit-elle et ils mettent tout en oeuvre pour y arriver. Et ça, c'est la clé du succès. Parce que quand vous avez ça, encore une fois, toutes les barrières, toutes les baffes que vous allez prendre à longueur de journée, mais vous allez les encaisser tellement comme des chefs que vous allez y arriver à un moment ou à un autre. Après, évidemment, ça prend un tout temps, il va falloir se bouger le cul et ça va être dur, mais quand vous avez la bonne vision, vous pouvez y arriver. Du coup, revenons à quand on veut, on peut et je vais vous donner un petit peu d'anecdotes personnelles où cette phrase me vient en tête. Déjà, il faut voir que mon père nous répétait cette phrase à longueur de journée, souvent l'été, dès notre plus jeune âge, en tout cas, je pense qu'il l'a fait à mes deux frères et à mes deux sœurs aussi, notamment quand on allait dans les Pyrénées l'été et qu'on allait monter une petite montagne qui s'appelle la Rune. Mais quand vous êtes petit, quand vous avez 5 ou 6 ans, c'est dur la Rune. Il y a 900 mètres de dénivelé, il fait chaud, il fait 30 degrés, pas facile. Et je me souviens encore de mon papa dans la montée de la Rune, il y a chaud et puis à un moment, ça s'appelle le Rédillon, une espèce de pente, ça doit faire 500 mètres, mais c'est à 30 ou 40 % et franchement, elle fait mal aux jambes. C'est juste le moment quand tu as 5 ou 6 ans, t'as envie d'abandonner, t'es en mode, maman, c'est trop dur et tout. Et je me souviens encore de mon papa répétant, j'étais derrière lui, je me vois très bien dans ses jambes. Quand on veut, on peut. Effectivement, j'avais envie d'arriver en haut. Pourquoi on a envie d'arriver en haut de la Rune ? C'est que tu sais qu'en haut de la Rune, t'es trop content, tu peux avoir le petit chocolat chaud, t'as le petit cadeau qui va bien. Je me souviens, c'est à la frontière espagnole, donc il y avait le touron, extrêmement bon. Souvent, mes parents avaient l'habitude d'acheter un petit souvenir, un petit couteau, une petite médaille et tout. Du coup, t'as juste envie d'avoir ce cadeau. Tu sais que tu t'abandonnes, t'es en mode, non, je ne peux pas, mais je veux y aller, je me vois en haut. Du coup, on peut. Je me souviens de mon papa, quand on veut, on peut, sur plein de trucs. Du coup, ça m'a fait rire. Enfin, ça me fait rire quand j'y repense parce que je me rends compte à quel point tout ça est lié. Et je me suis vraiment rendu compte de la puissance de cette phrase quand je suis rentré en prépa. Je vous avais déjà fait quelques anecdotes sur la prépa, mais quand je suis rentré en prépa, franchement, je ne suis pas rentré pour niaiser et je voulais HEC. Je suis rentré en prépa, du coup, en école de commerce, je voulais HEC. Et je me suis dit, à ce moment-là, pendant deux ans, il n'y a rien qui va me détourner de ma vision de vouloir HEC. J'étais à Saint-Croix, à Neuilly, qui a une bonne prépa, mais il faut savoir qu'il y avait un HEC tous les dix ans. Je crois qu'il n'y avait pas eu d'HEC depuis quelques années. Globalement, c'était d'un point de vue naysayer, mais laisse tomber, ce n'est pas une prépa qui met des personnes à HEC. Il n'y a pas les bons profs, il n'y a pas les bons trucs. On n'est pas assez bons. Déjà, si tu fais top 6, c'est cool. Mais no way, les mecs, no way. Moi, je voulais HEC. Je n'étais pas rentré en prépa pour niaiser. Du coup, je pense que je vous avais raconté, je ne sais plus, je vous avoue ce que je vous ai dit, mais je pense que j'en parlais encore dans un épisode précédent. Allez, 90% de mes samedis soirs, je me souviens, mon grand plaisir que j'avais, c'était ma vision que j'avais, je voulais aller à HEC. Tous mes samedis soirs, globalement, à l'époque, je me mettais de la bonne techno de 20h à minuit et je me faisais des problèmes de maths HEC toute la nuit, jusqu'à minuit. Mon samedi soir, en prépa, de 20h à minuit, c'était maths HEC. Bon, là, autant vous dire que d'un point de vue autiste, je ne peux pas faire pire. Qui est-ce que je kiffais ? Qu'est-ce que j'étais content ? Parce que je savais que c'était dur. En vrai, évidemment, j'avais des sollicitations externes, il vient à boire la bière et machin, le truc. Mais non, à aucun moment, je ne voulais aller boire cette bière parce que je savais que ça me détournait ma vision de, en vrai, si je ne fais pas ces problèmes HEC, je ne fais pas 4 heures dans la semaine faire ça. Au pire moment. Mais je n'ai pas l'air insolite pour aller HEC. Et ça, franchement, ce travail, ça a juste payé puisque je me souviens que j'étais admissible à HEC. Au moment où j'ai vu l'admissibilité tomber, j'en ai pleuré. J'en ai pleuré parce que j'ai compris à quel point, quand tu veux, tu peux, quand tu as cette vision de toi, tu peux y arriver. Alors là, vous allez me dire, mais attends, tu ne m'as pas dit que tu as fait HEC, Thomas. Non, je n'ai pas fait HEC. Et ça, je suis très critique envers moi. Mais ce n'est pas du tout une frustration que j'ai, c'est qu'entre les écrits et les euros, donc pour ceux qui ne sont pas familiers avec ça, globalement, tu as tes écrits, tu es admissible à l'école et ensuite, tu vas à l'école et tu vas passer des euros. Donc, tu repars à zéro globalement et les euros vont conditionner ton admission finale ou pas. Sauf qu'en fait, entre les écrits et les euros, mon mindset avait changé, j'ai eu un switch perso et la chose que je voulais plus au monde à ce moment-là, ce n'était plus du tout HEC. Ça n'a pas loupé les mecs. Je n'ai pas eu HEC à cause de ça. Et ça, je suis très critique et c'est vrai que je n'en peux pas, mais je pense que ça ne peut pas être plus schématique de ce que j'essaie de vous partager sur le « quand on veut, on peut ». C'est qu'au moment même où j'ai divagué, j'ai dit un tout petit peu dérivé de mon objectif, je n'ai pas eu ce que je voulais, parce que ma vision avait changé, je n'ai plus mis les efforts qu'il fallait, je n'ai pas préparé les euros à la hauteur de ce que quelqu'un d'admis à HEC devait réaliser, en tout cas par rapport aux exigences des euros, mais ça n'a pas loupé. Et comble d'ailleurs de cette fameuse phrase et à quel point en fait, tout est une question de mérite et quand vous savez ce que vous voulez, vous l'obtenez, mais en même temps, quand vous ne mettez pas les efforts, vous ne l'avez pas. J'ai eu 20 partout en maths, typiquement à toutes les épreuves décrites, c'était vraiment mon point fort. Et ce pourquoi je n'ai pas eu HEC, c'est que j'ai eu 9 aux euros en maths, parce que trop sûr de moi, en fait, c'est la seule matière que je n'ai pas bossé, je me suis fait un peu déchiré, encore une fois pour tout un tas de raisons personnelles. Et bien, bam, la sanction tombe, j'ai eu 9, alors que c'était censé être pour moi du caviar ce truc-là. Bref, pour vous dire, quand on veut, on peut, mais aussi, quand on ne veut plus, on ne peut plus. Et ça pour moi, ça a été aussi une bonne leçon de vie de me dire, ok, en fait, tu vois que dès que tu commences à sortir de tes objectifs et dès que tu commences à tout petit peu dériver de ta vision, c'est simple, finalement, tu n'accomplis jamais ce que tu veux accomplir. Et Arnold, d'ailleurs, en parle très bien dans sa vidéo, il te dit, je déteste les plans B, parce qu'à chaque moment qu'on va penser au plan B, ça nous dérive, ça nous enlève du temps pour peaufiner le plan A. Et ça, encore une fois, c'est juste génial. N'ayez jamais de plan B. Je pense que ce concept aussi, il est fort. Tout ce qui est filet de sécurité, non, non, non, mais en fait, comment est-ce que vous voulez arriver à atteindre votre plan A, surtout si vous fixez des objectifs élevés, si vous avez un plan B ? C'est nul, c'est nul. Ça ne peut pas fonctionner. Du coup, j'ai envie de vous dire, surtout, savez ce que vous voulez, enfin, essayez de savoir ce que vous voulez et mettez tous les efforts que vous voulez et n'ayez pas de plan B. Vraiment, ça fonctionne dans toutes les réalités de votre vie. Alors après, le truc, c'est que, vous allez me dire, mais c'est dur de savoir aussi ce que tu veux. Oui, c'est clair, c'est dur. Et je vous en parlais aussi dans un épisode précédent, invent yourself and reinvent yourself. Parfois, vous allez mettre beaucoup d'efforts à atteindre une vision de vous-même, puis vous vous rendez compte que finalement, ce n'est plus ce que vous voulez. Ça arrive et je pense que ça arrive à tout le monde. Mais ce qui est important, encore une fois, ce n'est pas de s'entêter dans cette vision-là et c'est là où il faut se réinventer et se dire, en fait, ce n'est plus ça ce que je veux, mais ce n'est plus A, c'est B. Et donc, du coup, il faut que je remette tous les efforts vers B. C'est vrai que le fait que je n'ai pas eu HEC, je m'en contrefous au fond parce qu'en fait, je voulais autre chose à ce moment-là. Et j'étais hyper fine avec le fait que ça avait, en fait, juste... La raison pour laquelle je n'ai pas eu HEC, c'est juste que ma vision à ce moment-là a changé et que ce n'est pas parce que j'ai fait le lâche ou quoi que ce soit, c'est que mes objectifs avaient changé à ce moment-là et je n'ai pas eu. Et c'est normal, c'est la leçon que je méritais. Bref, d'autres exemples où je vois à quel point le fameux « quand on veut, on peut » fonctionne. Quand je me suis lancé de manière indépendante, justement à la fin de mes études d'école de commerce, donc à la fin de l'EDEC, vraiment ce que je voulais le plus à ce moment-là, c'était de l'indépendance. Et à aucun moment, en fait, j'avais envie de me lever le matin pour vendre mon temps pour quelqu'un. Donc, je ne voulais pas être en CDI, je ne voulais pas aller travailler pour quelqu'un, je voulais travailler pour moi. Je voulais de l'indépendance, de l'indépendance en termes de mon temps, je voulais de l'indépendance financière, etc. Et c'est pour ça que j'ai mis tous les efforts de la planète pour atteindre ça. Quand je vous disais dans les épisodes précédents, je suis monté, quand j'étais en prestat freelance, jusqu'à 30 clients. Je bossais de nuit et jour pour gérer tout le monde et essayer d'apporter une qualité de service de malade, je l'ai fait. Je l'ai fait, ça m'a permis évidemment de récupérer quand même pas mal d'argent, de me mettre à l'abri et de me dire, OK, c'est bon, j'ai atteint suffisamment d'indépendance financière à ce moment-là pour ne plus jamais avoir à bosser pour quelqu'un. Et c'est là où je me suis dit, OK, c'est bon, j'attends ça. Là, je vois que ça me pèse trop, il faut que je fasse autre chose. Et du coup, on a pivoté après sur Lead Studio, j'avais envie de créer un autre projet, commencer à recruter du monde, créer une équipe, etc. Et j'en suis là aujourd'hui. Donc là, encore une fois, je savais ce que je voulais, j'ai mis tous les efforts de la planète pour y arriver, j'ai atteint, j'ai vu que c'était cool, j'avais atteint à ce moment-là ma vision, mais ce n'était plus ce que je voulais, je me réinvente et je suis reparti sur autre chose. Pareil en 2023. En 2023, mon objectif principal, c'était de sauver Lead Studio suite à le départ de Lucie et j'ai mis tellement de cœur, c'est ce que je voulais. Toute mon année a été centrée sur ça. On a fait la meilleure année ever de Lead Studio. Et cette année, je sais que ce que je vous disais dans un podcast précédent, mon focus aujourd'hui, il est de trouver mes nouveaux, ma nouvelle ou mon nouveau associé, d'aborder avec moi des killers qui vont nous permettre ensuite de passer Lead Studio à 50 ou 100 millions d'euros dans les années à venir. Et que du coup, là, ce n'est plus du tout de sauver Lead Studio, c'est de trouver ces killers, ces mercenaires, ces tueurs qui vont amener Lead Studio à 50 voire 100 millions dans les années à venir. Et je vais mettre tout en œuvre pour qu'on y arrive, donner, motiver un maximum de personnes, trouver les bonnes personnes, discuter, etc. Et ça, je vous en parlais encore une fois dans un épisode précédent. Je sais ce que je veux et je sais que je peux le faire. Je sais que je peux trouver des personnes qui sont à donf sur ce projet, qui ont envie de le construire avec moi, qui se reconnaissent dans tout ce que je peux vous partager et qui ont envie de le construire. Et ça prendra temps que ça prend. Mais en tout cas, tous les matins, je me lève avec cet objectif et je sais et je suis capable de me dire quand est-ce que je fais l'âche par rapport à cet objectif-là et de tout de suite me réaligner vers cet objectif. Donc voilà, les amis, quand on veut, on peut. Merci papa pour cette phrase qui me porte encore une fois et je sais que tu écouteras d'ailleurs ce podcast. Et peut-être que ça te fera sourire et ça va certainement sourire mes frères et mes sœurs. Elles ont aussi été baignées par ça. Voilà pour la leçon du jour. J'espère qu'elle vous incite encore une fois à la méditation. On va passer un petit peu aux actus de l'île studio. Donc comme je vous l'ai dit, quand on veut, on peut. Qu'est-ce que j'ai fait encore une fois ces derniers temps pour avancer là-dessus ? Déjà, je parle encore une fois à beaucoup de monde. Je vous disais la semaine dernière que j'avais lancé les premiers live Discord. J'adore discuter avec ma communauté de plus en plus. Je me rends compte encore une fois que c'était quelque chose que j'avais mis de côté pendant pas mal de temps, suite à tous les déboires de sauver l'île studio et la vision que je pouvais avoir par le passé. Là, clairement, j'adore discuter avec vous. Donc on a fait ces live Discord. Il y en aura un lundi prochain. Je ne sais plus, je crois que c'est le 29. Quand cet épisode tournera, le live sera déjà passé. Mais j'ai envie de prendre le temps de discuter avec vous, de partager sur le monde de l'acquisition digitale d'entrepreneurs. Ça, c'est la première chose. Que vous dire de plus ? Les objectifs avancent. Je continue à produire du contenu sur YouTube de manière assidue. J'espère que les premiers épisodes d'Insumerci vous plaisent. J'ai besoin de vos feedbacks. Ça me tient vraiment à cœur. Très important. Voilà. Sinon, clairement, j'ai fait preuve d'insubmersibilité cette semaine. Justement pour permettre à tous mes partenaires et toute mon équipe aujourd'hui de bien faire leur travail, je vois que globalement sur le système de distribution qu'on avait actuellement sur la partie de l'IGEN, c'est peut-être un jargon pour vous, mais ce n'était pas assez bien. On est en train de changer de CRM. C'est comme changer le réacteur d'un radiot en plein vol. J'ai passé ma semaine clairement à gérer du caca, on va se le dire, puisqu'en fait, on a eu plein de soucis de distribution de prospects. Donc, il fallait tout remettre globalement à la main. C'était dur. Franchement, j'ai eu des moments durs cette semaine pour arriver à tout gérer. Je pense que la semaine prochaine, ça va être dur aussi pour continuer d'intégrer ce nouveau système. C'est extrêmement difficile. Dieu merci, mon équipe est là, elle m'aide. Vous êtes au top. Je m'inculque aussi au quotidien à ce que je vous apporte dans ce podcast. On ne lâche rien. Je sais, j'ai la conviction que cet outil-là est nécessaire pour le bon développement de l'e-studio et donc j'y mets tous les efforts pour qu'on y arrive. Évidemment, je sais que ça va durer peut-être deux ou trois semaines. La douleur est temporaire. On revient encore une fois sur un thème passé, mais on va y arriver et ça prendra le temps qu'il faut et je suis prêt à sacrifier des soirées entières pour que ce système fonctionne, puisque je sais qu'il est nécessaire. Donc là, clairement, c'est un des objectifs du moment. D'un point de vue réseau, je pense qu'il va y avoir un petit peu de rebranding, parce que vous me connaissez soit via Web Market School, soit via l'e-studio, soit autre. Web Market School va vraiment disparaître. Pour moi, ça va plus être mon laboratoire personnel geek, parce que vous savez à quel point je peux être geek sur mon métier. Donc, on va rebrander la chaîne. Ça va être la chaîne de Thomas Moufflard, geek entre guillemets. Je vais vous partager les astuces pour générer du prospect, pour manier Google Ads, etc. Et la chaîne l'e-studio va être, si vous voulez, la chaîne beaucoup plus corpo où je vais vous partager du contenu avec d'autres entrepreneurs à succès. La réalité de l'entreprenariat sur notre marché de la génération de prospects, mais pas que. J'ai vraiment envie de partager plus avec des entrepreneurs à succès. Hier, d'ailleurs, on a eu un super échange à WeWork Paris, Lafayette, avec Jean Eude, qui est un entrepreneur à succès et avec qui on discute régulièrement et qui me partageait comment est-ce que lui, il avait réussi à monter une équipe de 12 personnes, il a levé des fonds, etc. Donc, sa boîte s'appelle Seql, S-E-E-Q-L-E. Je vous encourage vraiment, d'ailleurs, à suivre Jean Eude, super entrepreneur. Quel échange de fou on a encore eu. Clairement, ce sont des échanges que j'ai envie de vous partager via la chaîne de l'e-studio avec des entrepreneurs qui sont inspirants et qui vous motivent, qui vous aident justement à travailler votre vision et à vous donner envie de réussir et d'accomplir vos projets, les amis, et d'atteindre votre vision. Voilà pour la partie l'e-studio, la partie contenu. Et dernier mot, j'attends vos feedbacks. C'est important pour moi de savoir ce qui vous plaît, ce qui vous motive et aussi ce que vous n'aimez pas, ce que vous ne comprenez pas ou surtout le contenu sur lequel vous souhaitez que je mette l'accent pour l'épisode 8, 9, 10 et tous les épisodes qui vont sortir sur ce podcast et sur tout le contenu qui va être proposé sur la chaîne YouTube. Voilà, les amis, pour cet épisode 7, quand on veut, on peut garder en tête, travailler votre vision et comme d'hab, ne lâchez rien. Vous êtes là pour un bon moment. Soyez insubmersibles. Entreprendre, atteindre sa vision, c'est dur, mais ne lâchez rien. C'était Thomas pour Insubmersibles et je vous dis à très vite pour l'épisode 8.