28 janvier - Le Prix de la Vie

The transcription discusses the practice of presenting the first-born child to the Lord as an offering of gratitude and dedication. It references the biblical origins of this practice, where the first-born of the Egyptians were killed while the first-born of the Israelites were spared. The story of Eric, whose life was miraculously saved when he was working without safety equipment, is also mentioned as an example of God's preservation. The transcription concludes by urging gratitude and offering thanks to God for preserving lives, especially in the midst of a pandemic. Offertoire du Sabbat le 28 janvier 2023 Le Prix de la Vie Car tout premier-né des enfants d'Israël m'appartient, tant des hommes que des animaux. Le jour où j'ai frappé tous les premiers-nés dans le pays d'Égypte, je me les suis consacrés. Nombre chapitre 8 Verset 17 Nous adorons Dieu avec nos ressources parce qu'il a préservé nos vies. Nous nous souvenons tous de Joseph et de Marie, amenant l'enfant Jésus au temple trente-trois jours après sa naissance. Jésus a été présenté au Seigneur et cet événement a inspiré de nombreux chrétiens. L'origine de cette pratique remonte à l'époque où les Israélites avaient quitté l'Égypte. Lorsque la dixième plaie a frappé, le premier-né égyptien a été tué alors que Dieu protégeait le premier-né des Israélites. Ainsi de souvenir, chaque parent en Israël consacrerait son fils premier-né au Seigneur et apporterait les offrandes correspondantes. Dépendamment de la richesse de la famille, il s'agissait soit d'un agneau d'un an, soit de deux tourterelles offertes en remerciement et pour la consécration d'une vie épargnée. Dieu épargne encore des vies aujourd'hui. Éric était un jeune homme quand il a compris comment Dieu avait épargné sa vie. Son travail d'été consistait à nettoyer de grandes vitres d'un immeuble de trois étages. Il devait sortir de chaque pièce et se tenir debout sur un rebord de douze centimètres pour nettoyer la surface extérieure du panneau central fixe de chaque fenêtre. Il n'avait pas d'équipement de sécurité. Il devait s'accrocher fermement au cadre avec une main tout en travaillant de l'autre. Un jour, alors qu'il travaillait à l'extérieur d'une pièce au troisième étage, un vent violent a fermé la fenêtre sur sa main qui tenait le cadre. Par réflexe, il lâcha prise. Pendant quelques secondes, il était immobile, les mains libres, à vingt mètres du sol, sans aucun harnais de sécurité. Miraculeusement, Éric s'est ressaisi et a réussi à s'agripper au cadre de sa main blessée. Dieu avait préservé sa vie et il a choisi de se consacrer pleinement au service de son protecteur. Après avoir traversé une pandémie qui a déjà tué des millions de personnes, nous, les survivants, avons de nombreuses raisons d'être reconnaissants. Cette semaine, alors que nous adorons avec notre dîme et nos offrandes régulières, montrons notre appréciation à notre protecteur. Seigneur, nous t'adorons et nous te remercions parce que ton amour et tes soins ont préservé nos vies. Reçois, s'il te plaît, nos offrandes de remerciements et de consécrations. Nous t'avons prié au nom de Jésus. Amen