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Charité point comme (POD00050)

Charité point comme (POD00050)

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A group of young artists are promoting their upcoming theater performance set in the early 20th century. The play explores the themes of charity and the relationship between the church and the working class. They aim to challenge the church's perception of the marginalized and to create a dialogue about its relevance in today's society. The group believes that through their art, they can convey important messages, unite people, and inspire others to use their talents to serve Christ. They emphasize the importance of community and encourage young people to come together and make a difference. On vous l'a déjà dit un petit peu, quand même. Allez, on va tout vous dévoiler maintenant, ce que tu peux leur dire. Alors, on est ici pour la fête du Dieu 16 et pour rencontrer les gens et principalement leur parler de notre troupe et de notre pièce de théâtre parce qu'on va bientôt jouer dans la région, juste à côté, à Verdun. Dave, tu veux en dire plus ? Alors, ce sera le samedi 18 novembre au collège privé Saint-Jean-de-Glorieuse. A 20h ? A 20h, on espère vous voir. Et l'entrée est gratuite, libre. Sans blague. Et tout le monde peut venir, les enfants, les ados, les adultes, c'est une pièce pour tout le monde. Et les plus grands enfants encore. Les plus grands enfants, je ne savais pas qu'il y avait des enfants et les plus grands enfants. OK, merci, j'apprends des choses aujourd'hui. Donc, du coup, ce théâtre, ça parle de quoi ? Ça parle de quoi ? Parce que, OK, c'est bon, il y a un théâtre, mais ça parle de quoi ? Alors, ça parle du monde ouvrier, des ouvriers qui sont dans un bar, un bar dans le quartier populaire de Charonne, à Paris, au début du XXe siècle. Et ça parle aussi de charité, t'as oublié ça. Ça parle de charité, de comment les personnages voient la charité, et de leur rapport avec l'Église, en cette période, juste avant la guerre. C'est excellent, ça, je viens de me rappeler de quelque chose. Il y a un padre, un père qui m'a une fois interpellé en me disant, en me répétant en fait la phrase de Saint-François d'Exibéry, c'est ça ? En me disant qu'au soir de notre jour, nous serons jugés par l'amour. Et l'amour était égal à la charité. J'étais en prison et vous ne m'avez pas visité, j'avais faim, vous ne m'avez rien donné. Ça fait à des gens la même charité. Absolument. Moi, ça me fait penser à l'Église, à l'époque de la Fieste. Une Église qui est plutôt loin de ces gens, de ces pauvres gens, qui vivent parfois dans la misère et dans les difficultés du quotidien. Dans la guerre aussi, qui frappe à leurs portes. Et donc, l'amour, cet amour dont vous parlez, cette charité, ils en ont besoin. Et en fait, s'ils ne l'aperçoivent pas, ils ne la reçoivent peut-être pas de l'Église. Et on a une figure de Père Anisant qui est proche d'eux, qui est là, et qui leur propose justement un nouveau visage de l'Église. Une proposition de cette charité, de cet amour. Les personnages de la Fieste ne l'acceptent pas forcément, parce que c'est difficile d'être aimé aussi. On a du mal parfois à accepter d'être aimé, nous. Et donc, les personnages ont aussi ces difficultés. Et l'Église de l'époque a le défi de leur dire qu'eux aussi sont aimés. Merci beaucoup. Ce qui est bizarre, au fait, dans cette tranche, c'est que j'ai des frissons. Il faut venir voir la pièce. Vous en aurez tout en temps. Donc du coup, je dois chercher à convaincre les autres personnes, parce que moi, je serai déjà là. Donc du coup, il y a une question qui revient. C'est pourquoi je dois nécessairement participer, venir vous voir ? Pourquoi ? Pourquoi ? Parce que ce n'est pas seulement du théâtre. Vous aurez plein de surprises tout au fil de la pièce. C'est une pièce qui avait déjà été jouée il y a 20 ans. Et on l'a modernisée avec nos talents, avec la jeunesse de Saint-Ouen. Au-delà de l'aspect artistique, il y a la réflexion derrière sur la charité et sur plein d'autres problématiques de l'époque, mais qui sont encore valables aujourd'hui. C'est vraiment une pièce universelle qui parlera à tous, aux plus petits, aux plus grands. Et après la pièce, vous pourrez venir rester avec nous un petit peu pour discuter, échanger, poser les questions qui vous intéressent. Excusez ma curiosité. Donc, ce que je comprends, c'est qu'il y a des problèmes qui existaient il y a 20 ans. Parce que cette pièce, elle a été jouée il y a 20 ans. Et vous venez de me dire que ces mêmes problèmes existent jusqu'à aujourd'hui. Mais j'en dis quand même, des décennies, ça fait trop, les choses ont évolué. En fait, nous, on vient de Saint-Point. Et donc Saint-Point, c'est la banlieue de Paris. Et donc les quartiers populaires, on les connaît bien. Et on est pour la plupart accompagnateurs de jeunes qui viennent de ces quartiers populaires-là. Et donc quand l'église s'adresse au début du siècle au quartier de Charonne, c'est de nous que ça nous parle, parce que c'est aussi cette église qui s'adresse à nous aujourd'hui. Et donc ça nous questionne. Et ça va vous questionner aussi comment l'église s'adresse aujourd'hui aux plus petits. On revient des GMJ. Et on a été frappé, par exemple, par les paroles du pape qui ont dit que l'église était pour tous. Et donc dans cette pièce, on se demande vraiment, l'église était-elle pour tous ? Et aujourd'hui, est-ce qu'elle est encore capable d'accueillir tout le monde ? Je crois qu'on essaye d'y répondre. Et je crois que les jeunes, dans leur aventure, qu'ils vivent aussi à l'intérieur de la troupe, essayent de répondre à cette question. Excellent. Excellent. Excellent. Vous venez parler des GMJ. J'y étais. Et il y a des millions et des millions de personnes qui ont suivi les GMJ. En français, ça voulait dire ceci. Il y a ces slogans, en fait, qui voulaient dire... J'ai réfléchi. Quelle est la jeunesse du pape ? Mais, bizarrement, mon portugais n'est pas assez top. Donc là, je suis devant des artistes qui étaient très intensifs aux GMJ et qui parlent mieux le portugais que moi, bien sûr. Et c'était quoi, déjà, en portugais ? Alors, pour le coup, c'était de l'espagnol. Le refrain était repris en espagnol, pas forcément en portugais. Et c'était... S.A.S. La juventud del papa. Bizarrement, apparemment, ça sonne quand c'est quatre personnes qui répètent ça. S.A.S. La juventud del papa. S.A.S. La juventud del papa. Est-ce que je peux ajouter qu'on est finalement aussi la jeunesse du Christ ? Avant et en même temps d'être celle du pape. Merci beaucoup. Bon, ma curiosité, elle est assez longue. D'où vient ça ? S.A.S. La juventud del papa, c'est ça ? La juventud est de la jeunesse. Et voici la jeunesse du pape. Voici la jeunesse du pape. Waouh ! C'est excellent et j'aime bien ce que tu viens de dire. Nous sommes la jeunesse du Christ et la jeunesse du pape, bien sûr. Merci beaucoup. J'ai des millions et des millions de questions. Qu'est-ce qui vous anime ? Nous sommes, c'est le 21e ou le 22e siècle. Nous sommes dans quel siècle déjà ? Le 21e. Le 21e. Le 21e siècle. Les choses évoluent, il y a la digitalisation. Il y a les hip-hop qui sont passés. Il y a les différents arts qui sont passés. Il y a tout ce qui est passé, je ne peux pas en citer. Au fait, il y a ce développement. Mais voire des jeunes. Des jeunes qui font du théâtre. Et en associant le théâtre et le christianisme, ça m'étonne. Du coup, je suis curieux de savoir qu'est-ce qui vous anime ? D'où vient ce courage ? Préchez-nous, s'il vous plaît. Alors ce courage, après nous, on est comme tous les autres jeunes. C'est-à-dire que l'Église, on nous y amène. Et ensuite, ça dépend de si toi tu veux continuer ou pas. Si tu le ressens au fond de toi-même. Et du coup, nous, on a fait plusieurs voyages. Dont les GMJ, les dernières dates qui nous ont rassemblés. Et on a fait aussi la Moonry. Mais j'ai envie de dire que tout ce qui nous rassemble aujourd'hui, ce serait Jésus. Waouh ! C'est Jésus qui nous rassemble nous tous ici. C'est excellent. Il y a autre chose à ajouter ? Il y a beaucoup de personnes qui nous ont interpellées aujourd'hui pour dire que ça leur faisait du bien de voir des jeunes s'engager, s'investir dans l'Église. Et c'est vrai que c'est l'avenir. Et nous, ce qui nous tient à cœur, c'est de faire en sorte que l'Église, elle nous ressemble. Et de transmettre à travers la pièce et à travers le groupe et tous nos projets. Transmettre des valeurs qui nous tiennent à cœur. Toujours avec amour, d'enveillance et de la charité. Notre définition de la charité. Merci beaucoup. Bizarrement, excusez-moi, je suis toujours kirié. Il y a des questions que j'ai notées. Il y a d'autres questions que je n'ai pas notées au fur et à mesure que vous parlez. Je peux dire que je suis de plus en plus inspiré des jeunes catholiques en 2023. Waouh, ça fait beaucoup de siècles après le départ du Christ. Et moi j'aimerais savoir, parce qu'aujourd'hui nous sommes jeunes catholiques. Non seulement c'est des jeunes qui vont à l'Église, mais ils s'engagent aujourd'hui à travers l'art, prêcher et ramener des âmes au Christ. Tout à l'heure j'ai posé la question de savoir qu'est-ce qui vous anime. Mais moi j'aimerais savoir c'est quoi votre message. Qu'est-ce que vous voulez aujourd'hui transmettre, surtout aux jeunes. Moi j'aimerais savoir, parce que je suis de plus en plus kirié, une fois de plus, excusez-moi. C'est quoi ces messages que vous voulez transmettre aux jeunes. Et tant que jeunes, c'est quoi ces messages. Je sais que vous êtes motivés, mais qu'est-ce que vous voulez nous transmettre. Je pense que le message pourrait être de faire groupe et de se rassembler. Car on n'est pas seul, on pense souvent qu'on est seul, peut-être seul chrétien. Mais en faisant groupe, comme au JMJ, comme notre troupe projetée. De faire groupe pour en parler et pour montrer qu'en fait on peut faire qu'un, on peut être unis. Et c'est un peu ce que Jésus voulait, être avec ses amis. Donc faire vraiment un groupe uni, entre amis, qui prêche la parole de Dieu. J'aimerais ajouter aussi que, j'aimerais que les jeunes d'aujourd'hui qui ont des talents. Et qui n'ont pas forcément conscience, et qui n'ont pas le courage de le montrer. L'amènent aussi, puisqu'ils peuvent tous apporter, on peut tous apporter à l'église. Ok, merci beaucoup. Du coup, vous êtes excellent, vous êtes excellent. Et c'est ma curiosité qui ne fait que se réveiller. Moi je pensais que pour servir Christ, il fallait être prêtre. Avec tout ce qui va avec évêque, cardinal, pape. Ou à la limite chanter dans une chorale. Ou être enfant des chœurs. Ou à la limite protocole. Donc, avec vous je viens de découvrir qu'on peut servir les Christ différemment. Excusez-moi, je ne savais pas qu'à travers les théâtres on pouvait servir les Christ. Comment ça se fait ? Peut-être, je crois que servir c'est d'abord reconnaître qu'on est aimé. Je pense qu'il faut d'abord se dire qu'on est aimé par le Christ. Et que du coup c'est comme ça qu'on peut se mettre à son service. Le titre de la pièce est charité.com. Charité ce n'est pas un mot vain, ce n'est pas un mot vide, c'est un mot fort. C'est un mot qui dit tout l'amour que le Seigneur a pour nous. Et cet amour qu'on doit se transmettre. Et donc, se mettre au service c'est accepter d'être aimé et de donner cet amour. Alors, c'est prendre du temps pour eux, c'est prendre de l'engagement, c'est mettre des choses de côté, c'est faire des choix. Mais c'est répondre à l'appel du Christ. Merci beaucoup. Répondre à l'appel du Christ. Donc, là c'est... Mais on peut dire qu'on devait faire une messe par rapport à tout ce que vous êtes en train de dire depuis que je suis avec vous là. Oui, mais il y a même le Père qui fait des conférements à côté de moi et je pense qu'il aura un petit message par rapport à ce que vous venez de dire Laura. Voilà ce que vient de dire Laura. Je dirais que ça rejoint une parole très profonde de Dostoevsky. Qui dit que la beauté sauvera le monde. Le Père Anisan il dit que c'est la charité qui sauvera le monde. Et je me dis que beauté et charité ça fait un super couple. Et donc cette beauté, vous la retrouvez dans la pièce. La pièce que j'ai vue pour la première fois lorsqu'ils l'ont jouée à Saint-Ouen. Et c'est une pièce qui s'inscrit dans une dynamique de ce qu'est le théâtre aujourd'hui. Moi je suis un adepte et un fan du festival d'Avignon où je vais presque tous les ans. Où je repère des artistes pour les faire venir ensuite dans les lieux, dans les paroisses, dans les quartiers populaires pour jouer. Parce que les hommes et les femmes de ces quartiers populaires ont besoin de beau pour vivre. Et que le beau ça nous permet de rêver, ça nous permet de nous évader, ça nous permet de retrouver la réalité, ça nous permet de vivre le quotidien. Ça nous permet aussi de prier. Et dans cette pièce il y a vraiment différents aspects comme de la chorégraphie, il y a du chant, il y a de la vidéo. On ne dit pas tout, parce qu'il faudra découvrir. Mais c'est pour dire que cette pièce elle s'inscrit dans la dynamique du théâtre d'aujourd'hui. Et c'est ce qu'on découvre lorsque l'on va à Avignon à différentes pièces de théâtre. Et je trouve que dans l'église c'est un super message. Et je trouve que trop souvent dans nos paroisses on est trop imprudent, on n'ose pas. Et il faut vraiment travailler avec l'art parce que l'art c'est la beauté et ça nous ouvre sur Dieu. Merci Padré. Je suis habitué à dire Padré au lieu de mon père. Merci Padré. Je trouve que c'est un peu stylé, ça fait un peu jeunesse. Padré. C'est ça. Ok. Je viens de tomber sur la fiche charité.com. Depuis tout à l'heure vous parlez de charité.com. Mais je viens de me rendre compte que les charités.com il n'y a pas un point, mais il y a un point. Et il n'y a pas un com, il y a un com. Pourriez-vous m'expliquer cette différence entre .com et .com ? Alors on a voulu faire un jeu de mots aussi, puisque .com ça nous emmène vers des sites. Et charité.com en toutes lettres ça fait référence à la charité comme quelque chose qui est vécu dans la pièce ou qui est présenté de différentes manières. Vous n'arrêtez pas de m'épater. Là je pense que vous risquez de faire votre pièce ici au fur et à mesure qu'on évolue. Donc du coup j'ai une dernière... Non. Est-ce que c'est une question d'air ? Non. J'aimerais bien avoir vos mots. Je rappelle que vous êtes sur R.C.F. Et c'est quoi aujourd'hui ? Non pas aujourd'hui, mais je pense... Avez-vous un petit message de passer à tous nos auditeurs, tous ces chrétiens catholiques et non catholiques, toutes ces personnes qui voudront bien rejoindre les Christs qui nous suivent chaque jour sur R.C.F. Quel message voudriez-vous passer à toutes ces personnes ? Excusez-moi, mais je suis exigeante, donc du coup j'aimerais bien, je pense que j'ai 5 messages à faire passer à tous nos auditeurs qui nous suivent de partout. Merci beaucoup, il y a Laura qui me regarde, donc c'est elle qui va commencer, après Aurora, après Clotilde, après Dev, et puis c'est les Padres. C'est l'impatience de son nom, Padre Pierre, qui va finir. Merci. Courage, courage, confiance, toujours et quand même, dans les moments de doute, dans les moments d'ombre, dans les moments de désespoir. Le courage, la confiance, toujours, sans cesser, et malgré tout, il faut oser, il faut y aller. Et avec cette phrase, je pense qu'on peut refaire le monde. Courage, confiance, toujours et quand même. Merci beaucoup, c'est une phrase vraiment excellente, et comme je disais au début de l'émission, nous allons tous méditer autour. Et c'est les tours d'Aurora, d'Aurora, d'Aurora, d'Aurora, excusez-moi. C'est Aurora qui va me passer un dernier message, c'est excellent, j'ai déjà des frissons. Ce que je peux dire, c'est que l'amour se partage, et on peut utiliser n'importe quelle manière pour le faire. Et ça peut passer par l'art, par un petit mot, par un petit geste, sinon que la chance était. Excellent, donc je viens me rendre compte que l'amour, c'est comme la joie, une fois qu'on la partage, au fait, elle se multiplie, c'est ça. Waouh, ok, à Clotilde, waouh, ça j'ai sent ça, donc il y a Dilour qui va sortir de Clotilde. Moi le message que je voudrais faire passer, c'est un message d'espérance, dire qu'il ne faut jamais perdre espoir, et que même quand c'est difficile, s'accrocher aux petites choses, aux petits gestes d'amour dont Orana a parlé, et avoir toujours confiance comme l'a dit Laura, et se rendre compte qu'on n'est pas tout seul. Ce matin, après l'évangile, l'Omélie, ça parlait notamment de Jésus, et l'histoire sur la plage, où je suis en train de marcher, il y a 4 traces de pas, donc Jésus est à côté de moi, et après je traverse un moment difficile, et en fait il n'y a plus que 2 traces de pas, donc j'ai l'impression que Jésus m'abandonne, mais en fait non, Jésus me porte. Et donc dans la vie de tous les jours, c'est des petits gestes qui nous portent, et il ne faut pas perdre espoir. Merci beaucoup Clotilde, et ce message est extraordinaire. J'étais dans la messe, et là, je pense que je n'étais pas attentif, mais après je me suis rendu compte que Jésus m'est transporté. Les gars ne me portaient pas, ils me transportaient, et je me suis dit, waouh, le Christ il est excellent ces gars, il est excellent. J'ai cherché, j'ai cherché partout, je pensais qu'il allait mettre ses tableaux un peu partout, pour me rendre compte au fait que Jésus est avec moi, mais il n'était pas avec moi, il était en moi. Il marchait avec moi, non, il ne marchait même pas avec moi, il me transportait. Les trucs c'est qu'on aime dire, on se l'a pété. Dépend de ça au fait que quand nous nous réveillons les matins, c'est notre force. Quand les gens nous aident, quand il y a des choses qui se passent très bien dans notre vie, nous pensons que c'est parce que nous sommes excellents, parce que nous sommes intelligents, parce qu'on a nos diplômes, sauf que ce n'est pas ça. C'est le Christ au fait qui agit en nous. Donc si j'essaie de résumer tout ce que vous avez dit jusqu'à là, il y a la confiance, il y a l'amour, et puis il y a l'espérance. C'est dire qu'il y a le Christ qui marche toujours avec nous, qu'il y a le Christ qui est toujours avec nous. Nous n'avons pas besoin de les voir physiquement. On doit les sentir, on doit se laisser guider. Et il y a Dave qui... Non, je ne vais pas parler avec Dave, parce que je pense que je soupçonne déjà ce qu'il va dire, donc je vais clôturer, et Dave c'est à toi. Alors je ne sais pas, moi je pourrais dire que j'ai deux messages. Je pense qu'on devrait, comme on prend le temps d'étudier dans la vie scolaire, je pense qu'on devrait autant étudier aussi la Bible, puisque Jésus est incroyable, Jésus est à nos côtés, et c'est merveilleux de le savoir et d'en avoir conscience. Waouh, j'avoue, j'avoue au fait, je ne m'attendais pas à ça. C'est extrêmement excellent par rapport à ce que je m'attendais, et vous venez tous de me donner une idée, je pense que je dois écrire des livres. Merci pour vos titres, je vais les développer, et qui sait, peut-être je peux vous demander à vous tous de faire du préface dans mes différents livres par rapport aux messages que vous avez fait passer aujourd'hui. Et nous allons clôturer avec les Padres. Les Padres, un sérieux message, hein, donc soyez attentifs, c'est pas n'importe qui, c'est les Padres qui croient à la jeunesse, qui accompagnent la jeunesse, qui sont avec la jeunesse. Donc, c'est un jeune, c'est le plus jeune d'un groupe qui va passer son message. C'est la jeunesse qui parle. Une certaine jeunesse, mais voilà, je me dis, nous sommes aujourd'hui à Benoît-de-Vau, en fin de compte, c'est un rendez-vous avec Marie, avec la présence maternelle de Marie à Benoît-de-Vau. Voilà, on est venu ici aujourd'hui pour témoigner de Charité.com, et s'il y en a une qui l'a vécue de manière très concrète, cette charité, et bien c'est bien Marie. Alors ce que j'ai envie aujourd'hui de demander à Marie, Marie plus particulièrement à Benoît-de-Vau, et bien c'est de veiller sur chacun et chacune des jeunes de la troupe de Charité.com, de continuer à les accompagner, de leur donner espérance, joie, bonheur, à travers ce qu'ils vont pouvoir dire et témoigner, et puis on sait bien qu'on va confier à Marie, Benoît-de-Vau, Charité.com. Wow, c'est excellent, je rappelle que les Charité.com s'écrit en toutes lettres, ce ne sont pas les .com, comme sur Internet pour accéder à des sites, mais c'est com. Et les trois points qui suivent, je vous les laisse deviner ou découvrir dans cette pièce théâtrale que nos frères, que nos amis vont nous partager. Nous sommes à la fin de notre émission et c'est tout à fait bizarre parce que j'aurais bien voulu qu'on continue, mais le temps ne nous permet pas et on va laisser quand même ce petit suspense. Alors, à tous nos auditeurs, j'aimerais bien rappeler les différentes fréquences partout où vous nous suivez. Barlé dit que c'est les 101.1, Nancy c'est les 93.1, et Verdun c'est les 83.93, excusez-moi, 93. Et à Longueuil, j'ai bien prononcé Longueuil ? Ok, les gars de Longueuil, vous me suivez, les chrétiens, vous tous, ok ? C'est 101.4, et n'hésitez pas à retrouver l'ensemble de nos émissions sur les www.rcf.fr. Je suis content et comme je le disais, au tout début de cette émission, il y a cette générique qui allait clôturer, mais bien avant cette générique quand même, j'aimais bien les S.A.S. et puis la générique va suivre à la fin. Merci beaucoup. S.A.S. ça rouvrait tous les papas, S.A.S. ça rouvrait tous les papas. Et c'est cette générique de fin par Clotilde et nous tous nous allons suivre. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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